573 réponses à ce sujet

[Néophyte]

On sait si Raka a envisagé de postuler pour la sélection fidjienne ? 

[RCV06]

Les Fidji c'est du niveau Irlande/Ecosse, bien supérieur à ce que beaucoup pensent...

Tu mets l Irlande et l Ecosse au même niveau ?   

Les Fidji au niveau de l Ecosse pourquoi pas, mais de l Irlande   

[Alex chocolatines]

Tu mets l Irlande et l Ecosse au même niveau ? 

Les Fidji au niveau de l Ecosse pourquoi pas, mais de l Irlande 

Peut etre pour la troisième mi temps. 

[xdderf63]

On a la compo fidjienne ?

 

Même 15 que contre l'angleterre

2 changements sur le banc

La compo des Fidji (je met pas les Numéros par respect pour BB)  :

Rayasi (UBB) - Ravutaumada (Racing 92), Ravouvou (Bristol), Tuisova (Racing 92), Wainiqolo (Lyon) - (o) Muntz (Provence Rugby), (m) Kuruvoli (Fijian Drua)- Canakaivata (Fijian Drua), Mata (Bristol), Sowakula (Clermont) - Mayanavanua (Northampton), Nasilasila (Fijian Drua) - Doge (Fijian Drua), Ikanivere (Fijian Drua, cap.), Mawi (Saracens)
Remplaçants : Togiatama (Fijian Drua), Hetet (Fijian Drua), Hoyt (Worcester), Vocevoce (Fijian Drua), Salawa (Fijian Drua), Wye (Counties Manukau), Armstrong-Ravula (Fijian Drua), Maqala (Bayonne)

[RCV06]

Peut etre pour la troisième mi temps. 

Moi j ai fait la troisième mi temps avec les Irlandais et les écossais, ben je mets les kilts devant et leur sky est meilleur.

Après t a les Gallois et très loin derrière les Anglais

[Alex chocolatines]

Moi j ai fait la troisième mi temps avec les Irlandais et les écossais, ben je mets les kilts devant et leur sky est meilleur.

Après t a les Gallois et très loin derrière les Anglais

Oui y a du beau monde, je les ai tous croisés à l'apéro ; j'ai aussi connu des descendants Kanak qui se tenaient au comptoir, pis aussi des Basques, des Breton, des Landais, des Béarnais, Gersois... 

Ah oui, l'Auvergnat se défend aussi 

 

Quand tu fais (enfin faisais, maintenant je pourrais plus  ) des soirées comme ça, c'est pas pour déguster des single malt des Highland, c'est plus du tout venant 

[Eria]

Les Fidji c'est du niveau Irlande/Ecosse, bien supérieur à ce que beaucoup pensent...

bien souvent  humiliés, et bléssés dans leur orgueil depuis ils se sont Cotterisé...

[RCV06]

Oui y a du beau monde, je les ai tous croisés à l'apéro ; j'ai aussi connu des descendants Kanak qui se tenaient au comptoir, pis aussi des Basques, des Breton, des Landais, des Béarnais, Gersois... 

Ah oui, l'Auvergnat se défend aussi 

 

Quand tu fais (enfin faisais, maintenant je pourrais plus  ) des soirées comme ça, c'est pas pour déguster des single malt des Highland, c'est plus du tout venant 

Ne jamais tenter de suivre du NZ à la bière, c'est perdu d'avance

Moi non plus, ce serait du suicide.   

[Bon Chasseur]

Peut etre pour la troisième mi temps. 

En tout cas pas pour la 2è.

 

C'est là qu'ils seront testés. Le Rugby moderne, surtout depuis 5-6 ans, c'est comment tu termines. On n'a clairement jamais autant parlé de longueur de banc, de finisseurs, de Bomb Squad que sur cette période actuelle. Est ce que les Fidjiens peuvent tenir tête aux Bleus sur le dernier quart ? Je pense que non, mais à eux de prouver que oui. Je pense qu'ils vont se montrer menaçants à qqs moments du match et risquent de marquer plusieurs essais. Mais ce fameux money time qd les subs rentrent. A voir.

[el landeno]

Les compos c'est du N° 1 au N° 15 et pas l'inverse 

[exilé-sud-ouest]

Meafou blessé, remplacé par Tao.

[leberger]

Meafou blessé, remplacé par Tao.

Put.... quand c’est fini ça recommence ...

[RCV06]

Put.... quand c’est fini ça recommence ...

Un top14 avec 12 prétendants au titre, c'est pas compatible avec une équipe de France compétitive à cette période de l année, et encore la CE n a pas commencé.

Et ses cons qui veulent rajouter de nouvelles compétitions 

[el landeno]

Avant France – Fidji à Bordeaux. Maxime Lucu : « J’avais envie de vivre ce moment »

Le demi de mêlée de l’UBB Maxime Lucu va connaître sa 29e sélection samedi à Bordeaux. © Crédit photo : AFP

Par Denys Kappès-Grangé

Publié le 14/11/2025 à 6h00.

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Le numéro 9 de l’UBB Maxime Lucu (32 ans) témoigne du plaisir qu’il éprouve à l’idée d’être titularisé, à Bordeaux, dans un stade où il a vécu sa première sélection

Quelle signification accordez-vous à cette titularisation ?

Il y a plein de petites choses. Déjà le fait de retrouver le maillot de l’équipe de France, à Bordeaux… J’ai des fourmis dans les jambes ! Il y aura également des mecs autour de moi pour lesquels ce match va compter. C’est le cas de Charles (Ollivon) (NDLR, originaire de Saint-Pée-sur-Nivelle lui aussi, il fait son retour en sélection suite à sa grave blessure au genou), mais aussi de tous les Bordelais : Nicolas (Depoortere), Loulou (Bielle-Biarrey), Damian (Penaud). Et il y a aussi la première de Max (Lamothe) ! Il y a des paramètres qui font que tu as particulièrement envie de jouer certains matchs, celui-là en fait partie.

Avoir le numéro 9, c’est tout de même assez rare en plus (NDLR, il a été titularisé à 11 reprises avec le XV de France). Ça va être ma 29e sélection, j’ai participé à 34 ou 35 matchs (NDLR, il n’est pas toujours entré en jeu). Vu la concurrence au poste, ce n’est pas commun d’avoir ce maillot. L’avoir de nouveau à Bordeaux, je trouve que c’est fort dans mon chemin : ça compte. J’avais envie de vivre ce moment.

« Devant ma famille, à Bordeaux, à 29 ans : c’était un peu un signe du destin. Émotionnellement, c’était très fort »

C’est aussi à Bordeaux que vous avez connu votre première sélection en novembre 2021 face à la Géorgie (41-15). Que représente ce souvenir ?

C’est l’un des plus beaux. Devant ma famille, à Bordeaux, à 29 ans : c’était un peu un signe du destin. Émotionnellement, c’était très fort.

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En quatre ans, votre statut a nettement évolué chez les Bleus. Est-il différent dans cette équipe ?

Je me sens différent dans ma tête, déjà. Au fur et à mesure des années, j’ai pris plus d’assurance, d’expérience et de maturité. C’est à l’image de la saison dernière. Je restais sur un échec dans le Six-Nations 2024 et la fin du Tournoi suivant (NDLR, en 2025) a prouvé que j’étais capable de belles choses et d’être important pour l’équipe. Il m’a apporté beaucoup plus de certitudes. C’est en cela, je pense, que j’ai évolué.

Vous sentez-vous désormais pleinement légitime dans cette équipe ?

Un peu plus, oui. Même si je ne m’attache pas trop aux chiffres, je m’approche des 30 sélections : ça représente quelque chose. Mes débuts ont été assez difficiles. Je n’étais pas trop en confiance, je ne faisais pas de très bons matchs à l’image de ce qui s’est passé dans le Tournoi 2023. Mais je participe aux tournées et aux Six-Nations depuis quatre ans… Quand les performances commencent à être plutôt bonnes, on se sent un peu plus légitime, bien sûr.

Le regard que portent sur vous Fabien Galthié et son staff a-t-il changé ?

C’est un staff qui m’accorde régulièrement sa confiance. J’ai envie de la lui rendre. Il y a eu des moments difficiles, lors desquels il a fallu discuter parce que les performances n’étaient pas là. Mais il a continué à m’appeler à des moments où il n’était pourtant pas obligé quand j’étais troisième demi de mêlée (NDLR, derrière Dupont et Le Garrec au début du Tournoi 2025).

Vous semblez être actuellement au pic de votre carrière. Le ressentez-vous ?

C’est vrai que je me sens de mieux en mieux dans mon rugby. Physiquement d’abord : j’ai l’impression d’avoir encore de la force et la capacité à progresser. Dans mon corps, j’y suis encore à 100 %. Or quand c’est aussi le cas dans la tête, on parvient à faire des choses importantes sur le terrain. Le côté positif de ma blessure (NDLR, une rupture du tendon du pouce en août), c’est que j’ai quasiment pu faire une double préparation physique. J’ai pu faire des choses un peu plus dures, qui faisaient plus de mal à mon corps, mais ça m’a fait bien pour ce que j’essaie de mettre en place sur le terrain.

Vous aviez confessé avoir fait du match contre l’Afrique du Sud un objectif durant votre convalescence. Ne pas avoir été titularisé pour cette rencontre a-t-il été une déception ?

Pas forcément. Avant d’affronter les champions du monde, tu es obligé d’avoir énormément de certitudes sur les personnes que tu fais jouer. Quand tu n’as plus joué depuis huit semaines - presque depuis la finale du Top 14 même ! - et que tu n’as qu’un seul match dans les pattes (NDLR, la réception de Bayonne), c’est normal de passer par cette case-là. Être dans les 23, c’était déjà bien compte tenu du fait que je n’étais même pas sûr dans les 42 !

« C’est ce qui me permet de dépasser des limites que je ne pensais pas atteindre »

Cela renvoie tout de même à l’idée que rien ne vous est offert en équipe de France…

C’est vrai, j’ai l’impression que ça fait partie de mon chemin. Ça va être ça jusqu’au bout (sourire). On se l’est beaucoup dit ces derniers jours avec ma famille… Alors que j’étais très bien, il a fallu en passer par une blessure de huit semaines sachant que j’avais été préservé jusqu’à présent. Il faut apprendre des échecs, j’y suis habitué désormais. C’est en cela que je me sens différent : je réagis bien différemment de la manière dont je pouvais le faire il y a deux ou trois ans. Quand je n’avais pas été sélectionné pour la tournée en Australie (juillet 2021), en raison d’une pubalgie, ça avait été très dur de repartir au combat. J’aborde les choses différemment désormais. C’est ce qui me permet de dépasser des limites que je ne pensais pas atteindre. J’espère que je pourrai aller le plus loin possible.

Votre titularisation intervient une semaine après la défaite face aux Boks. Est-ce un coup d’arrêt dans l’optique de la Coupe du monde 2027 ?

On savait que ce match devait être le déclencheur du chemin vers 2027. On avait eu un peu la même situation en 2021 : avant le test face aux Blacks, il restait une vingtaine de matchs jusqu’à 2023. C’est un gros échec. On savait ce qu’il s’était passé lors du quart de finale de la Coupe du monde précédente, on était très attendu… Mais nous, on voulait juste faire un gros match ! On voulait s’inscrire dans la continuité du Tournoi 2025. Pendant 60 minutes, on a « matché » face aux meilleurs du monde. On a mis énormément d’intensité, mais on a fini par céder. C’est une claque, mais ça doit nous faire avancer.

Le test face aux Fidji est présenté comme le plus abordable de la série. Est-ce justement le piège ?

Oui. On affronte la plupart de leurs joueurs tous les week-ends en Top 14. Les Fidjiens ont réussi à faire douter les Anglais la semaine dernière (38-18). Ils ont juste souffert de ne pas avoir la même profondeur d’effectif. Si on tombe dans le n’importe quoi, on va vite se heurter à un mur.

 

[jm12]

Avalanche de forfaits avec en face des Fidjiens morts de faim et qui semblent croire en  leur bonne étoile

 

Attention , quand même sur la cohésion de l 'équipe avec tous ces changements et pas sûr du tout du tout que l 'on ait gagné en plus value comme par exemple Tao à la place de Méafou....S'ils parviennent à nous bousculer devant nous faire déjouer alors ....!

 

Méafou  Le Garrec  Erdocio  Flaement  Guillard , bcp , bcp de changements devant et quid par conséquences du banc ?