Les valeurs, encore et toujours ce rat de Blanco.

Biarritz Olympique
#331
Posté 12 octobre 2023 - 07:55
#333
Posté 12 octobre 2023 - 20:31
#334
Posté 13 octobre 2023 - 05:23
- InASMWeTrust aime ceci
#335
Posté 22 décembre 2023 - 16:00
- Sushi aime ceci
#336
Posté 22 décembre 2023 - 17:08
Ouais , je pensais franchement qu avec le départ de Hastoy, il aurait une belle opportunité de sexprimer à la section et puis non. Drôle de trajectoire !Debaes au BO l'an prochain. Étonné.
#337
Posté 22 décembre 2023 - 17:26
#338
Posté 22 décembre 2023 - 17:55
C est étonnant avec ce qu on avait pu entrevoir de ce joueur et son statut jiff, quil n y ait pas de proposition dans l élite !Il était aussi sur les tablettes de Colomiers le p'tit Debaes.
#339
Posté 22 décembre 2023 - 18:12
C est étonnant avec ce qu on avait pu entrevoir de ce joueur et son statut jiff, quil n y ait pas de proposition dans l élite !
Peut-être que les gènes du papa y sont pour quelque chose.
Capable du coup de génie pour te faire gagner un match, comme de la grosse bouse qui te le fait perdre.
- Sushi et jm12 aiment ceci
#340
Posté 01 février 2024 - 18:23
L'ancien rugbyman de 54 ans s'était lancé sur le réseau social en 2012, attiré par l'instantanéité des échanges, après ne pas avoir été renouvelé à Canal+ en intervieweur bord terrain : « Pendant quatre saisons, on ne voyait que ma main. Et c'était confidentiel puisque je faisais les matches diffusés sur Rugby+... Quand beIN Sports a débarqué, la chaîne a perdu certains droits et a recasé des gars du foot vers le rugby. Du coup, on ne m'a plus appelé. »
En douze ans, ses blagues ont attiré près de 20 000 abonnés. « En 2016, j'en avais 8 000, et je disais que je remplissais un Zénith chaque jour. Aujourd'hui, je peux remplir Bercy ! » Il se marre, comme souvent au détour de cet entretien.
« Depuis l'arrêt de votre carrière, vous êtes policier. Pour tweeter, ce n'est pas un peu gênant ?
J'ai passé du bon temps pendant dix-huit ans au commissariat de Saint-Jean-de-Luz. Quand je faisais des contrôles routiers, je disais bonjour à tout le monde et je n'arrêtais personne... J'en ai eu marre et là, je suis à la police aux frontières depuis près de trois ans. Mais ce n'est pas gênant, je vanne même ma profession. Il m'est aussi arrivé de tweeter sur (Gérald) Darmanin (ministre de l'Intérieur), de ne pas être d'accord avec lui et, heureusement, on ne m'a jamais rien dit.

Rien ne vous arrête ?
Je pars du principe que je peux rire de tout, pas grand-chose me freine... Et encore mes brouillons sont garnis ! Quand c'est politique, je réfléchis à deux fois avant d'envoyer. Je suis flic, je travaille dans un centre de rétention, je suis de droite, j'ai toute la panoplie du raciste de base... Sauf que je ne le suis pas du tout, mais, aujourd'hui, on te catalogue vite, c'est comme ça. J'ai pris le parti d'en rire, de provoquer un peu. Comme lorsque je tweete récemment "Toujours les mêmes qui réclament à la CAF" lorsque la Fédération algérienne pose réclamation auprès de la Confédération africaine de football (CAF) pour rejouer le match face au Burkina Faso (2-2). Mais, globalement, c'est un peu plus réfléchi qu'au début. Prendre un shitstorm pour rien, cela me gonfle. Du coup, je sonde souvent ma femme et elle me dit : "Non, cela ne sert à rien." C'est la voix de la sagesse... Mais elle sait aussi me glisser une vanne ou deux.
Plusieurs comptes s'amusent du rugby, dont le très populaire "Boucherie Ovalie"...
Au début, c'était sympa, mais là, ils me saoulent ! Avant la Coupe du monde, ils ont pris un tournant un peu politique qui m'a gonflé. Ils sortent des livres mais ils ne se rendent pas compte qu'il n'y a que les mecs du rugby qui les lisent. Lors de l'annonce de la liste pour le Mondial au 13 heures de TF1, ils reprochaient le manque de mixité parmi les Français qui annonçaient les sélectionnés. J'avais répondu que cela représentait leurs lecteurs et ils n'avaient pas aimé ("Il faut comprendre que les Noirs et les Arabes ne savent pas lire ou qu'il n'y en a aucun qui aime le rugby ?", avait répondu Boucherie Ovalie). En revanche, j'aime beaucoup lire des comptes comme Ovale Masqué ou finalesrugby...
« Bernard Laporte, parfois, je lui mets quelques coups de râpe »
Avant son décès en 2021, Philousports se démarquait dans l'humour autour du sport...
J'échangeais pas mal avec lui... jusqu'à ce qu'il m'embrouille parce que j'avais ciblé un supporter marseillais dans un montage photo. Mais Philou avait un vrai talent. Un jour, il m'avait dit : "Muscle tes punchlines David !" Et il avait raison. Parfois, j'envoie une photo ou une vidéo et la légende n'est pas toujours au niveau. Mais bon, je ne reviens jamais en arrière ! D'ailleurs, mes montages photo, c'est du travail d'artisan... Et encore, c'est une insulte pour les artisans.
Bernard Laporte semble particulièrement vous inspirer...
Parfois, j'en fais trop... De base, je n'ai rien contre lui, il a beaucoup d'humour. Mais, quand il a pris la Fédé, il a dit qu'il ne ferait pas comme ses prédécesseurs, "fini les passe-droits et les petits arrangements entre amis, etc". Il ne faut pas faire de promesses quand on ne peut pas les tenir. Donc, parfois, je lui mets quelques coups de râpe. Ça m'inspire parce que le personnage est truculent. Et je sais aussi que cela fera rire ma communauté. Cela reste de la caricature, de l'humour, même si cela doit piquer un peu quand tu le reçois.

Avec l'émission "Super Moscato Show", vous proposez carrément un live-tweet quotidien...
J'écoute (Vincent) Moscato parce que je le connais un peu. Denis Charvet aussi. Ils m'avaient invité en plateau lorsqu'ils étaient passés à Bayonne. Mais surtout, la bande me fait rire. En fait, c'est moi avec mes potes au café lorsqu'on raconte des conneries, sauf qu'eux, ils ont un million d'auditeurs. Il leur est arrivé quelquefois de lire mes tweets à l'antenne.
Vous aimeriez rebondir chez eux ou dans une émission rugby ?
Je ne dirais pas non si on me proposait d'intégrer l'équipe de Moscato, mais je ne cours pas après... Je n'ai pas de nom, moi, je n'ai pas de sélection avec le quinze de France. Les médias, notamment Canal+, aiment bien lorsque c'est plus ronflant, quand t'es bankable ! Cela ne m'empêche pas de me penser aussi légitime que les consultants d'aujourd'hui pour parler rugby. L'an prochain, je serai à la retraite, j'aurai encore plus de temps pour regarder la télé... et tweeter. »
#341
Posté 26 février 2024 - 20:58

-
Écouter
-
Réagir
-
Voir sur la carte
-
Partager
La bagarre n’a pas de témoins. Mais elle fait jaser dans le microcosme biarrot. Vendredi 23 février, un retraité de 82 ans s’est rendu au commissariat de Biarritz pour déposer une main courante après un épisode de violences impliquant Jean-Baptiste Aldigé.
Dans ce document, que « Sud Ouest » a pu consulter, Michel Bonnemaison affirme avoir été agressé par le président du Biarritz Olympique jeudi 22 février, à 11 heures, à proximité du stade Aguilera. « Je marchais dans la rue pour rentrer chez moi quand j’ai vu un Range Rover à proximité. À travers les vitres teintées, j’ai aperçu le conducteur me faire des doigts d’honneur. J’ai pensé à une plaisanterie. Jean-Baptiste Aldigé est descendu et m’a sauté dessus. »
À un coup de pied à la hanche, le retraité reconnaît avoir répliqué par un coup de poing au visage. Les deux hommes s’insultent. Ils se seraient aussi crachés dessus. « Je n’allais pas me laisser faire, explique Michel Bonnemaison. Je lui ai dit que compte tenu de notre différence d’âge, tout ceci était déraisonnable. » Après un ultime échange de coups de pied, l’altercation en serait restée là.
Le retraité n’a pas de séquelles physiques et n’a, pour l’heure, pas souhaité déposer plainte. Quant au motif de la bagarre, « je cherche moi-même encore », affirme Michel Bonnemaison, imaginant une histoire de loyers supposément impayés.
Michel Bonnemaison a quitté le Biarritz Olympique il y a six ans, après quarante-cinq ans de bénévolat. Il a également siégé au conseil d’administration avant l’arrivée de Jean-Baptiste Aldigé. « Depuis jeudi, je reçois des messages de soutien de personnes du club. Y compris des proches du président qui trouvent tout ceci inadmissible. »
Interrogé sur sa version de l’épisode, le président du BO s’étonne : « Je ne sais pas de quoi on parle. Cela ressemble à une action pour me nuire à moi et à ma réputation à travers une instrumentalisation de la presse locale. »
#342
Posté 26 février 2024 - 21:09
#343
Posté 28 février 2024 - 20:07
https://www.sudouest...ue-18764112.phpCe serait bien que ce personnage disparaisse du paysage rugbystique
Ca semble en prendre le chemin. Il ne me manquera pas.
#344
Posté 28 février 2024 - 20:42

-
Écouter
-
Voir sur la carte
-
Partager
Le propriétaire et son homme de terrain sont prêts à céder immédiatement le club pour un euro. Selon nos informations, ils ont demandé à la mairie de Biarritz de trouver un repreneur. Sans cela, ce sera la liquidation
Club centenaire cherche repreneur(s). Le Biarritz Olympique est à vendre. Pas cher : 1 euro. C’est symbolique. Selon les informations de « Sud Ouest », Louis-Vincent Gave, propriétaire du club depuis 2018, a décidé de stopper les frais depuis l’échec du projet de stade à Saint-Sébastien (Espagne), fin janvier. Jean-Baptiste Aldigé l’a fait savoir à la mairie de Biarritz dans la foulée. En substance : « Trouvez quelqu’un pour reprendre le club, nous partons. » Et si possible, rapidement. Avant même la fin de saison.
Joint ce mercredi, le président du directoire n’a pas souhaité faire de commentaires. Du côté de l’Hôtel de ville, Maider Arosteguy tape en touche : « La question importante n’est pas de savoir si la direction du club va partir ou rester mais que les gens qui aiment le rugby reviennent au stade supporter leur équipe qui en a besoin. » Il y a pourtant urgence. Sans projet de reprise sur la table, Gave et Aldigé liquideraient le club en fin de saison.
Gave coupe le robinetDès leur arrivée, les deux hommes ont indiqué vouloir doter le club d’un modèle économique dont le stade serait la clef. Celui d’Anoeta représentait leur dernière chance. Aguilera ? Ils ne souhaitent plus participer à sa rénovation. Pour eux, l’enceinte biarrote ne permettrait pas de capter suffisamment de revenus avec la concurrence de l’Aviron Bayonnais (Top 14) à cinq kilomètres de là.

Même si des leviers existent, la trésorerie du BO ne permet pas de tenir jusqu’en juin
Jusque-là très actif sur le marché des transferts (1), Jean-Baptiste Aldigé a depuis cessé tout recrutement. Son patron n’a pas l’intention de réinjecter de l’argent pour terminer l’exercice en cours alors que le futur ne les concerne pas. Or, la trésorerie du BO ne permet pas de tenir jusqu’en juin. Des leviers existent. L’avance du versement de la dernière traite du contrat de communication passée avec la mairie, prévue fin mai, peut colmater un trou. La vente de joueurs, payable maintenant, également. Dans ce domaine, l’Agenais de 39 ans a déjà prouvé son savoir-faire avec les transferts de Lucas Peyresblanques et Mathieu Hirigoyen, en 2021 au Stade Français, pour plus d’un million d’euros. Son bien le plus attractif cette saison ? Le troisième ligne Temo Matiu (22 ans), dont le talent est scruté par de nombreux clubs.
Serge Blanco à l’affût ?L’opération n’a rien à voir avec celle de l’année dernière. Jean-Baptiste Aldigé avait été mandaté par Louis-Vincent Gave pour vendre le club contre un gros chèque. Le binôme devait rebondir au SU Agen. Entrepreneur limougeaud, Romain Détré s’était montré intéressé. Un accord à 3,5 millions d’euros avait été trouvé. Le feuilleton avait alimenté toute la fin de saison du BO, entre coups bas et invectives entre les deux parties. La vente n’a jamais été paraphée.

Aujourd’hui, le BO vaut un euro. Regardez au fond de votre poche, vous pouvez l’acheter. Et l’entretenir ? C’est une autre histoire. Pour faire un parallèle : la voiture est offerte, reste à mettre l’essence. Cette saison, le club présente un budget de 9 millions d’euros. Son chiffre d’affaires est de l’ordre de 4,5 millions d’euros. À cela s’ajoute 1,5 million d’euros d’aides municipales. Soit 6 millions. Les trois derniers sortent de la poche de Louis-Vincent Gave.
« J’entends ces bruits mais je ne m’occupe du secteur amateur et que de cela », jure Serge Blanco

En coulisses, Serge Blanco s’activerait pour trouver un repreneur, selon plusieurs de nos sources. « J’entends ces bruits mais je ne m’occupe du secteur amateur et que de cela », jure le président de l’association du Biarritz Olympique. En froid avec Jean-Baptiste Aldigé depuis plusieurs semaines, la légende du BO ne souhaite pas s’exprimer sur une situation où il n’y a « rien d’officiel ».
Membres du conseil de surveillance (2), Nicolas Brusque et Stéphane Carella, proches de Blanco et Aldigé, sondent aussi à tout va. Preuve supplémentaire de l’urgence. Elle plane aussi sur le terrain : l’équipe est 15e de Pro D2 et barragiste à l’heure de recevoir le leader Vannes, ce vendredi à 21 heures.
(1) Pour la saison prochaine, le club a finalisé les signatures d’Arthur Bonneval (Brive), Yohan Beheregaray (Clermont), Kylian Jaminet (Nevers), Filimo Taofifenua (Oyonnax), Bastien Guillemin (Montauban), Alexandre Plantier (Aurillac) et Clément Martinez (Agen). (2) Le conseil de surveillance est composé de Louis-Vincent Gave (président), Nicolas Brusque, Stéphane Carella, Laurent Mindurry, Serge Lagaronne et Emmanuelle Gave. Au directoire, on retrouve Jean-Baptiste Aldigé (président), Jean-Jacques Netter et Olivier Couleau.
J. L’Ho.
#345
Posté 28 février 2024 - 21:37
1 utilisateur(s) li(sen)t ce sujet
0 members, 1 guests, 0 anonymous users