Malheureusement, Bernard Lemaitre est un incontinent de la parole.
D'ailleurs, il en rajoute toujours une couche.
Posted 23 May 2024 - 14:52 PM
Malheureusement, Bernard Lemaitre est un incontinent de la parole.
D'ailleurs, il en rajoute toujours une couche.
Posted 23 May 2024 - 14:58 PM
Il n'est effectivement pas toujours très fin dans ses interventions, notamment sur Etzebeth donc mais également sur Kolbe si je ne dit pas de bêtise. A mon humble avis, on ne devrait pas dire ce genre de choses en public.
Posted 23 May 2024 - 15:35 PM
Il me semble que c'est le sujet du Racing Métro.
Alors pour revenir au sujet, je dirais que le Racing, c'est beaucoup de moyens, beaucoup de têtes d'affiche pour un faible rendement sportif, peu de titre(s).
En résumé, c'est bof bof. J'espère que mon analyse fera avancer le sujet.
Posted 23 May 2024 - 19:51 PM
Il n'est effectivement pas toujours très fin dans ses interventions, notamment sur Etzebeth donc mais également sur Kolbe si je ne dit pas de bêtise. A mon humble avis, on ne devrait pas dire ce genre de choses en public.
Quand tu claque un million par poulet pour rien ramasser en échange, y a de quoi l'avoir mauvaise. D'ailleurs je me demande jusqu'à quand Lorenzetti va rester réservé sur les prestations de son effectif qui devrait théoriquement etre devant le Stade Français. Chez lui aussi son champion du monde super star serait pas loin de se foutre de sa gueule, mais c'est pas le seul.
Posted 24 May 2024 - 00:49 AM
Je n'en ai pas ce souvenir pour le coup. Je me souviens au contraire d'une succession de prestations moyennes qui lui avait d'ailleurs valu les critiques acerbes de Bernard Lemaître dans la presse, par exemple :
"C’est un gosse, Eben. Un gosse dans un corps de colosse. J’ai vu à quel point il était malheureux, pendant les fêtes de Noël par exemple, d’être aussi loin des siens. C’est un gosse, y compris sur le plan physique, où le moindre bobo (il suspend sa phrase). Botha s’en fichait, lui. Eben est plus sensible".
ah mais tu peux me sortir toutes les citations possibles, demande à un fan du RCT honnête le niveau de jeu de Etzebeth en Top 14. Je pense que la seule raison pour laquelle il n'est pas autant célébré que d'autres étrangers est qu'il a fait un petit saut trop rapide, et ça a vexé pas mal de monde. Après en y repensant, même certains qui sont restés longtemps sur cette période médiocre du RCT ont pas tant marqué que ça. Je me rappelle des matches de Vermeulen par ex., qui est resté plusieurs saisons qd mm sur la Rade. Dire que c'était le meilleur avant à tous les matches, semble exagéré et pourtant proche de la vérité. Mais on n'a pas d'image marquante de ce RCT là, donc le travail monumental du pauvre Duane s'est avéré malheureusement vain.
Posted 24 May 2024 - 06:40 AM
Quand tu claque un million par poulet pour rien ramasser en échange, y a de quoi l'avoir mauvaise. D'ailleurs je me demande jusqu'à quand Lorenzetti va rester réservé sur les prestations de son effectif qui devrait théoriquement etre devant le Stade Français.
Chez lui aussi son champion du monde super star serait pas loin de se foutre de sa gueule, mais c'est pas le seul.
J'ai 2 L au cul
Posted 24 May 2024 - 07:26 AM
ah mais tu peux me sortir toutes les citations possibles, demande à un fan du RCT honnête le niveau de jeu de Etzebeth en Top 14. Je pense que la seule raison pour laquelle il n'est pas autant célébré que d'autres étrangers est qu'il a fait un petit saut trop rapide, et ça a vexé pas mal de monde. Après en y repensant, même certains qui sont restés longtemps sur cette période médiocre du RCT ont pas tant marqué que ça. Je me rappelle des matches de Vermeulen par ex., qui est resté plusieurs saisons qd mm sur la Rade. Dire que c'était le meilleur avant à tous les matches, semble exagéré et pourtant proche de la vérité. Mais on n'a pas d'image marquante de ce RCT là, donc le travail monumental du pauvre Duane s'est avéré malheureusement vain.
Posted 24 May 2024 - 07:27 AM
Il me semble que c'est le sujet du Racing Métro.
Alors pour revenir au sujet, je dirais que le Racing, c'est beaucoup de moyens, beaucoup de têtes d'affiche pour un faible rendement sportif, peu de titre(s).
En résumé, c'est bof bof. J'espère que mon analyse fera avancer le sujet.
Étonnamment, ils sortent pas mal de jeunes de qualité grâce à un vivier large (Bassin parisien) et une vraie stratégie de formation, mais la mayonnaise stars-jeunes ne fonctionne pas. Le R92 reste au milieu du guet, entre pragmatisme du rugby actuel (Jiffs, formation) et envie de clinquant. Ils resteront, comme le MHR, victimes aussi d'un manque de public et d'engouement autour du club.
Posted 24 May 2024 - 08:21 AM
ah mais tu peux me sortir toutes les citations possibles, demande à un fan du RCT honnête le niveau de jeu de Etzebeth en Top 14. Je pense que la seule raison pour laquelle il n'est pas autant célébré que d'autres étrangers est qu'il a fait un petit saut trop rapide, et ça a vexé pas mal de monde. Après en y repensant, même certains qui sont restés longtemps sur cette période médiocre du RCT ont pas tant marqué que ça. Je me rappelle des matches de Vermeulen par ex., qui est resté plusieurs saisons qd mm sur la Rade. Dire que c'était le meilleur avant à tous les matches, semble exagéré et pourtant proche de la vérité. Mais on n'a pas d'image marquante de ce RCT là, donc le travail monumental du pauvre Duane s'est avéré malheureusement vain.
Vermeulen avait été vraiment excellent pour le coup. Il enchainait presque tous les matchs, aussi bien avec les Boks que le RCT, et pesait énormément sur sa troisième ligne avec les qualités qu'on lui connait (puissance, grattage, technique balle en main...). Etzebeth, au contraire, avait pris ses responsabilités en touche et sortait parfois de belles choses, mais était très souvent absent ou moyennement à son aise sur le pré. Botha lui même avait dit qu'il avait été déçu par le passage d'Etzebeth et son niveau d'implication.
Moi le “gosse trop sensible” il vient quand il veut à l’ASM !
Plus réservé sur Vermeulen (à qui on doit presque un titre …)
C'est lui qui perd le ballon sur la dernière action mais il n'en pas le fautif selon moi. Il ramasse le ballon, gagne son duel et avance de 30 cm. Parra et Lopez grattent ensuite le cuir car les soutiens toulonnais sont aux fraises. Ce sont eux qui sont à blâmer.
Étonnamment, ils sortent pas mal de jeunes de qualité grâce à un vivier large (Bassin parisien) et une vraie stratégie de formation, mais la mayonnaise stars-jeunes ne fonctionne pas. Le R92 reste au milieu du guet, entre pragmatisme du rugby actuel (Jiffs, formation) et envie de clinquant. Ils resteront, comme le MHR, victimes aussi d'un manque de public et d'engouement autour du club.
Je dirais plutôt un manque d'équilibre. Ces dernières années, ils ont curieusement cherchés à collectionner les stars derrière au détriment de leur pack. Ils ont donc particulièrement souffert au niveau du cinq de devant avec les répercussions que l'on peut imaginer sur la ligne de 3/4 et sur les guerres de tranchées du Top 14. Petit à petit, ils commencent à mieux doser leurs forces vives et les nouvelles recrues, comme Bamba ou Tao, devraient donner plus de densité au pack.
Posted 24 May 2024 - 20:58 PM
Posted 01 June 2024 - 06:34 AM
Est-il incongru que la treizième équipe de la phase retour - seul Oyonnax a engrangé moins de points -, marche sur un fil à deux journées de la fin ? Est-il farfelu qu'une équipe qui a trouvé le moyen à la fois de perdre à domicile contre Bayonne (28-37, déjà à Auxerre, le 11 mai) et de laisser repartir Montpellier avec une victoire bonifiée (20-44, le 17 février), ce dont personne d'autre ne peut se vanter, ne soit pas à l'abri de déclarer ouverte la saison des barbecues et des grandes vacances dans une semaine ? La réponse tombe sous le sens.
Pourtant, la greffe « Lancaster » avait bien pris en début de saison. On louait les vertus de cette équipe récoltant toujours au moins un point à chaque match de la phase aller. En ce temps-là, le discours général se voulait plus qu'optimiste. « Cette équipe n'est pas du tout au maximum de ce qu'elle peut faire, disait Nolann Le Garrec, le jeune demi de mêlée du Racing. On n'en est qu'au début. La marge de progression est énorme. Quand on voit ce qu'on est capable de faire à l'entraînement, on le voit, on le sait. »
« Dans quelques mois, cette équipe sera bien plus forte », assurait quant à lui Stuart Lancaster, l'entraîneur. Les « quelques mois » ont passé et cette équipe, qui n'a pris que 17 points sur la phase retour (40 à l'aller), pédale dans la semoule. Symptomatiques d'un collectif qui s'effrite, certaines individualités piochent et sous-performent.
Depuis plusieurs semaines, Henry Arundell a l'air hésitant. Comme s'il avait perdu confiance en son fonds de commerce : la vitesse pure. Contre Toulouse, puis contre Bayonne, il donnait l'impression de refuser les un-contre-un, loin du finisseur décidé capable d'inscrire un triplé à Mayol contre Toulon en novembre (26-31, le 12). Il y a deux semaines, à Auxerre contre l'Aviron, le jeune Anglais (21 ans) avait fini par arracher le gros strapping protégeant un de ses genoux depuis un ou deux mois.
Est-il gêné physiquement ? « Non, physiquement, il est très bien, assure Lancaster. Les gens pensent qu'il a une grande expérience internationale mais ce n'est pas vrai (10 sélections). C'est encore un très jeune joueur. Il vient de faire un grand saut en changeant de Championnat. Techniquement et mentalement, il sait qu'il peut progresser, beaucoup. Henry est très honnête avec lui-même sur ses performances. »
Absent à Lyon, lors du dernier match (14-20, le 18 mai), Arundell ne sera pas sur la feuille de match contre Pau, samedi. Thomas Laclayat non plus. Le pilier droit de 26 ans, arrivé d'Oyonnax avec le titre de meilleur joueur de Pro D2 en début de saison, avait commencé fort, imposant sa puissance près de la ligne (4 essais dans ses 5 premiers matches). Mais depuis plusieurs mois, il a reculé dans la hiérarchie, notamment derrière Trevor Nyakane et Cedate Gomes Sa.
C'est un paradoxe et ce n'est pas la première fois qu'un joueur en souffre. En janvier, il n'y avait pas homme plus heureux qu'Antoine Gibert (26 ans) lorsque Fabien Galthié l'appela dans le groupe du XV de France pour le Tournoi. Quatre mois plus tard, le meneur de jeu si épanoui du début de saison n'arrive pas à retrouver cette fluidité. Ses passes au pied ne sont plus des fléchettes, ses petits chips se retournent parfois contre lui, comme c'est arrivé contre Bayonne.
« C'est souvent comme ça avec un jeune joueur qui a beaucoup progressé. Il y a un moment où il atteint un plafond »
Stuart Lancaster, entraîneur du Racing
« C'est souvent comme ça avec un jeune joueur ou un joueur qui a beaucoup progressé, explique Lancaster. Il y a un moment où il atteint un plafond. Antoine a fait un super début de saison (Finn Russell parti, l'héritage n'était pas évident à porter). Retenu en équipe de France, il n'a pas joué pendant sept semaines. C'est très long. D'un côté, ça a été une super expérience, une vraie reconnaissance. Mais d'un autre, ça a affecté son rythme, sa condition physique. Je l'ai déjà observé en Irlande, particulièrement à des postes clés. Et comme on a manqué de profondeur en 10, en 9 ou au talonnage, ça a été compliqué. On sait qu'il y a un gap entre un joueur qui n'a pas encore joué au niveau international et des garçons comme Finn Russell et Owen Farrell (qui rejoindra le Racing cet été). Mais Antoine a beaucoup travaillé pour retrouver ses sensations. On est tous derrière lui. C'est notre ouvreur numéro 1. »
La dernière fois qu'il est venu à Auxerre, contre Bayonne il y a trois semaines, Siya Kolisi avait encore des cheveux. Méconnaissable ce jour-là, le capitaine des doubles champions du monde sud-africains ne s'était pas échappé en conférence de presse : « Prendre quarante points (37 en réalité) à la maison, ce n'est pas possible, carton rouge ou non (Sanconnie avait été exclu dès la 14e minute). Moi, je n'ai pas été pas bon. Pour quelqu'un qui est censé apporter du leadership et de l'énergie, ça n'allait pas. Je ne suis pas fier de moi, l'équipe entière ne peut pas l'être. »
Arrivé après la Coupe du monde, freiné par deux blessures, le troisième-ligne a des circonstances atténuantes. Mais on attend forcément plus d'un joueur de sa trempe. On en attend encore plus à ce moment de la saison. Cet hiver, Kolisi avait livré deux ou trois performances de haut vol, notamment contre Cardiff en phase de poules de la Coupe des champions (48-26, le 20 janvier). Au-delà de son cas, c'est tout le pack du Racing qui doit monter en gamme. Royal en touche (meilleur voleur de lancers du Top 14), Cameron Woki reste trop peu visible dans le jeu courant. Ibrahim Diallo doit redevenir le « caillou » en défense qu'il était il y a deux ou trois ans.
Plus généralement, le Racing, qui a l'ambition de tenir le ballon et donc de poser beaucoup de rucks offensifs, a besoin de mieux nettoyer cette zone, où il concède trop de turnovers. « C'est vrai qu'on doit régler ça, abonde Lancaster. Il nous faut des rucks nickels pour avoir des ballons rapides. Mais pour moi, l'arbitrage du plaqueur et de l'assistant plaqueur, qui doit relâcher clairement, est inconsistant en Top 14. »
Posted 03 June 2024 - 20:42 PM
L'aventure de Leone Nakarawa au Racing 92 s'était mal terminée. Recruté en 2016, le deuxième-ligne avait prolongé pour trois saisons en juillet 2018. Mais en septembre 2019, il est sélectionné par les Fidji pour disputer la Coupe du monde au Japon, dont il reviendra... très en retard. Après quinze jours de congé, le joueur était censé rentrer le 27 octobre, comme les internationaux de l'équipe de France, pour disputer un match contre le stade français le 3 novembre.
Par échanges WhatsApp avec sa direction, Nakarawa écrit qu'il ne rentrera que le 9 novembre, soit seulement une semaine avant un match de Coupe d'Europe et sans avoir eu le temps de s'entraîner correctement après un mois de vacances. Nakarawa ne réapparaîtra en réalité que le 12, après avoir été mis en demeure de reprendre sans délai son poste, et sans un mot d'excuse, justifiera le club pour le mettre à pied.
« Du fait de votre titre de meilleur joueur de la Coupe d'Europe 2018, vous auriez dû vous montrer irréprochable et la gravité de votre comportement est accentuée par votre notoriété et l'exemple que vous devez donner. Votre attitude individualiste contraire à l'esprit du rugby, sans considération pour les joueurs de l'équipe et votre direction, est inconcevable et dénote un total manque d'esprit d'équipe et une insubordination caractérisée qui a désorganisé l'équipe. De plus, vos provocations réitérées nous convainquent que vous avez délibérément voulu la rupture de votre contrat », pouvait-on lire dans sa lettre de licenciement pour faute grave.
Nakarawa, défendu par Me Arnaud Dubois, a donc saisi la justice. Après avoir perdu aux Prud'hommes, il a réitéré ses arguments devant la cour d'appel de Paris. Affirmant, sans le justifier, qu'il avait obtenu une autorisation orale de prolonger ses congés. « Il était légitime, tant au regard de sa santé, que de son investissement pour son club employeur, qu'il prenne des congés avant de reprendre la compétition », a justifié son avocat. Un argument léger rejeté par les magistrats : « Il ne démontre pas en quoi sa situation l'empêchait, contrairement aux autres joueurs ayant également participé à la Coupe du monde, de reprendre l'entraînement. »
Loin de donner raison à l'International fidjien, les juges ajoutent : « Il ressort de la lecture des échanges de messages WhatsApp communiqués que M. Nakarawa avait formulé une forme de chantage en subordonnant son retour à l'entraînement au paiement de certaines sommes. » À l'époque, l'agent de Nakarawa tente de trouver une solution amiable, en allant jusqu'à proposer une amende équivalant à deux mois de salaire pour éviter le licenciement. Le club aurait alors refusé, proposant une amende de trois mois de salaire et la renonciation à la dernière année de contrat, ce que le joueur aurait refusé.
La cour d'appel conclut : « Monsieur Nakarawa n'ignorait pas, alors que le société RCF rugby n'avait pas de bons résultats sportifs, de l'importance du match de Championnat de France devant avoir lieu le 10 novembre et du match de Championnat d'Europe du 17 novembre, ces deux matches lui ayant d'ailleurs été rappelés tant avant que dans la mise en demeure de rentrer sans délai qui lui a été faite le 31 octobre 2019. Compte tenu de l'importance de son salaire, qui était la contrepartie du niveau de jeu attendu de lui par le Racing 92, et de sa renommée internationale qu'il souligne d'ailleurs, ayant été élu meilleur joueur de rugby européen en 2018 et champion olympique avec son équipe nationale en 2016, il ne peut sérieusement prétendre qu'il pouvait être utilement remplacé, pour ces matches auxquels il n'a pu participer en raison de la date de son retour, par un joueur joker. »
Leone Nakarawa a donc été débouté, par un arrêt du 6 mai dernier, de sa demande de dommages et intérêts d'1 million d'euros qu'il réclamait au club. Ce dernier n'a pas souhaité faire de commentaire, pas davantage qu'Arnaud Dubois, l'avocat du joueur. À l'époque, le père du rugbyman avait servi une audacieuse version au Fiji Sun : « Leone essayait de terminer la construction de notre maison à deux étages, à Waila. C'était presque fini et c'est pour ça qu'il a été un peu retardé. » Il n'a, visiblement, pas osé brandir cet argument devant les juges français.
Posted 05 June 2024 - 14:37 PM
Le polyvalent 3/4 anglais, Sam James, serait bien parti pour évoluer chez les franciliens l'an prochain : https://www.rugbyram...he-11996309.php
Posted 05 June 2024 - 15:00 PM
Posted 05 June 2024 - 16:09 PM
Le polyvalent 3/4 anglais, Sam James, serait bien parti pour évoluer chez les franciliens l'an prochain : https://www.rugbyram...he-11996309.php
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