Quand on lit les temoignages, ca demarre tres souvent par un coup de moins bien du joueur, qui a l'impression de ne "plus" y arriver (ou moins que les autres), et qui voit la l'occasion d'un coup de boost. Pour O'Connor ce qui m'hallucine c'est qu'on ne parle pas d'un pilier ou deuxieme ligne, c'est un ailier.. et considere en plus dans la categorie des plutot "fins" (en gros, il joue l'evitement de temps en temps, genre 1 fois sur 5, ce qui est deja pas mal). Si c'est son programme, je veux pas savoir celui des golgoths du 5 de devant.
Le problème du dopage c'est que c'est finalement qu'une limite qui est fixé par une loi qui va dire tel ou tel produit est interdit.
Et dans le sport de haut niveau pour atteindre la performance on va jusqu'à la limite, on rationalise tout au maximum.
Pour O'connor, il est techniquement autorisé de prendre ces différentes protèines et complément alimentaire, qui ne sont pas considérés comme dopant par la règle, et tous les joueurs le font, ils en sont meme obligés par leurs clubs pour suivre le rythme d'entrainement et de compétition.
C'est là qu'on arrive à la limite c'est que meme si les produits en question sont légaux, on entre dans une pratique dopante, c'est à dire prendre un complément lambda pour améliorer sa performance.
Donc où va commencer le dopage? Quelle frontière avec une démarche de pratique dopante? Tout ça reste un vrai débat!
Et les histoires de dopage à l'"insu de leur plein gré" dixit Virenque ou évoqué dans le reportage de Van der Westhuizen (stade 2) sont plausibles. Le jeune de 20 ou 25 balais auquel le médecin dit tu prends ça, et ben il fait plutot confiance à son médecin, j'imagine que le médecin va pas lui expliquer qu'il risque un cancer dans 15 ou 20 ans.