413 réponses à ce sujet

[xdderf63]

Je croyais que c'était officiel 

 

Annoncé partant en fin de saison 2026

Seulement l'article qui a indiqué un potentiel départ dit que les Warathas en ont besoin à Noël pour préparer la saison qui commence en Fevrier... 

[julien]

On a un talon espoir qui tient la route ?

pas pour faire une rotation régulière à un poste qui tourne à 3 pros dans tous les clubs.

Belkessa c'est encore trop tendre.

[RCV06]

 

Annoncé partant en fin de saison 2026

Seulement l'article qui a indiqué un potentiel départ dit que les Warathas en ont besoin à Noël pour préparer la saison qui commence en Fevrier... 

 

Je n avais vu que ça 
 

[xdderf63]

[Luernios]

Muarua et Hemery peuvent jouer dans la cage et en troisième ligne je pense que leur polyvalence peut expliquer l'absence de Tolofua

[julien]

 

C'est la compo de la saison dernière...  

[xdderf63]

 

C'est la compo de la saison dernière...  

 

 

Muarua et Hemery peuvent jouer dans la cage et en troisième ligne je pense que leur polyvalence peut expliquer l'absence de Tolofua

 

6+2 aurait été très bien 

Tix en 12 ou à l'aile si besoin 

[rugbyasm77]

Section : Attissogbe - Arfeuil, Gailleton, Brau-Boirie, Grandidier-Nkanang - (o) Simmonds, (m) Daubagna - Credoz, Isa, Zegueur - Capelli, Whitelock (cap) - Laclayat, Delhommel, Bibi-Biziwu

Finisseurs : Rey, Kaulashivili, Kpoku, Hewat, Gorgadze, Souverbie, Desperes, Tokolahi

[pims]

Cool pour Dessaigne !

[Silhouette]

C'est franchement pas ridicule, apres peut-etre un peu plus limite en terme de profondeur sur le banc ? Mais il faudra clairement pas les prendre trop de haut non plus..

[La Berthe]

C'est franchement pas ridicule, apres peut-etre un peu plus limite en terme de profondeur sur le banc ? Mais il faudra clairement pas les prendre trop de haut non plus..

Il ne faut pas les prendre de haut il faut juste leur MSLG

[jules71]

 

Annoncé partant en fin de saison 2026

Seulement l'article qui a indiqué un potentiel départ dit que les Warathas en ont besoin à Noël pour préparer la saison qui commence en Fevrier... 

a priori Fainga lui-même parle d'un départ en automne

[xdderf63]

a priori Fainga lui-même parle d'un départ en automne

 

Je n'ai pas vu passer l'info 

[julien]

a priori Fainga lui-même parle d'un départ en automne

 

Donc il nous faut un joueur à ce poste.

[el landeno]

De son « mal-être » au Racing à l’épanouissement à Pau : le rebond favorable de Thomas Laclayat

Thomas Laclayat, lors de la victoire à domicile face au Stade Français. © Crédit photo : Quentin Top

Par Georges Lannessans

Publié le 19/09/2025 à 17h00.

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Le « mal-être » provoqué par ses deux années au Racing s’est dissipé à la faveur d’un début de saison canon. À Pau, l’opération reconquête du pilier droit de 27 ans ne pouvait pas mieux démarrer

Les conclusions plus durables attendront, même si la tendance esquissée par les deux premières prestations de Thomas Laclayat sous le maillot palois est assez nette. En deux sorties officielles, caractérisées par une solide stabilité en mêlée (5 pénalités provoquées, aucune de concédée), le droitier a recouvré une confiance en phase avec ses performances. Celle-là même qui s’était étiolée au fil de ses deux ans en ciel et blanc.

« Je suis venu ici pour me relancer, car je n’avais pas un bon niveau au Racing », concède celui dont le contrat fut rompu à deux saisons de son échéance, pour mieux renouer avec les promesses de l’époque oyonnaxienne. « Ce que je n’ai pas su confirmer. Même si j’ai beaucoup joué, je n’ai pas retrouvé le niveau qui faisait ma force à Oyonnax. Je me sens à nouveau bien au quotidien. Ce qui était devenu impossible au Racing. » Le fruit d’une conjonction de facteurs défavorables. « Premier changement de club, loin de ma famille ; une vie parisienne pour moi assez spéciale ; des mauvais résultats entraînant une tension constante… Cette accumulation de petites choses était à la base de mon mal-être. »

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S’il aspire à s’affranchir de cette réputation de pilier de terroir, sensible aux charmes de la nature et à toutes les activités qui s’y rattachent, le cadre de vie béarnais, comme le projet palois, est bien plus propice à l’épanouissement du jeune père de famille. « Ce qui explique aussi mes performances sur le terrain, concède le pilier de 27 ans. Cela a aussi pesé dans la balance, surtout lorsqu’on est papa et futur papa. J’ai déjà expérimenté la cueillette, les cèpes, mais ce n’est pas évident. Personne ne me donne encore ses coins (rires). »

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L’attrait du cadre

Sur le terrain, le chemin est en revanche tout tracé pour celui qui, ce samedi à Clermont (14 h 30), enchaînera sa troisième titularisation en trois journées. « J’ai signé ici jusqu’en 2029 pour m’inscrire dans la durée. Et maintenant que j’ai une famille, j’estime que c’est un luxe de ne pas avoir à bouger tous les un ou deux ans. J’ai fait 10 ans à Oyonnax, et je trouve que c’est une belle philosophie de vouloir s’imposer, de marquer l’histoire d’un club. »

Surtout en étant aussi désiré. « Déjà, en partant d’Oyonnax pour le Racing, j’avais trois propositions sur la table avec celles de Clermont et de la Section. » Le lobbying au long cours de Sébastien Piqueronies auprès de son agent, la perspective de remplumer une mêlée souffreteuse, a fini par séduire l’avant le plus en vue du début de saison béarnais.

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Une ouverture avec les Bleus

Une exposition qui légitime la question de son retour en équipe de France (1 sélection, face au Fidji pour le 3e match de préparation à la Coupe du monde 2023), surtout après les blessures de Uini Atonio et Tevita Tatafu, forfaits pour la prochaine tournée d’automne. « Bien sûr que ça reste dans un coin de ma tête. Mais je ne veux pas me fixer de tels objectifs pour être déçu si je ne suis pas appelé. C’est un peu ce qui a fait mon échec au Racing, où mes six premiers mois sont bons. Mais je ne rejoins pas la sélection. Il y a un moment où tu te dis : je n’y arriverais jamais. Et c’est ce qui m’a fait marquer le pas. Je ne veux plus me prendre la tête avec ça. »

À choisir, Thomas Laclayat préfère épaissir cette réputation « de pilier solide sur les bases », doté « d’un centre de gravité très bas » toujours appréciable « pour pousser en mêlée où gratter des ballons ». Un profil dénué « d’un gabarit monstrueux pour renverser des mecs », mais « mobile », et « pénible à faire sauter sur les zones de ruck ».

La réputation qui le précède est aussi faite de cet essai de 50 mètres assorti d’une feinte de passe, contre Bayonne avec Oyonnax. « Une fulgurance à laquelle je n’aimerais pas qu’on me réduise. » À Pau, le droitier est en passe de prouver qu’il est bien plus que ça.