Je crois que le LOU, comme l'UBB ou LR avant eux sont les témoins de la difficulté de monter un gros club avec des prétentions pérennes. Il faut des années de construction d'un édifice stable et d'une machine qui tourne (formation, détection, qualité encadrante, etc.) pour commencer à en voir les effets. L'UBB y arrive, mais n'a toujours rien gagné ou n'a pas encore de finale à son actif. Ce sera pareil pour le LOU. Là où je te rejoins, c'est dans une identité de jeu assez peu lisible. mais celà dit, quel était le jeu de l'UBB avant Urios ? Mignoni voit peut-être qu'il est au bout de cette période de construction, et qu'il faut maintenant un autre discours pour passer le cap supérieur.
A mon sens il n'y a aucun rapport entre le LOU et LR/lUBB.
Le LOU quand bien même est-il un club historique s'est appuyé sur une entreprise mécène ( aux méthodes et réseaux éminemment critiquables soit dit en passant- obiter dictum diront les classiques-) qui l'a doté de moyens colossaux (un budget de 16 Md'€ en prod2 en 2015 par exemple !), et du maxi chéquier pour construire une équipe directement compétitive dès sa dernière remontée. Le club n'est (comme d'autres) pas du tout assis économiquement.
Certes (et comme bp d'autres clubs aujourd'hui), ce club commence à lancer des jeunes joueurs de qualité.
Franchement, avec de tels moyens, je ne connais pas bp d'échecs (cad repartie illico en prod2). Mignoni à mon sens n'est pas un entraîneur premium.