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[la bella y la Bestia]

pas toutes je crois..

Par ex un joueur qui commence la saison en top 14 sous les couleurs d'un club, et les finit sous d'autres couleurs .. si c'est déjà fait ça ??

je ne sais plus

mais ca viendra

[Kirky]

 

c'est bien la question que tout le monde se pose

sans que personne puisse  apporter une réponse

clairement vérifiable ...Pour autant , des suspicions

il y en à surement , faut'il encore à l'étage du dessus

en avoir la volonté ..

MB en parle ouvertement sur le Midol du jour.

Je ne crois pas que l'ASM fasse partie des pipasses en matière de gestion financière... quand on sait qui dirige le club...  

Intégration

 

FORCE DE L’HABITUDE, L’ASMCA  FAIT PARTIE DES CLUBS LES PLUS STRUCTURÉS DE FRANCE EN MATIÈRE 

D’ACCUEIL D’UN  JOUEUR ÉTRANGER. LE MANAGER NEIL MCILROY, EN CHARGE DE CES DOSSIERS, NOUS DÉTAILLE 

SA MÉTHODE.

LA RECETTE CLERMONT

Par Léo FAURE

leo.faure@midi-olympique.fr

 

le dispositif que les  Clermontois mettent en place, pour choisir et accueillir leurs joueurs 

étrangers, est  impressionnant. Exhaustif jus- que dans le moindre détail. Pas de l’altruisme : les 

 Auvergnats espè-

rent y trouver, en retour, un intérêt sportif.

« Nous faisons beaucoup pour eux,  c’est  vrai, confirme le manager Neil  McIlroy. Nous orga-

nisons toutes les bases de leur  vie  extra-spor- tive. Mais  c’est un échange. En retour, les 

joueurs

n’ont  aucune excuse pour ne pas  être  investis

dans le club, tous  les jours et à 100 % ». L’Écossais, homme à tout faire du  staff clermontois, 

est

notamment en charge de tout ce qui  concerne le  recrutement des joueurs étrangers, de  la

prise de  contact jusqu’à leur accueil sur site. Il nous ouvre les  portes de  son dispositif.

 

* LE CHOIX HUMAIN

« Nous sommes conscients que Clermont, à l’étran-

ger, n’est pas très connue. Pour  attirer des joueurs, nous n’avons pas  l’argument des lumières 

pari-

siennes ou  du  sable  fin  de Toulon. Quand un joueur choisit Clermont, c’est avant tout pour ce

qu’on  lui propose sur  le terrain. C’est  déjà  un premier bon point. Ensuite, nous nous appuyons beaucoup sur  notre réseau d’anciens joueurs. Il est 

important que ceux  qui ont quitté le club soient partis en bons termes, parce qu’ils vont  faire  

no- tre promotion. Les  joueurs parlent entre eux,  le monde du  rugby est  assez petit et nos  

anciens joueurs sont  nos  ambassadeurs. Il s’agit  par exemple de Stephen Jones, Tony Marsh ou 

John Smit. Nous sommes en contact avec  eux,  pour discuter de la valeur humaine du mec qu’on veut 

recruter. Nous sommes extrêmement attentifs à ce critère parce que  c’est  le plus  dur  à évaluer. 

Pour  le sportif il y a les vidéos, les statistiques… C’est  assez facile. Mais  humainement, nous 

ne pouvons pas  nous tromper. Le groupe va vivre ensemble onze mois sur  douze, il faut  que  Pour 

cela, il nous arrive de nous déplacer personnel- lement à l’étranger, à la rencontre du joueur. 

Pour tenter d’emporter sa décision mais aussi juger, sur place, de la personne que nous avons 

ciblée.  »

 

* LE TRAVAIL EN AMONT

« Lorsque le joueur a signé, il lui a été remis un livret d’accueil sur  le fonctionnement du club  

et

de la ville. Mais  aussi du pays, de son  adminis- tration, des écoles, des fêtes nationales. De la 

cul-

ture  française en général. Il est  ensuite consulté sur  ses  envies pour son  habitation : est-ce 

qu’il

veut une maison avec piscine, à l’extérieur de la ville,ou un appartement en ville ? En fonction, nous or- ganisons des visites et nous lui trouvons une 

loca- tion. Enfin, nous lançons toutes les démarches ad- ministratives. À son  arrivée, le club  

lui prête un téléphone, lui donne les clés  de sa voiture et or- ganise pour lui toutes les 

démarches administra- tives : internet, compte bancaire, carte  de séjour… Le but est que le joueur 

puisse très vite récupérer l’ensemble, qu’il ne soit pas  préoccupé avec ça.»

 

* « HAPPY WIFE, HAPPY LIFE »

« Après son  arrivée, le gros  de notre attention

se porte plutôt sur  la femme du joueur et éven- tuellement ses  enfants. En anglais, nous avons

ce dicton : « happy wife,  happy life  »*. Les

joueurs ont  une  langue universelle, celle  des crampons et du  terrain. Ils  ont  des  journées

bien  remplies. Pour  les femmes des joueurs, no- tre nutritionniste organise des  visites au mar-

ché  pour expliquer la spécificité des  produits français, les différences avec  ce qu’ils  peuvent

trouver chez eux  mais aussi les  équivalences

de  produits, pour que  toute  la famille trouve rapidement des repères. Il y a aussi un club des

femmes de joueurs. On organise des visites, des sorties au restaurant et des animations autour des  

matchs. » ■

 

* femme  heureuse,  vie heureuse

[ELSAZOAM]

on s'en remettra ...pour la plupart....

Sans problèmes, dans quelques temps on aura peut-être un autre joueur aussi bon que Nap's et son souvenir s'estompera petit à petit !

C'est la vie et personnellement ,tout ça ne m'émeut pas beaucoup...

[lepoeeete]

 

MB en parle ouvertement sur le Midol du jour.

Intégration

 

FORCE DE L’HABITUDE, L’ASMCA  FAIT PARTIE DES CLUBS LES PLUS STRUCTURÉS DE FRANCE EN MATIÈRE 

D’ACCUEIL D’UN  JOUEUR ÉTRANGER. LE MANAGER NEIL MCILROY, EN CHARGE DE CES DOSSIERS, NOUS DÉTAILLE 

SA MÉTHODE.

LA RECETTE CLERMONTOISE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Léo FAURE

leo.faure@midi-olympique.fr

 

e dispositif que les  Clermontois mettent en place, pour choisir et accueillir leurs joueurs 

étrangers, est  impressionnant. Exhaustif jus- que dans le moindre détail. Pas de l’altruisme : les 

 Auvergnats espè-

rent y trouver, en retour, un intérêt sportif.

« Nous faisons beaucoup pour eux,  c’est  vrai, confirme le manager Neil  McIlroy. Nous orga-

nisons toutes les bases de leur  vie  extra-spor- tive. Mais  c’est un échange. En retour, les 

joueurs

n’ont  aucune excuse pour ne pas  être  investis

dans le club, tous  les jours et à 100 % ». L’Écossais, homme à tout faire du  staff clermontois, 

est

notamment en charge de tout ce qui  concerne le  recrutement des joueurs étrangers, de  la

prise de  contact jusqu’à leur accueil sur site. Il nous ouvre les  portes de  son dispositif.

 

* LE CHOIX HUMAIN

« Nous sommes conscients que Clermont, à l’étran-

ger, n’est pas très connue. Pour  attirer des joueurs, nous n’avons pas  l’argument des lumières 

pari-

siennes ou  du  sable  fin  de Toulon. Quand un joueur choisit Clermont, c’est avant tout pour ce

qu’on  lui propose sur  le terrain. C’est  déjà  un

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

premier bon point. Ensuite, nous nous appuyons beaucoup sur  notre réseau d’anciens joueurs. Il est 

important que ceux  qui ont quitté le club soient partis en bons termes, parce qu’ils vont  faire  

no- tre promotion. Les  joueurs parlent entre eux,  le monde du  rugby est  assez petit et nos  

anciens joueurs sont  nos  ambassadeurs. Il s’agit  par exemple de Stephen Jones, Tony Marsh ou 

John Smit. Nous sommes en contact avec  eux,  pour discuter de la valeur humaine du mec qu’on veut 

recruter. Nous sommes extrêmement attentifs à ce critère parce que  c’est  le plus  dur  à évaluer. 

Pour  le sportif il y a les vidéos, les statistiques… C’est  assez facile. Mais  humainement, nous 

ne pouvons pas  nous tromper. Le groupe va vivre ensemble onze mois sur  douze, il faut  que  Pour 

cela, il nous arrive de nous déplacer personnel- lement à l’étranger, à la rencontre du joueur. 

Pour tenter d’emporter sa décision mais aussi juger, sur place, de la personne que nous avons 

ciblée.  »

 

* LE TRAVAIL EN AMONT

« Lorsque le joueur a signé, il lui a été remis un livret d’accueil sur  le fonctionnement du club  

et

de la ville. Mais  aussi du pays, de son  adminis- tration, des écoles, des fêtes nationales. De la 

cul-

ture  française en général. Il est  ensuite consulté sur  ses  envies pour son  habitation : est-ce 

qu’il

veut une maison avec piscine, à l’extérieur de la ville,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ou un appartement en ville ? En fonction, nous or- ganisons des visites et nous lui trouvons une 

loca- tion. Enfin, nous lançons toutes les démarches ad- ministratives. À son  arrivée, le club  

lui prête un téléphone, lui donne les clés  de sa voiture et or- ganise pour lui toutes les 

démarches administra- tives : internet, compte bancaire, carte  de séjour… Le but est que le joueur 

puisse très vite récupérer l’ensemble, qu’il ne soit pas  préoccupé avec ça.»

 

* « HAPPY WIFE, HAPPY LIFE »

« Après son  arrivée, le gros  de notre attention

se porte plutôt sur  la femme du joueur et éven- tuellement ses  enfants. En anglais, nous avons

ce dicton : « happy wife,  happy life  »*. Les

joueurs ont  une  langue universelle, celle  des crampons et du  terrain. Ils  ont  des  journées

bien  remplies. Pour  les femmes des joueurs, no- tre nutritionniste organise des  visites au mar-

ché  pour expliquer la spécificité des  produits français, les différences avec  ce qu’ils  peuvent

trouver chez eux  mais aussi les  équivalences

de  produits, pour que  toute  la famille trouve rapidement des repères. Il y a aussi un club des

femmes de joueurs. On organise des visites, des sorties au restaurant et des animations autour des  

matchs. » ■

 

* femme  heureuse,  vie heureuse

 

et il avoue ???

[Gibbs]

Hors taxes.
 

 

Ne t'inquiète donc pas, nous sommes le club le plus surveillé de France !

 

Par conséquent, soit les contrôleurs sont nuls, soit il n'y a rien de répréhensible.

 

Par ailleurs, n'oublions pas que les départs de Botha, Smith, Wulf, O'Connor et possiblement Masoe (dépendra de ses performances sportives) et Hayman (on s'oriente plutôt vers un arrêt) vont libérer de la masse salariale.

Masse salariale déjà existante, qui doit bien être supérieure à celle du salary cap.... Ma Nonu ne va pas venir gratos non plus .... et je ne crois pas que la pléiade de stars au RCT fait l'amour à l'oeil, et tous ne partiront pas !!!

Bref, je suis très perplexe...!!!

[barth63]

moi,je conserve ma totale confiance à Julien et The End,qui annoncent clairement depuis hier qu'il va prolonger.

 

et je ne bougerai pas de ça,même si le Midol s'avance un peu trop (comme d'hab) et qu'ils vous envoie Ashton à la place (qui,amha,doit couter bien plus cher que Nalaga).

 

stop aux ragots de la Provence,de RMC,ils nous font tous chier !

 

et David Smith à Paris,ça ressemble fortement à une "Paul Sackey"......il s'éclate à Toulon,il va se faire chier  là bas.

oui les fidjiens sont souvent sous-payés, car arrivant dans un monde complétement nouveau avec des sommes qui leurs semblent déjà énormes! (du moins au début)

ça se trouve il touchait 10 000/mois le nalaga, quand tout le reste de la ligne de 3/4 est à  15 ou 20 000...

[Gibbs]

Je ne crois pas que l'ASM fasse partie des pipasses en matière de gestion financière... quand on sait qui dirige le club...  

Moi non plus, d'où mes doutes.... Et je ne pense pas non plus que les autres clubs (RM92,  Toulouse, CO, MHRC...) sont gérés par des pipasses...Donc ?.....

[lepoeeete]

Sans problèmes, dans quelques temps on aura peut-être un autre joueur aussi bon que Nap's et son souvenir s'estompera petit à petit !

C'est la vie et personnellement ,tout ça ne m'émeut pas beaucoup...

Moi un peu pareil, même si ce sera pas si simple de trouver aussi bon que Nalaga sur l'aile ..

En tout cas ça m'émeut moins que la terrine maison que je viens de sortir de la cuisinière à bois ... une tuerie !!! 

[ELSAZOAM]

 

MB en parle ouvertement sur le Midol du jour.

Intégration

 

FORCE DE L’HABITUDE, L’ASMCA  FAIT PARTIE DES CLUBS LES PLUS STRUCTURÉS DE FRANCE EN MATIÈRE 

D’ACCUEIL D’UN  JOUEUR ÉTRANGER. LE MANAGER NEIL MCILROY, EN CHARGE DE CES DOSSIERS, NOUS DÉTAILLE 

SA MÉTHODE.

LA RECETTE CLERMONT

Par Léo FAURE

leo.faure@midi-olympique.fr

 

le dispositif que les  Clermontois mettent en place, pour choisir et accueillir leurs joueurs 

étrangers, est  impressionnant. Exhaustif jus- que dans le moindre détail. Pas de l’altruisme : les 

 Auvergnats espè-

rent y trouver, en retour, un intérêt sportif.

« Nous faisons beaucoup pour eux,  c’est  vrai, confirme le manager Neil  McIlroy. Nous orga-

nisons toutes les bases de leur  vie  extra-spor- tive. Mais  c’est un échange. En retour, les 

joueurs

n’ont  aucune excuse pour ne pas  être  investis

dans le club, tous  les jours et à 100 % ». L’Écossais, homme à tout faire du  staff clermontois, 

est

notamment en charge de tout ce qui  concerne le  recrutement des joueurs étrangers, de  la

prise de  contact jusqu’à leur accueil sur site. Il nous ouvre les  portes de  son dispositif.

 

* LE CHOIX HUMAIN

« Nous sommes conscients que Clermont, à l’étran-

ger, n’est pas très connue. Pour  attirer des joueurs, nous n’avons pas  l’argument des lumières 

pari-

siennes ou  du  sable  fin  de Toulon. Quand un joueur choisit Clermont, c’est avant tout pour ce

qu’on  lui propose sur  le terrain. C’est  déjà  un premier bon point. Ensuite, nous nous appuyons beaucoup sur  notre réseau d’anciens joueurs. Il est 

important que ceux  qui ont quitté le club soient partis en bons termes, parce qu’ils vont  faire  

no- tre promotion. Les  joueurs parlent entre eux,  le monde du  rugby est  assez petit et nos  

anciens joueurs sont  nos  ambassadeurs. Il s’agit  par exemple de Stephen Jones, Tony Marsh ou 

John Smit. Nous sommes en contact avec  eux,  pour discuter de la valeur humaine du mec qu’on veut 

recruter. Nous sommes extrêmement attentifs à ce critère parce que  c’est  le plus  dur  à évaluer. 

Pour  le sportif il y a les vidéos, les statistiques… C’est  assez facile. Mais  humainement, nous 

ne pouvons pas  nous tromper. Le groupe va vivre ensemble onze mois sur  douze, il faut  que  Pour 

cela, il nous arrive de nous déplacer personnel- lement à l’étranger, à la rencontre du joueur. 

Pour tenter d’emporter sa décision mais aussi juger, sur place, de la personne que nous avons 

ciblée.  »

 

* LE TRAVAIL EN AMONT

« Lorsque le joueur a signé, il lui a été remis un livret d’accueil sur  le fonctionnement du club  

et

de la ville. Mais  aussi du pays, de son  adminis- tration, des écoles, des fêtes nationales. De la 

cul-

ture  française en général. Il est  ensuite consulté sur  ses  envies pour son  habitation : est-ce 

qu’il

veut une maison avec piscine, à l’extérieur de la ville,ou un appartement en ville ? En fonction, nous or- ganisons des visites et nous lui trouvons une 

loca- tion. Enfin, nous lançons toutes les démarches ad- ministratives. À son  arrivée, le club  

lui prête un téléphone, lui donne les clés  de sa voiture et or- ganise pour lui toutes les 

démarches administra- tives : internet, compte bancaire, carte  de séjour… Le but est que le joueur 

puisse très vite récupérer l’ensemble, qu’il ne soit pas  préoccupé avec ça.»

 

* « HAPPY WIFE, HAPPY LIFE »

« Après son  arrivée, le gros  de notre attention

se porte plutôt sur  la femme du joueur et éven- tuellement ses  enfants. En anglais, nous avons

ce dicton : « happy wife,  happy life  »*. Les

joueurs ont  une  langue universelle, celle  des crampons et du  terrain. Ils  ont  des  journées

bien  remplies. Pour  les femmes des joueurs, no- tre nutritionniste organise des  visites au mar-

ché  pour expliquer la spécificité des  produits français, les différences avec  ce qu’ils  peuvent

trouver chez eux  mais aussi les  équivalences

de  produits, pour que  toute  la famille trouve rapidement des repères. Il y a aussi un club des

femmes de joueurs. On organise des visites, des sorties au restaurant et des animations autour des  

matchs. » ■

 

* femme  heureuse,  vie heureuse

 

Toute l'organisation décrite dans ton post est purement la culture Michelin !!!

Les dispositions prises pour les joueurs sont les mêmes que pour les gens qui viennent des autres usines en déplacement à Clermont chez Bib !

[gourmachou]

Moi un peu pareil, même si ce sera pas si simple de trouver aussi bon que Nalaga sur l'aile ..

En tout cas ça m'émeut moins que la terrine maison que je viens de sortir de la cuisinière à bois ... une tuerie !!! 

j'ai faim

[Kirky]

sinon,pour ceux qui ne l'ont pas lu,l'extrait du Midol:

 

Transferts

 

 

 

LE MARCHÉ DES AILIERS VIENT DE CONNAÎTRE  UN COUP D’ACCÉLÉRATEUR AVEC LE DÉPART DU CLERMONTOIS 

NAPOLIONI NALAGA  POUR TOULON. DAVID SMITH  ANIME  AUSSI LE MARCHÉ ET CLERMONT VA DEVOIR S’ACTIVER.

 

 

TOULON VA CHIPER NALAGA,

DAVID SMITH VERS PARIS

Par Pierre-Laurent GOU (avec Vincent BISSONNET)

pierre-laurent.gou@midi-olympique.fr

 

e Fidjien Napolioni Nalaga va lancer le  jeu  des chaises musi- cales chez les  ailiers. Ce  same- 

di, nos confrères de

faisaient état du  prochain enga- gement du  Clermontois. Il sem-

ble  que les  conseils du  joueur aient préve- nu les  dirigeants auvergnats que leur offre

de prolongation pour trois saisons, avec re-

valorisation salariale à la clé,  n’était pas la mieux disante. En effet, le RCT a fait  de l’en-

gagement de  Napolioni Nalaga l’un  de  ses dossiers prioritaires.

Le profil du joueur de 28 ans plaît énormément à Bernard Laporte alors que Toulon devrait se

séparer des Néo-Zélandais Rudi Wulf (30 ans,

4 sélections) et David Smith (29 ans), en fin de  contrat. Toulon était à la recherche d’un

ailier et aurait obtenu l’accord du joueur quel- ques heures avant l’affrontement de  ce sa-

medi à l’Allianz Riviera, entre le  RCT  et l’ASMCA. Partant de Mayol, David Smith, ac-

tuellement deuxième meilleur réalisateur du Top 14 avec huit essais, ne manque pas de convoitises. 

À commencer par le Castres olym- pique, en quête d’un finisseur. Selon nos in- formations, le  

Néo-Zélandais a rencontré, cette semaine, le  futur manager du  CO, Christophe Urios, en région 

parisienne. Le projet proposé par l’actuel patron sportif de l’US  Oyonnax aurait plu  à David 

Smith. Problème : Castres ne peut lui assurer, à ce jour, une place dans l’élite, tout comme la 

Section paloise dont l’intérêt pour le joueur date de plusieurs semaines. David Smith a en sa po- 

sition deux propositions écrites venues de ses  deux clubs mais pourrait encore atten- dre avant de 

se décider.

 

QUELLE PLACE POUR ASHTON  ?

Surtout que Castrais et  Palois ont  vu  leurs plans contrecarrés, mercredi dernier, par

l’émergence d’un nouveau concurrent. David

Smith a en effet été  reçu par les  recruteurs du Stade français. Les  dirigeants parisiens ne

lui  ont  pas encore formulé d’offre écrite.

Mais, ce  week-end, dans l’entourage du joueur, on annonçait que la candidature pa-

risienne était en pole position pour empor- ter la décision du  Néo-Zélandais.

L’Anglais  Chris Ashton (27  ans, 39 sélec-

tions) s’impatiente de son côté. Il pourrait voir des opportunités arriver avec ce jeu  de chai-

ses  musicales. Le joueur des Saracens, en-

core sous contrat pour une saison avec l’équipe londonienne, souhaiterait être li-

béré par son club pour venir en France. Son

CV semblait figurer en bonne place au Stade français au  cas  où  le club parisien décide- rait  de 

 le v e r  la  clause  libératoire  de 

l’Australien Digby Ioane. Mais  il semble que

cette piste se  soit  refroidie avec l’intérêt des Stadistes pour David Smith.

Autre club susceptible d’être intéressé, Clermont qui  va  se  mettre à la  recherche

d’un suppléant à Napolioni Nalaga. Chris

Ashton a été  proposé aux Auvergnats il y a plusieurs  semaines  mais  ces  derniers 

n’a v aient pas répondu. Nalaga parti - Clermont attendait ce  week-end que son

joueur lui  confirme l’information sur son futur départ pour Toulon, l’ASMCA  pour-

rait être amenée à étudier de  plus près le dossier Ashton. ■

[Bad Zé]

Il faudra juste constater, si le départ se confirme, que l ASM n est plus mesure de garder ses meilleurs joueurs.

Je ne crois pas qu'il faille en tirer ce genre de conclusion, d'une part parce que rien d'officiel pour l'instant, d'autre part parce que, si j'en crois ce qui est dit, ça n'a pas dû arriver souvent qu'un club surencherisse de 25% sur une offre de contrat déjà révaluée. Si ça avait été le cas même 2 ou 3 ans auparavant, du temps de notre splendeur selon certains, la réaction de l'asm aurait certainement été la même.

S'aligner sur cette offre serait à mon sens un précédent de très mauvaise augure pour la gestion du club.

Moi aussi je souhaite ardemment qu'il reste, mais des ailliers de très haut niveau, Toulon ne pourra pas tous les prendre, il en restera toujours pour nous, donc on ne se désarmera pas pour autant.

Enfin il faudra quand même un jour que Boudjellal s'explique point par point sur la manière dont il procède pour rester dans les contraintes fixées par la ligue, tout en multipliant les offres hors norme sur le marché des transferts.

[ELSAZOAM]

Moi un peu pareil, même si ce sera pas si simple de trouver aussi bon que Nalaga sur l'aile ..

En tout cas ça m'émeut moins que la terrine maison que je viens de sortir de la cuisinière à bois ... une tuerie !!! 

Et tu nous dis ça à l'hure qu'il est !!!??? Ben ça y est, j'ai un gros creux à l'estomac maintenant, ça va être dur de résister jusqu'à midi ! 

[gourmachou]

 

sinon,pour ceux qui ne l'ont pas lu,l'extrait du Midol:

 

Transferts

 

 

 

LE MARCHÉ DES AILIERS VIENT DE CONNAÎTRE  UN COUP D’ACCÉLÉRATEUR AVEC LE DÉPART DU CLERMONTOIS 

NAPOLIONI NALAGA  POUR TOULON. DAVID SMITH  ANIME  AUSSI LE MARCHÉ ET CLERMONT VA DEVOIR S’ACTIVER.

 

 

TOULON VA CHIPER NALAGA,

DAVID SMITH VERS PARIS

Par Pierre-Laurent GOU (avec Vincent BISSONNET)

pierre-laurent.gou@midi-olympique.fr

 

e Fidjien Napolioni Nalaga va lancer le  jeu  des chaises musi- cales chez les  ailiers. Ce  same- 

di, nos confrères de

faisaient état du  prochain enga- gement du  Clermontois. Il sem-

ble  que les  conseils du  joueur aient préve- nu les  dirigeants auvergnats que leur offre

de prolongation pour trois saisons, avec re-

valorisation salariale à la clé,  n’était pas la mieux disante. En effet, le RCT a fait  de l’en-

gagement de  Napolioni Nalaga l’un  de  ses dossiers prioritaires.

Le profil du joueur de 28 ans plaît énormément à Bernard Laporte alors que Toulon devrait se

séparer des Néo-Zélandais Rudi Wulf (30 ans,

4 sélections) et David Smith (29 ans), en fin de  contrat. Toulon était à la recherche d’un

ailier et aurait obtenu l’accord du joueur quel- ques heures avant l’affrontement de  ce sa-

medi à l’Allianz Riviera, entre le  RCT  et l’ASMCA. Partant de Mayol, David Smith, ac-

tuellement deuxième meilleur réalisateur du Top 14 avec huit essais, ne manque pas de convoitises. 

À commencer par le Castres olym- pique, en quête d’un finisseur. Selon nos in- formations, le  

Néo-Zélandais a rencontré, cette semaine, le  futur manager du  CO, Christophe Urios, en région 

parisienne. Le projet proposé par l’actuel patron sportif de l’US  Oyonnax aurait plu  à David 

Smith. Problème : Castres ne peut lui assurer, à ce jour, une place dans l’élite, tout comme la 

Section paloise dont l’intérêt pour le joueur date de plusieurs semaines. David Smith a en sa po- 

sition deux propositions écrites venues de ses  deux clubs mais pourrait encore atten- dre avant de 

se décider.

 

QUELLE PLACE POUR ASHTON  ?

Surtout que Castrais et  Palois ont  vu  leurs plans contrecarrés, mercredi dernier, par

l’émergence d’un nouveau concurrent. David

Smith a en effet été  reçu par les  recruteurs du Stade français. Les  dirigeants parisiens ne

lui  ont  pas encore formulé d’offre écrite.

Mais, ce  week-end, dans l’entourage du joueur, on annonçait que la candidature pa-

risienne était en pole position pour empor- ter la décision du  Néo-Zélandais.

L’Anglais  Chris Ashton (27  ans, 39 sélec-

tions) s’impatiente de son côté. Il pourrait voir des opportunités arriver avec ce jeu  de chai-

ses  musicales. Le joueur des Saracens, en-

core sous contrat pour une saison avec l’équipe londonienne, souhaiterait être li-

béré par son club pour venir en France. Son

CV semblait figurer en bonne place au Stade français au  cas  où  le club parisien décide- rait  de 

 le v e r  la  clause  libératoire  de 

l’Australien Digby Ioane. Mais  il semble que

cette piste se  soit  refroidie avec l’intérêt des Stadistes pour David Smith.

Autre club susceptible d’être intéressé, Clermont qui  va  se  mettre à la  recherche

d’un suppléant à Napolioni Nalaga. Chris

Ashton a été  proposé aux Auvergnats il y a plusieurs  semaines  mais  ces  derniers 

n’a v aient pas répondu. Nalaga parti - Clermont attendait ce  week-end que son

joueur lui  confirme l’information sur son futur départ pour Toulon, l’ASMCA  pour-

rait être amenée à étudier de  plus près le dossier Ashton. ■

 

oui donc ils ne savent rien ...... du blabla rien d'autres merci pour l'article

[OULIOULI!!!]

Sivivatu l'année dernière, Nalaga cette année et c'est qui l'année prochaine??? Fofana??