3eme maillot à colle blanc cette année, Toulon Toulouse et le Racing.
On a relancé une mode l'année derniere avec notre maillot, preuve qu'il était très réussi!
Posté 28 août 2022 - 19:01
3eme maillot à colle blanc cette année, Toulon Toulouse et le Racing.
On a relancé une mode l'année derniere avec notre maillot, preuve qu'il était très réussi!
Posté 28 août 2022 - 19:52
Posté 28 août 2022 - 19:57
en plus il va être dur à échanger
Posté 28 août 2022 - 22:20
La colle jaune de Pattex adhère bien mieux sur les tissus mais chacun ses goûts.
T'as surement pas connu la colle Cléopatre , les p'tits pot avec avec une sorte de mini cuillère pour l'appliquer ... ça sentait bon y en a meme qui la bouffaient
Posté 29 août 2022 - 05:51
T'as surement pas connu la colle Cléopatre , les p'tits pot avec avec une sorte de mini cuillère pour l'appliquer ... ça sentait bon y en a meme qui la bouffaient
Cette vielle colle s'enflammait aux contact des feux...
Posté 29 août 2022 - 06:59
A quel moment j'ai dit ça?
Premier en terme de valeur oui mais pas en terme de résultat.
Je n'ai jamais contesté la première place historique de Toulouse dans la hiérarchie.
J'aimerais juste un peu plus de respect et moins de fausses excuses quand on les bat.
* 60 pts pour un titre de champion d'Europe
* 50 pts pour un titre de champion de France
* 40 pts pour un titre de vice-champion d'Europe ou de vice-champion de France
* 30 pts pour un titre en deuxième coupe d'Europe (actuelle Challenge cup), une demi-finale de grande coupe d'Europe ou de championnat de France
* 20 pts pour un quart de finale de coupe d'Europe, une finale de deuxième coupe d'Europe, une victoire en challenge du Manoir, en challenge Sud Radio ou une place de 5è ou 6è en championnat de France.
* 10 pts pour une place de demi-finaliste de deuxième coupe d'Europe, une place de finaliste du Challenge du Manoir ou du challenge Sud Radio, une victoire en coupe de France, en coupe de la ligue ou une place de premier en saison régulière en championnat.
* 1 point pour chaque point marqué en championnat
-10 points pour une saison absent de l'élite (sauf champion de Pro D2 ou ex groupe-10 points par impasse en coupe d'europe
A noter que pour la Coupe d'Europe, j'attribue un point de moins quand la compétition est joué sans les Anglais (éditions 1996 et 1999).
De 1980 à 1995 :
1 : Toulouse 1082
2 : Agen 1058
3 : Toulon : 945
4 : Grenoble 861
5 : Narbonne 829
Depuis 1995 et le passage au rugby professionnel :
1 : Toulouse 3549
2 : Clermont 2744
3 : Stade français 22604 : Castres 2037
5 : Toulon 179129 Castres 12
Ca devient pénible de corriger tes classements à chaque fois
Posté 29 août 2022 - 14:34
Je te corrige avec amour.
Posté 29 août 2022 - 14:46
Ils préfèrent être second couteaux au ST que d'être le boss dans un autre club.
S'il n y avait que ceux qui jouent les finales qui étaient champions ça en découragerait surement quelques uns, mais la même si tu fais trois apparitions dans la saison t'es champion.
Ils préfèrent jouer dans un club, potentiellement champion.
Signé: Alain Penaud
Posté 29 août 2022 - 16:33
Ils préfèrent jouer dans un club, potentiellement champion.
Signé: Alain Penaud
Posté 31 août 2022 - 05:26
Evident......là je suis d'accord avec Mourad et les prolongations longues vont aussi dans ce sens au cas où il faudrait racheter les contrats....
Evidemment il y a une prise de risques concernant de possibles blessures longue durée , mais le bénéfice est très largement supérieur à tous niveaux sans développer !
Posté 02 septembre 2022 - 19:13
C'est une situation d'abondance (et de concurrence) que le Stade Toulousain a déjà connue, y compris dans un passé très récent. De 2017 à 2021, il comptait dans son effectif trois arrières de haut niveau, Cheslin Kolbe, Thomas Ramos et Maxime Médard. Une richesse porteuse, chacun trouvant sa place et le club haut-garonnais remportant dans la période deux titres de champion de France et une Coupe d'Europe.
Après le départ de Kolbe à Toulon, puis la retraite de Médard, Toulouse s'est lancé dans la reconstruction d'une triplette de numéros 15 de haut vol. Melvyn Jaminet, arrière titulaire de l'équipe de France, et Ange Capuozzo, néo-international italien, sont arrivés dans la Ville Rose cet été, alors que Ramos a prolongé son contrat jusqu'en 2027. S'il risque de se retrouver sans aucun des trois joueurs lors des périodes internationales, le manager Ugo Mola se retrouve avec trois arrières très talentueux (sans oublier l'Argentin Mallia, titulaire en 15 avec les Pumas, mais le plus souvent ailier en club), tous capables de se fondre dans le style toulousain, malgré leur style différent.
Les retraites successives de Yoann Huget et Maxime Médard lui donnent un coup de vieux. Thomas Ramos (27 ans), apparu pour la première fois en équipe première en février 2014, est désormais le plus ancien trois-quart de l'effectif stadiste. Depuis le temps, il n'y a plus rien à lui expliquer de la culture de jeu locale, tout ça lui coule dans les veines. Il ose avec justesse, sait utiliser ses partenaires pour se (ou leur) créer des espaces, joue ses duels avec les appuis ou les feintes...
Ni vraiment costaud (1,78 m, 87 kg), ni très rapide, Ramos s'appuie sur son immense arsenal technique pour créer des failles. Sur des ballons de relance, bien sûr, mais aussi dans les petits espaces, où son sens du contre-pied et sa capacité à rester debout font merveille. En plus d'un jeu au pied précis, il possède un profond sens de la passe, dans toutes les situations et dans toutes les positions (13,2 par match, dont 1,4 offload la saison passée). Son identité se mélange tellement à celle du Stade Toulousain qu'il est en totale confiance et semble parfois jouer les yeux fermés.
Étant donné son profil, et la concurrence en 15, Thomas Ramos sera probablement aussi la doublure de Romain Ntamack en numéro 10.
Melvyn Jaminet s'est imposé en équipe de France avant tout grâce à ses talents de buteur précis (92 % de réussite avec les Bleus en 2021, 72 % en 2022) et de botteur puissant (45 mètres gagnés par coups de pied lors du Tournoi, numéro 1 de la compétition). Et il est probable que ces qualités aient contribué à sa venue à Toulouse, battu en longueur de jeu au pied par le Leinster en demi-finale de la dernière Coupe d'Europe.
Offensivement, propre mais sans coup d'éclat, il a moins pesé avec les Bleus. L'ancien de l'USAP est pourtant un attaquant racé, bon manieur de ballon, et très rapide. Il n'a pas le démarrage et les appuis d'autres, et notamment de Ramos et Capuozzo, mais ses angles de course et sa finesse de lecture le rendent tranchant. Autre point fort : sa longueur de course est remarquable. Il s'en sert régulièrement, sur des relances notamment, pour contourner les défenses, avec des trajectoires qui lui font frôler les épaules adverses sans se faire prendre, avant de prendre un intervalle au large ou de repiquer à l'intérieur quand les défenseurs ont trop anticipé sur l'extérieur.
Il est en revanche moins à l'aise dans les petits espaces et le jeu au contact que Ramos ou Capuozzo. Ce n'est pas une question de technique, ni de goût, mais de gabarit. Le sien, longiligne (1,80 m, 85 kg), le rend moins résistant au plaquage, et on le voit souvent adopter des attitudes sécuritaires quand il est pris. Mais à 23 ans, dans le contexte toulousain, il est dans des conditions idéales pour développer encore son jeu.
Il faut se méfier des comparaisons, surtout quand elles associent un joueur venant de Pro D2 à un ex-meilleur joueur du monde. Il saute néanmoins aux yeux qu'un an après le départ surprise de Cheslin Kolbe, Toulouse a mis la main sur un joueur du même profil. Comme le Sud-Africain, Ange Capuozzo est un gabarit riquiqui (1,77 m, 82 kg) capable d'évoluer à l'arrière ou à l'aile, avec des jambes et des appuis de feu.
Avec Grenoble, à l'échelon inférieur, le Franco-Italien a fait des ravages pendant trois saisons, et on sait depuis son exploit de Cardiff, en clôture du Tournoi des Six Nations (un slalom monumental et une passe décisive pour l'essai de la gagne), que ses qualités peuvent exister au plus haut niveau. Son accélération est supérieure à celle de ses nouveaux concurrents toulousains, et il a cette rare faculté de la doubler, même après un gros « coup de frein » (voir la palette).
Pour Toulouse, qui mise beaucoup sur les duels pour enclencher ses actions, ces joueurs déroutants sont idéaux, à condition de savoir « lâcher » les ballons au bon moment. C'est le cas de Capuozzo, pas aveuglé par sa propre vitesse et ses crochets.
Concernant le jeu au pied, Capuozzo part avec un désavantage. Il ne bute pas, contrairement à Ramos et Jaminet. Et s'il est adroit dans le petit jeu au pied offensif, sa longueur est moindre que celle de ses concurrents. Ce qui pourrait le conduire à souvent jouer à l'aile.
Posté 16 septembre 2022 - 14:38
Comme c'était prévisible, Toulouse se renforce en 2eme ligne
Jack STEYN, 2ème ligne quitte la Hoërskool Hoopstad (AFS) pour s'engager avec Toulouse
Bon, c'est un très jeune.
Il faut d'attendre à du plus lourd rapidement
Article de Juin
Félicitations à Jack Steyn qui s'est vu offrir un contrat pour l'année prochaine par le Toulouse Rugby Club en France, ainsi qu'une bourse. Ce qui le rend encore plus spécial, c'est que Jack est un junior et que les contrats ne sont pas simplement proposés aux rugbymen juniors.
Le lycée Hoopstad est très fier de toi, Jack !
Baie geluk aan Jack Steyn wat ‘n kontrak vir volgende jaar aangebied is deur Toulouse Rugbyklub in Frankryk, asook ‘n studiebeurs. Wat dit nog meer besonders maak is dat Jack ‘n junior is en dat daar nie sommer aan junior rugbyspelers kontrakte aangebied word nie.
Posté 16 septembre 2022 - 14:44
Voui, le Toulouse Rugby Club
Posté 16 septembre 2022 - 20:29
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