Paris-Montauban, match importantissime pour le maintien.
Mr Fernand en sera
Posted 22 August 2025 - 10:41 AM
Paris-Montauban, match importantissime pour le maintien.
Mr Fernand en sera
Posted 22 August 2025 - 11:19 AM
Posted 22 August 2025 - 12:12 PM
Paris-Montauban, match importantissime pour le maintien.
Bon, ça va on le saura !
Posted 23 August 2025 - 09:41 AM
Posted 01 September 2025 - 09:58 AM
Quoi le maintien ? De quoi les deux cancres ?
Un choc de TITANS, oui ! Un moment clé, que dis-je, un TOURNANT du championnat. La preuve ? Le vainqueur sera PREMIER au classement !
Pendant une demi-heure environ. OOoooooooh !
Posted 01 September 2025 - 10:34 AM
le Stade Français en lever de rideau .......
Posted 01 September 2025 - 10:39 AM
le Stade Français en lever de rideau .......
![]()
Va donc, hé, snob !
Posted 03 September 2025 - 20:18 PM
À deux jours de la reprise du championnat, de nombreux joueurs vont découvrir le plus haut échelon national et cinq d’entre eux pourraient bien être se révéler en Top 14 cette saison
Quand un joueur débarque en France en provenance de Nouvelle-Zélande, c’est toujours une attraction. Et après cinq années passées au pays de la fougère argentée, Patrick Tuifua (21 ans) a fait le choix de rejoindre Toulon pour toucher, au plus vite, au très haut niveau. Auteur de prestations remarquées avec l’équipe de France U20 en 2024, Tuifua a le physique (1,91 m et 113 kg) pour se faire une place en Top 14. Et s’il traîne une blessure au genou qui devrait le priver du début de saison, son entraîneur, Pierre Mignoni, n’a pas caché ses attentes à son sujet dans L’Équipe : « On voulait absolument qu’il vienne. C’est un joueur qui est capable de casser les défenses, qui est à l’aise ballon en main, avec un gros potentiel pour son âge. Je pense que le championnat français est fait pour lui. »
Noah Nene au Stade FrançaisC’était l’attraction en Pro D2 l’an dernier et il va maintenant devoir confirmer à l’échelon supérieur. Barré par la concurrence à Paris l’an dernier, Noah Nene s’est révélé à l’US Dax, notamment avec son essai d’anthologie lors du derby landais contre le Stade Montois. « Physiquement, c’est un animal. Il a un bas du corps très costaud. Il va très vite sur ses premiers appuis. Il est capable de garder cette vitesse longtemps en faisant des pointes à 36 km/h », expliquait Jeff Dubois à son propos dans nos colonnes, mentionnant également « ses mains » et son « jeu au pied ». À 20 ans, le principal concerné, déjà appelé par Fabien Galthié en janvier dernier, est lui plus qu’ambitieux : « Je veux être le meilleur, tout simplement ».
À bientôt 25 ans, Ugo Seunes n’a jamais foulé une pelouse de Top 14. Pourtant, c’est sur lui que le Racing 92 a misé pour couvrir le poste d’ouvreur, laissé vacant par les départs d’Owen Farrell, Tristan Tedder et Dan Lancaster. Après trois saisons à Blagnac, le demi d’ouverture a illuminé la Pro D2 de son talent avec Aurillac. Audacieux en attaque, précis dans son jeu au pied, Seunes, avec son petit gabarit (1,82 m, 75 kg), aime jouer à l’instinct. Au Racing, il sera associé à l’ancien briviste Léo Carbonneau (20 ans), qu’il faudra lui aussi surveiller, pour former une charnière offensive.
Gabin Lorre à Lyon30 essais sur les deux dernières saisons : c’est le bilan de Gabin Lorre avec Béziers. En s’attachant les services de l’arrière de 23 ans, Lyon s’est offert une référence de Pro D2 et espère le voir prendre la succession de Davit Niniashvili parti à La Rochelle. Suivi par le staff du XV de France, Gabin Lorre n’est pas qu’un simple finisseur. Sa longueur de jeu au pied, sa pointe de vitesse et sa capacité à créer des différences ballon en main en font un profil complet, capable de faire basculer une rencontre mais aussi de soulager son équipe dans la gestion du terrain.
Il ne s’imaginait sûrement pas entrer dans le grand bain aussi vite, mais avec la blessure de Maxime Lucu, Valentin Hutteau pourrait bien avoir un rôle à jouer dans le début de saison de l’UBB. La marche sera haute pour le demi de mêlée de 18 ans, qui n’a évolué qu’en Nationale jusqu’ici avec Massy, mais son immense potentiel parle en sa faveur. À son avantage lors de la préparation, capable d’exploits personnels par sa vitesse ou ses appuis et bon animateur, « le petit Antoine Dupont », comme il est surnommé, va rapidement devoir exploiter son potentiel.
Posted 04 September 2025 - 05:57 AM
Ceux qui nous l'emballent ont beau le vendre depuis des années comme « le meilleur Championnat du monde », le Top 14 a des acteurs plus humbles qui, réunis lundi à Paris, à l'Institut du monde arabe, préféraient le qualifier de « plus exigeant », pour le Palois Théo Attissogbe, « très rude », selon le Toulonnais Gabin Villière, « tellement compliqué », pour le Bayonnais Joris Segonds.
C'est déjà bien assez et le seul superlatif absolu qu'on lui accorderait sans hésiter un instant, c'est celui de « plus long du monde », parce que le Championnat s'apprête à vous accompagner sur 29 week-ends dispatchés sur toute une année scolaire, à couvrir un cycle tout entier de saisons, même, de l'été déclinant aux beaux jours renaissants.
Pour tous les acteurs de l'élite du rugby, comme pour ses spectateurs, la lumière du Brennus, qui ne se dévoilera que le 27 juin prochain, est encore si ténue qu'il vaut mieux éviter de déjà vouloir la toucher du doigt. Pour maintenir en éveil l'intérêt de tout ce petit monde ovale, il faut savoir rythmer le feuilleton du Top 14 de chaque petit épisode qu'il vous proposera, et il y aura toujours un moment pour s'enflammer pour ce jeune ailier qui vient de claquer un triplé, pour s'enthousiasmer pour cette nouvelle combinaison en touche qui se répand dans tous les alignements, pour se pencher sur le parcours du promu surprise, Montauban, pour compatir avec le premier entraîneur remercié, pour asséner sans broncher qu'évidemment, avec ce recrutement, tel club ne pouvait éviter la débandade.
Tenez, vous pouvez même compter sur la capacité sans égale du rugby à compliquer ses règles pour vous offrir dès ce week-end un premier sujet de polémique en or, puisque le carton rouge de vingt minutes s'est insinué jusque dans notre Championnat, sur l'insistance de World Rugby, et le Top 14, qui aime arranger ce genre de nouveauté à sa sauce, a décidé d'incarner cette sanction par une biscotte orange.
Prometteur au possible, pour ergoter des heures sur la couleur d'un petit bout de rectangle, voire, pour les plus ambitieux, chicaner sur le sens philosophique qu'on peut donner à une punition, l'exclusion définitive, atténuée par ce nuancier à vous donner l'impression d'être plongé dans l'étal d'agrumes de votre primeur.
Lundi, dans le musée parisien, animé aussi par une exposition sur Cléopâtre, aucun joueur ne s'est pressé pour condamner d'emblée cette nouveauté. Ils étaient même plus prompts à prédire que le Top 14 avait de bonnes chances de faire l'objet d'un nouveau carton Rouge et Noir. Car Toulouse, après trois titres consécutifs, a tous les atours pour se maintenir au sommet de la pyramide du rugby hexagonal.
On peut légitimement imaginer Bordeaux capable de l'en déloger, les Girondins ont été le meilleur rival des Haut-Garonnais ces deux dernières années et, s'ils se sont inclinés deux fois en finale du Top 14, ils ont quand même réussi à chasser le Stade de son autre royaume, la Coupe des champions, en l'éliminant en demi-finales en mai dernier.
À écouter Quentin Lespiaucq, pourtant, « Toulouse a un temps d'avance sur les autres », même sur l'UBB, et le talonneur rochelais n'était pas le seul à faire entendre ce son de cloche à l'IMA.
« C'est forcément une statistique (les quatre titres consécutifs de la génération 1994-1997) dont on a connaissance. Je ne dirais pas que c'est notre maître mot ou notre fil rouge. C'est plus une petite remarque bienveillante pour nous dire qu'on peut quand même faire de très belles choses. »
Paul Costes, centre du Stade Toulousain
Pourquoi ? Mais, parce que Toulouse !, est-on tenté de détourner. Voilà un club qui a raflé cinq des sept derniers Brennus, avec de telles certitudes que même une turbulence comme l'affaire Jaminet ne le fait pas dévier de sa trajectoire, avec un effectif si pharaonique que ses meilleures recrues cette année seront Antoine Dupont et Peato Mauvaka, blessés sur les matches à enjeu la saison dernière.
Les hommes d'Ugo Mola son tellement habitués à mater les ambitieux qui essayent de les titiller, Bordeaux aujourd'hui, La Rochelle hier, qu'ils ont fait de leur reflet leur meilleur concurrent. Parce qu'ils tirent une partie de leur motivation de l'envie de surpasser les générations précédentes de leur propre club, et quoi de mieux que les quatre titres consécutifs de la génération 1994-1997 pour les aiguillonner ? « C'est forcément une statistique dont on a connaissance, admettait Paul Costes. Je ne dirais pas que c'est notre maître mot ou notre fil rouge. Mais tout le monde est au courant et le staff nous le rappelle. C'est plus une petite remarque bienveillante pour nous dire qu'on peut quand même faire de très belles choses. »
Bordeaux vient après dans la hiérarchie et on ne s'en offusquera pas en Gironde. L'UBB continue de bâtir patiemment, elle est passée du statut d'outsider à celui de prétendant légitime, comme le répète son manager Yannick Bru. Son effectif s'est encore étoffé ces derniers mois, tout en gardant ses atouts offensifs, mais ses premiers pas sans quelques cadres importants (Lucu et Moefana blessés) diront si le club est en train de franchir l'un des derniers paliers qui le séparent de Toulouse, savoir performer malgré les coups durs.
Cette usure des années à rallonge rebat fréquemment les cartes en Top 14, et en nourrit l'incertitude. On ne peut pas regarder sans curiosité La Rochelle qui a injecté autant de talent que d'allant dans sa ligne de trois-quarts avec les arrivées de Nolann Le Garrec et Davit Niniashvili, on ne peut pas ignorer Toulon, regonflé par sa demi-finale en juin dernier, ni cantonner Bayonne au rang de simple surprise de la saison dernière.
Et que vaut le Racing déstarifié ? Où veut aller ce Montpellier qui avance sans bruit ? Quelle revanche veulent prendre Paris ou Lyon ? On énumère (quasiment) tout le monde, mais comme le pronostique Attissogbe, dans le Top 14, « de la 13e, voire 14e place, à la 3-4 e place, il peut tout se passer. » Et c'est bien pour ça que, si longs soient ses dix mois de compétition, on ne le lâchera pas.
Posted 04 September 2025 - 08:06 AM
Posted 04 September 2025 - 08:27 AM
Je ne vois qu'une seule victoire à l'extérieur, celle du vice-champion de France toulousain au Michelin.
Je ne vois qu'un coupable au vol du titre de 1993....le Castres Olympique!
Posted 04 September 2025 - 08:33 AM
N'empêche ! Si on gagne on sera en tête du championnat pour au moinsse 80 minutes !
Posted 04 September 2025 - 08:45 AM
N'empêche ! Si on gagne on sera en tête du championnat pour au moinsse 80 minutes !
M'en parle pas. Nous on va être sortis des deux tout le week end.
Posted 04 September 2025 - 10:44 AM
A JAMAIS LES PREMIERS !
Posted 04 September 2025 - 15:54 PM
A JAMAIS LES PREMIERS !
à vous faire rouster par un promu le premier jour ?
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