435 réponses à ce sujet

[DOUDOU63]

Il va être content Beheregaray...

Je me suis fait la même réflexion...

[RCV06]

Il va être content Beheregaray...

Quand ça veut pas !!

[el landeno]

il devrait signer prochainement au MHR !

 

Violences conjugales : un joueur du Biarritz Olympique condamné à quatre mois de prison avec sursis

  Lecture 3 min

Accueil Pyrénées-Atlantiques Biarritz

Zakaria El Fakir est venu répondre aux questions du tribunal, assisté de Me Olivier Couleau. © Crédit photo : Y. B.

 

Par Yoann Boffo

Publié le 29/02/2024 à 19h01.

Mis à jour le 29/02/2024 à 19h34.

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Zakaria El Fakir a été condamné à quatre mois de prison avec sursis, ce jeudi 29 février. Le pilier du Biarritz Olympique a été reconnu coupable de violences sur son épouse. « Une relation d’emprise », selon le parquet

Les coups, les violences sexuelles et l’emprise psychologique et financière. « Comme depuis le début, je nie tout. Il y a eu des désaccords de couple, mais jamais aucune forme de violence », assure Zakaria El Fakir. À la barre du tribunal de Bayonne, ce jeudi 29 février, la large carrure du rugbyman du Biarritz Olympique ne vacille pas.

Le pilier de 26 ans a été condamné à quatre mois de prison avec sursis et à effectuer un stage de sensibilisation. Il répondait de violences habituelles sur son épouse de 27 ans, commises à Bayonne, Béziers, Agen, Bordeaux et Saint-André-de-Cubzac. Des gifles. « On imagine ce que cela peut donner, vu votre corpulence », relève la présidente de l’audience, Nadine Regereau. L’une aurait fait saigner l’oreille de la jeune femme. Zakaria El Fakir est poursuivi pour trois d’entre elles. La famille de la plaignante en rapporte d’autres. Commencées en 2016, elles auraient été régulières jusqu’au 11 juillet 2023. Une plainte envoie alors le rugbyman en garde à vue huit jours après. C’est la troisième.

Traumatisme psychologique

Deux ans plus tôt, déjà, la jeune femme fuit Agen, où le rugbyman poursuit sa carrière. L’affaire se règle en famille, sous l’égide des parents. Il s’excuse. Elle accepte de reprendre leur vie. Un an plus tard, elle quitte de nouveau le domicile, après avoir été frappée sur un parking. Il la récupère dans un logement d’urgence. Ces deux épisodes ont été classés sans suite par la justice. « Selon le médecin, elle présente un traumatisme psychologique, lit la présidente d’audience. Des violences psychologiques, physiques et sexuelles ont détruit une partie de sa personnalité. » Un préjudice évalué à dix jours d’incapacité (ITT).

Nadine Regereau remonte en 2016. La relation débute. Selon la plaignante, les violences aussi. Le rugbyman ne supporterait pas de la voir coquette. Encore moins de la voir coiffer d’autres hommes dans le salon où elle travaille. Ses sorties sont filtrées. Jamais sans son autorisation ou sans activer la géolocalisation de son téléphone. « Quand elle rentre avec une nouvelle coiffure, vous la giflez, note Nadine Regereau. Vous lui auriez dit : ‘si tu n’enlèves pas tes tresses, ça veut dire que tu ne m’aimes pas’. »

Au chantage affectif, le dossier ajoute une emprise économique. Les revenus tombent sur un compte joint. Zakaria El Fakir le distribue au compte-gouttes. « Il y a aussi ces rapports sexuels qu’elle dit que vous lui imposez, ajoute Nadine Regereau. Ce que vous appelez des ‘gâteries’, des fellations, dont une lui aurait fait saigner la gorge. »

« Trop dépensière »

Zakaria El Fakir concède deux bousculades tout au plus. « Sur la première plainte classée sans suite, c’était deux mois après la naissance d’un de nos enfants. Elle a mis ça sur le compte du baby blues. La deuxième fois, c’était pareil. Et là, c’est parce qu’on n’était pas parti en vacances. » Le rugbyman assure avoir fermé le compte bancaire de sa femme, « trop dépensière », en accord avec elle. Pour éviter les découverts. « J’ai toutes les dépenses à ma charge. On a un chéquier pour le compte commun. Elle y a accès et emprunte ma Carte bleue. »

Pour le parquet, c’est symptomatique « d’un état de soumission qui dure depuis sept ans et demi ». Zakaria El Fakir a fait ses premières armes en Top 14 en 2019, à l’Union Bordeaux-Bègles, avant d’être prêté quelques mois au SU Agen, début 2021. Le pilier évolue au Biarritz Olympique depuis 2021. Il a récemment resigné pour trois ans. « Au fil des déménagements, il l’isole de sa famille, de ses amis, relève Stéphanie Veyssière. Elle ne travaille plus. Il est plus facile de la rendre dépendante de lui à tout point de vue. Elle est dans l’incapacité de réagir. » La procureure requiert un an de prison avec sursis. Elle y adjoint notamment une obligation de soin, « afin de déconstruire ce mode de fonctionnement ».

Pour la défense, on en fait trop. « Le mot emprise, qui fonde les réquisitions, ne figure même pas une fois dans l’expertise du psychologue », relève M^e Olivier Couleau. Face à « un dossier à trou », l’avocat de Zakaria El Fakir plaide la relaxe. « Pas de certificat médical, pas d’images. Dans le cas de son collègue de match, Mohamed Haouas, on a tout de suite vu la vidéo. Il n’y a que les déclarations de son épouse et des propos rapportés. Si vous retenez ceux de la mère de Madame, retenez aussi ceux du père de mon client, qui explique que sa belle-fille reconnaît être une menteuse. »

M^e Couleau résume l’affaire à « une relation toxique, un mauvais divorce ». Qui n’aura pas lieu. L’épouse de Zakaria El Fakir est revenue vivre avec lui. Elle était absente à l’audience. « Elle ne voulait plus assumer ses propos, a-t-il expliqué. Peut-être ne voulait-elle pas passer pour une personne instable. Je ne sais pas trop. »

 

 

 

 

[steph]

Il va faire dormir sa femme sur la planche à clous, ça va lui rappeler qui est le fakir à la maison.

[el landeno]

Il va faire dormir sa femme sur la planche à clous, ça va lui rappeler qui est le fakir à la maison.

exact. sans vouloir prendre sa défense, il pouvait pas non plus se taper une poupée gonflable 

[GonzO Avant Tout]

https://www.quinzemo...iolences-796389

 

https://vibrez-rugby...les-supporters/

 

https://actu.fr/nouv...z_60768598.html

 

 

Le connard intersidéral est de retour, pour un dernier tour de piste, ça sent la fin en forme de bouquet final !

[Buckaroo]

Sur la vidéo, c'est bien Haouas qu'on voit s'interposer entre Aldigé et le supporter ?

[TH69]

Sur la vidéo, c'est bien Haouas qu'on voit s'interposer entre Aldigé et le supporter ?

Oui

[Gourine63]

Le supporter avait les cheveux longs, il a eu un réflexe.

[Alex chocolatines]

Un pauv' type irrespectueux jusqu'au bout... Une honte ce mec, les valeurs toussa toussa, écœurant    

[jm12]

Un pauv' type irrespectueux jusqu'au bout... Une honte ce mec, les valeurs toussa toussa, écœurant    

Non mais vous croyez sincèrement qu'après un p'tit stage de citoyenneté  , le mec est devenu un agneau et a gommé ses bonnes vieilles habitudes !

[Alex chocolatines]

Non mais vous croyez sincèrement qu'après un p'tit stage de citoyenneté  , le mec est devenu un agneau et a gommé ses bonnes vieilles habitudes !

Est ce qu'on parle du meme gars ? y en a un des deux qui semble plutot se calmer depuis un moment, il me surprend meme à calmer une embrouille. Je parle de son président qui donne une image lamentable de son club et de sa ville. Si les supporters gueulent et sont mécontents, faut qu'il se pose des questions le mec, au lieu d'aller les tarter.

[el landeno]

Quel avenir pour le Biarritz Olympique, monument du rugby français ? Le propriétaire du Biarritz Olympique Louis-Vincent Gave et le président Jean-Baptiste Aldigé veulent partir dès que possible, laissant le 15e de Pro D2 dans un inquiétant flou économique. De son côté, la mairie, en discussion avec des investisseurs étrangers, cherche des repreneurs.

« À saisir d'urgence quintuple champion de France (1935, 1939, 2002, 2005, 2006) situé à trois kilomètres de la Grande Plage. Quelques traces d'usure et un stade ancien à rénover. Prix défiant toute concurrence. » Voilà à quoi pourrait ressembler la petite annonce des dirigeants du Biarritz Olympique, prêts à lâcher pour un euro symbolique dès que possible un club, quinzième de Pro D2, qu'ils avaient repris au bord du gouffre en 2018. En coulisses, la mairie s'active pour trouver une solution alors que les joueurs, eux, s'inquiètent pour leur avenir.

 

 

Comment en est-on arrivé là ?

Les six dernières années du BOPB n'ont pas franchement été un long fleuve tranquille. À leur arrivée en juin 2018, le président Jean-Baptiste Aldigé et le propriétaire Louis-Vincent Gave comptaient, comme l'a fait ensuite le voisin bayonnais, s'appuyer sur une rénovation de leur stade pour augmenter les revenus de jour de match et donc pérenniser un club longtemps habitué à vivre du mécénat. S'est ensuivie au sujet d'Aguiléra une guerre ouverte avec la mairie de Maider Arosteguy, élue en 2020. Puis est venu le temps des rumeurs d'un déménagement à Lille, Grenoble, Nice ou encore Agen.

 

Louis-Vincent Gave, propriétaire de Biarritz et son président Jean-Baptiste Aldigé sont prêts à céder avec effet immédiat le club pour un euro symbolique. (ROMAIN/Presse Sports)

Nouveau rebondissement l'an dernier. L'homme d'affaires limougeaud Romain Détré, dont la possible arrivée était alors vue d'un bon oeil par la Ville, avait manifesté son intention de racheter le club. Un accord de principe avait même été conclu pour un montant de trois millions d'euros mais il ne s'est jamais concrétisé. Aldigé et Gave, très proches de rejoindre le SU Agen, sont finalement restés, en remettant encore trois millions au pot pour la saison actuelle (sur un budget de 9 M€), avant de rêver d'un projet transfrontalier à Saint-Sébastien (Espagne) fondé en grande partie sur la construction d'une nouvelle enceinte à côté du grand stade d'Anoeta. Fin janvier, l'hypothèse est officiellement abandonnée.

« On était dans mon bureau lorsque le maire de Saint-Sébastien l'a annoncé, se souvient Maider Arosteguy. Jean-Baptiste Aldigé était extrêmement abattu et surpris. Il ne s'attendait pas à ce refus. L'avenir du club avec eux (les dirigeants actuels) se jouait sur ce projet. » Rapidement, un départ a été entériné. Aldigé, qui n'a pas souhaité s'exprimer malgré nos relances, l'a d'abord annoncé à de nombreux interlocuteurs et à la mairie. Nos confrères de Sud Ouest l'ont ensuite rendu public le 28 février, cinq jours avant l'officialisation aux joueurs lundi. « Cette fois, ce n'est pas du bluff », prévient Arosteguy.

 

 

Avec quels repreneurs ?

C'est évidemment la question que tout le monde se pose au Pays basque. De ce que l'on sait, les anciennes stars du club, celles que l'on a qualifiées de Galactiques (Harinordoquy, Thion, Yachvili, Marlu, etc.), n'ont pas prévu de se lancer. « Tout le monde peut mettre un euro symbolique, souligne David Couzinet qui a porté les couleurs du club de 2002 à 2009 avant de prendre, un temps (2021-2023), les rênes de l'association, où il était en conflit avec Aldigé. Mais après ce rachat, il faut assumer, finir la saison, garantir la prochaine, pérenniser le club sur le long terme en injectant plusieurs millions, avec aussi un stade à rénover. Pour nous, ça n'est pas possible. »

Le nom de Serge Blanco circule, en revanche. L'ancien président (1995-1998 puis 2008-2015) et actuel homme fort de l'association, que l'on dit fâché avec Jean-Baptiste Aldigé, consulte effectivement. « Il est déterminé à ne pas voir le club mourir », selon plusieurs sources. Contacté, Blanco n'a pas répondu à nos sollicitations. La municipalité, elle, mène la chasse aux repreneurs. « Ça m'occupe beaucoup et ça va encore beaucoup m'occuper, reconnaît Arosteguy en déplacement mardi à Paris pour tenter de faire avancer le dossier. Ça ne va pas se faire avec trois francs six sous et une cagnotte Leetchi. » Certains craignent peut-être de découvrir des cadavres dans les placards. « On n'est absolument pas inquiets, sauf si les dirigeants ne respectent pas leurs engagements, mais ça n'a jamais été le cas depuis qu'ils sont là, répond Dominique Debreyer, directeur de l'Autorité de régulation du rugby, anciennement DNACG. Ils n'ont pas de graves problèmes financiers. »

La maire, qui se dit « très optimiste », affirme être en contact avec de potentiels investisseurs. « Ils sont sérieux, ce sont des amateurs et connaisseurs de rugby extrêmement motivés avec une grosse superficie financière. Ils ne sont pas français. » Ils seraient en effet irlandais. Les mêmes qui avaient été un temps annoncés du côté d'Aguiléra en 2022, lorsque le club évoluait en Top 14 ? Réponse d'Arosteguy : « Il y aura forcément des contacts avec les investisseurs du passé et en aucune façon je ne commenterais l'identité de repreneurs. » Surtout, sont-ils vraiment fiables ? Trop tôt pour le dire. Et que se passerait-il si le processus venait à échouer ? La Ville elle-même pourrait, comme à Béziers, temporairement prendre le relais. « C'est une possibilité à très court terme en attendant que des repreneurs aient le temps de préparer leur venue, selon Arosteguy. Nous ferons tout pour éviter la liquidation. »

Un effectif dans le brouillard

Ce n'est sans doute pas un hasard de voir le BOPB lutter pour le maintien. Quinzièmes à huit journées de la fin, les joueurs, dont beaucoup avaient signé le dernier jour du marché des mutations en juin dernier après avoir été proches de rejoindre Agen, ont logiquement la tête ailleurs depuis des semaines. Ils s'accrochent malgré tout à l'image de la victoire contre le leader vannetais (12-10) vendredi dernier.

« Ils se posent forcément des questions », reconnaît un proche du club. Aussi bien les éléments qui sont déjà présents que ceux qui ont signé un précontrat pour la saison prochaine, à savoir Kylian Jaminet (Nevers), Thibault Debaes (Pau), Clément Martinez (Agen), Bastien Guillemin (Montauban), Alexandre Plantier (Aurillac), Yohan Beheregaray (Clermont), Filimo Taofifenua (Oyonnax) et Arthur Bonneval (Brive).

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« C'est un peu courage fuyons », reconnaît un agent sportif, alors qu'un de ses confrères se veut plus rassurant. Sportivement, le BO reste en grand danger. S'il termine la saison à l'avant-dernière place, Biarritz devra passer par un barrage de la peur le week-end du 1er juin contre le perdant de la finale de Nationale pour se sauver avec forcément un risque de démobilisation générale.

 

 

[bazooka]

Ben merde alors.

[jm12]

Il va faire dormir sa femme sur la planche à clous, ça va lui rappeler qui est le fakir à la maison.