Extrait du journal de marche et d'opérations du General Shclick ou Klift ou Flick, je me souviens plus.
La campagne pour la conquête de l'Europe avait commencé par une Blitzkrieg de bonne facture, la province catalane cédant devant nos panzers avec de lourdes pertes. Nous nous présentâmes bientôt devant les murs de Paris après une remontée éclair de la vallée du Rhône. Nous avons trouvé un ennemi combatif mais peu aguerri, incapable de nous déborder par les flancs, qui tentait des percées axiales peu couronnées de succès.
Leurs meilleures troupes, usées par des campagnes longues et difficiles et nourrissant des rêves ambitieux mais hélas pour eux creux, n'ont pas su briller face à une défense bien retranchée. Le colonel Neymar a tenté des coups de main sur notre arrière garde mais on artillerie légère a gâchée ses munitions en vain. Quant à l'aspirant MBappé il me paraît encore trop tendre pour diriger une offensive face à une défense aguerrie.
L'obersturmführer Lewandowski et le general Müller ont tenu les avants de l'attaque avec détermination, mais c'est finalement un prisonnier français passé à notre camp qui a su mettre à genoux l'ennemi. Coman, je ne sais pas.
Encouragés par les clameurs des Marseillais, qui pratiquent plus volontiers les alliances tournantes que le combat direct, nous avons su résister à un adversaire mû par le désespoir mais de plus en plus maladroit à mesure que le temps passait.
La victoire est nôtre et maintenant : Paris Cognac Moulin Rouge !
Ah ma belle Gudrun, si tu savais comme est doux les reflet argenté de la Coupe, qui me rappelle ta petite ceinture de chasteté !
Ton Hansi bien affectionné.