413 réponses à ce sujet

[Alex chocolatines]

 

Gailleton et Attisogbe n'avaient pas fait des étincelles l'an passé (39 à 7).

 

Respecter une équipe qui monte, ça n'est pas en faire un ogre. 

Si les cybers commencent à causer comme notre vénérable Guytou, où va-t-on ? 

[Néophyte]

Si les cybers commencent à causer comme notre vénérable Guytou, où va-t-on ? 

 

On aime se faire trembler des genoux, par ici. 

[L'Eclair]

On va pouvoir revoir bibi biziwu, et voir si comme je le pensais à l'epoque de son départ, c'était une perte pour nous.
Hâte de voir ça

2 très bons matchs. Il est parti pour être titu cette saison

[darius63]

J' ai peur que leur ligne de 3/4 nous fasse très mal.
Mais bon la peur n évite pas le danger.

 

Ils ont sans doute avec Bordeaux et Toulouse la meilleure ligne de 3/4, par contre devant c'est autre chose surtout que Montoya n'est pas encore là

[P'tit Jaune (et bleu)]

On ne peut pas dire quon domine à outrance devant non plus : du 50/50 sur ce secteur pour moi

[Alligator427]

Ouais bon.....bof


Pas sûr...

[darius63]

On ne peut pas dire quon domine à outrance devant non plus : du 50/50 sur ce secteur pour moi

 

Pau c'est pas Toulouse ou la Rochelle devant

[frednirom]

j'ai peur de l'équipe qui a éclaté le CO chez eux.

[zeguest]

La section a fait ses deux gros matchs habituels de début de saison. Maintenant elle va se prendre une rouste au Michelin et rentrer en crise. Piqueronnie va se faire dézinguer par tous les supporters, les joueurs vont perdre confiance, Bayrou va intervenir dans le vestiaire, ce sera encore plus le zbeul, Total va en avoir marre, la section luttera pour la descente jusquà la dernière journée, perdra le barrage, on fait signer Gailleton. Tout va bien.

[el landeno]

Top 14. Plusieurs absences de marque chez les Palois, avant d’aller à Clermont

Une semaine après la victoire face au Stade Français, Jack Maddocks attend un heureux événement. © Crédit photo : Quentin Top / SO

Par G. L.

Publié le 18/09/2025 à 16h16.

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Pau devra notamment se passer des services d’Auradou, de Maddocks, de Maximin et de Robson, ce samedi (14h30) au Michelin

 

La seconde victoire consécutive des Palois, la semaine passée face au Stade Français (34-10), a laissé des traces. Ce samedi à Clermont, plusieurs acteurs majeurs du bon début de saison béarnais manqueront à l’appel. Victime d’une fracture du péroné face à Paris, Dans Robson rejoint l’infirmerie pour 6 semaines. Quant à Maximin (commotion), Auradou (épaule), et Maddocks, dont la compagne attend un heureux événement, leurs absences ne devrait pas s’étirer au-delà de cette troisième journée.

Ils rejoignent une infirmerie où figurent déjà El Bibouji (entorse cheville), Jolmes (ischios), Laporte (épaule), Manu (quadriceps), Zabala (fracture pouce) et Tlili (épaule).

Rémi Picquette (côte cassée), Aymeric Luc (commotion) et Lucas Rey (quadriceps) sont en revanche sur le retour et en mesure de postuler.

 

[l'exil]

Ah merde, ni Picquette ni Jolmes, ils finiront peut-être à 15.

[Codorplusàvie]

Ah merde, ni Picquette ni Jolmes, ils finiront peut-être à 15.

Non Picquette pustule.

[Alligator427]

Il est 22h38

[devangeli]

J'espère que Gailleton ne va pas faire un trop gros match dans l'objectif de se faire remarquer et recruter par lASM.

[el landeno]

Premières lignes, la chronique de Pierre Triep-Capdeville. « Soldats roses et Armée rouge »

Pierre Triep-Capdeville. © Crédit photo : David Le Deodic / SUD OUEST

Publié le 18/09/2025 à 18h29.

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Comme chaque semaine de Top 14, et avant le match de Pau à Clermont (samedi, 14 h 30), l’ex-pilier de la Section Paloise nous gratifie d’un billet bien senti

 

Avant le coup d’envoi, je l’espérais, et au coup de sifflet, j’y croyais encore. Mais tout ça n’était que le fruit du hasard du calendrier. Depuis que François Moncla s’est rangé des vélos, y’a plus moyen de faire le lien entre la Section et la fête de l’Humanité.

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‘’Les cosaques attaquent ! ‘’ il y a longtemps que l’on entend plus cette menace, ils se sont tous perdus dans les salary cap, se sont noyés dans la masse salariale. Mais qui fait des vers sans le vouloir est un âne sans le savoir, et samedi, on a entendu la Section braire jusqu’au fond de la plaine de Nay. Parce qu’en balayant le Stade, ils ont, sans le vouloir et sans le savoir, réalisé le rêve de tout bolchevique qui se respecte : faire payer les riches ! La taxe Zucman, à la sauce béarnaise : on vous prend tout et on ne vous laisse rien. Même Krasucki et Georges Marchais n’auraient pas osé.

La révolution est en marche, montez quelques barricades dans l’en-but, moi, je vais rester encore un petit peu en ballon mort. Je sortirais Che Guevara du coffre quand je serais sûr d’avoir gagné. Je reste prudent et lucide. Prudent, parce que la saison est longue, lucide, parce que je sais qu’en Top 14, personne ne vit sous le seuil de pauvreté, et que les révolutions ne sont que de palais.

Mais que voulez-vous, je nous préfère tout petit, pour mieux nous supporter, et plutôt que Bernard Hinault, je choisis Poulidor. Même si selon certains arbitres anglophones, j’étais souvent de travers, j’ai toujours poussé à gauche, et une fois sorti des vestiaires, de plus en plus seul, je continue à le faire.

Mépris de classe

Mais les temps changent et je vais devoir faire comme eux. Pas à droite et de biais, non, pas quand même, mais peut-être au talon, au milieu, tranquille, un coup vers la droite, et le coup d’après vers la gauche. Parce que vu la conjoncture, vu les résultats, je crains que l’on ne soit plus très longtemps encore le Petit Poucet que l’on veut prendre dans ses bras. De là à nous faire passer pour des ogres, je vous l’ai dit, j’attends un peu, mais gagnons au Michelin, et j’aurais vite fait de mépriser le fond du classement, les gueux et les sans dents. Retourner ma veste ne me dérange pas, et tant que l’envers reste vert, on peut bien montrer les coutures et les ourlets. Mais j’ai vu les budgets je vais encore la laisser à l’endroit, et je vais pousser dans l’axe. Si l’ISF renaît après les cendres, restez ici, ne vous cassez pas en Suisse ou en Andorre, on sera exonéré. Neuvième budget, je ressors de ma boîte, aux armes citoyens, ça en fait 8 à faire payer, sans remords ni pitié. Pour les autres, on dira qu’on n’a pas fait exprès.

Mais la réalité me rattrape, j’arrête là mes fantasmes révolutionnaires de gauchiste, la lutte des classes, c’est pas ici qu’on en parle. On mange nous aussi dans des cuillères en argent, et Elf Aquitaine est loin d’être une coopérative ouvrière. Mais ça me va, l’argent n’a pas d’odeur dans les stades, il sent moins fort que les merguez et la bière chaude. Qu’il coule à flots, à en inonder la pelouse et noyer les premiers rangs, puisque c’est lui, le seul nerf de la guerre.

Mais samedi, devant ma télé, quand j’ai vu défiler le président du Stade Français encadré par les grosses caisses de la Honh’Armada, je sais pas pourquoi, j’ai pensé à Louis XVI, et j’ai dansé la Carmagnole. Mais ça, je n’en parle pas, sinon, à force de la retourner, ma veste, je vais finir par la déchirer.