Jump to content


Photo

Tournée d'été en Nouvelle Zélande 2025


  • Please log in to reply
684 replies to this topic

#676 RCV06

RCV06

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 54,601 posts
  • Genre:Homme
  • Ville:Mandelieu la Napoule
  • Mon club:

Posted Yesterday, 14:31 PM

Quel est le haka le plus savoureux auquel vous ayez assisté ?
Je n'ai jamais trouvé le haka très impressionnant. Parce que tu ne risques pas grand-chose à t'aligner devant des mecs qui te tirent la langue. Bien sûr que ça a beaucoup d'importance pour nos adversaires, parce que c'est le moment où ils passent de Néo-Zélandais à All Blacks. Mais nous, en face, on doit juste essayer de trouver des trucs pour patienter.

 

:D 

Ça j aime bien, en fait le haka ça n émoustille que les journalistes et ceux qui arrivent dans le rugby. 


  • Velveteethol and Alex chocolatines like this

#677 Bon Chasseur

Bon Chasseur

    Champion d'Europe

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 5,444 posts
  • Genre:Va savoir
  • Mon club:

Posted Yesterday, 15:21 PM

J'ai en tout cas tjrs pensé que je ferais un truc style Campese devant le haka. On peut tous fantasmer sur les hypothétiques. Bon côté: je m'étire et me prépare concrètement pour le match sans perdre de temps et sans avoir à être forcé de faire qq'ch que je ne veux pas faire (en l'occurrence fixer du monde qui me fait des grimaces et gestes menaçants pendant environ deux minutes). Mauvais côté: ils le prendraient mal et me viseraient particulièrement sur les plaquages.



#678 grospaquet33

grospaquet33

    Champion d'Europe

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 6,456 posts
  • Genre:Homme
  • Ville:Toulouse
  • Mon club:

Posted Yesterday, 16:14 PM

Quel est le haka le plus savoureux auquel vous ayez assisté ?
Je n'ai jamais trouvé le haka très impressionnant. Parce que tu ne risques pas grand-chose à t'aligner devant des mecs qui te tirent la langue. Bien sûr que ça a beaucoup d'importance pour nos adversaires, parce que c'est le moment où ils passent de Néo-Zélandais à All Blacks. Mais nous, en face, on doit juste essayer de trouver des trucs pour patienter.

 

:D

Ça j aime bien, en fait le haka ça n émoustille que les journalistes et ceux qui arrivent dans le rugby. 

On peut ricaner comme Abadie. Au moins il sait exactement ce qu’on pense quand on entend le pilou-pilou.

sinon on peut respecter leur tradition.



#679 RCV06

RCV06

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 54,601 posts
  • Genre:Homme
  • Ville:Mandelieu la Napoule
  • Mon club:

Posted Yesterday, 16:36 PM

On peut ricaner comme Abadie. Au moins il sait exactement ce qu’on pense quand on entend le pilou-pilou.

sinon on peut respecter leur tradition.

Si on obligeait pas les adversaires a admirer ce spectacle, parfaitement scénarisé pour faire plaisir aux TV et aux sponsors, ce qui était le cas il y a peu encore, peut être qu il ne répondraient pas aux langues tirées surjouées et qui n existaient pas avant, par des sourires narquois.

 

Je ne vois pas pourquoi les Blacks ont le droit de défier leurs adversaires en allant jusqu à mimer un égorgement, alors que les autres doivent regarder ça sans broncher comme des enfants bien sages.

Elles ont bon dos les traditions.

 

Le haka est toujours dans la surenchère au fil des années car c'est de la bonne TV comme dirait Trump.

 

On pourrait revenir a l ancienne, ils font leur Haka dans un coin du terrain, et les autres font ce qu ils veulent en attendant le coup d'envoi. 


  • Bougnat et Breton likes this

#680 el landeno

el landeno

    Champion d'Europe

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 6,707 posts
  • Genre:Homme
  • Ville:dax
  • Mon club:

Posted Yesterday, 17:25 PM

Blessure, fin de contrat, cap de la trentaine : Anton Lienert-Brown, un retour plein d'inconnues face au XV de France
Le centre All Black Anton Lienert-Brown, qui n'a plus joué depuis trois mois à la suite d'une fracture d'une clavicule, va devoir assumer la mission de réguler l'entrejeu des All Blacks pour l'ultime test face aux Bleus, samedi (9h05).

 
 

Un masque de tension pesait sur le visage d'ordinaire si souriant et jovial d'Anton Lienert-Brown, jeudi, face à la presse. Le centre des All Blacks sait qu'il joue gros ce week-end. Scott Robertson lui a confié les clés du camion pour réguler le jeu des Blacks face aux Bleus, ce samedi (9h05). « Avec ses 85 sélections, Anton nous apporte une grande expérience, loue son sélectionneur. Elle sera essentielle dans ce genre de matches. C'est le troisième match d'une série, il est aussi important que le premier. »

 
 

Lienert-Brown portera cette responsabilité sur ses épaules convalescentes, pour son grand retour sur un terrain depuis qu'il s'est fracturé une clavicule le 25 avril avec les Chiefs, lors de la première mi-temps d'un match face à la Western Force. Il avait dû subir une chirurgie d'urgence. Le verdict annonçait une fin de saison. Lui n'a pas voulu s'y résoudre. Il raconte avoir repris l'entraînement par la pensée, d'abord à travers des exercices de visualisation. Il y a été sensibilisé par Anne, sa mère, très impliquée dans le développement personnel et la santé mentale des athlètes.

«J'ai eu près de quatre semaines d'entraînement complet donc je dois me fier au travail accompli »

Anton Lienert-Brown

 
 
 

« Je n'ai pas joué depuis trois mois (ma blessure à une clavicule faisait suite à un mois d'indisponibilité pour un souci à une jambe), mais j'ai tout donné à l'entraînement, a assuré "ALB". Mentalement, je dois m'y fier. J'ai eu près de quatre semaines d'entraînement complet donc je dois me fier au travail accompli. » Il dit avoir pu tester son épaule en opposition à 100 %. « Je peux y aller à fond. Je me dois d'avoir cette foi après des entraînements à pleine intensité, semblables à un match. »

 
 

Reste à voir s'il parviendra à dissiper la brume de doutes qui doit forcément planer dans les recoins de son esprit, comme le brouillard dissipe la clarté des flots de la rivière Waikato. Lienert-Brown est de cette région-là, joueur vedette des Chiefs, il sera acclamé par son public.

 
Il reste sur deux défaites de rang face aux Français

Le 21 juin, ce battant s'était mêlé à l'échauffement de ses coéquipiers avant la finale du Super Rugby face aux Crusaders. « J'avais un infime espoir de jouer, ça ne s'est pas fait, mais la visualisation d'avant-match, le fait d'être dans le stade et d'en percevoir l'environnement, c'était essentiel émotionnellement, confie-t-il. Ça me sert aujourd'hui. »

Face à la France, il lui faudra se rassembler, ne pas se dissoudre dans l'appréhension. Car, outre sa performance individuelle, il devra gérer un tas de chantiers sur la pelouse du FMG Stadium. C'est l'ouvreur Damian McKenzie qui sera aux commandes du jeu des All Blacks. Et pour que ce feu follet puisse faire du « D-Mac » - son surnom -, allumer des pétards dans la défense française, il faudra que Lienert-Brown gère le « service après-vente du chaos » en cas de contre tricolore.

Aux Chiefs, tous deux forment un duo d'attaque naturel et fluide, fait de passes intuitives et de courses croisées. Ils se comprennent d'un simple échange de regards. Sauf que les entraînements ne remplacent pas les matches, et le Super Rugby n'a pas l'intensité d'un test international. ALB saura assez vite s'il est en dette d'automatismes.

a9d12.jpg
 
Anton Lienert-Brown, en novembre dernier, lors de la défaite de la Nouvelle-Zélande face à la France (30-29). (B. Papon/L'Équipe)

Il reste sur deux défaites face à la France : l'une lors du match d'ouverture de la Coupe du monde en septembre 2023 (27-13), l'autre en novembre dernier (30-29). À chaque fois, en face, il a croisé le regard de Gaël Fickou (31 ans, 95 sélections). Samedi, le centre tricolore sera associé à Nicolas Depoortere, tandis que Lienert-Brown, qui n'a pas joué depuis trois mois, sera associé à Quinn Tupaea, qui n'a plus porté le maillot des All Blacks depuis... trois ans.

Le 15 septembre 2022, au Marvel Stadium de Melbourne, le deuxième ligne australien Darcy Swain lui avait démoli un genou à coups d'épaule, provoquant une rupture du ligament collatéral médial et une déchirure partielle du ligament croisé antérieur du genou gauche.

Voilà un bon nombre d'inconnues à gérer pour le retour au très haut niveau de Lienert-Brown, âgé de 30 ans. Excellent ordonnateur du jeu, capable d'accélérer une attaque d'un simple offload ou d'étouffer les offensives adverses par sa lecture du jeu, il n'a pourtant pas encore prolongé avec la Fédération néo-zélandaise, son contrat se terminant fin 2026. Cela pèse sur l'esprit.

Plus tout jeune, sans être en déclin, il est à la croisée des chemins. Aiguillonné par la pression de prouver qu'il mérite la confiance des coaches, il doit assumer et faire face. Samedi, au FMG Stadium, il sera dans un environnement qu'il connaît bien. Mais grâce à son expérience, il sait qu'il sera, plus que jamais, seul face à lui-même.

Des exercices de respiration « pour la régulation émotionnelle »
Anton Lienert-Brown partage avec son coéquipier Ruben Love une méthode pour avancer malgré l'adversité. « On bosse avec un spécialiste de la respiration, confie Love. Ça m'aide à me sentir plus confiant dans mes capacités, dans tout ce que je peux apporter à mon équipe et à ma famille. C'est précieux pour ma régulation émotionnelle. » Le coach en question se nomme Nigel Beach. On dit qu'il a aussi collaboré avec Chelsea, le club de football. Il pratique la méthode Oxygen Advantage, qui expose notamment les athlètes à des niveaux élevés de dioxyde de carbone (CO), à des bains glacés à 2 °C ou à des saunas à 90 °C. « Cette méthode aide à rester lucide et dans le moment présent, appuie Lienert-Brown. On a ce privilège, au sein des All Blacks, de bénéficier de nombreuses compétences à notre service. Mais c'est aussi à chacun d'aller chercher ce "1 %" de plus. »


#681 el landeno

el landeno

    Champion d'Europe

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 6,707 posts
  • Genre:Homme
  • Ville:dax
  • Mon club:

Posted Yesterday, 19:38 PM

La victoire ou l'oubli : pour son dernier test-match contre les All-Blacks, le XV de France a l'occasion de sauver sa tournée
La série perdue après ses deux défaites contre la Nouvelle-Zélande, il reste une occasion au quinze de France de marquer l'histoire et les All Blacks, samedi matin lors du dernier test-match (9h05).

 

Perdu pour perdu, autant leur coller un gros bazar, n'est-ce pas ? OK, mettre le boxon dans une ville aussi bien rangée qu'Hamilton, c'est un concept. Des parallèles et des perpendiculaires à l'américaine, à perte de vue. Dans la région, l'autochtone vit de l'industrie laitière ou bûche sa reconversion dans l'agritech. La municipalité, elle, tente de redynamiser un centre-ville qui consiste en une artère principale, tracée en parallèle du fleuve Waikato, et un casino. Du blanc, du gris, un gros cours d'eau et un peu de débauche sous abri pour oublier qu'ici, le ciel est souvent bas. Voilà pour la couleur au pays des « tout noir ».

 
 

À la veille de son dernier test face à la Nouvelle-Zélande (samedi, 9h05), cette tournée historique n'aura finalement qu'un moyen de ne pas laisser sur leur faim ceux qui auront préféré les aventures de l'Agence touriste à la Coupe du monde des clubs ou au Tour de France : gagner. Parce qu'on ne trouvera jamais meilleur moyen pour justifier à la compta l'acheminement de 70 personnes aux antipodes, psy incluse. Ou rappeler à ceux qui n'ont pas voulu venir parce qu'ils avaient rosé-piscine, qu'une carrière passe très vite et que des opportunités comme celle-ci ne se présentent souvent qu'une fois dans une vie.

Ce dernier match manquera de Barrett, donc de chic

C'est aussi le drame de l'histoire récente, de ces raclées reçues au bout du monde avec les « A » ou les « B ». Elles ont tatoué l'imaginaire global. Pourquoi aller écorner son crédit sportif dans un voyage où il n'y a rien à gagner, et en plus de ça après onze mois d'une saison déjà interminable ? Parce qu'il n'a fallu qu'un plaquage et une percu à Sébastien Chabal, au milieu d'une série à deux tests où il avait encaissé 42 et 61 points en juin 2007, pour devenir une légende et en vivre encore aujourd'hui.

Alors, oui, ce dernier exercice manquera de Barrett, donc de chic. Il n'y aura qu'un seul représentant sur trois de la fratrie la plus célèbre de Nouvelle-Zélande pour tenir le cap All Black et la mèche folle de Damian McKenzie. Et encore, sans le forfait de Rieko Ioane, Jordie serait resté en chambre froide avec ses frères. Une rareté qui n'est arrivée qu'une seule fois sur les cinq dernières années. À 34 ans et deux sorties contre les « Bleus bis », Beauden a d'ailleurs réglé le problème de sa propre succession jusqu'à la prochaine Coupe du monde. Ce sera lui au poste de dix.

 
 
 

McKenzie, de l'école classique des ouvreurs qui donnent envie d'échanger son maillot à la fin du match mais pas son éternelle place sur le banc, est à ranger à côté de son aïeul Carlos Spencer ou de l'Australien Quade Cooper. Il est un inclassable génie, capable aussi de jouer à l'arrière, mais à la régularité fragile. Son entrée lors du premier test contre les Bleus (31-27, le 5 juillet), après que Sevu Reece se soit assommé quasiment sur le coup d'envoi, avait fait mal aux Français autant que son déchet avait coûté aux siens.

Mais on s'attarde sur le cas d'un joueur alors que le diplomate Scott Robertson a choisi de la jouer comme Galthié, en changeant dix bonshommes dans son quinze de départ. L'invariable restant le nombre de mulets sur la pelouse. Bonne ou mauvaise nouvelle pour les Tricolores ? Selon leur sélectionneur : ils se ressemblent tous ! C'est-à-dire ? Eh bien que tout le rugby néo-zélandais est entièrement tourné vers le confort de sa sélection et que cette revue d'effectif opérée par son adversaire se fait à l'intérieur de leur propre cercle de prémiums, par opposition à celui que l'encadrement tricolore a pu convoyer avec lui.

Laisser le souvenir unique d'avoir été battu par la réserve de la réserve de la République française

Jusqu'ici, rien de neuf, sinon que le climat local a tendu un peu en interne au fil que le séjour s'allongeait. On s'est agacé des conditions d'accueil ici et là, de l'arbitrage à chaque fois, et cette semaine du fait que les Néo-Zélandais parlent davantage de la double visite des Springboks en septembre que de ce dernier test contre eux. Une petite piqûre à la base de l'ego qui viendra rebooster ceux que l'inertie du retour au pays et des vacances en approche commençaient à démobiliser. C'est aussi vieux et humain que l'invention des congés payés, à ceci près que partir en vacances après avoir pris une fessée gâchera forcément les premiers apéros.

12d2a.jpg
 
De gauche à droite, Romain Taofifenua, Pierre Bochaton et Bastien Vergnes-Taillefer, déçus après le deuxième test contre la Nouvelle-Zélande, largement perdu (43-17). (A. Mounic/L'Équipe)

De l'importance de repartir en laissant le souvenir unique d'avoir été battu par la réserve de la réserve de la République française. En trois mots : le gros bazar, évoqué plus tôt. Celui qui vous fait remettre tout sur la table. Il ne sera envisageable qu'en réussissant son entame, en abandonnant sa naïveté défensive au vestiaire - contrairement au week-end dernier lors du deuxième test largement perdu (43-17) - tout en soignant sa timidité sur les bons ballons. Ils sont rares, mais finissent toujours par arriver. « Arrêtez de réciter, jouez ! » entendait-on d'ailleurs Fabien Galthié éructer à l'entraînement cette semaine. Un mantra spontané, un vrai. Mais comme pour tous les mantras, il faut en être convaincu.

En dépit des forfaits bleus (Woki, Vergnes-Taillefer, Barassi), les rentrées de Mickaël Guillard et Alexandre Fischer vont densifier le pack de ce qui lui a manqué à Wellington - et c'est une bonne nouvelle - alors que la ligne de trois-quarts garde son profil séduisant, pourvu qu'elle n'ait pas à se contenter de défendre. Autant d'injonctions qui, si elles étaient tenues, donneraient une autre allure à cet été international. Ils étaient venus découvrir des joueurs, ils rentreraient avec une équipe presque entière et des souvenirs. Ce sera ça ou l'oubli.

 
 


#682 julien

julien

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 44,867 posts
  • Genre:Homme
  • Mon club:

Posted Yesterday, 19:40 PM

Quand tu lis la presse t'as l'impression qu'on a envoyé notre meilleure équipe alors qu'il manque les 25 meilleurs joueurs français.... 


  • RCV06 likes this

#683 Paolinito

Paolinito

    Joueur de Fédérale 2

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPip
  • 1,511 posts
  • Genre:Homme
  • Ville:Annonay
  • Mon club:

Posted Yesterday, 20:13 PM

Ben justement, si on parle d'insister pour redonner confiance, Jauneau me parait éligible à cette stratégie. Sachant que cette tournée n'est pas une compète, on ne risque pas grand chose.

J'ai peut etre tort, mais je sens un très grand potentiel sous exploité avec votre 9, personne n'a encore su l'exploiter. Le jour ou il se révèlera ailleurs, tout le monde gueulera sur ce fofo.

 

Puisqu'on parle d'Urios  :D , l'interview de Poirot est très intéressante dans la partie où il parle de la période où le sieur entrainait l'UBB : il en balance pas vraiment (enfin un peu qaund même), mais il dit que malgré le respect que les mecs semblaient se porter mutuellement, ils ne se sont jamais trouvé humainement. Je pense que le Urios est assez clivant, et ne s'embarrasse pas des mecs qui sont dans l'hésitation. Pas sûr que ce soit le profil d'entraineur idéal pour un Jauneau dans son évolution mais aussi petite stagnation actuelle.



#684 RCV06

RCV06

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 54,601 posts
  • Genre:Homme
  • Ville:Mandelieu la Napoule
  • Mon club:

Posted Yesterday, 22:19 PM

J'ai en tout cas tjrs pensé que je ferais un truc style Campese devant le haka. On peut tous fantasmer sur les hypothétiques. Bon côté: je m'étire et me prépare concrètement pour le match sans perdre de temps et sans avoir à être forcé de faire qq'ch que je ne veux pas faire (en l'occurrence fixer du monde qui me fait des grimaces et gestes menaçants pendant environ deux minutes). Mauvais côté: ils le prendraient mal et me viseraient particulièrement sur les plaquages.

C'est plus un problème dans le rugby de maintenant, tous les joueurs sont préparés a encaisser les chocs dans les règles, et si ça sort des règles les caméras et les arbitres font que le risque est trop grand.



#685 Bon Chasseur

Bon Chasseur

    Champion d'Europe

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 5,444 posts
  • Genre:Va savoir
  • Mon club:

Posted Yesterday, 22:46 PM

C'est plus un problème dans le rugby de maintenant, tous les joueurs sont préparés a encaisser les chocs dans les règles, et si ça sort des règles les caméras et les arbitres font que le risque est trop grand.

Ah bon, ben je m'échauffe dans le fond de terrain alors.






9 user(s) are reading this topic

0 members, 9 guests, 0 anonymous users