Il s'agit en effet d'un sujet des plus sérieux, qui n'est pas du tout à sa place dans le défouloir dans lequel il stagne pour l'instant.
Il me semble de plus que Dooley, et tout l'apport qu'il a eu sur ce forum, méritaient bien au minimum un topic au sujet du bannissement de l'auteur et de la disparition brutale de son œuvre (au moins à nos yeux), comme au plus beau temps des danses de joie autour des feux de livres d'hérétiques…
Je ne vais pas revenir sur l'histoire elle-même : pour ceux qui n'ont pas suivi le film, son pitch, ou plutôt son dénouement, est là...
En fait, je veux juste ici poser une question au groupe des modérateurs et administrateurs du forum (question déjà posée dans le topic cité ci-dessus et restée sans réponse pour l'instant). Mais, pour que ce soit clair pour tout lecteur de ce post, je vais d'abords citer les propos de notre administrateur Mouky, pris dans le topic dont je donne le lien ci-dessus :
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Dooley a voulu jouer au con en ne respectant pas sa récente suspension de 1 mois et en revenant avec un autre compte. A notre tour, nous n'avons pas respecté la charte car il aurait du prendre uniquement 6 mois pour une 6ème faute, et nous l'avons tout simplement viré.
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Avec le cas Dooley, on peut ajouter un amendement à la charte du style : "nous nous réservons le droit de ne pas vouloir être pris pour des cons et pouvons appliquer les sanctions selon notre humeur du jour"
Ma question : Pourquoi vous-même n'avez-vous pas appliqué la charte, en vous limitant à une suspension de 6 mois conformément au chapitre E de cette charte :
"6ème faute : Niveau avertissement 60 % = 6 mois de suspension"
au lieu de carrément bannir (définitivement ??) l'intéressé ?
Avouez qu'en vous mettant vous-même hors charte lors de cette modération, aux allures de jugement, vous affaiblissez considérablement la crédibilité de votre position et notre possibilité de croire à la probité de ce « jugement ». Vous augmentez en revanche énormément notre suspicion et le risque que nous pensions que d'autres critères, peut-être moins avouables, soient intervenus dans cette décision.
D'une position consistant à « appliquer les sanctions selon votre humeur du jour » à une justice d'exception, ciselée à la tête du client, il n'y a qu'un pas… et vous nous donnez la très nette impression de l'avoir allègrement franchi dans le cas présent…