Racing Toulousain
#6226
Posté 06 octobre 2025 - 05:44
Dupont dépendance ?
#6227
Posté 06 octobre 2025 - 08:34
en juin dernier, ça c'est "pas" trop vu la Dupont dépendance !
Sûr qu'avec lui ton équipe est plus forte, mais heureusement qu'ils ne gagnent pas les 26 matchs de saison régulière, ils ont gagné 4 Brennus sur les 5 derniers !
les mecs ils ont perdu 2 matchs à l'extérieur t'as l'impression que la terre s'écroule, bravo à Montpellier et à Bayonne et heureusement que ça arrive encore !
#6228
Posté 06 octobre 2025 - 09:03
sont venu faire les paons à Clermont et maintenant ils rentrent dans le rang. Tout pour bien nous faire chier.
#6229
Posté 06 octobre 2025 - 09:15
Mais ils vont tous les garder sauf AKHI
Ca passera s'ils n'ont qu'une recrue
Et des ajustements à la baisse sur les prolongations
(mais ils garderont pas tout le monde)
#6230
Posté 12 octobre 2025 - 19:19
Terrain d'entraînement du Stade Toulousain, mardi après-midi. Pendant que tous les objectifs sont braqués sur Antoine Dupont, de retour parmi les siens pour une reprise du rugby progressive, Matthis Lebel (26 ans) s'ébroue sur le pré avec l'équipe des titulaires présumés appelée à défier l'UBB, ce dimanche soir (21h05), à Ernest-Wallon.
L'ailier rouge et noir, peu en réussite la saison passée (1 seul essai en 23 matches de Top 14), vient de planter 3 essais en 2 matches et paraît avoir retrouvé ce talent de finisseur qui avait fait de lui un marqueur à 13 (2020-2021), 6 (2021-2022), 8 (2022-2023) et 10 essais (2023-2024) lors des quatre saisons précédentes. Un retour de flamme qui contraste avec le début de saison assez mitigé de son équipe, sévèrement châtiée à Bayonne (40-26), le week-end dernier.
« Comment expliquez-vous ce revers concédé à Jean-Dauger, alors que vous sembliez avoir le match en main ?
On s'est liquéfiés en un quart d'heure. C'est un truc de fou. Exploser comme ça en fin de match, je ne crois pas que ça nous soit déjà arrivé. D'habitude, on met un point d'honneur à faire partie des défenses les plus difficiles à passer du Championnat. Prendre plus de 80 points en deux déplacements (44-14 à Montpellier et 40-26 à Bayonne) ne nous ressemble vraiment pas. On n'est pas du tout à l'aise avec ça.
À titre personnel, vous n'avez pourtant pas failli en inscrivant notamment un essai grâce à un beau numéro de voltige au ras du poteau de coin...
Peut-être, mais quand tu sors d'une performance collective pareille, c'est dur de se mettre en avant. J'ai toujours joué au rugby pour prendre du plaisir et gagner. Ça m'est donc difficile de tirer du positif d'une défaite. Cet essai à Bayonne, si je ne l'avais pas marqué, Romain (Ntamack) m'aurait engueulé. Évidemment que ça fait plaisir d'avoir à nouveau les rebonds qui vont bien, parce que ça faisait un petit moment qu'ils m'échappaient ou que les décalages n'arrivaient pas. Mais je ne vais pas commencer à me la raconter maintenant.
Après cinq journées, vous avez déjà triplé votre nombre d'essais plantés la saison dernière en Top 14. Avec un peu de recul, comment expliquez-vous que vous ayez si peu marqué l'année où le Stade Toulousain a battu le record du nombre de points en saison régulière (891) ?
Déjà, c'est très dur d'enchaîner des saisons à beaucoup d'essais au compteur. Je trouve aussi que notre jeu a évolué au fil des saisons. Aujourd'hui, on a la chance d'avoir des avants hyper performants qui aiment porter le ballon. Forcément, ils marquent des essais. On le voit avec Manny (Meafou), Guillaume (Cramont), Théo (Ntamack), Mathis (Castro Ferreira) ou Jack (Willis). Ça enlève forcément un peu la gamelle pour les mecs de derrière (rires).
« Être décisif, ce n'est pas que marquer un essai »
Avez-vous douté à un moment ?
Non, parce que même si c'est frustrant de ne pas scorer quand on est ailier, encore plus au Stade Toulousain, je ne pense pas avoir traversé une saison catastrophique. C'est sûr qu'il y a des coups que j'aurais pu et dû mieux jouer, mais si j'ai eu la chance de jouer 28 matches toutes compétitions confondues (dont 21 comme titulaire), c'est que j'ai réussi à apporter une plus-value dans d'autres domaines.
En fait, j'ai pris mon mal en patience et fermé ma gueule. Sur certains matches, j'ai essayé d'être décisif d'une autre manière. Soit en faisant la passe supplémentaire, soit en étant efficace dans les tâches obscures qui n'incombent pas forcément aux ailiers. À l'arrivée, ce que je retiens, c'est le bouclier de Brennus soulevé à la fin de la saison. Il y a quand même une grande victoire au milieu de toutes ces petites frustrations.
Ne trouvez-vous pas injuste qu'un ailier ne soit souvent jugé que sur ses essais ?
Si, mais c'est le jeu. Vu qu'on te tresse des louanges quand tu as les bons ballons et les bons décalages et que tu marques sans avoir grand-chose à faire, c'est normal aussi qu'on te tape sur les doigts quand ça marche moins bien. Il faut juste rester compétiteur, froid, et ne surtout pas se désolidariser de l'équipe en attendant que ça revienne. Être décisif, ce n'est pas que marquer un essai. C'est aussi faire la passe au bon moment, prendre la bonne décision, choper le ballon dans les airs, etc.
Ce passage à vide vous a-t-il incité à davantage travailler durant l'intersaison ?
Oui. Déjà, j'ai pris le temps de bien couper, parce que la saison passée, avec son lot de drames et de déceptions, n'a pas été de tout repos. Et ensuite, pendant ma pré-préparation, j'ai réussi à faire ce que je n'avais pas pu effectuer l'année d'avant à cause d'une blessure au dos : me remettre en forme de mon côté, pour arriver dans un très bon état physique à la reprise de l'entraînement. Sofiane Guitoune (ancien centre du club), avec qui je suis très ami et qui a repris les Espoirs en prépa physique, m'a ainsi concocté un programme de remise en forme de deux semaines et demie.
On est allé courir quelques fois sur des côtes autour de Toulouse, j'ai fait une ou deux séances avec les Espoirs au moment du Super Seven, et j'ai même fréquenté leur salle de muscu, beaucoup plus rustique que celle des pros. À l'arrivée, ça m'a permis de gagner un peu de temps sur la prépa.
Dimanche soir, vous affronterez une équipe de Bordeaux-Bègles très remaniée. Êtes-vous surpris ?
Non. Ils ont un peu de casse. Ce n'est peut-être pas trop le moment de prendre le risque de casser d'autres mecs. Mais bon, ça nous est arrivé tellement de fois d'aller faire des coups à l'extérieur avec une équipe dite remaniée, qu'on serait vraiment cons de tomber dans le panneau. Ce match doit nous aider à remettre un peu d'appétit dans notre jeu. Il ne faut pas qu'on lâche notre joie de jouer.
« Je n'ai peut-être pas répondu aux attentes, donc je ferme ma gueule et je bosse en espérant que ça puisse revenir »
À propos de l'équipe de France
L'UBB sans Louis Bielle-Biarrey, ce n'est quand même pas pareil...
Lui, c'est un phénomène. Plus le temps passe, plus il est impressionnant. J'ai eu la chance d'être encore autour de l'équipe de France quand il est arrivé, et j'ai vu tout de suite qu'il avait un truc en plus. Déjà, il va plus vite que tout le monde. Quand t'es ailier, en général, tu vas vite, surtout à ce niveau.
Mais il y a une différence entre aller vite et aller très, très, très vite. Il a aussi un sacré niveau de rugby. Il est capable de lire les situations, ne s'échappe pas en défense, joue bien les duels aériens... C'est une chance d'avoir un tel joueur dans le Championnat français.
Vous n'avez plus joué en équipe de France depuis février 2024. La sélection vous manque-t-elle ?
T'es toujours content d'y être. C'est hyper gratifiant pour ton ego de sportif, même si quand t'es 24e sur les matches, t'engranges aussi de la frustration de ne pas jouer. Si je n'ai pas été appelé depuis presque deux ans, c'est parce que des joueurs ont réalisé des performances incroyables, et que d'autres sont venus alimenter le groupe. Je n'ai peut-être pas répondu aux attentes, donc je ferme ma gueule et je bosse en espérant que ça puisse revenir. »
#6231
Posté 14 octobre 2025 - 05:53
Sous ses airs de gros nounours timide apeuré par les feux des projecteurs, Georges-Henri Colombe ne passe jamais inaperçu lorsqu'il entre en scène. Le 5 octobre dernier, à Bayonne, pour sa première apparition sous le maillot du Stade Toulousain, il n'avait mis qu'une dizaine de minutes, après son entrée en jeu (50e), pour planter un essai en puissance, emportant trois défenseurs à 5 m de la ligne à la manière d'un bulldozer.
Une action d'autant plus marquante que l'ancien Rochelais de 27 ans, prévu 24e homme avant la blessure à un mollet de Joel Merkler pendant l'échauffement, ne devait même pas disputer cette rencontre.
Et pour sa première titularisation avec sa nouvelle équipe, dimanche soir, à Ernest-Wallon, le pilier droit a joliment participé pendant quarante-six minutes - jusqu'à son remplacement par Dorian Aldegheri - au festival offensif des siens face à l'UBB (56-13). Colombe n'a pas marqué, cette fois, mais il s'est fondu dans le collectif toulousain avec une aisance remarquée, assurant notamment la continuité des actions par des passes sur un pas ou après contact parfaitement ajustées.
« On a des avants qui tapent très fort mais qui sont aussi très doués techniquement, observait d'ailleurs David Mélé, l'entraîneur assistant des skills, après la rencontre. Sur certains matches, on les a moins vus, mais là, dès que ça s'est emballé un peu et qu'on a été dans l'avancée, on a pu constater qu'ils étaient techniquement incroyables. »
Mélé ne parlait pas forcément que de Colombe, mais force est de constater que le n° 3 au physique avantageux (1,93 m, 142 kg) ne dépareillait pas au milieu de ses partenaires du pack aux mains de velours. Même dans le chaos, il assurait. « Le jeu dans le désordre est quelque chose que j'aime et qui me convient parfaitement, dit-il. C'est pour ça que je n'ai pas hésité à signer ici. Ça vient de mes années dans les catégories jeunes où je jouais n° 8 (il a été formé au Racing 92). Ça m'a un peu aidé. »
« Je n'avais pas beaucoup joué depuis six mois. Et là, il y avait beaucoup de rythme et d'intensité »
Georges-Henri Colombe après sa titularisation contre l'Union Bordeaux-Bègles
Bien sûr, Colombe a un peu tiré la langue, à un moment, mais il n'est jamais écroulé. « Je n'avais pas beaucoup joué depuis six mois, rappelle-t-il. Et là, il y avait beaucoup de rythme et d'intensité. C'est le genre de match où tu regardes un peu plus le chrono que d'habitude, où tu espères parfois qu'une mêlée ou qu'un arrêt de jeu n'arrivera pas trop tard (sourire). »
Le natif de Nanterre revient d'assez loin. Notamment d'une saison passée plutôt médiocre. Seulement trois titularisations en 17 matches avec La Rochelle et l'équipe de France, toutes compétitions confondues. L'impression amère d'être devenu la cinquième roue du carrosse chez les Maritimes, surtout après l'annonce de son départ à Toulouse (le manager Ronan O'Gara estima même à un moment qu'il était passé n° 4 dans la hiérarchie des « droitiers » du club derrière Uini Antonio, Aleksandre Kuntelia et Joel Sclavi).
« Quand tu débarques dans un nouveau club, t'as envie de montrer d'entrée qui tu es »
Georges-Henri Colombe
Et ce deuxième test en forme de naufrage individuel et collectif disputé avec les Bleus en Nouvelle-Zélande au coeur de l'été (défaite 43-17), au soir de sa dixième sélection. « Les derniers mois ont été compliqués pour moi, admet-il. J'avais besoin de retrouver de la confiance. Être accueilli comme je l'ai été à Toulouse, ça aide. T'as forcément envie de te donner à 100 % pour les mecs à côté. »
Colombe aurait aimé rejouer plus rapidement, mais des petits pépins musculaires contractés pendant la préparation estivale l'ont contraint à patienter. « Il y avait un peu de frustration, parce que quand tu débarques dans un nouveau club, t'as envie de montrer d'entrée qui tu es et ce que tu veux proposer. J'ai dû prendre le temps de me soigner pour éviter que ça pète à nouveau. Aujourd'hui, c'est rétabli, il n'y a plus de questions à se poser. »
Repense-t-il déjà à l'équipe de France, alors que profilent les tests de novembre face à l'Afrique du Sud (le 8), les Fidji (le 15) et l'Australie (le 22) ? Confronté à une pénurie de piliers droits, surtout après les blessures d'Atonio (ischio-jambiers) et de Tevita Tatafu (cheville), le sélectionneur Fabien Galthié a récemment cité son nom parmi les possibles recours, dans une interview accordée au journal Sud-Ouest.
« Mon objectif, aujourd'hui, est vraiment de me concentrer sur mes performances en club et de reprendre un rythme correct, répond Colombe. L'équipe de France reste bien sûr dans un coin de ma tête, mais aujourd'hui, je ne pense pas être prêt à retourner en sélection. »
#6232
Posté 22 octobre 2025 - 19:05
le detail sur leurs site officiel :
Le Stade Toulousain annonce avec émotion le départ de Pita Ahki au 1er décembre 2025, pour rejoindre la franchise des Blues d’Auckland.
#6233
Posté 22 octobre 2025 - 19:06
- Silhouette et PPR aiment ceci
#6235
Posté 22 octobre 2025 - 19:31
#6236
Posté 22 octobre 2025 - 20:00
Pas vraiment le même contexte que Fainga'a
Exactement, fin de contrat en 2026, Pita à demandé à partir et Lacroix à accepté, joueur exemplaire, et immense joueur. 😭😭😭😭. Et merci à lui pour les 8 saisons passées au ST.
#6237
Posté 22 octobre 2025 - 20:26
Il sera entraîné par Vern.le detail sur leurs site officiel :
Le Stade Toulousain annonce avec émotion le départ de Pita Ahki au 1er décembre 2025, pour rejoindre la franchise des Blues d’Auckland.
La classe et une belle fin de carrière.
Envoyé de mon 2306EPN60G en utilisant Tapatalk
- Silhouette et Nathou aiment ceci
#6238
Posté 26 octobre 2025 - 21:42
Sur canal
Après le doc sur Dupont
Pendant le doc sur Ramos,
Une émission médicale avec NTK
#6239
Posté 27 octobre 2025 - 18:14
moi pendant ce temps je regardais Wemby sur Amazon, et bim je te le donne en mille, pendant la pub, pub du stade Toulousain avec son partenaire Alarme avec NTM, Marchand et Capuozzo...
Ils sont partout
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#6240
Posté 27 octobre 2025 - 18:19
9 utilisateur(s) li(sen)t ce sujet
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Stoop, akanaba







