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LOPEZ Camille


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5658 réponses à ce sujet

#5641 Sushi

Sushi

    Ni pour ni contre, bien au contraire!

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Posté 17 avril 2025 - 13:31

Un super joueur, à une époque où l'équipe produisait un beau jeu.

Quelques regrets quand même sur sa fin d'aventure, sa sortie aurait pu être meilleure, tant sa dernière saison avait été laborieuse.

Oui surtout que derrière avec l AB , il signe au moins deux très belles saisons ! Donc ouais, une certaine amertume!
Après, il reste cette demi de championnat en 2017 face au Racing, où il a été génialissime ! Ça efface tout !🫡
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#5642 Gourine63

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Posté 17 avril 2025 - 14:22

Oui surtout que derrière avec l AB , il signe au moins deux très belles saisons ! Donc ouais, une certaine amertume!
Après, il reste cette demi de championnat en 2017 face au Racing, où il a été génialissime ! Ça efface tout !🫡


Conséquence de l'année sabbatique azémienne ? J'ai la faiblesse de le croire tant les deux hommes étaient proches (peut-être trop d'ailleurs ?)

En tout cas l'année 2021 aura été une sacrée bascule dans la situation qui est la nôtre aujourd'hui, merci pour le Brennus mais pas merci pour la fin de l'histoire messieurs.
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#5643 Very Good Eshvili

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Posté 17 avril 2025 - 16:40

Oui surtout que derrière avec l AB , il signe au moins deux très belles saisons ! Donc ouais, une certaine amertume!
Après, il reste cette demi de championnat en 2017 face au Racing, où il a été génialissime ! Ça efface tout !

Il a pris les clés du camion quand VDM se fait expulser, et a roulé sur le Racing, leurs pompes à glands et le bus du supporter. 


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#5644 Tonyasm!

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Posté 17 avril 2025 - 17:32

Et demi face au Leinster à Gerland du même niveau, avec 2 drops magnifiques
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#5645 Very Good Eshvili

Very Good Eshvili

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Posté 17 avril 2025 - 17:57

Et demi face au Leinster à Gerland du même niveau, avec 2 drops magnifiques

https://youtu.be/8Fz...xPYB9pGHGTamFii



#5646 DOUDOU63

DOUDOU63

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Posté 17 avril 2025 - 18:10

Et demi face au Leinster à Gerland du même niveau, avec 2 drops magnifiques

Oui, d'ailleurs depuis son départ, à croire que ce geste technique si utile pour meubler le score est interdit à l'ASM ....... :crying:



#5647 el landeno

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Posté 06 juin 2025 - 20:00

INFO « SUD OUEST » : Camille Lopez va intégrer le staff de l’Aviron Bayonnais pour quatre saisons
  Lecture 1 min
20240902154525-p1426538.jpg?v=1749233080Camille Lopez a renoncé à sa dernière année de joueur. © Crédit photo : Bertrand Lapègue/SO
Par Laurent Zègre
Publié le 06/06/2025 à 19h09.
Mis à jour le 06/06/2025 à 20h04.
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Le demi d’ouverture de 36 ans va raccrocher ses crampons en fin de saison. Il aura la responsabilité du jeu au pied et de l’attaque de l’Aviron dès la rentrée prochaine

Camille Lopez sera remplaçant au coup d’envoi de Bayonne-Toulon, ce samedi à 21 h 05 pour le compte de la dernière journée du Top 14. Le demi d’ouverture de 36 ans disputera peut-être son dernier match à Jean-Dauger, voire son dernier match tout court. Il ne l’espère pas, et les supporters de l’Aviron non plus, car le club est encore en lice pour disputer la phase finale et un barrage à domicile.

Néanmoins, le Mauléonnais va raccrocher les crampons en fin de saison, et renoncer à sa dernière année de joueur. Selon les informations de « Sud Ouest », il s’est entendu avec la direction du club, ce mercredi, pour prolonger l’aventure dans le staff bayonnais dirigé par Grégory Patat, sous contrat jusqu’en 2026 à ce jour. Les deux parties sont tombées d’accord pour un bail de quatre ans.

Passé par Bordeaux-Bègles, Perpignan et Clermont, le buteur va s’occuper du jeu au pied mais également de l’attaque bayonnaise, en lien avec Gerard Fraser, entraîneur des trois-quarts.

Ce samedi après le match, le numéro 10 et capitaine sera honoré lors d’une cérémonie sur la pelouse, comme les joueurs qui quitteront le club. En trois saisons, Camille Lopez a posé son empreinte sur l’Aviron au point d’en partir comme une légende du club.

 
 

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#5648 Buckaroo

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Posté 06 juin 2025 - 20:40

Je le vois bien changer d'avis et quitter l'Aviron après un an.


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#5649 celois

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Posté 12 juin 2025 - 07:48

Top 14 – Exclusif. "C’est Joris Segonds qui doit être titulaire" : Camille Lopez se confie en longueur avant le dernier match de sa carrière à Jean-Dauger

D’ici peu, Camille Lopez (36 ans) raccrochera les crampons après une belle et longue carrière. En milieu de semaine, le maître à jouer de l’Aviron bayonnais nous a accordé une heure de son temps pour se projeter sur l’excitant barrage qui attend le club basque vendredi face à Clermont, et pour revenir, aussi, sur son choix de mettre un terme à sa vie de rugbyman professionnel, un an avant la fin de son contrat.

 

Où situez-vous le degré d’excitation à deux jours du barrage ?

Au sommet ! On en rêvait vu l’évolution de la saison. En arrivant il y a trois ans, jamais je n’aurais pensé vivre ce moment, donc là, nous sommes forcément excités comme des gamins à Noël.

 

Grégory Patat disait samedi soir que voir Bayonne quatrième n’est pas la normalité. Êtes-vous d’accord ?

Tout le monde dit que c’est normal, car ça fait un petit moment que nous sommes quatrièmes. L’Aviron est remonté il y a trois ans en Top 14, après avoir fait le yo-yo pendant des années. On pense que c’est la logique des choses que l’on y soit resté, mais non, ce n’est pas normal. Pour autant, on y est, et maintenant, on va croquer…

 

Vous avez disputé plusieurs matchs de phase finale pendant votre carrière. En quoi ces rencontres sont-elles différentes ?

Ce sont des matchs particuliers, mais on doit l’aborder comme le match de samedi dernier. C’était déjà une rencontre de phase finale. Cependant, nous avons un groupe assez détaché de tout ça. En fait, je ne sais pas si on réalise la saison que l’on est en train de faire…

 

Poursuivez…

Avec Clermont, on démarrait la saison en visant le top 2. Il y avait moins de candidats au top six. Là, quand nous avons démarré la saison, nous n’avions aucune prétention de dire que nous visions le top six. Nous avons cette forme de détachement et c’est tant mieux ! Il faut continuer de le vivre ainsi. J’ai envie de dire que ce n’est que du bonus, mais d’un côté, je ne veux pas aborder ce match en me disant “si on perd, ce n’est pas grave, on aura fait une magnifique saison”. Ça, on le dira dans deux ou trois mois. Vendredi, on ne peut pas accepter de perdre.

Quel sera votre rôle cette semaine ?

Je ne suis pas le seul à avoir joué des matchs de phase finale. Je ne vais pas changer ma manière d’être. Le but, c’est d’accompagner le groupe, les joueurs, qu’ils restent eux-mêmes. Je veux apporter cette motivation, ces étoiles plein les yeux. Il faut qu’on soit tous sur la même envie, la même joie, vendredi, en arrivant au stade pour faire quelque chose de bien.

Comment avez-vous accueilli la nouvelle quand Grégory Patat vous a annoncé que vous alliez être remplaçant ?

Je n’ai eu aucun souci avec ça. C’est la fin, Joris a fait une très belle saison et c’est lui qui doit être titulaire. Je suis déjà content d’être sur la feuille et de pouvoir participer à cet événement. […] Je ne me projette sur aucun scénario, car il peut se passer plein de choses. S’il faut taper un drop, on le tapera peut-être. Pareil pour une pénalité. Tout dépendra de qui est sur le terrain, mais s’il faut prendre des responsabilités, on les prendra.

En termes d’ambiance et d’émotion, à quoi vous attendez-vous ?

L’émotion, je vais essayer de la maîtriser au maximum. Il y a quand même un match à jouer. C’est mon dernier à Jean-Dauger, ça peut être le dernier, tout court, de ma vie de joueur de rugby. C’est un peu particulier. Je ne peux pas accepter qu’on perde vendredi, donc je n’imagine pas ça. J’ai envie de profiter de cet événement-là, car c’est incroyable. Je veux qu’on croque à fond dedans. J’ai envie d’aller avec ma femme et mes enfants en ville, cette semaine, pour m’imprégner de tout ça. Il faut que ça bouillonne !

Ressentez-vous ce besoin d’être interpellé par les supporters en ville ?

Non, ce n’est pas ça, c’est juste l’envie de profiter. J’ai vécu ça à Clermont et je pense qu’on est tout aussi gaga ici que là-bas. Quand tu prépares des matchs comme ça, et que pendant la semaine tu vois des drapeaux, des couleurs de ton équipe, ça fait plaisir, c’est motivant, excitant.

 

Vous allez vivre votre dernier match à Jean-Dauger. Que gardez-vous des trois années passées dans ce stade ?
Que des bons souvenirs ! Je n’ai connu que des victoires. J’y ai perdu contre Bordeaux et Castres, c’est tout. Je retiens cette première année où chaque victoire était un exploit. Tu remontes de Pro D2, tu es le petit poucet et tu gagnes tous les matchs à Dauger. J’ai connu le public à Clermont. Là, j’ai découvert un stade magnifique, avec un public extraordinaire. En étant proche de chez moi, des miens, avec ma famille et mes amis dans les tribunes, je n’ai vécu que des moments magiques. Si je repars trois ans en arrière, je me dis que c’est inimaginable.

 

Comment comptez-vous gérer l’inexpérience collective de la phase finale dans vos rangs ?

Ce n’est pas un truc à gérer, il y a pas mal de joueurs qui ont joué ce genre de match. Les matchs de la saison doivent nous conforter dans le fait qu’on sait faire. On l’a montré. Il n’y a pas de complexe à avoir par rapport à une équipe comme Clermont, qui a connu de nombreuses fois la phase finale. Le contexte et les années sont différents.

Faire ce que l’on a fait, ici, avec un club qui n’était pas destiné à ça, rend la chose encore plus belle. C’est au-dessus de ce qu’on a pu réaliser avec Clermont.

On imagine que la comparaison est difficile avec l’épopée clermontoise, mais est-ce plus fort de vivre la phase finale aujourd’hui avec Bayonne, près de chez vous ?

C’est difficile de comparer, mais partir de Clermont a été quelque chose de fort, car j’y ai vécu des choses incroyables, de grands événements : le Brennus, des finales de Coupe d’Europe. Ça a une portée énorme. J’étais dans les grandes années de Clermont, où on avait un effectif incroyable. Le club était formaté pour ça. J’étais entouré d’internationaux à tire-larigot. J’ai fait partie des joueurs importants à Clermont, mais il y en avait beaucoup. Quand je suis arrivé à Bayonne, j’avais un statut différent. Faire ce que l’on a fait, ici, avec un club qui n’était pas destiné à ça, rend la chose encore plus belle. C’est au-dessus de ce qu’on a pu réaliser avec Clermont. Je ne sais pas où on va s’arrêter, ici, mais quoi qu’il arrive, ça restera un truc incroyable.

 

Lorsque vous avez signé à Bayonne, beaucoup de gens ont placé de grosses attentes en vous et vous étiez attendu comme le Messie…

Euh… Le Messie, je ne sais pas. Il y a eu de tout. J’étais aussi attendu comme le mec à la retraite… Les gens parlent partout, mais ici, c’est quelque chose de particulier. Le territoire veut ça.

 

Vous êtes-vous nourri de ça ?

Non, mais indirectement oui. On ne me l’a pas dit directement, mais on me l’a rapporté. Tu ne peux pas faire l’unanimité. Même après les trois années vécues ici – et Dieu sait qu’on a vécu des belles choses en mettant l’Aviron à une position assez exceptionnelle – il y en a toujours qui seront contre l’Aviron, le staff, certains joueurs ou Camille Lopez. Le tout, c’est de continuer à avancer sur nos certitudes. Je suis content d’avoir donné tort à ceux qui ont parlé.

 

Aujourd’hui, vous avez plus de partisans que de détracteurs…

Je n’en sais rien. L’important, c’est qu’on ait fait quelque chose de grand. Le joueur n’est que de passage. Le club, l’institution sont plus importants. Quand tu es acteur et passionné, comme moi, le but est d’essayer de marquer l’histoire du club.

 

Vous basculerez dans le staff l’an prochain. Appréhendez-vous le fait de devoir entraîner vos anciens coéquipiers ?

Non, car on a déjà évoqué ce sujet. Je vais avoir des responsabilités, mais je ne serai pas le manager qui fait l’équipe. Je n’aurai pas le mauvais rôle. Ce sera purement de l’aspect rugby. Dans ma carrière de joueur, j’ai vécu des choses avec des staffs. C’était important d’avoir un relationnel avec les joueurs. Je pense que je peux avoir le rôle parfait pour ça, car je vais être dans la transition. Et avec mon poste et les responsabilités que j’avais, quand il fallait dire quelque chose, je le disais aussi…

 

Vous avez fait le choix de mettre un terme à votre carrière à la fin de la saison. Pourquoi ?

J’avais fait le choix de dire stop en début de saison. J’aurais dû m’arrêter sur cette décision. Après des échanges avec le staff et la direction, nous sommes tombés d’accord pour repartir sur une saison, mais après maintes et maintes discussions avec ma femme, j’ai dit au club que je ne pouvais plus. Il fallait que j’arrête. C’était le moment. Il y a l’aspect physique, qui est de plus en plus dur. J’ai eu des bobos pendant la saison, alors que tout au long de ma carrière, je n’ai jamais connu ça. À chaque mois, il y avait un truc : la cheville, le genou, une déchirure… Mais c’est surtout sur le côté mental, car la tête m’a dit stop. Le fait de vivre une belle saison et de pouvoir m’arrêter sur quelque chose de bien m’a aidé dans ce choix. On ne sait pas de quoi demain est fait. Pour moi, c’était le bon moment. Forcément, c’est dur, car je n’ai connu que ça dans ma vie. Il va y avoir un manque, mais comme je l’ai décidé, c’est un bon pas. Après, tu as beau le décider, tu n’es jamais vraiment préparé à ça.

 

En quoi était-ce compliqué mentalement ?

Quand tu es investi au quotidien depuis tant d’années, c’est prenant. Je joue derrière et ça va à 10 000 avec la nouvelle génération. J’ai joué avec d’autres qualités, je peux encore jouer vu que j’y suis, je fais des choses correctes. À mon âge, quand il y a la compétition, ça va, mais la répétition des entraînements, tous les jours, devient compliquée. Avec le cumul des saisons et l’âge, je commençais à subir les entraînements. Des fois, je ne prenais aucun plaisir à m’entraîner. Quand tu en arrives là, c’est le moment de dire stop.

 

Face à Vannes, le mois dernier, vous vous êtes blessé au bout de cinq minutes. Cette blessure vous a-t-elle conforté dans votre choix ?

Oui. Sortir à la cinquième, c’est dur. Tu te dis que ça ne veut plus. Pendant la semaine, il n’y avait eu aucun signe et là, je me dis que j’ai la poisse. Je me suis arrêté au bon moment et j’ai eu de la chance, car niveau timing, on était short.

 

Avez-vous eu peur de ne pas revenir à temps pour la phase finale ?

Oui. Quand je sors contre Vannes et que je sens la déchirure de l’ischio comme à Toulouse, j’ai forcément peur. Je me voyais finir comme ça. Ça aurait été affreux.

 

Avez-vous changé quelque chose dans votre façon de préparer les matchs, qui pourrait expliquer ces blessures à répétition ?

Du tout. L’âge y fait et l’aspect mental aussi. J’ai annoncé à Greg et Ged, puis à mon président, que je voulais arrêter. Ensuite, il s’est passé du temps. J’ai cogité. Ça a été un chamboulement et ma tête a pas mal été prise. Je pense que ça a joué sur la blessure de Vannes.

 

Avez-vous été accompagné pendant cette période ?

Je ne l’avais jamais fait, mais un jour, j’ai dit à ma femme que je pensais aller voir quelqu’un. J’ai discuté avec Romain, notre docteur, et on a fait la démarche pour. J’avais pris la décision d’arrêter, la situation au club était incroyable, nous étions en passe de nous qualifier, il y avait tout pour que ce soit top, mais je n’arrivais pas à en profiter. Je subissais les entraînements. J’ai fait une séance avec une psy et le fait de parler m’a aidé. Il fallait que j’arrive à passer à autre chose pour pouvoir profiter pleinement de ces merveilleux moments. C’était dommage de le vivre différemment. Des fois, il suffit de mettre des mots sur des petites choses. Je remercie ma femme qui m’a poussé à le faire. On est, des fois, réticent à ça. Ça m’a servi.

 

Aujourd’hui arrivez-vous à profiter ?

Oui, je suis libéré d’un truc. Tout est clair. Je suis content de pouvoir profiter à fond. On a vécu un grand moment samedi. Maintenant, on attaque la phase finale et ce n’est que du bonheur.

 

 


Comme quoi de temps en temps il y a des itw où il se dit des choses...

Un sacré bonhomme et un sacré joueur ce Don Camillo.

On en viendrait presque à lui souhaiter une belle aventure pour la fin de saison. Dommage que ça doive s'arrêter vendredi  :P


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#5650 Ptolémée

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Posté 12 juin 2025 - 08:49

merci Celois pour le partage


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#5651 Lima

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Posté 14 juin 2025 - 07:15

En 20 minutes il nous a montré ce qu'on a pas vu par un ouvreur depuis son départ.

 

Bravo à lui et content qu'il prolonge le plaisir encore un (?) match.



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Posté 14 juin 2025 - 07:41

En 20 minutes il nous a montré ce qu'on a pas vu par un ouvreur depuis son départ.
 
Bravo à lui et content qu'il prolonge le plaisir encore un (?) match.


Oui. Belle carrière.

#5653 gregouarrrr

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Posté 14 juin 2025 - 08:40

c est la seule satisfaction d hier .. de le voir poursuivre pour un match 



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Posté 14 juin 2025 - 09:26

et la satisfaction de voir que même avec dix kg en trop et ben tu peux faire bonne figure. Du coup je vais reprendre un croissant.


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#5655 Alligator427

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Posté 14 juin 2025 - 11:13

Je le vois bien changer d'avis et quitter l'Aviron après un an.


Pour quelle raison ?
Moi je le vois bien opérer une transformation physique basée sur le saucisson et faire un bon entraîneur.




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