7613 réponses à ce sujet

[cocotte 63]

T'as les 2 Turcs aussi non?! en tout cas, il a été "donné" par Denver...

[dim50]

T'as les 2 Turcs aussi non?! en tout cas, il a été "donné" par Denver...

J'attends de voir la pré-saison.

Qui va démarrer poste 4 entre Ilyasova, Sabonis voire Kanter décalé en 4 qui peut faire des ravages avec Adams.

Y aura-t-il un trade avec un de ces postes 4 pour récupérer un poste 3 ?

 

Beaucoup d'incertitudes à OKC, seuls Westbrook et Adams sont assurés d'être dans le 5 de départ.

[HugoltBolt]

J'attends de voir la pré-saison.

Qui va démarrer poste 4 entre Ilyasova, Sabonis voire Kanter décalé en 4 qui peut faire des ravages avec Adams.

Y aura-t-il un trade avec un de ces postes 4 pour récupérer un poste 3 ?

 

Beaucoup d'incertitudes à OKC, seuls Westbrook et Adams sont assurés d'être dans le 5 de départ.

 

Kanter en starter en 4 c'est très peu probable quand même.

Ca va partir avec Ilyasova en 4 associé à Adams.

Comme ça ils auront un 4 capable d'étirer le jeu.

 

Désormais un 4 qui ne shoote pas à 3 points ça n'existe que très peu en NBA.

[dim50]

 

Kanter en starter en 4 c'est très peu probable quand même.

Ca va partir avec Ilyasova en 4 associé à Adams.

Comme ça ils auront un 4 capable d'étirer le jeu.

 

Désormais un 4 qui ne shoote pas à 3 points ça n'existe que très peu en NBA.

Oui bien sûr. C'était juste pour recenser toutes les alternatives. J'espère vraiment qu'on manœuvrera encore sur les postes 3 et 4. Singler me dégoûte encore plus que Perkins sur sa fin de parcours à OKC et sur le poste 4 j'ai du mal à imaginer qu'il n'y en ait pas un qui parte. 

De toute façon, Lauvergne vs 2 2nd tours de draft ça reste une bonne affaire à la base.

[alainpower]

Entre Ilyasova et Kanter ça va sacrément défendre en 4...

[HugoltBolt]

Entre Ilyasova et Kanter ça va sacrément défendre en 4...

 

Quand t'y regardes de plus près, tu te rends compte que très peu de postes 4 défendent en NBA en fait. La plupart sont plus tournés vers l'attaque.

Bon après en NBA de base ça défend pas beaucoup déjà..

Oui bien sûr. C'était juste pour recenser toutes les alternatives. J'espère vraiment qu'on manœuvrera encore sur les postes 3 et 4. Singler me dégoûte encore plus que Perkins sur sa fin de parcours à OKC et sur le poste 4 j'ai du mal à imaginer qu'il n'y en ait pas un qui parte. 

De toute façon, Lauvergne vs 2 2nd tours de draft ça reste une bonne affaire à la base.

 

Lauvergne vs 2 tours de draft oui c'est une bonne affaire. De toute façon quasiment n'importe quel joueur est une bonne affaire vs des seconds tours de draft.

 

J'essaie depuis quelques jours d'en savoir un peu plus sur les mouvements potentiels en NBA. Si j'en sais un peu plus sur OKC je vous le dirai ici. 

[dim50]

 

Quand t'y regardes de plus près, tu te rends compte que très peu de postes 4 défendent en NBA en fait. La plupart sont plus tournés vers l'attaque.

Bon après en NBA de base ça défend pas beaucoup déjà..

 

Lauvergne vs 2 tours de draft oui c'est une bonne affaire. De toute façon quasiment n'importe quel joueur est une bonne affaire vs des seconds tours de draft.

 

J'essaie depuis quelques jours d'en savoir un peu plus sur les mouvements potentiels en NBA. Si j'en sais un peu plus sur OKC je vous le dirai ici. 

Je serais preneur, merci !

[babou36]

Entre Ilyasova et Kanter ça va sacrément défendre en 4...

 

C'est clair qu'en défense, ce n'est pas un maître, Kanter...

[cocotte 63]

 

C'est clair qu'en défense, ce n'est pas un maître, Kanter...

 

Babou il va rentrer au service des sports de France TV, c'est pas possible de passer à côté d'un tel talent !!! Mathieu Lartot Mefia Te !!!    

 

Vous avez des modules de type : "Jeux de mots et Calembours" ou  "Montel et bouches cousues"

[alainpower]

 
C'est clair qu'en défense, ce n'est pas un maître, Kanter...

Kanter je l'aime bien en plus. C'est un pote. C'est mon bro Kanter (ou mon Kanter bro ça marche dans les deux sens).

[le nougatier]

Kanter je l'aime bien en plus. C'est un pote. C'est mon bro Kanter (ou mon Kanter bro ça marche dans les deux sens).

 

C'est capilotracté ta blague....

 

J'allais écrire la même et me suis dit que c'était lourd mais bon je voie qu'il y a plus lourd que moi .

[totoche]

Collet reste le sélectionneur des bleus, au minimum jusqu'en 2019.

Aucune grosse écurie européenne n'a voulu de lui ?

[sebduth]

Dégoûté...

[le nougatier]

Collet reste le sélectionneur des bleus, au minimum jusqu'en 2019.

Aucune grosse écurie européenne n'a voulu de lui ?

 

Non personne n'a voulue lui mettre la main au Collet..

 

Après on peut effectivemet regretter le manque de cojones de la fédé de basket qui aurait pu profiter de l'après parker pour monteer un tout nouveau projet sur des nouvelles têtes.

 

Enfin on verra bien ce que donnera la suite mais avec les guerre fedé-fiba et fdé-nba ça s'annonce coton quoiqu'il en soit et casse geuel pour tout sélectionneur.  Mais un Donadieu s'annoncait comme le parfait homme de la situation c'était peut être un peu trop évident...

[Rémy63]

Batum fait son auto-critique et n'y va pas avec le dos de la cuillière.

 

Je retranscris son interview depuis lequipe.fr :

 

Nicolas Batum a raté ses Jeux. Frustré par son utilisation en attaque, l'ailier de l'équipe de France regrette amèrement d'avoir été incapable de mettre ses états d'âme de côté. Il s'en explique aujourd'hui, dans un entretien exclusif.

C'était peut-être un signe. Le premier lieu de rendez-vous, un restaurant asiatique à deux pas de l'avenue des Champs-Élysées, était fermé... Il a donc fallu changer les plans, se replier au Paradis du fruit, pour conter l'échec collectif de l'équipe de France et les tourments personnels d'un joueur qui traversa les Jeux de Rio perdu et sans âme. Frustré par un rôle qui n'est plus le sien désormais à Charlotte, Nicolas Batum n'avait ni l'inspiration, ni le champ d'expression, ni l'envie de se battre au Brésil. À Paris ou en Normandie, auprès des siens, son amie Aurélie et son fils Ayden, il tente de tourner la page. Il a aussi discrètement repris le chemin de l'entraînement, au travers de séances intenses, en petit comité, partagées avec Joakim Noah la semaine passée ou Florent Pietrus mardi.

«Quel bilan global tirez-vous des JO ?
Très décevant. C'était peut-être notre tournoi le plus important et on n'est pas rentrés dedans. On était un peu trop confiants, du style "c'est bon, on se connaît, ça ira, on sera prêt le jour J."

Le plus décevant, c'est qu'on n'a jamais ressenti l'esprit qui avait animé l'équipe de France ces dernières années. On n'a pas eu le sentiment que vous étiez aux Jeux.
C'est ce que beaucoup de gens me disent... On s'est peut-être trop focalisés sur la demi-finale, avant de jouer le quart. Le tournoi n'avait pas débuté qu'on se demandait comment faire pour éviter telle ou telle équipe en demies ! Aujourd'hui, je cherche encore à savoir ce qui s'est passé. Collectivement et personnellement.

Justement, après trois semaines de silence et de recul, comment jugez-vous votre tournoi, à titre personnel ?
Cela a été peut-être ma pire compétition en huit ans.

Que s'est-il passé ?
C'est ce que j'ai dit à la fin du match contre l'Espagne et qui a fait beaucoup jaser. Depuis l'année dernière, je ne sais pas forcément ce que je dois faire.

Sur le terrain ?
Depuis que je suis dans le basket pro, j'obéis presque bêtement au rôle qu'on me donne. Quand j'étais au Mans, Vincent (Collet) m'a dit de faire ça, je l'ai fait. Quand je suis arrivé à Portland, on m'a dit : "Tu te tais, tu défends, tu es dans le coin", je l'ai fait pendant trois ans. Quand je suis arrivé à Charlotte, Steve Clifford (l'entraîneur des Hornets) m'a dit : "Maintenant, je veux que tu sois ça !" Et j'ai fait ça. En équipe de France, quand je suis arrivé en 2009, on m'a dit : "Nico, tu es lieutenant de Tony (Parker), tu es deuxième option offensive ", j'ai fait ça. Mais depuis deux ans, il y a eu un remaniement du cinq (majeur) et l'explosion de Nando (De Colo). Ce n'est surtout pas contre Nando, hein ! Depuis trois ans, je n'arrête pas de dire que c'est mon joueur préféré et qu'il mérite d'être là-haut. Le mec, il a pris tous les trophées individuels et collectifs en Europe cette année !

Mais sur la ligne extérieure Parker-De Colo-Batum, vous n'avez jamais trouvé votre place.
J'ai demandé à sortir du cinq majeur pour l'équilibre de l'équipe après l'Australie (premier match et défaite, 66-87). Entre ce qui s'était passé l'année dernière à l'Euro, puis au tournoi en Argentine fin juillet et après le premier match des Jeux, j'ai dit : "Ça ne marche pas." C'était flagrant. Je ne peux pas. Je suis un playmaker (créateur) aussi maintenant ! Cela fait quatre ans que je fais des passes, je crée... C'est pour ça que j'ai été payé si cher par Charlotte cet été. Je n'ai pas été payé à faire des coupes dans le dos (des défenseurs) ! Mais c'est ce que je ne peux pas faire en équipe de France où, dans ce rôle-là, dans le cinq de départ, on a déjà Tony et Nando.

Et que vous répond le sélectionneur lorsque vous lui proposez de démarrer sur le banc ?
Il me dit : "Non, continue, c'est à toi de t'adapter et jouer ton jeu quoi qu'il arrive". Là où j'ai été fautif, c'est que j'aurais pu passer au-dessus de ça, au lieu de me prendre la tête. Je sais jouer ce jeu, c'est comme ça que j'ai commencé au haut niveau. Là, c'est ma faute et je m'en veux énormément. Seulement, ça fait cinq ans que je suis passé à autre chose, que maintenant, ce n'est pas moi qui reçois les passes, c'est moi qui les fais, c'est moi qui crée les attaques. Je me suis dit que ce serait peut-être un meilleur équilibre pour l'équipe si je retournais sur le banc. Dans cette configuration, j'étais frustré. Je me disais : "P..., je peux faire tellement plus pour aider cette équipe à gagner."

À l'arrivée, vous passez à côté des JO et vous ruminez longtemps après votre frustration...
Cela m'a fait mal. Quand je suis rentré en France, je n'étais pas bien du tout. Je me suis cloîtré pendant une semaine. Pendant la canicule, je n'ai pas vu un bout de soleil ! J'étais à Paris, j'avais coupé mes téléphones, je ne parlais à personne. Je me sentais vraiment mal. Ce gâchis, la honte. Je ne voulais pas me montrer, je ne voulais surtout pas sortir ! Je l'ai vraiment pris personnellement car je pars du principe que si Batum fait son boulot, l'équipe de France gagne.

Et là, vous ne l'avez pas fait ?
Je me suis trop pris la tête par rapport à ce qu'était mon rôle dans cette équipe. Après l'Espagne, quelqu'un qui me connaît depuis mes débuts en NBA m'a dit : "J'ai cru revoir le Nicolas Batum de 2008." C'était ça. Celui qui se cherche, qui ne sait pas, qui n'a aucune idée de ce qu'il doit faire, qui est paumé sur le terrain. C'est pour cela que j'ai dit à Vincent : "Sors-moi du cinq !" Combien de mecs, titulaires, avec 125 sélections, les médailles gagnées, une place dans le meilleur cinq de la Coupe du monde il y a deux ans, un contrat de 120 millions de dollars (106,9 millions d'euros), vont voir le coach et lui disent : "Sors-moi du cinq, c'est mieux pour l'équipe ?" Qu'on me fasse passer pour une diva, ça m'énerve un peu. Je voulais sortir du cinq pour le bien de l'équipe et avoir, moi, un meilleur impact, en entrant dans un autre rôle.

Trivialement, l'association Parker, De Colo, Batum n'a pas fonctionné parce qu'il n'y a qu'un ballon pour trois ?
On a trois mecs qui, dans leur rôle, ont besoin du ballon pour faire quelque chose. On est trois créateurs, avec en plus Boris (Diaw, le capitaine) qui en est un aussi ! Voilà.

Pour vous, cet échec est d'autant plus visible que vous portez désormais le titre de sportif français le mieux payé. Dans l'esprit des gens, à 24 millions de dollars (21,4M€) par an, Nicolas Batum n'a plus le droit de se rater ainsi !
Je disais ça à un pote l'autre jour. Moi, je vois un mec à 120 millions de dollars faire ça, je suis le premier à l'insulter (il sourit) !

Avec le retrait de Parker, comment voyez-vous la suite ? Cette équipe de France sera-t-elle la vôtre ?
Elle ne sera pas qu'à moi. On change d'ère. Ça va peut-être libérer certaines personnes, Thomas Heurtel va prendre une autre dimension, Nando aussi. Quand on me dit que c'est Nando le boss en équipe de France aujourd'hui, je le sais. Ça ne me gêne pas. Là encore, s'il y a déjà deux créateurs dans le cinq et qu'on me dit : "Nicolas, tu commences sur le banc", je m'en fous ! C'est à moi de m'ajuster. C'est avec les erreurs qu'on apprend et là, j'ai fait une belle connerie cet été.

Comment avez-vous accueilli la reconduction de Vincent Collet à la tête des Bleus ?
On reste dans la continuité. Il a fait des résultats. On ne peut pas juger Vincent que sur cette année. Depuis 2009, il a remis l'équipe de France en haut de l'affiche.

Il reste l'homme de la situation ?
Je vais vous dire oui. Vous auriez mis qui d'autre à sa place ? Il fallait peut-être tourner la page et passer à autre chose ? Je ne sais pas. Peut-être. Vincent a fait ses preuves. Mais je pense qu'il ne faut pas qu'il cumule (coach de club et sélectionneur). Ce serait une erreur.

Cet échec olympique, vos cogitations, votre nouvelle vie de père de famille, tout cela peut-il enclencher une réflexion quant à votre avenir en équipe de France ?
Oui et non. Évidemment, la naissance de mon fils change la perception des choses et des étés maintenant. L'interrogation est là, mais ce n'est pas en rapport avec ce qui s'est passé cet été. Ça fait trois ans que je m'interroge : quand est-ce que je prendrai un été pour me reposer ? Je suis papa et je prends très à coeur ce rôle-là. Et c'est dur de partir de la maison maintenant.»

Resté au Brésil jusqu'au dernier dimanche des Jeux Olympiques, malgré l'élimination prématurée des Bleus en quarts de finale, Nicolas Batum n'a toujours pas digéré, trois semaines après. Jusqu'à ce samedi midi 10 septembre, près des Champs-Élysées, où il a accepté pour L'Équipe de se poser et de raconter, l'ailier des Charlotte Hornets a gardé le silence et beaucoup cogité, téléphone coupé, pas envie de parler ni de polémiquer. Son histoire est presque une confession. En apparence, le sportif français le mieux payé de l'histoire (120 millions de dollars sur cinq ans) a rentré sa colère et ne s'épargne pas. Dignement, il reconnaît les difficultés qu'il a eues à trouver sa place en attaque depuis deux ans, entre Parker et De Colo. Mais sous les mots du repenti, la frustration et l'incompréhension affleurent. Car il n'est pas le seul fautif dans cette sombre aventure olympique. Mal mis dans un schéma offensif qui ne lui a pas octroyé grande place, il a le sentiment que le sélectionneur français a oublié quel joueur il était devenu. Cela vaudra un débriefing en tête-à-tête. «Il va falloir», convient Batum. Vincent Collet lui a assuré qu'il viendrait le voir cette saison à Charlotte.