Les femmes font aussi du vélo ?
On t'a reconnu
https://www.ina.fr/i...ans-le-cyclisme
Posté 29 juillet 2025 - 14:01
Posté 29 juillet 2025 - 15:26
ça a super bien marché depuis les Uriossades, impec le collectif
Donc, pour résumer, je suis souvent victime des colibris, sous-entendu des types qu’oublient toujours tout. Euh, non… Bref, tout ça pour dire, que je voudrais bien qu’on me considère en tant que Tel.
Posté 29 juillet 2025 - 16:07
Posté 29 juillet 2025 - 17:26
Posté 29 juillet 2025 - 17:26
Donc, pour résumer, je suis souvent victime des colibris, sous-entendu des types qu’oublient toujours tout. Euh, non… Bref, tout ça pour dire, que je voudrais bien qu’on me considère en tant que Tel.
Ouais, on va voir ce qu'on peut faire
Posté 29 juillet 2025 - 18:42
Vu une toute petite partie de l'entraînement en faisant la visite du stade aujourd'hui.
Intensité importante, des coachs qui donnent beaucoup de la voix. Quelques beaux bestiaux dont les fidjiens (qui ont fait un paquet de fautes de mains sur ce que j'en ai vu)
Des fidjiens qui savent pas se servir de leurs mains, tout par en vrille !!
Posté 30 juillet 2025 - 05:43
Si Christophe Urios a convenu qu’il allait revoir quelques-uns de ses principes durant cette pré-saison, notamment en matière de préparation physique, il est un rendez-vous qui reste indéboulonnable. Celui des Défis Vulcains. Ceux-ci ont été officiellement lancés samedi dernier à Thiers, avec des ateliers autour de la coutellerie. Ce samedi et celui d’après seront encore réservés à ces moments où le mot « cohésion » doit prendre tout son sens au travers d’activités tantôt ludiques, tantôt physiques. Mais jamais sans un esprit de compétition.
La recette est bien connue. Son inventeur la fait suivre dans chacun des clubs qu’il traverse. Il en change le nom, question d’identité. Mais pas les ingrédients. À Castres, où Christophe Urios a entraîné de 2015 à 2019, le rendez-vous s’intitulait « Les Olympiades » ; à l’Union-Bordeaux-Bègles (2019-2022), « Les Bacchus ». À chaque fois, il est l’unique organisateur (avec l’appui d’associations locales) de ces journées tenues secrètes jusqu’au dernier moment pour mieux surprendre ses joueurs.
Mais il est de moins en moins rare de croiser des supporters de l’ASM Clermont - autour de la main courante ou sur les réseaux sociaux - émettre des doutes quant aux bienfaits d’un tel menu. « S’il le reproduit depuis tant d’années, c’est qu’il est convaincu des bienfaits que cela peut avoir, rétorque l’ancien deuxième ligne Christophe Samson qui a évolué sous ses ordres durant quatre saisons et décroché le bouclier de Brennus en 2018. Pour nous, c’était vraiment une parenthèse, des moments de rigolade, mais aussi sérieux parce qu’on voulait toujours gagner. Avec le recul, j’en garde de super souvenirs. »
Comme lorsqu’il avait dû jouer les animateurs de soirée sur la scène d’un théâtre de Castres. Un rôle dans lequel il ne se sentait pas nécessairement à l’aise au départ, avant de finalement se prendre au jeu. De quoi certainement donner des éléments de réflexion à son coach, lui qui profite toujours de ces moments pour faire émerger des leaders.
Un effet accélérateurPour Christophe Samson, ces moments avaient aussi un autre atout indéniable. « Je trouve que c’était très important pour les nouveaux arrivants. Par ce biais, ils trouvaient plus facilement leur place au sein du groupe. C’était un moyen de découvrir plus facilement les personnalités de chacun. Cela avait un effet accélérateur : en trois ou quatre week-ends d’Olympiades, c’était comme si on connaissait les gars depuis trois ou quatre mois », explique celui qui, en 15 ans de carrière professionnelle, n’a jamais connu un autre coach fonctionner de la sorte en pré-saison.
Un discours qui trouve de l’écho dans les propos de Tom Raffy, fraîchement débarqué du CA Brive, cet été. « Je découvre l’ambiance des Vulcains et je trouve ça très intéressant. Au-delà de découvrir le territoire dans lequel on évolue, cela permet de partager des moments en dehors du rugby. Même si je connaissais Barnabé (Massa), Joris (Jurand), Baptiste (Jauneau) ou Léon (Darricarrère) avant de venir, c’est plus facile de s’intégrer au reste du groupe dans ces conditions », nous racontait l’ouvreur à Thiers.
Posté 30 juillet 2025 - 10:40
Les Défis Vulcains c'est ni plus ni moins qu un séminaire d'entreprise, rien de révolutionnaire non plus.
Mouais mais un séminaire à couper du bois et taper sur des bouts de ferraille incandescents, c'est pas fou fou, les pharmaciens et docteurs vont plutôt dans les Caraïbes, Seychelles, Thaïlande ...
en plus ils peuvent emmener une collaboratrice
Posté 30 juillet 2025 - 11:31
Mouais mais un séminaire à couper du bois et taper sur des bouts de ferraille incandescents, c'est pas fou fou, les pharmaciens et docteurs vont plutôt dans les Caraïbes, Seychelles, Thaïlande ...
en plus ils peuvent emmener une collaboratrice
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de mémoire Azéma les avait amener a Ibiza aprés le titre de 2017
la saison d’après avait été très compliqué !
Posté 30 juillet 2025 - 13:06
Les Défis Vulcains c'est ni plus ni moins qu un séminaire d'entreprise, rien de révolutionnaire non plus.
Séminaire permettant souvent de décerner le grand prix du fayot léche cul
Posté 30 juillet 2025 - 13:53
de mémoire Azéma les avait amener a Ibiza aprés le titre de 2017
la saison d’après avait été très compliqué !
Il les avait aussi amené à Millau ... résultat : agression à la machette
C'est peut être moins risqué de rester dans le coin avec les defis Vulcains finalement.
Posté 30 juillet 2025 - 15:06
Mouais mais un séminaire à couper du bois et taper sur des bouts de ferraille incandescents, c'est pas fou fou, les pharmaciens et docteurs vont plutôt dans les Caraïbes, Seychelles, Thaïlande ...
en plus ils peuvent emmener une collaboratrice
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Urios il a jamais dit que les joueurs pouvaient pas amener une collaboratrice
Séminaire permettant souvent de décerner le grand prix du fayot léche cul
La place est déjà prise avec son futur gendre
Posté 30 juillet 2025 - 17:46
Il les avait aussi amené à Millau ... résultat : agression à la machette
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C'est peut être moins risqué de rester dans le coin avec les defis Vulcains finalement.
bof, imagine s'il les avait amenés à Saint Just voir le rallye ...
Posté hier, 10:10
Dans un peu plus d’un mois, l’ASM Clermont recevra Toulouse pour l’ouverture du Top 14. Un match qui devrait rapidement afficher complet, même s’il est programmé un dimanche soir (le 7 septembre à 21 heures). Mais bonne nouvelle : décrocher un précieux sésame devrait s’avérer plus simple et en tout cas plus intuitif que lors des saisons précédentes.
L’ASM Clermont vient en effet de changer de prestataire de service pour sa plateforme de billetterie. Jusqu’ici, le club collaborait avec Tick&Live (anciennement Datasport), un partenaire historique dont la solution logicielle devenait de plus en plus obsolète au fil des saisons. Acheter des places en cliquant sur la localisation dans le stade pouvait être un peu stressant. Avec le nouveau partenaire Fever, ces petits désagréments devraient appartenir au passé.
« Ce sera beaucoup plus facile d’acheter un billet », promet Justine Dahan, directrice des opérations commerciales et de la marque. « On avait des problématiques techniques et de fonctionnalité. Et forcément, cela entraînait de la déperdition en raison du manque de fluidité. Nous sommes tous pareils : quand on a envie de quelque chose, si on ne l’obtient pas tout de suite, on passe vite à autre chose. »
Outre une meilleure expérience d’achat, la grande nouveauté pour les supporters résidera dans ce que l’on appelle « le second marché ». Jusqu’à présent, les abonnés ne pouvant pas se rendre à un match ne pouvaient pas revendre leur place via la billetterie officielle. Ce sera désormais possible. Pas pour les premières rencontres, mais cela devrait être mis en place après quelques semaines.
Du bénéfique les jours de matchLes supporters les plus fidèles seront quant à eux récompensés en recevant des bons d’achat (valables sur l’e-shop, en boutique, aux buvettes ou pour la billetterie), grâce à un système de points.
Cette reprise en main de la billetterie s’inscrit dans une stratégie plus globale du club, centrée sur le marketing et l’expérience supporter.
La saison dernière, l’offre « Food and beverage » avait été entièrement repensée les jours de match : plus de buvettes, une offre de restauration enrichie, des espaces plus vivants et animés… Une formule qui avait séduit une bonne partie des supporters clermontois.
Du côté de l’ASM Clermont, le changement fut aussi bénéfique. « Ce n’est pas simple de faire une comparaison avec les chiffres d’affaire des saisons précédentes, étant donné que tout était externalisé. Tout ce que je peux dire, c’est que nous avons atteint tous les objectifs que nous nous étions fixés. Et nous allons aller encore plus loin, avec notamment la création d’événements plus fréquents, comme quatre ou cinq afterworks par an », explique Justine Dahan.
Pas de grandes révolutions attendues sur les parvis et les allées du Michelin cette saison, mais plutôt de petites améliorations ici et là. À l’image du Truffadou, l’ASM va collaborer avec un chef de la région pour proposer un autre plat signature, fidèle à la gastronomie auvergnate. Après Frédéric Coursol, ce sera au tour de Stéphane Ranieri, chef de l’Enbut, de proposer une nouvelle création gastronomique les jours de match, en complément du Truffadou.
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