Tu parles de qui ?
Camille est un prénom mixte, ça peut prêter à confusion !
Posté 03 septembre 2018 - 07:38
Tu parles de qui ?
Camille est un prénom mixte, ça peut prêter à confusion !
Posté 03 septembre 2018 - 18:27
Il est celui qui a le plus tapé dans l'oeil de la RBS :
https://www.sixnatio...infos/33382.php
Avec Vahaa, Fof et Penaud chez les Clermontois.
Posté 03 septembre 2018 - 21:22
Camilo revient FORT!
Posté 04 septembre 2018 - 06:25
https://www.francebl...undi-1535967842
lien trouvé sur le twitter de fabasm63 : https://twitter.com/...enf3006?lang=fr
Posté 05 septembre 2018 - 16:36
Posté 08 septembre 2018 - 22:10
Encore un gros match sur la lancée de son superbe début de saison. Un nouveau drop, une belle animation et une défense intelligente et solide. Seul bémol à mon sens, plus que la pénaltouche non trouvée, mais comme au Racing, y a une ou deux montées défensives ce soir très en pointe vraiment dangereuses pour l'équilibre défensif. Conséquence logique de son envie et de sa justesse technique au plaquage bien sûr.
Posté 08 septembre 2018 - 22:50
Encore un gros match sur la lancée de son superbe début de saison. Un nouveau drop, une belle animation et une défense intelligente et solide. Seul bémol à mon sens, plus que la pénaltouche non trouvée, mais comme au Racing, y a une ou deux montées défensives ce soir très en pointe vraiment dangereuses pour l'équilibre défensif. Conséquence logique de son envie et de sa justesse technique au plaquage bien sûr.
Posté 11 septembre 2018 - 18:57
C'est une très bonne chose que de claquer des drops pour prendre le score rapidement , cela peut tuer un match
Posté 11 septembre 2018 - 21:00
C'est une très bonne chose que de claquer des drops pour prendre le score rapidement , cela peut tuer un match
au moins le débloquer un peu
Posté 12 septembre 2018 - 00:36
Posté 12 septembre 2018 - 07:12
Les 4 derniers dont je me souviens, les deux en début de saison et le doublé contre le Leinster, ont été très utiles pour capitaliser dessus.
D'ailleurs je ne me souviens pas de l'avoir vu rater un drop durant cette période ? Il serait à 100% depuis le Leinster ? Ça me parait énorme.
En EDF il est à 0%, mais pour combien de tentative ?
Au moins une contre l'Australie dans le money time il y a 2 ans
Posté 17 septembre 2018 - 21:17
Quatre matches de Top 14, quatre titularisations, Camille Lopez enchaîne, et plutôt bien. L'ouvreur de Clermont-Ferrand semble avoir enfin surmonté sa terrible blessure d'octobre dernier, cette fracture de la cheville et du péroné subie en Coupe d'Europe, contre Northampton, qui l'a éloigné des terrains pendant cinq mois et une reprise claudicante en avril. Détendu, en short et claquettes qui laissaient apparaître les deux impressionnantes cicatrices de sa cheville gauche, l'international (29 ans, 16 sélections) nous a reçu la semaine dernière dans un salon du stade Marcel-Michelin. Pour expliquer les épreuves qu'il a dû traverser depuis près d'un an avant de revenir à son meilleur niveau.
21 octobre 2017 : objectif avril«Quand on m'a donné la durée d'indisponibilité, on m'a parlé de cinq mois. Arrivait à cette date, début avril, un quart de finale de Coupe d'Europe à domicile, et je l'ai cochée. Ça m'a aidé mentalement. Mais très vite, ç'a été remis en question parce que j'ai eu un problème de cicatrisation au niveau de la fracture ouverte. J'ai été immobilisé presque deux mois, alors que, normalement, on enlève la botte au bout de six semaines... Avec du recul, cette date de début avril... Philippe Gardent (l'un des préparateurs physiques de l'ASM) avait eu une blessure similaire et il m'avait prévenu que je ne serais sans doute pas totalement rétabli. Il était plus réaliste sur les délais, mais c'est dur à écouter, ça, tu as envie de plus ! Alors, tu vas à l'autre discours (plus optimiste)...»
15 décembre 2017 : une deuxième opération«(Il montre sa cicatrice sur l'intérieur de la cheville, encore un peu à vif, comme s'il avait reçu un coup de crampon.) J'avais encore une plaie importante, un gros trou, tout était arraché, c'était dégueulasse ! C'est pour ça qu'au final, mi-décembre, j'ai eu une nouvelle opération, on a fait une greffe de peau qu'on m'a prise sur la cuisse, sinon j'y serais encore. Le temps des vacances, ç'avait cicatrisé. Début janvier, j'ai enfin enlevé la botte et j'ai pu reprendre.»
«Je reprends le 25 mars contre Toulon où je suis remplaçant. Je me rappelle encore une action où j'ai eu de l'appréhension, et ça s'est vu... Il y a un ballon qui roule vers moi, et là, Romain Taofifenua plonge dans mes pieds. J'ai reculé d'un pas ! Et ça, ce n'est pas moi. Enfin, c'était moi, mais à ce moment-là...»
1 avril 2018 : diminué contre le Racing«Je reprends le 25 mars contre Toulon où je suis remplaçant. Je me rappelle encore une action où j'ai eu de l'appréhension, et ça s'est vu... Il y a un ballon qui roule vers moi, et là, Romain Taofifenua plonge dans mes pieds. J'ai reculé d'un pas ! Et ça, ce n'est pas moi. Enfin, c'était moi, mais à ce moment-là... Pour le quart de finale de Coupe d'Europe contre le Racing, j'étais content de retrouver le groupe, j'avais envie de lui apporter quelque chose, mais de par mon état de santé, je n'y étais pas mentalement. Je savais que quelque chose n'allait pas. Je boitais. Je sentais que je ne pouvais pas aider mes collègues. Dans ma tête, ce n'était pas net, et dans ces conditions, c'est compliqué, même si je n'étais qu'une option de secours. Donc, on l'a tenue, cette date, parce que j'étais sur le terrain contre le Racing. Mais vu l'état dans lequel j'étais... J'ai continué à jouer jusqu'à la fin de saison, parce qu'il n'y avait rien d'autre à faire. J'ai revu récemment des images du dernier match de la saison contre Toulouse (5 mai)... Je suis catastrophique, c'est vilain !»
15 mai 2018 : une plaque à retirer«(Il montre la seconde cicatrice, sur le péroné.) Là, j'avais une plaque d'une dizaine de centimètres. Certains la gardent, mais, moi, elle me gênait. Elle me faisait mal dès que je prenais un appui fort, comme si le bout venait me taper sur l'os... Alors j'ai dit au chirurgien : "On enlève tout" ! J'ai laissé un mois de repos derrière, comme il m'avait recommandé. Mais quand j'ai réattaqué la course, j'avais encore des douleurs ! Je pensais : "Ce n'est pas possible" ! J'ai rappelé le chirurgien et je lui ai dit : "Ça ne va jamais revenir ! Tu me dis : ''Le temps, le temps''... Mais ça fait neuf mois depuis ma blessure ! Je ne vais plus te croire" !»
«S'il faut choisir entre mon croisé ou cette fracture, je signe pour le croisé, cent fois ! Là, ça me travaillait, j'étais inquiet. Quand je rentrais à la maison, des fois, ma femme devait me ramasser à la petite cuillère. J'ai eu des phrases... "Je pense que ma carrière pro est finie"»
2 juillet 2018 : les doutes de l'été«Même cet été, j'ai encore eu des moments de doute. Ça ne revenait pas comme je l'avais imaginé. Sur les semaines d'entraînement, le lundi et le mardi, ça allait, mais sur la fin, c'était dur, je boitais. Ça, en fin de saison dernière, je le comprenais. Mais là... On oublie vite les périodes où on est en galère, mais pour moi ç'a été plus compliqué sur la fracture de la cheville qu'en 2013, avec ma rupture des ligaments croisés du genou. S'il faut choisir entre mon croisé ou cette fracture, je signe pour le croisé, cent fois ! Là, ça me travaillait, j'étais inquiet. Quand je rentrais à la maison, des fois, ma femme devait me ramasser à la petite cuillère. J'ai eu des phrases... "Je pense que ma carrière pro est finie." Oui, j'ai eu cette sensation, même pendant la préparation, mais parce que je suis excessif, c'était de la colère. Heureusement, j'ai eu des amis proches dans ce club, Morgan (Parra), Alex (Lapandry) ou Wesley (Fofana), qui m'ont dit : "Arrête, ça va revenir" !»
17 août 2018 : le déclic d'Issoire«Quand j'ai recommencé à jouer en avril, je n'avais aucune sensation, techniquement. Je ne pouvais quasiment pas taper au pied... Pendant la préparation, j'ai d'abord décidé de ne pas faire de séance spécifique jeu au pied. Je préférais me concentrer sur le travail physique et retrouver un schéma de course. Ça ne servait à rien de reprendre le jeu au pied, si je n'avais pas ma course d'élan normale avant de taper ! Ç'aurait pu me donner de mauvaises habitudes. Je n'ai recommencé vraiment que la semaine avant la reprise du Top 14. J'avais pris le parti de taper beaucoup de ballons, j'ai beaucoup bouffé de coups d'envoi, etc. J'ai fait mes gammes et mes routines, en fait. Ç'a été compliqué ! À l'impact, je sentais une vibration, j'avais l'impression de broyer ma zone de frappe à chaque fois que je touchais le ballon. Et ma position était mauvaise, je me couchais sur le côté. C'est revenu à l'échauffement du dernier match amical contre le Canada, à Issoire, une semaine avant le premier match officiel. J'ai fait mon but, nickel ! Comme si mon cerveau s'était dit : ''Je suis capable de taper dans le ballon.'' La même semaine, j'avais pu m'entraîner correctement tous les jours, sans boiter. Mentalement, de savoir que j'allais attaquer le Championnat en allant mieux, ç'a été un gros soulagement.»
Aujourd'hui : enfin libéré«J'ai encore des soins tous les jours, les kinés essaient de me faire gagner en mobilité pour diminuer la raideur de ma cheville. Elle restera, c'est définitif, m'a dit le chirurgien. Mais je fais tout normalement, je peux utiliser toutes les formes de rugby, mon corps s'est adapté ! Je me sens bien, je ne peux pas dire le contraire ! C'est la forme du collectif aussi qui veut ça, ça aide. Mais moi, vu d'où je viens... je suis content !»
Posté 17 septembre 2018 - 22:06
On a tendance à banaliser les blessures au rugby car on en voit beaucoup.
Mais franchement, c'est atroce ce qui lui ai arrivé. Et maintenant il nous passe 2 drops par matchs... Et c'est cool de voir qu'il considère ses partenaires de club comme ses amis. C'est surement ça qui fait la force de l'ASM aussi contrairement au MHR...
Posté 18 septembre 2018 - 00:11
Posté 18 septembre 2018 - 00:44
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