Ce sera Créteil, où lon sest bouffé le match tout seul lan passé, offrant la victoire aux franciliens par un trou dair de 10mn
J'aurais préféré Créteil
Ce sera dans le gymnase
Créteil pour 3 matchs dont le 1er en Octobre pour le Racing
Posté hier, 20:25
Ce sera Créteil, où lon sest bouffé le match tout seul lan passé, offrant la victoire aux franciliens par un trou dair de 10mn
Posté hier, 20:31
Posté hier, 20:32
La faute à Toulouse.Mea culpa, le club semble avoir confirmé lArena. Sortons les barbelés
On est 12eme et ça pourrait durer
Posté hier, 20:41
Ah ben dis donc, faut oser écrire ça quand même !!Triste première mi-temps, clairement on sest fait chier au stade. Pau dominateur notamment grâce au trou dair dans le centre du terrain et à des monté défensive en pointe par hamdaoui et autres.
Seconde mi-temps bien meilleur avec quelques actions avec offload bien inspirée.
Ps :
Plumer facteur X de léquipe, attaque de ligne, sous les ballons haut, jeu au pied, joue après contact 9/10.
Je regrette quand même le manque dambition dans le jeu plusieurs surnombre mais dans notre camp visiblement on a pas le droit de jouer à la main
Victoire 5 points on avance.
Posté hier, 20:46
Si la co-meilleure défense avant cette 3e journée a craqué dans sa globalité, sa fragilité sur les ballons portés incarne les premières vraies failles de cette Section nouvelle version
S’exposer à la puissance clermontoise sur ballons portés constitue une première erreur. De ce point de vue, Pau a d’abord donné trop de ballons pour se faire battre, en encaissant trois des sept essais sur ce qui reste le socle le plus stable des certitudes auvergnates, ce samedi au Michelin (50-27).
« Le problème n’est pas la défense des ballons portés, qui est le gros point fort clermontois, mais le nombre de fois où tu les défends, pointe le manager palois Sébastien Piqueronies. Aujourd’hui, il y en a eu trois fois trop. » Le premier pour entamer une course à handicap, dès la 3e minute. Pénaltouche, avantage, pénaltouche, avantage, pénaltouche, essai (7-0). Sans non plus se montrer particulièrement indisciplinés par ailleurs, les Béarnais ont fait gonfler leur total à 12 fautes.
La première de la seconde période a fini par accoucher du quatrième essai clermontois. Le deuxième sur maul. En accrochant le bras du sauteur, Zégueur a offert aux Asémistes une munition gagnante pour se (re)donner de l’air (27-20, 49e). Puis s’envoler, face à des Palois doublement coupables d’avoir écroulé la cocotte auvergnate près de leur ligne. Carton plein, en plus du jaune écopé par Zégueur sur l’action (36-20, 54e).
« Les ballons portés, c’est notre fonds de commerce, appuie Christophe Urios. Quand tu joues une équipe en confiance, qui court vite, il faut les attraper à d’autres endroits. Les mauls faisaient partie de cette stratégie, comme la prise de l’axe, le jeu direct. On était dans le projet de match. »
L’ombre d’AuradouPau en fut dérouté après une pause atteinte à seulement -5 (22-17). Si la Section s’est ensuite exposée à l’un des points les plus forts de l’armada clermontoise, c’est aussi et surtout en raison d’une touche dénuée de n° 4 de formation. Orpheline de ses deux spécialistes du poste (Jolmes et Auradou), elle a surtout souffert de l’absence de son international et leader de son alignement. De quoi étayer la thèse de cette Auradou-dépendance, qui a fait de la touche sectionniste l’une des plus efficientes de Top 14. Et même si Whitelock et Crédoz restent deux valeurs sûres dans ce secteur, Pau n’a jamais été en mesure de traiter le mal à la racine.
Une défaillance qui dénote d’une perte de vitesse globale sur le plan défensif. À l’image des erreurs individuelles (Brau-Boirie, Rey, Simmonds, Daubagna), des lenteurs béarnaises pour reconstituer leur ligne, d’un taux de réussite aux plaquages en chute libre (86 %, contre 96 % de moyenne sur les deux premières journées), et d’une mêlée dominée comme elle avait été dominante en ce début de championnat.
En dépit des débuts prometteurs d’Arfeuil (impliqué sur les deux premiers essais béarnais), de la constance d’un Attissogbe toujours un cran au-dessus, Pau n’a pas tenu sur la longueur, à l’image du 28-10 encaissé après le repos. Ce qui trahit peut-être aussi une forme de fatigue, au sein d’une équipe dont la moitié des membres furent titulaires au cours de ces trois premières journées (Simmonds, Grandidier, Brau-Boirie, Laclayat, Bibi-Biziwu, Delhommel, Whitelock).
Posté hier, 20:47
Ah ben dis donc, faut oser écrire ça quand même !!
On sest régalés en tribune aujourdhui et rarement nous navions vu du jeu de 3/4 comme ça depuis 3 ans ..
Une superbe après midi, on en redemande !!
Posté hier, 20:55
Avant et après le match, joueurs et membres du staff ont tous martelé qu’il n’y avait pas de pression à avoir pour cette rencontre face à Pau. Au vu du contexte, on a quand même envie de croire que lorsque la porte du vestiaire clermontois s’est ouverte pour que les joueurs pénètrent sur la pelouse, les intendants encore présents dans la pièce ont dû ressentir un curieux phénomène de dépressurisation.
Car avec zéro point au compteur avant la rencontre, face à une formation béarnaise en pleine confiance et alors que le club organisait une grande fête en l’honneur de ses 100 ans de présence dans l’élite, il y avait de quoi gamberger. Le tout, avec un paletot blanc sur le dos, en hommage à celui que portaient leurs aînés lors du tout premier exercice des Montferrandais en première division, lors de la saison 1925-1926.
"Il ne fallait pas qu’on se troue"« Il y avait quand même pas mal de mecs qui ont marqué l’histoire du club qui étaient présents au stade. Il ne fallait pas qu’on se troue, convenait finalement Thomas Ceyte. On s’en est d’ailleurs un peu servi dans notre causerie d’avant-match. Aujourd’hui, c’était les 100 ans. Mais si un jour le club fête ses 110 ou ses 120 ans, on pourra alors se souvenir qu’on a battu Pau avec le bonus offensif en ce jour spécial. »
Le deuxième ligne clermontois et ses partenaires n’ont donc pas gâché la fête. Mieux, ils y ont même ajouté encore un peu plus de folie en plantant sept essais et cinquante points à des Béarnais relégués au rang de « sparring-partners » selon les termes de leur entraîneur, Sébastien Piqueronies. Des mots qui semblent tout de même un peu forts au regard du scénario de cette rencontre.
Car après 49 minutes de jeu, l’ASM ne menait alors que de deux petits points (22-20) et souffrait de la vitesse adverse. En particulier de celle de l’arrière international, Théo Attissogbe, particulièrement inspiré dans ses relances, juste dans ses choix et dominant dans les airs.
Si tout n’a pas été parfait dans les rangs clermontois, notamment en défense avec quelques trous d’air regrettables, les hommes de Christophe Urios ont globalement livré un match sérieux. Pour cela, ils se sont appuyés sur une conquête dominante, que cela soit en mêlée fermée, en touche ou dans le secteur toujours réconfortant des groupés pénétrants.
Un réalisme froid« Les ballons portés, ça fait partie de notre fonds de commerce. Quand tu joues une équipe qui est en confiance, qui court plus vite que nous, derrière notamment, il faut bien les attraper à un endroit, souriait Christophe Urios au moment d’analyser ce match. Donc les mauls faisaient partie de notre stratégie, comme la prise de l’axe et le jeu direct. On a été dans le projet de match. »
L’autre explication de ce succès finalement large, c’est l’extrême réalisme dont on fait preuve les partenaires d’Harry Plummer. C’est bien simple, les six premières incursions clermontoises dans les 22 mètres palois se sont toutes soldées par des points : cinq essais et une pénalité. Au total, Clermont a pénétré à neuf reprises dans les 22 adverses, huit fois, il s’est récompensé au tableau d’affichage. Clinique.
Après deux sorties où elle méritait de prendre deux points de bonus défensifs, l’ASM a enfin su se payer. Surtout, elle a enfin lancé sa saison avant un déplacement qui sera intéressant à suivre au Racing. D’ailleurs, Christophe Urios a intimé ses hommes à respecter un sens de la fête mesuré, ce samedi soir…
Posté hier, 21:02
Il était comment le jeu des 3/4,il y a quatre et cinq ans ?
J'ai pas souvenance de sa flamboyante.
Il y a 5 ans quasiment jour pour jour
https://top14.lnr.fr...43-clermont-pau
Posté hier, 21:07
Au 7 c'est pratiquement que de la défense un contre un.
Au 7 99/100 quand tu casses le placage il y a essai derrière.
Posté hier, 21:10
C'est ça, tu es attiré par le porteur. Il corrige mais pas assez... Ça va venir (enfin, j'espère parce qu'en attaque, c'est pas mal du tout).
On va suivre ça
Posté hier, 21:19
Posté hier, 21:28
Posté hier, 21:56
Si on peut échanger Atissogbe contre Fall je signe des deux mains
Quel animation offensive je me suis régalé.
Les avants ont toujours cherché la petite passe pour contourner le mur palois et trouver les intervalles.
Plummer qui crée du jeu et attaque la ligne.
Jai adoré lassociation Fouyssac Darricarrere, ils se sont très bien trouver beaucoup de mouvement très positif.
Côte individuel Montagne Akhaladze Tixeront Jauneau la paire de centre très très bon.
Jai trouvé Hamdaoui très costaud sur les bases aussi , rassurant.
Et le banc grosse entrée de Hemery Bezy et Newsome
Posté hier, 21:57
Fall a été bon!
Alors les passes devant la défense oui, plummer oui, les mauls oui, mais on a pas été très bon offensivement : il y a beaucoup de travail.
j'ai l'impression qu'il va devoir en faire beaucoup pour être apprécié à sa juste valeur
Posté hier, 21:58
Fall a été bon!
Alors les passes devant la défense oui, plummer oui, les mauls oui, mais on a pas été très bon offensivement : il y a beaucoup de travail.
Vous confondez tous pas mauvais et bon
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