Pourquoi viser cet auteur en particulier parmi la multitude citée sur ce topic pour évoquer une soi-disant "sous-littérature" ?
En effet se moquer du lauréat du prix SNCF 2004 ainsi que celui de 2007 montre que l'on est pas sur la bonne voie
Posted 25 October 2018 - 17:12 PM
Pourquoi viser cet auteur en particulier parmi la multitude citée sur ce topic pour évoquer une soi-disant "sous-littérature" ?
En effet se moquer du lauréat du prix SNCF 2004 ainsi que celui de 2007 montre que l'on est pas sur la bonne voie
Posted 26 October 2018 - 11:32 AM
En ce moment-même.... je lis le forum.
Posted 14 November 2018 - 14:03 PM
Extrait
Je pensais au pouvoir trompeur de la musique, à cette sorte de romantisme exacerbé qu'elle pouvait inspirer. Si on écoutait les Stones à un volume très élevé pendant assez longtemps, on finissait invariablement par ressentir une sorte de sympathie pour le diable. Et il suffisait d'entendre ce duo entre Bob Dylan et Johnny Cash pour avoir envie de filer vers le Nord et chercher une fille dans une foire de campagne. La chanson préférée de Tim était apparemment "Get It While You Can" de Janis Joplin, que je commençais à redouter. Le désespoir profond que cet air instillait semblait inégalé dans la musique moderne. [...] Mais souvent, il semble que la passion nous plonge dans l'excès et la musique traduit si fidèlement la passion qu'on ne peut qu'être convaincu et qu'il est impossible de lui résister. Merle Haggard me donnait toujours envie de me saouler à mort. Les Cream ou les Who, ou les Grateful Dead me donnaient envie d'être défoncé, tandis qu'avec Dolly Parton j'avais envie de tomber amoureux. June Carter semblait me faire signe depuis Jackson, Mississippi, et Patsy Cline m'invitait à Nashville. Pas étonnant que la plupart des gens préfèrent une musique insipide et faiblarde.
Posted 15 November 2018 - 20:19 PM
Thilliez ... N'est-ce pas un peu de la sous-littérature ?
C'est ce que je lis en ce moment, mais bon faut dire qu il y a pas longtemps que j ai appris a lire et franchement je souhaite ça a personne.
Posted 15 November 2018 - 20:24 PM
Posted 15 November 2018 - 21:53 PM
Je suis sur my absolute darling de Gabriel Tallent et si vous aimez la pedophilie et linceste vous passerez un bon moment.
Sans doute ma meilleur participation sur ce forum depuis bien longtemps .
Posted 16 November 2018 - 12:06 PM
C'est ce que je lis en ce moment, mais bon faut dire qu il y a pas longtemps que j ai appris a lire et franchement je souhaite ça a personne.
Nos auteurs se croisent... J'entame "Soeurs" de B. Minier...
La question étant : vais-je dépasser cette fois-ci les premiers chapitres ?...
Posted 16 November 2018 - 12:18 PM
Extrait
Je pensais au pouvoir trompeur de la musique, à cette sorte de romantisme exacerbé qu'elle pouvait inspirer. Si on écoutait les Stones à un volume très élevé pendant assez longtemps, on finissait invariablement par ressentir une sorte de sympathie pour le diable. Et il suffisait d'entendre ce duo entre Bob Dylan et Johnny Cash pour avoir envie de filer vers le Nord et chercher une fille dans une foire de campagne. La chanson préférée de Tim était apparemment "Get It While You Can" de Janis Joplin, que je commençais à redouter. Le désespoir profond que cet air instillait semblait inégalé dans la musique moderne. [...] Mais souvent, il semble que la passion nous plonge dans l'excès et la musique traduit si fidèlement la passion qu'on ne peut qu'être convaincu et qu'il est impossible de lui résister. Merle Haggard me donnait toujours envie de me saouler à mort. Les Cream ou les Who, ou les Grateful Dead me donnaient envie d'être défoncé, tandis qu'avec Dolly Parton j'avais envie de tomber amoureux. June Carter semblait me faire signe depuis Jackson, Mississippi, et Patsy Cline m'invitait à Nashville. Pas étonnant que la plupart des gens préfèrent une musique insipide et faiblarde.
J'ai bien aimé ce road trip comme tous les romans de Big Jim.
Pour ceux qui veulent s'essayer à cet auteur qui parle de l’Amérique et de la vie comme personne je conseille le recueil de 3 nouvelles "Legendes d'automne" et son oeuvre culte "Dalva".
Je suis sur my absolute darling de Gabriel Tallent et si vous aimez la pedophilie et linceste vous passerez un bon moment.
Sans doute ma meilleur participation sur ce forum depuis bien longtemps .
C'est celui qui se passe dans un diocèse du Nord pas de calais ?
Posted 16 November 2018 - 13:52 PM
Nos auteurs se croisent... J'entame "Soeurs" de B. Minier...
La question étant : vais-je dépasser cette fois-ci les premiers chapitres ?...
Moi j ai adoré, sinon c'est sur le manuscrit inachevé que je suis ça part pas mal
Posted 16 November 2018 - 20:01 PM
Moi j ai adoré, sinon c'est sur le manuscrit inachevé que je suis ça part pas mal
C'est le prochain dans ma pile de livres !
A moins que je n'entame avant le tout dernier né de mon chouchou Henri Loevenbruck "J'irai tuer pour vous".
1985, Paris est frappé par des attentats comme le pays en a rarement connu.
Dans ce contexte, Marc Masson, un déserteur parti à l’aventure en Amérique du Sud, est soudain rattrapé par la France. Recruté par la DGSE, il est officiellement agent externe mais, officieusement, il va devenir assassin pour le compte de l’État.
Alors que tous les Services sont mobilisés sur le dossier libanais, les avancées les plus sensibles sont parfois entre les mains d’une seule personne… Jusqu’à quel point ces serviteurs, qui endossent seuls la face obscure de la raison d’État, sont-ils prêts à se dévouer ? Et jusqu’à quel point la République est-elle prête à les défendre ?
Des terrains d’opérations jusqu’à l’Élysée, des cellules terroristes jusqu’aux bureaux de la DGSE, Henri Loevenbruck raconte un moment de l’histoire de France – qui résonne particulièrement aujourd’hui – dans un roman d’une tension à couper le souffle. Pour écrire ce livre, il a conduit de longs entretiens avec «Marc Masson» et recueilli le récit de sa vie hors norme.
Posted 16 November 2018 - 20:35 PM
C'est le prochain dans ma pile de livres !
A moins que je n'entame avant le tout dernier né de mon chouchou Henri Loevenbruck "J'irai tuer pour vous".
1985, Paris est frappé par des attentats comme le pays en a rarement connu.
Dans ce contexte, Marc Masson, un déserteur parti à l’aventure en Amérique du Sud, est soudain rattrapé par la France. Recruté par la DGSE, il est officiellement agent externe mais, officieusement, il va devenir assassin pour le compte de l’État.
Alors que tous les Services sont mobilisés sur le dossier libanais, les avancées les plus sensibles sont parfois entre les mains d’une seule personne… Jusqu’à quel point ces serviteurs, qui endossent seuls la face obscure de la raison d’État, sont-ils prêts à se dévouer ? Et jusqu’à quel point la République est-elle prête à les défendre ?
Des terrains d’opérations jusqu’à l’Élysée, des cellules terroristes jusqu’aux bureaux de la DGSE, Henri Loevenbruck raconte un moment de l’histoire de France – qui résonne particulièrement aujourd’hui – dans un roman d’une tension à couper le souffle. Pour écrire ce livre, il a conduit de longs entretiens avec «Marc Masson» et recueilli le récit de sa vie hors norme.
Je crois qu on est entrain de pourrir le sujet des vrais intellos amateurs de vraie littérature avec nos merdes de bouseux
Posted 16 November 2018 - 23:20 PM
Je crois qu on est entrain de pourrir le sujet des vrais intellos amateurs de vraie littérature avec nos merdes de bouseux
que nenni vioque
3 extraits de La reine du sud de Arturo Perez-Reverte
il n'y a pas deux livres semblables, parce qu'il n'y a jamais eu deux lecteurs semblables. Et que chaque livre lu est, comme chaque être humain, un livre singulier, une histoire unique et un monde à part....
dans les romans, on pouvait appliquer son propre point de vue à chaque situation, à chaque personnage...
Ce qui faisait la supériorité des livres, elle avait découvert ça à El Puerto de Santa Maria, c'était que l'on pouvait s'approprier des vies, des histoires et des réflexions qu'ils contenaient, et que l'on était jamais la même quand on les refermait que quand on les avait ouverts pour la première fois. Des gens très intelligents avaient écrit certaines de ces pages ; et si on était capable de les lire avec humilité, patience et envie d'apprendre, ils ne vous décevaient jamais. Même ce qu'on ne comprenait pas restait ancré dans un coin caché de votre tête : dans l'attente que l'avenir lui donne un sens en le transformant en choses belles et utiles.
Posted 17 November 2018 - 11:35 AM
que nenni vioque
3 extraits de La reine du sud de Arturo Perez-Reverte
il n'y a pas deux livres semblables, parce qu'il n'y a jamais eu deux lecteurs semblables. Et que chaque livre lu est, comme chaque être humain, un livre singulier, une histoire unique et un monde à part....
dans les romans, on pouvait appliquer son propre point de vue à chaque situation, à chaque personnage...
Ce qui faisait la supériorité des livres, elle avait découvert ça à El Puerto de Santa Maria, c'était que l'on pouvait s'approprier des vies, des histoires et des réflexions qu'ils contenaient, et que l'on était jamais la même quand on les refermait que quand on les avait ouverts pour la première fois. Des gens très intelligents avaient écrit certaines de ces pages ; et si on était capable de les lire avec humilité, patience et envie d'apprendre, ils ne vous décevaient jamais. Même ce qu'on ne comprenait pas restait ancré dans un coin caché de votre tête : dans l'attente que l'avenir lui donne un sens en le transformant en choses belles et utiles.
Moi, j'serais vous, je vous écouterais... Non, moi, j'serais nous, je vous... Si moi, j'étais vous, je vous écouterais ! Non, elle me fait chier, cette phrase !
Posted 27 November 2018 - 18:48 PM
un grand classique de la littérature policière
le préféré de Gainsbarre
Posted 27 November 2018 - 18:56 PM
j'ai préféré "ne nous énervons pas" du même auteur .
Sinon lea trilogie d' Iceberg Slim envoie bien également. Pimp en particulier.
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