396 réponses à ce sujet

[Vynce]

"En observant le template du maillot, on saperçoit quil possède le même design que celui de léquipe nationale dItalie"
 
Voilà bien une phrase de massive twat...

Template dans un verre d'eau.

[ELSAZOAM]

@Babé : je joints à ton com la photo d'un maillot Kappa qui n'a jamais officiellement existé...  

 

[Babé03]

@Babé : je joints à ton com la photo d'un maillot Kappa qui n'a jamais officiellement existé...  

 

Maillot Kappa.png

 

Merci Elsa, je ne peux quasiment jamais joindre les photos des articles, ça me dit que c'est interdit...

[ELSAZOAM]

 

Merci Elsa, je ne peux quasiment jamais joindre les photos des articles, ça me dit que c'est interdit...

Moi aussi ça me dit que c'est interdit (pas tout le temps...  ), mais je contourne la loi en faisant une capture d'écran que je poste !     

[pims]

 

"Clermont a une identité forte" : plongée au coeur du processus de création du maillot de l'ASM

[...]

 

Je pense pas que ça leur ait pris 1 an 1/2 pour copier/coller le maillot d'entrainement de la saison dernière

https://boutique.asm.../71-couleur-jau

[OliveR]

@Babé : je joints à ton com la photo d'un maillot Kappa qui n'a jamais officiellement existé...  
 
Maillot Kappa.png

Merci. Et heureusement quil na jamais existé ! Ces énormes logos sont abomiffreux.

[ZACH]

 

"Clermont a une identité forte" : plongée au coeur du processus de création du maillot de l'ASM

L’ASM Clermont a dévoilé hier ses nouveaux maillots pour la saison à venir. Un processus de création qui a débuté il y a an et demi avec l’équipementier italien Macron. Comment sont imaginés les futurs équipements du club auvergnat ? Explications.

En cette fin de mois de juillet, l’effervescence est de mise dans les bureaux du stade Marcel-Michelin. Alors que l’équipe marketing s’apprête à annoncer les nouveaux maillots de l’ASM Clermont pour la saison à venir, ce sont déjà les tuniques 2026-2027 qui occupent tous les esprits. Le monde du rugby professionnel est devenu tellement frénétique que tout doit être anticipé bien en amont. Il s’agit en effet de ne pas se tromper, car le maillot demeure l’une des principales vitrines du club. Ces fameuses couleurs « jaune et bleu » que le peuple de la Yellow Army attend avec impatience chaque été.

Le processus de création se veut donc pointilleux, et les échanges avec Bologne sont très réguliers. C’est en effet ici, en Italie, dans la région d’Émilie-Romagne, que la marque Macron a implanté son campus d’innovation en 2020, année où l’équipementier italien a débuté sa collaboration avec l’ASM Clermont. Un partenariat qui se poursuivra jusqu’en 2030. Pour la marque italienne, cette signature symbolise sa montée en puissance dans le monde du ballon ovale.

 

« Pour Macron, l’ASM Clermont représente bien plus qu’un simple club partenaire, lâche le responsable des relations publiques Alessandro Ginelli. C’est un symbole d’excellence, de tradition et de passion sportive. Collaborer avec un club aussi profondément ancré au cœur du rugby français nous permet d’exprimer au mieux notre vision d’un design axé sur la performance. Clermont est un club à l’identité forte, riche d’une histoire et porté par un public exceptionnel. »

 

Un discours pouvant paraître un brin convenu, mais qui se comprend parfaitement lorsqu’on jette un coup d’œil à la page Instagram de la marque. Avec les Saints de Northampton ou les Sale Sharks, l’ASM est l’une des principales vitrines du secteur rugby pour Macron (aux côtés des équipes nationales d’Écosse et du pays de Galles). Pour autant, le processus de création reste le même.

Des échanges réguliers entre Bologne et Clermont-Ferrand

« Nous offrons à tous les clubs partenaires la possibilité de partir d’une page blanche dès la phase de conception. La création de nouvelles tenues est un processus partagé, initié conjointement avec le club et développé grâce à un dialogue permanent tout au long de l’année. Dans un premier temps, les clubs sont invités au Campus Macron de Bologne, siège de l’entreprise, pour un échange direct d’idées créatives et d’inspirations. Sur la base de ces contributions, le « Centre de style » Macron élabore une première proposition, qui est ensuite peaufinée grâce à un cycle de retours d’expérience jusqu’à la version finale et à la phase d’industrialisation », détaille Alessandro Ginelli.

À 800 kilomètres de là, dans les bureaux administratifs du stade Marcel-Michelin, les équipes marketing planchent sur les retours effectués par la marque italienne. Autour du président Jean-Claude Pats et de la directrice des opérations commerciales et de la marque, Justine Dahan, un petit comité échange et débat. La communication et le partenariat sont également associés à ces débriefings. Au sein du club auvergnat, on ne veut pas déroger au sacro-saint « jaune et bleu », véritable identité du microcosme clermontois.

 

À l’issue d’un premier brief avec Macron, la marque envoie quatre ou cinq propositions par maillot (« home », « away » et « third »). Tout sauf une mince affaire… « Il y a une véritable différence entre designer un maillot et faire du marketing, remarque Justine Dahan. Il faut qu’il y ait une histoire derrière chaque symbole. Ici, la Yellow Army est très attachée au jaune et bleu. C’est toujours complexe, car il faut composer avec les goûts et les couleurs de chacun. Mais la priorité reste de respecter certaines idées directrices : il faut que ça plaise aux supporters, que ça plaise aux partenaires et que cela respecte les valeurs de l’ASM. Compte tenu de tout cela et des contraintes que nous avons par ailleurs, on ne peut pas sortir des choses extrêmement novatrices. »

Un design dirigé par les contraintes

La nouvelle mouture sortie ce jeudi se veut effectivement plutôt sobre : beaucoup de jaune avec quelques liserés bleus. Mais comme l’a rappelé Justine Dahan, les contraintes sont nombreuses et peuvent parfois constituer un frein aux idées créatrices.

Par exemple, la Ligue nationale de rugby ne raisonne pas en termes de couleurs, mais impose simplement aux clubs d’avoir une tunique claire et une autre foncée. Cela a une incidence dans le choix du design, car une grande majorité des formations du Top 14 possède un template foncé comme première tenue. D’où la dominante de jaune cette saison concernant le maillot domicile, le club souhaitant le porter le plus souvent possible.

« Un maillot qui va être jaune avec juste un peu de bleu peut être considéré comme foncé, alors que nous, on le verrait plutôt comme clair, décrit Justine Dahan. Quand on évolue à l’extérieur, on ne choisit pas le maillot avec lequel nous jouons. Comme nous souhaitons porter la plupart du temps nos couleurs traditionnelles, nous avons opté pour cette dominante de jaune. Pour nous, c’est important que l’équipe puisse le porter le plus possible. Plus l’équipe le met pour jouer, plus les supporters auront envie de l’avoir. »

Joueurs et staff plus regardant sur le confort

Christophe Urios, le staff et les joueurs ont-ils un droit de regard sur le maillot ? Sur le design à proprement parler, non. En revanche, des indications sur le confort sont données, notamment concernant le textile utilisé pour les matchs.

 

« Par expérience, je sais qu’il ne faut jamais insérer un col avec boutons sur les maillots. De même que les cols en “V” : ça ne plaît pas à tout le monde, en termes de sensations notamment, puisque cela s’arrache facilement. Sur les vêtements d’avant et après-match, joueurs et staff veulent pouvoir être confortables lors des trajets en bus. Cela a une incidence dans la matière choisie et sur la coupe. »

L’expérience, Justine Dahan en possède effectivement en ce qui concerne le marketing rugby. Avant de travailler pour l’ASM Clermont, elle évoluait au Stade Toulousain. Si Nike offrait des possibilités de vente supérieures dues à la notoriété de la virgule, l’équipementier italien du club auvergnat est en revanche plus flexible concernant les discussions. « Nike, c’est une énorme machine. Ce n’est pas plus difficile ou plus facile de travailler, c’est juste différent. Il y a plus de proximité avec Macron. On se connaît, on s’envoie des messages sur WhatsApp. En revanche, les process sont les mêmes. On travaille avec un an et demi d’avance et le ping-pong au niveau de la création demeure. »

Reste qu’au final, ce sont bien les résultats sportifs qui décident du succès commercial d’un maillot. La tunique 2010 de l’ASM n’était pas fondamentalement différente de celle dévoilée jeudi. Pourtant, tout le monde s’en souvient encore du côté de la place de Jaude. 

 

Le démarche globale est très Pro et prend bien en compte tous les paramètres à la création du maillot.

C’est là que l’on voit le redressement du club, qui pilote son business.

Avant, OTAGO faisait également de façon pro car c’était leur métier.

Attention à la gestion des stocks car c’est toujours difficile de trouver le bon équilibre entre les ruptures de stock et les invendus qui plombent la marge 

Pour finir, le choix du « full » jaune était à mon sens primordial car on est jaunard et pas bariolé.

[Parigot_Paris]

Et l atelier « boire du Capri Sun sans tordre le bec ». Si nos joueurs survivent à ça, on pourrait battre Montauban.

[Make ASM Great Again]

Capri, c'est fini...

[Babé03]

"Il y a tout un narratif autour" : à l'ASM Clermont, une stratégie marketing plus poussée sur les autres maillots La saison dernière, l’ASM Clermont a vendu 6.000 tuniques. Plus conventionnel sur son maillot domicile, le club essaie depuis quelques saisons d’améliorer son merchandising sur ses autres tenues de match.

L’ASM Clermont ne vendra jamais autant de maillots que le PSG. Après la victoire en finale de la Ligue des champions en mai dernier, le président parisien Nasser Al-Khelaïfi avait annoncé avoir écoulé cinq millions d’unités en trois heures. Aucun club de rugby ne pourra d’ailleurs jamais rivaliser avec la puissance du ballon rond.

Aujourd’hui, la partie merchandising d’une équipe de Top 14 ne représente que 7 % de son budget. Contrairement au football, les designs de maillots restent beaucoup plus conservateurs dans le rugby. Il y a une explication à cela.

« Le maillot en lui-même ne rapporte pas un gros revenu aux clubs, remarque Jérôme Boissel, enseignant-chercheur en sciences de gestion, spécialisé en marketing du sport. Ceci dit, on constate une progression de 9 millions d’euros puisque les budgets du Top 14 ont évolué. Symboliquement, il y a tout un narratif autour des maillots. Les joueurs vont et viennent, les entraîneurs vont et viennent, les dirigeants vont et viennent. Finalement, la seule chose à laquelle les supporters peuvent se rattacher, ce sont les couleurs d’un club. »

Développer les autres gammes

C’est effectivement la direction prise par l’ASM Clermont : conserver à tout prix son identité « jaune et bleu ». Pour plus de créativité et d’audace stylistique, le club auvergnat mise depuis quelques saisons sur ses secondes tuniques, comme le fameux maillot « lave » de la saison dernière, utilisé en Coupe d’Europe. Sans trop trahir de secrets, ce sera encore le cas cette saison avec des choix bien plus audacieux pour les « away » et « third ».

« Concernant le maillot domicile, on a pris le parti : “c’est le jaune à la maison”. Pour moi, il n’y a pas beaucoup de marketing derrière. La stratégie va plus être basée sur le “away” et le “third”. C’est du vrai marketing. Cela correspond à une vraie prise de conscience : il faut développer les recettes de merchandising. Le maillot domicile correspond aux attentes du 16e homme, aux abonnés qui sont au club depuis des années. En revanche, pour celles et ceux qui veulent faire un beau cadeau à leurs proches, on développe d’autres gammes. En football, on arrive à quatre ou cinq maillots par club. Ce n’est vraiment pas idiot et c’est une stratégie que l’on retrouve dans d’autres clubs. » 

 

 

Un article pour BB...  

[Codorplusàvie]

"Il y a tout un narratif autour" : à l'ASM Clermont, une stratégie marketing plus poussée sur les autres maillots La saison dernière, lASM Clermont a vendu 6.000 tuniques. Plus conventionnel sur son maillot domicile, le club essaie depuis quelques saisons daméliorer son merchandising sur ses autres tenues de match.
LASM Clermont ne vendra jamais autant de maillots que le PSG. Après la victoire en finale de la Ligue des champions en mai dernier, le président parisien Nasser Al-Khelaïfi avait annoncé avoir écoulé cinq millions dunités en trois heures. Aucun club de rugby ne pourra dailleurs jamais rivaliser avec la puissance du ballon rond.
Aujourdhui, la partie merchandising dune équipe de Top 14 ne représente que 7 % de son budget. Contrairement au football, les designs de maillots restent beaucoup plus conservateurs dans le rugby. Il y a une explication à cela.
« Le maillot en lui-même ne rapporte pas un gros revenu aux clubs, remarque Jérôme Boissel, enseignant-chercheur en sciences de gestion, spécialisé en marketing du sport. Ceci dit, on constate une progression de 9 millions deuros puisque les budgets du Top 14 ont évolué. Symboliquement, il y a tout un narratif autour des maillots. Les joueurs vont et viennent, les entraîneurs vont et viennent, les dirigeants vont et viennent. Finalement, la seule chose à laquelle les supporters peuvent se rattacher, ce sont les couleurs dun club. »
Développer les autres gammes
Cest effectivement la direction prise par lASM Clermont : conserver à tout prix son identité « jaune et bleu ». Pour plus de créativité et daudace stylistique, le club auvergnat mise depuis quelques saisons sur ses secondes tuniques, comme le fameux maillot « lave » de la saison dernière, utilisé en Coupe dEurope. Sans trop trahir de secrets, ce sera encore le cas cette saison avec des choix bien plus audacieux pour les « away » et « third ».
« Concernant le maillot domicile, on a pris le parti : cest le jaune à la maison. Pour moi, il ny a pas beaucoup de marketing derrière. La stratégie va plus être basée sur le away et le third. Cest du vrai marketing. Cela correspond à une vraie prise de conscience : il faut développer les recettes de merchandising. Le maillot domicile correspond aux attentes du 16e homme, aux abonnés qui sont au club depuis des années. En revanche, pour celles et ceux qui veulent faire un beau cadeau à leurs proches, on développe dautres gammes. En football, on arrive à quatre ou cinq maillots par club. Ce nest vraiment pas idiot et cest une stratégie que lon retrouve dans dautres clubs. » 
 
 
Un article pour BB...  

Je viens de commanditer l'explosion de son antenne relais (2G), si tu déposes quelques articles d'ici à ce qu'elle soit réparée (environ 15 jours), il y a de grandes chances qu'il ne lise pas cet article.
Il en va de son bien être.

[Bougnat et Breton]

Je viens de commanditer l'explosion de son antenne relais (2G), si tu déposes quelques articles d'ici à ce qu'elle soit réparée (environ 15 jours), il y a de grandes chances qu'il ne lise pas cet article.
Il en va de son bien être.

Même pas , puisqu'il s'agit d'une 2G intermittente qui sans aucun attentat ou malversations décide d'elle même une mise eu repos, il parait que c'est le summum de la technologie de communication 

 

Mais comme de toute façon il n'y a qu'environ 10 utilisateurs réguliers sur 200 habitants ce n'est pas de nature à provoquer une révolution 

[Buckaroo]

"Pour moi, il n’y a pas beaucoup de marketing derrière. La stratégie va plus être basée sur le “away” et le “third”. C’est du vrai marketing. Cela correspond à une vraie prise de conscience : il faut développer les recettes de merchandising."

 

Ridicule.

Parents, osez l'avortement post partum.

[Codorplusàvie]

Même pas , puisqu'il s'agit d'une 2G intermittente qui sans aucun attentat ou malversations décide d'elle même une mise eu repos, il parait que c'est le summum de la technologie de communication   
 
Mais comme de toute façon il n'y a qu'environ 10 utilisateurs réguliers sur 200 habitants ce n'est pas de nature à provoquer une révolution   

Mince, je me suis fais arnaquer.
Donc plan B...
Création de lunettes à correction automatique d'anglicisme inutile.

[Alex chocolatines]

 

 

 

Un article pour BB...  

ça vient de La Montagne ? 

Y a un mec qui lit le fofo et qui veut faire dégoupiller le BB, j'vois que ça