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[Lycha]

C'est sûr qu'avec son esprit de compétiteur, sa hargne et son mental, il était impossible qu'on ne le revoit pas évoluer à un très haut niveau.
Bezy à besoin de souffler, le retour du Boss arrive au meilleur moment. Le match est lancé pour la deuxième partie de saison et que le meilleur gagne sa place pour les phases finales

[jm12]

C'est sûr qu'avec son esprit de compétiteur, sa hargne et son mental, il était impossible qu'on ne le revoit pas évoluer à un très haut niveau.
Bezy à besoin de souffler, le retour du Boss arrive au meilleur moment. Le match est lancé pour la deuxième partie de saison et que le meilleur gagne sa place pour les phases finales

Les deux seront et heureusement en phase finale , sauf blessures hélas toujours possible avec l 'accumulation de ces rencontres de hauts niveaux!

 

Deux 9 de cette qualité avec un jeu différent mais collectivement complémentaire : que du bonheur pour l 'A S M .

[George Abitbol]

Mister George, y aurait-y pas moyen de nous faire un ch'tit gif sur sa passe pour décaler Damian Penaud, si par effet de votre bonté?

 

 

 

 

[JB 03]

'ci m'sieur !

[zeguest]

 
Oui mais
 
Il va pas aller vers une phase ascendante de sa carrière
et 
Ses récentes blessures aux genoux ne lui permettent plus de courir comme un lapin
et 
La concurrence est sévère
 
Donc les critiques devraient continuer... à augmenter

Au poste de 9 l âge est souvent un allié. Enfin l expérience. Après à 18 ans il jouait déjà comme un vieux briscard. Entre sa défense et sa qualité de buteur de niveau mondial il apportera encore.

[celois]

 

 

Merci je crois que je pourrais regarder ces gifs 150 fois sans me lasser !

[George Abitbol]

 

« Le mec a inventé la passe au pied avec les mains. »

 

« Autre match hautement spectaculaire, l’opposition entre Bristol et Clermont. Beaucoup de beaux essais ont été marqués, mais mention spéciale à celui de Damian Penaud, à la réception d’une superbe passe sautée de Morgan Parra. Évidemment, ça aurait beaucoup moins bien marché avec Marc Andreu sur l’aile… »

 

 

 

 

Depuis https://actu.fr/spor...e_38093728.html

[el landeno]

Morgan Parra (Clermont) : «Comme si je repartais de zéro» Éloigné des terrains durant presque deux mois à cause du Covid-19, le demi de mêlée revient sur cette période difficile qui l'a « rendu un peu fou ». Le Français évoque aussi son avenir et celui de Clermont

Il y a quasiment deux ans, Morgan Parra avait laissé la porte ouverte à un long entretien durant le Tournoi 2019, qui sonnera finalement le glas de sa carrière internationale après une lourde défaite en Angleterre (44-8, le 10 février 2019). On l'avait relancé aux abords du Stade de France quelques mois plus tard en marge de la finale du Top 14 entre Toulouse et Clermont.

 

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On avait retenté notre chance en fin d'année après le Mondial au Japon et ces rumeurs de départ de Clermont. Une fois de plus, le demi de mêlée (32 ans) avait poliment refusé, ne souhaitant pas entrer dans une polémique qui n'existait pas. De retour à la compétition après deux mois d'absence en raison du coronavirus, le Français a enfin accepté l'idée d'un entretien. Pendant près d'une heure, il s'est exprimé posément, avec passion, évoquant le Covid-19, la reconstruction entamée par Clermont, et son avenir.

Le Covid-19

«Vous avez été éloigné des terrains près de deux mois en raison du Covid-19. Que s'est-il passé ?
J'ai ressenti les premiers symptômes la semaine du déplacement à Bordeaux (prévu le 11 octobre, mais annulé). Le vendredi matin, j'étais vraiment très faible et le médecin m'a renvoyé à la maison. Dans la foulée, le test que j'avais passé la veille était positif. J'ai été placé à l'isolement pendant onze jours où j'ai cumulé tous les symptômes : température, courbatures, perte du goût, perte de l'odorat, la tête qui tourne, la toux, etc. Tout sauf des problèmes respiratoires. Mais c'était chaud. Puis, pendant quinze jours, je n'avais pas le droit de me rendre au stade. C'est le protocole. Donc j'étais déjà quasiment à un mois d'arrêt. Ensuite, j'ai repris petit à petit, mais tu es vite fatigué. Cela a traîné. Ça m'a quand même rendu un peu fou. Après deux mois de confinement, deux mois de préparation, j'avais l'impression d'être bien, et derrière je chope le Covid. C'est comme si je repartais de zéro.

Avez-vous eu peur que cela empire ?
J'ai eu quatre jours très difficiles. J'alternais entre mon lit et le canapé. C'est la première fois de ma vie que je suis au fond de mon lit comme ça. J'étais cassé ! Eh oui, j'ai eu peur que ça s'emballe, et que je passe en réanimation. J'ai la chance d'avoir été très bien suivi. J'ai aussi compris qu'on est tous différents. Être sportif et en bonne santé, ça ne change rien. C'est assez incroyable alors j'étais très précautionneux des gestes barrières. Je pense l'avoir chopé par quelqu'un d'asymptomatique. J'ai aussi perdu deux ou trois kilos.

Aujourd'hui, est-ce derrière vous ?
Oui, je n'ai plus de symptômes. Des séquelles non plus, même si on n'a sans doute pas assez de recul sur cette maladie pour vraiment le savoir. Après, la vraie question que je me pose un peu en rigolant est : "Quand je suis dans le dur, c'est encore le Covid ou c'est parce que je suis dans le dur physiquement ?" (il sourit). C'était un mauvais moment à passer, mais en comparaison de nombreuses personnes, dont certaines sont décédées, je n'ai pas à me plaindre.»

La situation de Clermont

«On a beaucoup entendu dire que Clermont était en reconstruction. Est-ce toujours le cas ?
J'aurais préféré que ce ne soit pas le cas. Depuis le titre de champion en 2010, on a gagné qu'un trophée en 2017. Je ne compte pas volontairement le Challenge européen (2019). J'aurais aimé qu'on en gagne plus. Une remise en question a été faite. On a essayé de trouver des solutions pour avancer. Mais c'est aussi lié à notre effectif qui a beaucoup évolué. Si vous prenez le quart de finale de Coupe d'Europe perdu face au Racing 92 (27-36, le 19 septembre), on alignait de très bonnes recrues avec beaucoup de talent, mais qui n'avait pas forcément un vécu commun. Ce groupe a besoin de temps, c'est pour ça qu'il ne faut pas juger notre équipe trop rapidement. Cette reconstruction est globale. Il y a aussi notre style de jeu qui a changé avec l'apport de Xavier Sadourny. Il y a l'intégration de Benson Stanley à notre staff pour s'occuper de la défense. Franck Azéma a pris un peu de hauteur sur le management. C'est une accumulation de petits détails qu'on doit digérer.

«Je souhaite aux Bleus d'être champions du monde»

La dernière des 71 sélections de Morgan Parra remonte au 10 février 2019 et un revers à Twickenham face à l'Angleterre (44-8).Après la rencontre, le demi de mêlée avait notamment déclaré que les Bleus « ne travaillaient pas assez » pour expliquer la défaite. Pour le match suivant, face à l'Écosse, le sélectionneur Jacques Brunel ne l'avait pas convoqué, lui préférant Antoine Dupont, tout en assurant qu'il s'agissait d'un « choix sportif ».
 
Presque deux ans plus tard, Parra revient sur cet épisode. « Il y avait besoin de dire les choses, explique le Clermontois. Je me suis exprimé après une défaite sur ce qui n'avait pas fonctionné dans la semaine. Les gens ont interprété mes propos, et m'ont critiqué. Mais j'avais eu une discussion en tête-à-tête avec Jacques Brunel pour lui expliquer mon point de vue. » Quand on lui demande s'il a le sentiment d'avoir été sanctionné pour ces propos, Parra assure que non. « J'ai parlé pour le collectif. Ce n'était pas méchant », estime-t-il.
 
Est ce que la plaie est encore ouverte ? « C'est comme ça, relativise le joueur de l'ASM. J'aurais préféré terminer sur un titre de champion du monde au Japon. Aujourd'hui, je suis content. Il y a une super génération en bleu, une équipe de fou avec des joueurs talentueux à tous les postes. Pour la Coupe du monde 2023, ça donne de l'espoir. Je leur souhaite d'être champions du monde ! Je suis derrière eux, je suis supporter. J'ai fait mon temps en équipe de France, c'est fini. J'ai eu la chance de jouer pour ce maillot, de me régaler, de gagner le Grand Chelem (2010), de disputer deux Coupes du monde (2011 et 2015), de vivre de belles choses. » Quid de son successeur Dupont ? « Il a des qualités individuelles hors norme. Il a tout pour être un des meilleurs demis de mêlée du monde. »

Le mot reconstruction est peut-être un peu fort. On pourrait plutôt parler d'évolution ?
C'est une reconstruction car l'effectif a beaucoup évolué. On a perdu de nombreux cadres : Abendanon, Toeava, Kayser, Zirakashvili, Chouly... Des anciens, des leaders.

La vie du club a aussi été marquée par le décès de votre président, Éric de Cromières. Comment avez-vous vécu ce triste épisode ?
Le monde du rugby et le club de Clermont ont perdu quelqu'un de bien. Si on enlève l'étiquette du président, il était humain, très proche des joueurs. Il était à part. Maintenant, il faut avancer. Un nouveau président a été nommé (Jean-Michel Guillon). Il est différent, mais il est aussi très attaché à l'humain, à l'importance des hommes. »

Son avenir

«Vous serez en fin de contrat en juin 2022, vous aurez 33 ans. Voyez-vous plus loin ? Vous voyez-vous arrêter ?
Je ne peux pas répondre à cette question. Je n'ai pas envie de m'avancer. Aujourd'hui, je vois juin 2022. Si à ce moment-là, je suis encore bien physiquement, que je peux apporter quelque chose, encadrer...

Passer le relais tranquillement...
(Il coupe.) Tranquillement non ! Je ne sais pas faire. Je reste un compétiteur. Si c'est tranquillement, ça ne sert à rien. Il faut arrêter ! Si je suis compétitif, que j'ai encore l'envie de gagner et que le corps suit, tout est envisageable. Si ce n'est pas le cas, j'arrêterai. Mais je ne suis pas du genre à faire des plans. Je ne me suis pas projeté. Tout est ouvert. On se dit souvent "je vais faire si, je vais faire ça..." Mais finalement, il se passe tellement de choses imprévues que ça ne se passe jamais comme on l'a imaginé. Aujourd'hui, je veux profiter.

Vous n'avez jamais quitté l'ASM. Est-ce un regret ?
Il n'y a aucun regret. Tout ce que j'ai vécu, tout ce qui m'est arrivé, c'est grâce à l'ASM. On est venu taper à la porte, il y a eu des contacts avec mon agent, mais ça n'a jamais été plus loin. Pourquoi ? Parce que je suis dans un des meilleurs clubs français. Clermont me fait confiance. Je suis très bien dans cette ville.

En novembre 2019, le président de Cromière avait déclaré que vous aviez "un bon de sortie" ... Que s'est-il passé, vous ne vous êtes jamais exprimé sur cet épisode...
Quand tu es dans un club depuis plusieurs saisons, que ça ronronne, que tu es un peu dans le dur, que ça tourne moins, tu te poses des questions. Peut-être que mon discours ne passait plus. En revanche, ça n'a jamais été une question financière. Le club avait besoin d'évoluer et c'est ce qui s'est passé comme je l'ai expliqué. J'ai eu une discussion avec le président, et Franck Azéma. Et non l'inverse. Je n'ai pas eu de contacts avec d'autres clubs puis demandé à partir. C'est important de le préciser. Tout a été très clair, très carré entre le président et Franck. Il n'y a jamais eu de polémique. C'est pour cette raison que je ne m'étais pas exprimé à l'époque. Le problème, c'est que les gens pensent savoir à ma place et écrivent tout et n'importe quoi. Paix à Éric. Je suis venu le voir, la discussion a été constructive et l'aventure continue.

Personnellement, dans votre aventure à Clermont, qu'est-ce qui manque ?
La Coupe d'Europe ! On perd trois finales (2013, 2015, 2017). La pire, c'est 2013. On domine la scène européenne, on domine cette finale et malheureusement, par un manque de maîtrise sur la fin, on la perd (face à Toulon 15-16). C'est celle qui me laisse le plus de regrets. C'est sans doute la finale la plus douloureuse que j'ai disputée dans ma carrière. Plus que la finale de la Coupe du monde 2011 (défaite 8-7 face à la Nouvelle-Zélande) même si elle fait mal aussi.

Personnellement, après vos deux mois de galère, ça fait aussi du bien de sortir un gros match comme à Bristol (38-51) ?
Quand un truc comme le Covid vous tombe dessus, vous êtes à la recherche d'un match comme ça où vous retrouvez vos sensations. Surtout que j'avais repris le week-end précédent par une défaite à domicile face à Montpellier (15-21). Ça fait chier ! À Bristol, j'ai pris du plaisir collectif, c'est important. Jouer au Michelin sans supporters, ça fait bizarre. Mais malheureusement, avec le Covid, on ne maîtrise rien.»

 

 

[Sushi]

Morgan Parra (Clermont) : «Comme si je repartais de zéro»
 

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Merci beaucoup !👍

[celois]

Merci pour le partage !

 

Le Merdeux n'a pas encore dit son dernier mot ! 32 ans pour un 1/2 de mêlée c'est pas la fin, et il nous l'a bien montré le week-end dernier.

[Oscar]

Gros match de Parra, maintenant la passe pour Penaud me paraît casse gueule.

[Ptolémée]

Gros match de Parra, maintenant la passe pour Penaud me paraît casse gueule.

 

autant de chances que ça puisse être un contre assassin 

[celois]

Gros match de Parra, maintenant la passe pour Penaud me paraît casse gueule.

 

 

 

autant de chances que ça puisse être un contre assassin 

 

Impossible d'avoir un contre assassin, il y avait un avantage sur pénalité.

 

Cette passe est donc à ranger dans les coups de génie qui sont parfois tentés sur avantage, avec un risque limité !

[zorro]

Quand on y pense il a y de quoi avoir des regrets. Parra, Rougeur, Bonnaire...sont passés à 2 reprises si près de titres majeurs qu'ils auraient mérités de gagner

[Ptolémée]

 

 

 

Impossible d'avoir un contre assassin, il y avait un avantage sur pénalité.

 

Cette passe est donc à ranger dans les coups de génie qui sont parfois tentés sur avantage, avec un risque limité !

 

autant pour moi , j'ai pas vu l'arbitre signaler l'avantage