
Union Bordeaux-Bègles
#1036
Posté 10 juin 2020 - 11:33
#1038
Posté 10 juin 2020 - 18:15
Un pur ailier avec un style bien à lui !
Au top de sa forme il n'avait que peu d'égal dans le sens du timing quand il venait se proposer à l'intérieur et dans la ligne. Un des meilleur, si ce n'est le meilleur défenseur à son poste en Top 14 pendant de longues années. Une technique de plaquage irréprochable, peu importe le calibre en face.
- Bart Simpson et el landeno aiment ceci
#1039
Posté 10 juin 2020 - 19:51
Un pur ailier avec un style bien à lui !
Au top de sa forme il n'avait que peu d'égal dans le sens du timing quand il venait se proposer à l'intérieur et dans la ligne. Un des meilleur, si ce n'est le meilleur défenseur à son poste en Top 14 pendant de longues années. Une technique de plaquage irréprochable, peu importe le calibre en face.
Le topic sur Malzieu, c'est dans "anciens joueurs".

#1040
Guest_Laduree_*
Posté 10 juin 2020 - 21:22
Le topic sur Malzieu, c'est dans "anciens joueurs".
Oui enfin Malzieu et "meilleur défenseur" dans la même phrase, ça cloche
- Lima aime ceci
#1041
Posté 10 juin 2020 - 23:50
Oui enfin Malzieu et "meilleur défenseur" dans la même phrase, ça cloche
Jaloux.

#1042
Posté 11 juin 2020 - 06:19
très bel article sur un joueur que j'adore et qui aurait cartonné avec l'ASM . désolé pour la mise en page !
BORDEAUX-BÈGLES Ailier historique de l’UBB avec qui il a joué 219 matchs depuis 2010, Blair Connor
a décidé de mettre un terme à sa carrière, un an avant la fin de son contrat. L’Australien se dit épuisé
Propos recueillis par
Yoan Leshauriès
y.leshauries@sudouest.fr
Le secret a été bien gardé. Sa décision était prise avant de débuterla saison dernière. Blair Connor a fini par l’annoncer hier après-midi sur les réseaux sociaux. À 31 ans, l’ailier australien, figure historique de l’UnionBordeaux-Bègles où il a passé dix ans,décidé de raccrocher les crampons,un an avant la fin de son contrat (juin2021). Épuisé physiquement, il était« devenu difficile de prendre du plaisir.Malheureusement pour moi, cen’est plus les années 60 oùl’échauffementse résumait à une cigarette etl’entraînement à 10 bières au pub.Alors j’ai décidé que je pourrais donner100 % cette saison mais je n’ai plusrien à donner pour la saison prochaine». Hier, après son annonce, il a
pris le temps de répondre à « SudOuest ».
« Sud Ouest » Il vous restait un ande contrat avant de raccrocher lescrampons. Pourquoi avez-vous décidéde le faire plus tôt que prévu ?
Blair Connor À la fin de la saison2018-2019, je ne me suis pas sentibien, j’ai terminé blessé. J’ai tout demême continué l’entraînement.J’ai pris quelques bières avec monpère et je lui ai dit : « Je ne sais pascomment je peux jouer deux saisonsde plus ». Physiquement,quand je sprinte ou que je changede direction, je ressens des douleursaux genoux, aux ischios, que jeme suis déchiré cinq fois en deuxsaisons... Ce n’est pas bon signe. J’aidonc décidé de me donner à 100 %
sur une seule saison et m’offrir un« Last Dance » comme Michael Jordan(rires).
Quand je suis rentré en France,j’ai demandé un rendez-vous avecLaurent Marti (le président) une semaineavant le premier match faceà Toulouse. Je lui ai tout expliqué.Et puis je pense que c’était le moment,il y a la nouvelle génération
qui pousse. Il faut transmettre leflambeau.
Sans regret ?
Franchement, je suis super content.Je termine ma carrière vraimentsans regret. J’ai donné tout ceque j’ai pu, je suis allé le plus loinpossible au niveau de mes capacitéset de mon talent limité. J’ai parléavec Hugh Chalmers (l’ex-troisième
ligne de l’UBB, autre historique) hiersoir (mardi) et on s’est dit : « Nousn’avons jamais mangé le fruit maisà l’UBB, il reste l’arbre qui produitles fruits ».
Cette dernière saison semblait êtrecelle de l’UBB mais le championnat aété arrêté à cause de l’épidémie decoronavirus. N’était-ce pas trop frustrantpour vous d’être privé de phasesfinales pour votre dernière saison?
Oui mais il y a des choses plus importantesque le rugby. Pour lesphases finales, c’est dommage,mais le plus important, c’est la santéde tous ceux qui viennent austade. Je ne me suis jamais souciédes choses que je ne peux pascontrôler.Jeraisonne de cette manièredans tous les domaines, commepar exemple le fait de ne jamaisavoir goûté à une sélection internationale.C’est comme ça. Tous lesjoueurs m’ont demandé si jen’étais pas triste de ne pas avoir pu
terminer ma carrière devant le publicde Chaban. En fait, pas vraiment.On se sert souvent du derniermatch comme symbole. Jepréfère qu’on se souvienne de macarrière dans son intégralité. Maisje serai au stade pour le premier
match de la saison prochaine, afinde dire « merci et au revoir » à toutle monde.
Vous êtes arrivé à l’UBB en 2010 avecune planche de surf sous le bras.Vous avez joué 219 matchs sous cemaillot. Quelles images retiendrezvousde ces années ?
Je garde bien évidemment les imagesde ma première année enPro D2, celle de la montée en Top 14,et de la première saison à ce niveau,ce furent de très beaux momentspour moi et pour le club. L’UBBn’était pas favorite, elle ne possédait
pas les moyens des autres clubs.Nous avions juste un groupe exceptionnel,imprégné par une « cultureclub » très forte. On a réalisé deschoses incroyables. Ça, c’est le rugbypur ! Les joueurs n’étaient pas làpour l’argent ou une histoire de
contrat, ils étaient juste là pourjouer au rugby. Ole Avei, HeiniAdams, et les autres grands joueursde l’équipe, ont tous resigné à l’UBBalors que d’autres clubs leur offraientdes contrats plus juteux.Tout ça, ça a créé une ambiance
très spéciale.
Quand vous avez prolongé pour troisans, Laurent Marti a dit que vousn’aviez pas cherché à négocier. Vousn’avez jamais eu en tête de quitterce club ?
Pour moi, l’argent, ce n’est pas important.Quand tu cherches trop àen gagner, tu perds l’envie, l’esprit...Il aurait pu me faire signer n’importequel contrat, je serais resté ici.J’aime faire du surf, il n’y a pas besoinde beaucoup d’argent pour ça.Et j’aime boire des bières avec mesamis (rires).
Vous retrouvez-vous dans le rugbyd’aujourd’hui ?
J’ai joué au rugby à la bonne époque.Mais ce n’est pas que la fautedes joueurs d’aujourd’hui, ce sontles choses qui ont changé. Après lesmatchs, toute l’équipe sortait boiredes bières, on passait tout notretemps ensemble, en tête-à-tête, paspour jouer à la PlayStation. On nesortait pas à 10 ou 15 comme aujourd’hui,en soirée, nous étions40 ! On faisait une grosse fête le samedi,le dimanche, c’était récup’,et on revenait le lundi à Moga pourrefaire encore un peu de récup’.
Mais aujourd’hui, tu redémarresfort la semaine, les entraînementsont bien changé. Le rythme n’estplus le même. Ce n’est pas quelquechose de négatif, c’est juste différent.
Quelle va être la vie de Blair Connor àla retraite ?
Je suis très chanceux. Je suis en affairesavec un partenaire dans unpub de Bordeaux (« The dog andduck ) ». J’y travaillerai le week-endet du lundi au vendredi, je serai àLacanau pour surfer mais aussipour poursuivre à distance mesétudes de français, d’environnement...
Vous ne rentrerez pas en Australie ?
Je ne peux pas rentrer dans un futurproche. J’ai besoin de terminer mesétudes car après une carrière dequinze ans dans le rugby, si je rentreen Australie, je n’ai rien, pas de diplôme,pas de qualification. Je medonne six ou huit ans pour rentrer
- jm12 et Lima aiment ceci
#1043
Posté 11 juin 2020 - 11:19
Un pur ailier avec un style bien à lui !
Au top de sa forme il n'avait que peu d'égal dans le sens du timing quand il venait se proposer à l'intérieur et dans la ligne. Un des meilleur, si ce n'est le meilleur défenseur à son poste en Top 14 pendant de longues années. Une technique de plaquage irréprochable, peu importe le calibre en face.
Je l'aimais bien le surfeur blond. 32 ans, il pouvait encore casser quelques reins aux piliers adverses
#1044
Posté 12 juin 2020 - 17:11
L'UBB ne libère pas les deux Bordelais Adrien Pélissié et Peni Rava. Les valeurs du rugby d'Urios sans doute.
#1045
Posté 12 juin 2020 - 17:52
L'UBB ne libère pas les deux Bordelais Adrien Pélissié et Peni Rava. Les valeurs du rugby d'Urios sans doute.
D'ou te vient l'information s'il te plait ?
J'ai vu sur le site off de l'ASM que certains partant s'entrainaient encore au club. Il y a peut être des consignes sanitaires à respecter, ou encore des obligations contractuelles selon les clauses propres à chaque contrat et les accords entre les clubs.
#1046
Posté 12 juin 2020 - 18:22
D'ou te vient l'information s'il te plait ?
J'ai vu sur le site off de l'ASM que certains partant s'entrainaient encore au club. Il y a peut être des consignes sanitaires à respecter, ou encore des obligations contractuelles selon les clauses propres à chaque contrat et les accords entre les clubs.
Sport Auvergne. Dans un article, ils marquent que c'est l ubb qui n'a pas souhaité libérer les deux joueurs . Après pour quelles raisons exactement ...
#1047
Posté 12 juin 2020 - 18:30
Complooooot
#1048
Posté 12 juin 2020 - 20:03
#1049
Posté 12 juin 2020 - 20:09
Reste à savoir s'ils s'entraînent en ce moment à Bordeaux
Ça, il y a des chances quand même .
Toeava a bien commencé la prépa physique avec nous . Les clubs doivent être tenu de les entraîner tant qu'ils sont sous contrat avec
#1050
Posté 12 juin 2020 - 20:12
L'UBB ne libère pas les deux Bordelais Adrien Pélissié et Peni Rava. Les valeurs du rugby d'Urios sans doute.
Vous allez voir les amis ! vous allez apprendre à l'aimer le bougon Urios !
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