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[cocotte 63]

Vili c'est la suite logique de l'après Lamerat il est jeune, prometteur dans l'oeil du sélectionneur, le choix me paraît logique après son management ça regardera le joueur et le staff. Pour l'avenir ça me semble cohérent, sportivement on verra!

Sinon j'adore cette équipe de bordeaux j'espère qu'ils seront champions !

[loveasm]

 
sinon on a toujours rien d'officilialisé chez nous sauf erreur de ma part en terme de recrue. juste officialisé les partants. ché pas trop ce qu'on attend.
A ce jour, je trouve qu'on a un gros manque pour l'annee prochaine en 3ieme ligne (5 bons joueurs dont 2 inter, 2 espoirs et 1 polyvalent 2eme/3ieme ligne)

Cancoriet, Fischer, Lee, Godener, Yato, Iturria, Tixeron, Dessaigne, VTD (polyvalent) et peut être Clément Lanen : aucune inquiétude pour ces postes.

[Good Shvili]

Cancoriet, Fischer, Lee, Godener, Yato, Iturria, Tixeron, Dessaigne, VTD (polyvalent) et peut être Clément Lanen : aucune inquiétude pour ces postes.

Ils en connaissent pas un à l’UBB

[le radis]

Cancoriet, Fischer, Lee, Godener, Yato, Iturria, Tixeron, Dessaigne, VTD (polyvalent) et peut être Clément Lanen : aucune inquiétude pour ces postes.

 

 

Alors que chez nous : Diaby, Vergnes-Taillefer, Miquel, Woki, Petti, Bochaton et Lachaise voire Roussel qui peut dépanner au poste de 8.A voir si Vaipulu est confirmé pour la saison prochaine ou pas.

Il me semble que nous sommes un peu juste sur le poste de numéro 8 : Miquel, Vergnes-Taillefer et Roussel en dépannage.

[el landeno]

vu l'accumulation de reproches publiques vis à vis de ses joueurs, ça pourrait sentir l'écurie

 

Semaine sous tension pour l'UBB, contrainte de disputer un barrage contre le Racing

 

Éjectée du top 2 à la suite de sa défaite à Perpignan (22-15) dimanche, l'Union Bordeaux-Bègles (3e) va devoir disputer un barrage périlleux face au Racing 92 (6e) sur sa pelouse de Chaban-Delmas (dimanche, 21h05). Passablement énervé par la prestation de ses joueurs, le manager Christophe Urios les a mis face à leurs responsabilités.

 

Dimanche soir, un peu moins d'une heure après le coup de sifflet final scellant la défaite de son équipe sur la pelouse de Perpignan (22-15), synonyme de troisième place au classement et donc de barrage face au Racing 92 (dimanche, 21h05), Christophe Urios est arrivé en conférence de presse avec la tête des mauvais jours. Le manager de l'Union Bordeaux-Bègles a d'abord félicité la performance de l'USAP avant d'envoyer quelques messages bien ciblés à ses troupes.

 

 

lire aussiToulouse, La Rochelle et le Racing 92 qualifiés en phase finale, Lyon et Toulon out

« Sur l'engagement, on a été en difficulté a d'abord exposé Urios. On n'a pas non plus été assez conquérants et efficaces proche de la ligne. Plusieurs secteurs ont été mauvais comme la touche et le contre en touche. On ne joue pas simple. On joue à la baballe quand il faut être dur et inversement. L'état d'esprit n'était pas bon. Je n'ai pas vu une équipe sur le terrain. Tout ça a le don de me gonfler ! Au final, sur la seconde partie de saison, on n'est pas invité dans le Top 2. Troisièmes, ce n'est pas ce qu'on voulait. Mais il y a une forme de logique. »

« Peu importe si les mecs font la gueule. On va se remettre au boulot dès mardi. Il va y avoir une remise en question, sinon, notre parcours va s'arrêter »

Christophe Urios

 

 

 

Très juste. Si les Bordelais ont trusté les deux premières places directement qualificatives pour les demi-finales à Nice pendant quasiment l'intégralité de la saison (sans discontinuer depuis la 5e journée et 21 fois sur 26 journées) et semblent être les cocus de cette dernière journée, ils n'ont en réalité que ce qu'ils méritent. Ils ont certes réalisé une première partie de saison quasi idéale en étant un leader autoritaire avec une avance de près de quinze points. Sauf que depuis la fin janvier, c'est l'inverse avec un bilan de seulement trois victoires sur les onze derniers matches de Top 14. Mais aussi l'élimination dès les huitièmes de finale de la Coupe d'Europe avec une double défaite face au Stade Rochelais. Sans oublier enfin cette incapacité à enchaîner deux succès de rang.

Woki et Jalibert ciblés

Si l'UBB s'était directement qualifiée pour les demies à Nice dans quinze jours, il était prévu que le groupe rallie directement Bordeaux après le match à Perpignan dimanche soir. Avec la défaite et la troisième place, les Girondins ont finalement dormi sur place. « Ce sera départ à 7h a prévenu Christophe Urios. Comme ça les mecs auront les yeux en face des trous ! Et peu importe si les mecs font la gueule. On va se remettre au boulot dès mardi. Il va y avoir une remise en question, sinon, notre parcours va s'arrêter. » Encore une fois, les mots durs de Christophe Urios ne sont pas nouveaux. Ces dernières semaines, au gré des rechutes de son équipe, il avait souvent distillé quelques messages.

lire aussiLe programme des barrages

Il y a quinze jours, après le large succès face au LOU (42-10), le manager bordelais avait d'ailleurs glissé : « Cette année, j'ai compris des choses sur le fonctionnement de ce groupe. » Ce qui sous-entendait qu'il savait comment éviter de retomber dans les travers des dernières semaines et éviter de se remettre le feu. Raté. C'est pourquoi dimanche soir, on l'a aussi senti touché personnellement. « Ça va être dur pour que je rebondisse personnellement a avoué Urios. J'en ai plein le cul. Et encore, je ne dis pas ce que je pense aux joueurs. Et je ne vais pas leur dire. Je vais voir comment je vais me mobiliser, comment je vais transmettre mon énergie aux joueurs, mais je me connais, ce n'est pas gagné. Il va falloir que je digère. »

« C'est aux joueurs de prendre le truc. On a des internationaux... Mais Cameron (Woki), je ne le vois pas. Matthieu (Jalibert), je ne le vois pas »

Christophe Urios

 

 

 

Puis il a mis ses joueurs, dont aucun ne s'est exprimé après la rencontre, face à leurs responsabilités. « C'est aux joueurs de prendre le truc, a lancé Urios. On a des internationaux... Mais Cameron (Woki), je ne le vois pas. Matthieu (Jalibert), je ne le vois pas. On n'est pas mature en phase finale. À ce niveau, il faut apprendre vite. Nadal, c'est un champion (en référence à sa 14e victoire à Roland-Garros). Si on veut être champion, il faut passer un cap, mais je ne sens pas ça. C'est le moment que les leaders sortent du bois... »

Woki (sorti dès la 56e) et Jalibert (auteur d'un en-avant synonyme de second essai de l'USAP à la 34e) ont pris un vrai tir. Pas une balle perdue. On sent dans les propos du manager sportif comme un début de fissure. La semaine risque d'être électrique du côté de la Gironde. Comme l'a dit Urios : « on a pris un coup sur la carafe ». Est-ce que les Bordelais vont s'en remettre ou seront-ils encore sonnés au moment de défier des Racingmen en mode survie, proches d'une élimination ? La bonne nouvelle, et ce n'est pas rien, l'UBB pourra compter sur un stade Chaban Delmas plein et en fusion, comme souvent cette saison, pour rallier les demi-finales et continuer de rêver à l'objectif initial : le bouclier de Brennus.

 

 

[Gourine63]

Urios est un excellent meneur d'hommes mais son entraînement à base de gueulantes et de regards noirs, ça fini vite par tourner au vinaigre.

Je pense qu'il est le coach idoine pour une période de 2-3 ans mais pas plus, c'est typiquement le gars qui pourrait nous retaper l'ASM à la Vern Cotter sauf que tu sais qu'il va falloir trouver un successeur sous 36 mois.

[Lima]

Urios connaît son groupe et demeure un très bon manager, je ne le vois pas tenir ces propos publiquement si jamais cela pouvait engendrer de gros dégâts en son sein, surtout avant les phases finales.

Sans compter que les Bordelo-béglais ont une partie de tableau vraiment plus simple.

Accueillir un Racing pas terrible dans un Chaban plein à craquer pour se relancer, enchaîner sur un Montpellier qui a perdu gros avec Willemse et Reinach et qui parait essoufflé.

[casquette]

Urios connaît son groupe et demeure un très bon manager, je ne le vois pas tenir ces propos publiquement si jamais cela pouvait engendrer de gros dégâts en son sein, surtout avant les phases finales.

Sans compter que les Bordelo-béglais ont une partie de tableau vraiment plus simple.

Accueillir un Racing pas terrible dans un Chaban plein à craquer pour se relancer, enchaîner sur un Montpellier qui a perdu gros avec Willemse et Reinach et qui parait essoufflé.

tout à fait d accord

[jm12]

Urios connaît son groupe et demeure un très bon manager, je ne le vois pas tenir ces propos publiquement si jamais cela pouvait engendrer de gros dégâts en son sein, surtout avant les phases finales.

Sans compter que les Bordelo-béglais ont une partie de tableau vraiment plus simple.

Accueillir un Racing pas terrible dans un Chaban plein à craquer pour se relancer, enchaîner sur un Montpellier qui a perdu gros avec Willemse et Reinach et qui parait essoufflé.

+1...le chemin est ouvert.....pas facile de transmettre à certains qui ont peut-être un peu été frappés par la melonite....

 

"Trouver vite des leaders "...tiens tiens...ça me rappellerais bien qqchose ça......Comme quoi , rien n 'est écrit par avance et même les plus belles machines peuvent se gripper au plus mauvais moment !

 

En phase finale il faut être pragmatique et propre , précis , et pas sur jouer à la baballe....

 

Après perso, sur un ressenti à confirmer , je les vois passer devant le R92 à la maison et le MHR de Mohed ne me semble pas du tout hors de portée , comme tu le dis fort bien.

 

Après la phase finale , c'est toujours avant joutes sur le pré , du 50%-50%...l 'approche , le mental , l 'expérience priment .

[le radis]

Urios connaît son groupe et demeure un très bon manager, je ne le vois pas tenir ces propos publiquement si jamais cela pouvait engendrer de gros dégâts en son sein, surtout avant les phases finales.

Sans compter que les Bordelo-béglais ont une partie de tableau vraiment plus simple.

Accueillir un Racing pas terrible dans un Chaban plein à craquer pour se relancer, enchaîner sur un Montpellier qui a perdu gros avec Willemse et Reinach et qui parait essoufflé.

 

Je pense que C Urios pourrait quitter dès cet été le club en fait. Les joueurs démontrent match après match qu'ils ne veulent tout simplement pas gagner. L'état d'esprit (la base de la base) n'y étant pas, le manager s'en ira tout naturellement. 

[Lima]

 

Je pense que C Urios pourrait quitter dès cet été le club en fait. Les joueurs démontrent match après match qu'ils ne veulent tout simplement pas gagner. L'état d'esprit (la base de la base) n'y étant pas, le manager s'en ira tout naturellement. 

Tu as des informations à ce sujet ?

 

Car il a quand même récemment prolongé jusqu'en 2025.

[Un jaune dans un ballon]

Tout sauf l'UBB et le racing champion svp

[OliveR]

 

Je pense que C Urios pourrait quitter dès cet été le club en fait. Les joueurs démontrent match après match qu'ils ne veulent tout simplement pas gagner. L'état d'esprit (la base de la base) n'y étant pas, le manager s'en ira tout naturellement. 

"Je sens que mon message ne passe plus, il est temps que je me retire. Je n'ai aucune idée de ce que je vais faire l'an prochain, peut-être une année sabbatique, ou alors aller me ressourcer dans l'hémisphère sud."

[le radis]

Tu as des informations à ce sujet ?

 

Car il a quand même récemment prolongé jusqu'en 2025.

 

Aucune info, juste un ressenti. 

[jm12]

 

Aucune info, juste un ressenti. 

La réussite sportive , ou l 'échec détermineront , bcp de choses...

 

Après quand ça passe pas ou plus , que le coach lucide arrive à un constat de fin de non recevoir , pas d'autre solution  que de s'éclipser ....

 

Un peu comme Franck chez nous en fin de cycle avec des gars liés à lui dans la même aventure , en bout de ligne , il faut savoir partir par la grande porte avant que ce ne soit par l 'arrière des pesages....la tête basse.....un cycle finit toujours....un autre différent recommence , c'est la réalité du sport de compétition..