Pour l amitié entre le Parisien raffiné et le Toulousain qui se lave pas sous les bras !
c'est pas faux, la ola est interdite à toulouse
Posté 07 octobre 2025 - 17:54
Pour l amitié entre le Parisien raffiné et le Toulousain qui se lave pas sous les bras !
c'est pas faux, la ola est interdite à toulouse
Posté 07 octobre 2025 - 20:49
Posté 07 octobre 2025 - 22:15
Visiblement l'UBB envisage un déplacement claquettes-chaussettes contre la team cassoulet. Pas de LBB Jalibert Penaud ou Depoortere. Pas mal d'espoirs visiblement convoqués pour ce match.
Posté 08 octobre 2025 - 08:44
La Rochelle ! On peut même pas les regarder debout ! Assis, assis ! C'est la Rochelle ! ![]()
Posté 08 octobre 2025 - 08:58
La Rochelle ! On peut même pas les regarder debout ! Assis, assis ! C'est la Rochelle !
Tu as de la chance que je ne sois pas modo (c'est pas passé loin, mais je dérange...)
Posté 08 octobre 2025 - 11:40
Posté 08 octobre 2025 - 12:32
Oui mais La Rochelle, quoi !
Ben quoi La Rochelle ? Ils sentent sous les aisselles ? ![]()
Posté 08 octobre 2025 - 12:33
Ben quoi La Rochelle ? Ils sentent sous les aisselles ?
Ben... L'hygiène au bagne, ça doit laisser à désirer...
Posté 10 octobre 2025 - 06:21
Tom Spring et Aaron Grandidier, deux symboles de la jeunesse et de la formation de l’Aviron et de la Section. © Crédit photo : Bruno Bereau
Si Pau accuse un léger retard par rapport à son voisin du département, demi-finaliste l’an passé et leader après cinq journées, les deux clubs du 64 visent aujourd’hui le top 6. Le fruit de visions différentes entre deux prétendants qui s’opposent ce samedi (14 h 30)
Le bon début de championnat des Palois n’est pas franchement une surprise. Il repose sur une fin de saison passée conclue par une série de quatre succès, et à plus large échelle, sur ce « travail acharné et têtu » entrepris par Sébastien Piqueronies depuis un peu plus de quatre ans. « La Section récolte aujourd’hui les fruits de sa stabilité, de sa continuité », mesure le manager, dont le groupe est encore composé de douze joueurs à la base du projet. Treize autres, issus de la formation ou de la post-formation béarnaise, y ont par ailleurs découvert le Top 14.
C’est donc aussi et surtout pour son réseau, ses compétences en la matière, que le club palois a débauché l’ex manager de la filière France jeunes. « C’est évident, cela faisait partie du projet. Pour être légitime dans ce Top 14, il fallait être meilleur que les autres dans certains secteurs. Le club a aussi mis les moyens dans l’accompagnement de ces jeunes talents. On fait des choses uniques parce qu’on a des moyens uniques. On se met aussi la pression. » Un travail de fond dont la maturation accouche aujourd’hui de résultats tangibles : « Au vu de notre réservoir, on fait aujourd’hui partie des meilleurs, en France voire dans le monde. »
Le potentiel déjà éprouvé mais encore très prometteur de la ligne d’attaque paloise incarne cette vision. « On a vraiment fait un focus sur l’éclosion de jeunes talents derrière, car elle est plus rapide. Elle nous permet désormais de disposer de l’une des meilleures lignes de trois-quarts du Top 14. » Dont le rendement est étoffé par un net redressement dans le jeu d’avants.
Si Sébastien Piqueronies reste « persuadé de disposer de l’effectif le plus étoffé » qui lui a été donné de manager, la nouvelle stature de ses cadres n’y est pas étrangère. « C’est facile de constater une ascension fulgurante, ce qui l’est moins, et qui a pourtant autant de valeur, c’est d’observer le pic de forme de mes leaders, comme Delhommel, Gorgadze ou Whitelock. » Des tauliers parfois piqués par la concurrence d’un recrutement très ciblé, et à forte valeur ajoutée (Isa, Montoya, Laclayat).
Grandir est aussi une question de moyens pour Pau. Cette saison, et pour la première fois, la Section atteindra la barre des 30 millions de budget et le plafond du salary cap (10,7 millions, en plus des crédits alloués pour ses internationaux). « On palpe cette hausse de moyens, fait valoir Sébastien Piqueronies. Dans l’accompagnement des joueurs, on a la chance d’être bien « staffé » en nombre et en qualité, d’autant que l’attraction de notre centre de formation exige une masse salariale importante. Mais on le mesure encore plus concrètement vis-à-vis de la qualité et de la profondeur de notre groupe. »
2 Le cercle vertueux de l’Aviron BayonnaisC’est un chemin balisé qui n’est pas toujours facile à arpenter. La route qui mène vers les sommets est aussi belle que raide. Les Bayonnais l’empruntent depuis plusieurs saisons et force est de reconnaître qu’ils suivent parfaitement le tracé : promus en Top 14 en 2022, en Coupe d’Europe (la vraie) un an plus tard, en demi-finale du championnat en juin dernier et, désormais, leader après cinq journées, même si cela relève encore de l’anecdotique, et que le RC Toulon compte un match en moins.
Plus personne ne voit l’Aviron autrement qu’un candidat légitime au top 6. Ce bond de géant, en l’espace de trois ans, est multifactoriel pour Grégory Patat. « La construction du centre d’entraînement et un stade Jean-Dauger qui se magnifie » permettent à ses joueurs d’évoluer dans des conditions proches du très haut niveau. « Ça crée une motivation et un but supplémentaire, pense le manager. Certains veulent faire partie de cette aventure. » Et l’on arrive au point numéro 2 : en quatre mercatos, l’effectif s’est densifié en qualité. « Quand t’as Fischer qui se blesse (avant d’affronter Toulouse) et Küffner qui rentre en tant que titulaire, ça montre la profondeur du groupe », sourit le demi de mêlée Baptiste Germain, encore titularisé ce samedi à Pau. « Aujourd’hui, on est capable d’avoir deux équipes, admet Patat. Certes, il en faut presque trois mais on évolue sur ce point. »
« On ne se met plus dans la peau du Petit Poucet »
Le dernier aspect est la conséquence du reste. Les victoires entraînent de la confiance. C’est un cercle vertueux. Les Basques ont mis deux ans avant de s’habituer à l’ambiance des grands rendez-vous. Après deux délocalisations ratées à San Sé, ils ont vaincu le signe indien. Pas par chance. Ils ont emmagasiné de l’expérience devant 40 000 personnes. Leur participation au barrage puis aux demi-finales est un autre exemple. « Vivre ce genre d’expérience, c’est formateur », reconnaît le troisième ligne Baptiste Heguy.
« L‘expérience collective construit cette aventure, renchérit Patat. On est en capacité à savoir gagner certains matchs qu’on ne gagnait pas auparavant, ce qui renforce les croyances dans notre travail. » Le nombre de rencontres remportées dans les derniers instants à Jean-Dauger en atteste. Un stade fétiche où l’Aviron a levé les bras à 37 reprises en 39 rencontres de Top 14 (95 %) depuis l’arrivée du technicien gersois. Une chose est sûre : les Bayonnais ne s’interdisent plus rien. « On ne se met plus dans la peau du Petit Poucet, glisse Heguy. Notre parcours montre qu’on fait aussi partie de ces grandes équipes maintenant. »
Le Stade Toulousain et l’UBB, ici lors de la finale en juin dernier, ont du mal à redémarrer. © Crédit photo : Laurent Theillet / SO
En difficulté en déplacement depuis le début de la saison, les deux grands favoris pour le titre suivent des courbes qui peuvent paraître similaires. Au-delà des chiffres, le sont-elles réellement ?
Quelles comparaisons n’ont pas encore été faites à l’évocation de l’Union Bordeaux-Bègles et du Stade Toulousain ? On liste les internationaux qui composent les effectifs des finalistes des deux dernières éditions du Top 14, on disserte sur leur appétit pour le jeu offensif, on fait des projections sur la capacité des Bordelais à briser la domination qu’exercent les Toulousains sur la France du rugby depuis 2019…
À deux jours des retrouvailles entre ces deux ténors du championnat, dans un choc qui n’en sera probablement pas un suite à la décision de Yannick Bru de laisser la plupart de ses cadres au repos, un nouveau et curieux trait d’union vient enrichir cette liste. Cette fâcheuse propension à sombrer dès que les Bordelais ou les Toulousains tentent de s’exporter.
Depuis le début de la saison, les déplacements de l’UBB en région parisienne se sont soldés par deux cinglantes défaites, au Racing (44-32) et au Stade Français (28-7) soulevant des interrogations autant sur le fond que sur la forme. Pour Toulouse, le bilan est légèrement différent. Le champion de France en titre s’est imposé à Clermont (24-34) lors de la première journée, mais il s’est effondré dans des proportions inédites ces dernières saisons, à Montpellier (44-14) et à Bayonne (40-26).
ÉchoBien sûr, comparaison n’est pas raison. Si la défaite des hommes d’Ugo Mola en terre héraultaise est un naufrage, celle essuyée au Pays basque ne s’est nouée que dans les dix dernières minutes. Dans le match à la 72e minute, ils ont sombré à cause de « trois erreurs défensives en fin de match », râle Thomas Ramos. Mais tout de même, pour retrouver la trace de 80 points encaissés en deux déplacements consécutifs, il faut dépoussiérer les archives de l’institution la plus titrée de France. Une défaite de plus de 40 points en Top 14, elle n’en avait plus connu depuis 2021.
Il fallait s’y attendre, la réaction d’Ugo Mola a fait écho à celle formulée une semaine plus tôt par Yannick Bru. Quand le manager de l’UBB avait appelé à retrouver de « l’humilité » et de soigner les attitudes, celui du Stade Toulousain a pointé du doigt le tempérament de son équipe.
« On ne fait pas preuve de caractère dans les moments clés et ça, c’est un peu plus inquiétant sur le fait qu’on n’ait pas réellement redémarré », a-t-il observé lundi soir lors de la Nuit du Rugby. « Est-ce qu’on se sent en danger ? Je parlais de la gentille suffisance, du truc insidieux. Mais tout est nouveau et remis à zéro. »
Gémellité statistiqueL’UBB et le Stade Toulousain sont logiquement les deux équipes ayant repris le plus tardivement l’entraînement au mois d’août. Elles affichent également une saisissante gémellité statistique. Preuve de leur goût pour un jeu ouvert. L’UBB et le Stade Toulousain sont les deux formations à avoir réalisé le plus de courses ballon en main et à avoir battu le plus de défenseurs. Ils ont inscrit respectivement 165 et 164 points, pour 24 et 22 essais, depuis le début de cette saison.
« Bordeaux connaît aussi un début de saison qui ressemble, à peu de chose près au nôtre »
Mais, paramètre inédit, ce parallélisme apparaît également dans les défaillances. Bordelais et Toulousains ont ainsi encaissé respectivement 133 et 134 points, pour 15 et 13 essais, lors des cinq premières journées.
« On a connu des débuts de saison compliqués », a reconnu Ugo Mola lundi soir à Paris : « Bordeaux connaît aussi un début de saison qui ressemble à peu de chose près au nôtre. Mais il ne faut pas sous-estimer la préparation, l’effet que vous avez sur les autres. Tout le monde a envie de faire tomber Bordeaux et Toulouse. »
Cette petite rengaine fait écho aux propos tenus du côté de Bordeaux. Mais les données sont-elles réellement similaires dans les clubs ? Pas si sûr. Si l’UBB, privée de nombreux cadres en ce début de saison, a montré une réaction timide face à Lyon (32-20) - faut-il parler de la balade face à Montauban (71-24) ? -, le Stade Toulousain, vexé, avait vitrifié Castres (59-12) la dernière fois qu’ils ont été fessés. Un appel à la prudence pour les Bordelais.
Posté 10 octobre 2025 - 08:06
toulouse n'a pas toujours été en difficulté en déplacement, si cela avait été le cas, ils seraient à notre place et nous à la leur. quand la machine va se mettre en route avec le retour de dupont, ça va devenir compliqué pour les autres
Posté 10 octobre 2025 - 08:08
Posté 11 octobre 2025 - 15:56
hep
Posté 11 octobre 2025 - 15:58
Posté 11 octobre 2025 - 16:00
Étonnant de voir la Rochelle se faire désosser en mêlée par les roses.
Alors je regarde pas le match en continu mais des fois, l'arbitrage des melées me laisse perplexe .
Posté 11 octobre 2025 - 16:08
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