FINALE
Samedi 28 juin (21h05)
Stade Toulousain - Union Bordeaux Bègles

Phases finales - Saison 2024/2025 : Finale
#1
Posté hier, 22:09
- TiNTiN, marco43 et Babé03 aiment ceci
#2
Posté hier, 23:16
- Silhouette, Bad Zé et Bon Chasseur aiment ceci
#3
Posté aujourd'hui, 06:44
Tout ça pour ça …..
ben oui, le 4 ème élimine le 5 ème, le 6 ème battu par le 3 ème, le 4 ème renvoyé dans ses foyers par le 1 er et le 3 ème éliminé par le second. voilà finale le second contre le premier. les 2 meilleures équipes du top 14 vont s'affronter en finale et c'est logique.
allez l'UBB, les blasés toulousains qui ne se déplacent même plus pour supporter leur club (cf la demie) ça m'agace
- Velveteethol et ELSAZOAM aiment ceci
#4
Posté aujourd'hui, 06:57
ben oui, le 4 ème élimine le 5 ème, le 6 ème battu par le 3 ème, le 4 ème renvoyé dans ses foyers par le 1 er et le 3 ème éliminé par le second. voilà finale le second contre le premier. les 2 meilleures équipes du top 14 vont s'affronter en finale et c'est logique.
allez l'UBB, les blasés toulousains qui ne se déplacent même plus pour supporter leur club (cf la demie) ça m'agace
Ils seront 30.000 place du Capitole, c'est pareil (ou pas) !
Bon, de toute façon, pour les années à venir, les Brennus seront partagés entre le ST et l'UBB, les autres attendront pour touche le bout de bois.
- marco43 aime ceci
#5
Posté aujourd'hui, 08:33
#6
Posté aujourd'hui, 08:37
ben oui, le 4 ème élimine le 5 ème, le 6 ème battu par le 3 ème, le 4 ème renvoyé dans ses foyers par le 1 er et le 3 ème éliminé par le second. voilà finale le second contre le premier. les 2 meilleures équipes du top 14 vont s'affronter en finale et c'est logique.
allez l'UBB, les blasés toulousains qui ne se déplacent même plus pour supporter leur club (cf la demie) ça m'agace
Enfin on peut pas dire que les Basques se soient mobilisés pour la demie...
#7
Posté aujourd'hui, 08:39
Bon, encore une finale à regarder sans aucun stress............
Ca commence à faire long...........
#8
Posté aujourd'hui, 08:43
Ils seront 30.000 place du Capitole, c'est pareil (ou pas) !
Bon, de toute façon, pour les années à venir, les Brennus seront partagés entre le ST et l'UBB, les autres attendront pour touche le bout de bois.
une chose est sûre c'est que les supporters de L'UBB ont intérêts à avoir financièrement les reins solides. nous depuis quelques années ont économise.
- Boulard aime ceci
#9
Posté aujourd'hui, 08:44
Ils ne sont pas les premiers à l'avoir subie cette saison, les Toulonnais, cette version de Bordeaux-Bègles qui, soudain, parvient à enclencher un mode hybride qui fait tant de dégâts. Il transforme l'UBB en une sorte de Caterpillar puissant, posé sur un courant aérien, qui vous malaxe en même temps qu'il vous disperse.
On a fini par espérer que ce chantier lancé par les hommes de Yannick Bru en début de seconde période allait créer un courant d'air salvateur dans un Groupama Stadium lyonnais étouffant de chaleur, mais le coup de frais fut seulement pour le RCT, définitivement refroidi en dix minutes et une tornade de trois essais, alors que, jusque-là, il avait su rester à hauteur.
Mais que faire quand ce Bordeaux se lance ainsi, oublie sa timidité appliquée de la première mi-temps, où il avait accepté un combat tactique et s'y était parfois égaré, à abuser du jeu au pied, et réussit enfin à allier fureur et vitesse ? Le RCT, comme d'autres, n'a pas trouvé la réponse. Il a d'abord subi une combinaison derrière une mêlée où l'UBB est allée insister côté fermé à deux reprises, avec autant d'abnégation qu'on met à enfoncer un clou au bon endroit, on y a vu une lourde chevauchée de Pierre Bochaton et un Maxime Lamothe de gala, disponible dans l'espace, comme il aime, pour conclure (45e, 22-10). Bordeaux a insisté et un 50-22 opportuniste de Maxime Lucu a maintenu les Varois sous pression (49e), au point de les pousser à concéder un jaune (Halagahu, 50e).
Quand Bordeaux montre ce visage et qu'il est en supériorité numérique, il sait continuer à faire mal. Parce qu'il a désormais des cadres avec assez d'expérience et de confiance pour maintenir ce standard malgré des approximations. Une sortie de mêlée cafouillée ? Pas de soucis, Yoram Moefana, sauvage au contact, vous remet dans l'avancée, Matthieu Jalibert dépose une transversale au pied, et Damian Penaud se charge du slalom final (53e, 29-10). La détermination et la légèreté.
Et l'estocade, deux minutes plus tard, même cocktail. Parce qu'elle est partie d'un contre-ruck au-dessus des espoirs de Jaminet, un domaine, le sol, où ces Bordelais ont su étouffer le RCT, et le balayage droite-gauche qui a suivi, rapide, précis, a été conclu par les jambes de Lamothe (55e, 36-10).
Dix minutes pour un 21-0 rédhibitoire où on a vu le meilleur de l'UBB cette saison. Elle s'interrogeait pourtant avant ce rendez-vous rhodanien. Avait-elle retrouvé l'appétit après le premier titre de son histoire il y a un mois, cette Coupe des champions soulevée à Cardiff ? Avait-elle laissé trop d'influx et d'ambition dans la fête qui avait commencé dès la porte du premier pub gallois franchie ?
Bordeaux a bafouillé dans les semaines qui ont suivi, entre célébrations prolongées, louanges interminables, réceptions, etc. Le staff a accompagné le mouvement, d'abord en en profitant, aussi, ensuite en l'observant avec bienveillance et compréhension. Puis, fin de la récré, une fois la qualification pour les demies acquise, remobilisation générale dans les Landes, entraînements, non sans dégâts, comme cette blessure pour Adam Coleman (tendon pectoral), discussions, également, pour se trouver un nouveau but. Il avait un nom, ambitieux, le doublé, prononcé sans fausse modestie dès vendredi en conférence de presse, et samedi, ces Bordelais ont prouvé qu'ils avaient l'étoffe pour y prétendre. Ils retrouveront Toulouse samedi prochain, au Stade de France cette fois, mais même si le cadre ne sera plus le même, on leur renverra la punition récoltée au Vélodrome l'an dernier, ce 59-3 cruel qui les avait éparpillés sur le moment autant qu'il les avait mis face à des limites plus profondes.
Le club s'est attaché à les corriger ces derniers mois, et ces Girondins déjà exsangues en demies contre le Stade Français en 2024 (20-22), ont cette année tout mis en oeuvre pour arriver prêts à la dernière étape de la saison. Toulon l'a bien senti. Un premier titre les a gonflés de confiance, ils ont changé de dimension, à présenter des joueurs dont la popularité n'a fait qu'amplifier depuis. Témoin, cette ovation pour Louis Bielle-Biarrey quand son visage est apparu sur les grands écrans du stade en fin de match. L'ailier létal espère avoir récupéré d'une commotion la semaine prochaine, même si son manager Yannick Bru a annoncé que cela semble compliqué. L'UBB ne serait en tout cas pas contre son retour pour donner, cette fois, une vraie réplique, en muscles comme en jambes, au Stade Toulousain.
#10
Posté aujourd'hui, 08:45
Enfin on peut pas dire que les Basques se soient mobilisés pour la demie...
ils auraient du nous laisser la place, la yellow army aurait rempli le stade
#11
Posté aujourd'hui, 08:51
#12
Posté aujourd'hui, 08:59
ils auraient du nous laisser la place, la yellow army aurait rempli le stade
Oui - Marco, c'est exactement la réflexion que j'ai faite dans un autre topic - En demie à LYON, le stade était un Michelin Bis, après tant d'années de disette....Mais bon, sur le terrain BAYONNE méritait quand même sa place...Faut être honnête..
- marco43 aime ceci
#13
Posté aujourd'hui, 09:28
Bon, encore une finale à regarder sans aucun stress............
Ca commence à faire long...........
faudra t'y habituer ..
#14
Posté aujourd'hui, 09:38
faudra t'y habituer ..
Les barrages c'est le seul espoir de finir en beauté pour les clubs concernés, mais ensuite la certitude de se faire "allumer" par la suite en demie ! Deux clubs dominent le rugby Français et il n'y a personne (actuellement ) pour contester leur suprématie ! Deuxième année consécutive que l'on va assister à la même finale, et j'ai bien peur que cela soit la même l'année prochaine ! Pas étonnant ce sont tous des internationaux et la base même de l'équipe de FRANCE !
#15
Posté aujourd'hui, 09:40
faudra t'y habituer ..
Hélas
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