Demandes a Buck Shelford
respect , un Black d'anthologie
Posté 29 janvier 2022 - 22:25
Demandes a Buck Shelford
respect , un Black d'anthologie
Posté 29 janvier 2022 - 23:01
Demandes a Buck Shelford
Tu te prends pour Pascal Ondarts ?
Posté 29 janvier 2022 - 23:02
Tu te prends pour Pascal Ondarts ?
Il cherche surtout à nous enfumer le grand maitre de la secte des écraseurs de roubignoles !
Posté 29 janvier 2022 - 23:18
Il cherche surtout à nous enfumer le grand maitre de la secte des écraseurs de roubignoles !
Personnellement je donne l'oscar de l'écraseur de roubignoles à notre pilier Basque qui pour son premier match en équipe de France en 1986 a voulu vérifier au toucher si le grand Shelford en avait vraiment .
Pour lui qui jouait aussi à gauche pour la première fois , alors qu'en club c'était un pur droitier, il n'a pas trouvé le paquet si impressionnant ......surfait en quelque sorte !!!
Par contre le black il a compris que le coup du maillet cher à RCV 8706 était une spécialité française
C'est ainsi que ce jour là Ondarts est devenu pilier polyvalent droitier et gaucher ........à quoi ça tient les références historiques !!!
Posté 29 janvier 2022 - 23:37
Personnellement je donne l'oscar de l'écraseur de roubignoles à notre pilier Basque qui pour son premier match en équipe de France en 1986 a voulu vérifier au toucher si le grand Shelford en avait vraiment .
Pour lui qui jouait aussi à gauche pour la première fois , alors qu'en club c'était un pur droitier, il n'a pas trouvé le paquet si impressionnant ......surfait en quelque sorte !!!
Par contre le black il a compris que le coup du maillet cher à RCV 8706 était une spécialité française
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C'est ainsi que ce jour là Ondarts est devenu pilier polyvalent droitier et gaucher ........à quoi ça tient les références historiques !!!
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Oh pinaise ! moi j'arrive pas a tout retenir avec autant de précisions ! Impressionnant, une vraie encyclopédie ...
Posté 29 janvier 2022 - 23:44
Oui, pas tout le sud en plus ! Nous on connait pas ces pratiques ! Mais quelle est donc cette secte mystérieuse, grand maitre ?
Posté 29 janvier 2022 - 23:46
Non pas tout le sud en effet...
Du moins le sud de la France ! Je serais moins catégorique en ce qui concerne le sud de la Nouvelle-Zélande, eut égard à leurs armoiries rugbystiques.
Tu pouvais pas la louper celle là !
Posté 22 février 2022 - 07:51
Un dimanche comme un autre sur les pelouses de rugby. Un match de deuxième série en Haute-Loire comme il s’en dispute des dizaines dans une saison. On pourrait penser que la violence des chocs est bien moins conséquente que sur les terrains de Top 14. Les joueurs ressemblant de très loin aux monstres physiques du monde professionnel. Et pourtant...
Peu après le retour des vestiaires, le trois-quart centre d’une formation altiligérienne tente de plaquer son vis-à-vis lancé à pleine vitesse. Au-dessous de la ceinture comme l’exige désormais la règle. Mais le défenseur va y laisser des plumes. Son coéquipier Raphaël, qui a commencé le rugby seulement depuis quelques mois, nous raconte.
Un seul carton bleu« Il ne s’est pas relevé tout de suite mais au bout de cinq secondes. Il est sorti du terrain la tête en sang. On a eu très peur pour lui car il tenait des propos incohérents. Il ne se rappelait même plus l’année. Sa compagne était là et pleurait tellement il semblait ailleurs. »
Malgré toutes les craintes inspirées par son cas, le joueur en question est revenu sur la pelouse pour disputer les dix dernières minutes. L’arbitre n’ayant pas dégainé le carton bleu (dès qu’il y a un signalement par l’arbitre d’un comportement avec des signes évidents de commotion cérébrale, le carton bleu est signifié au joueur concerné qui ne reprendra la compétition qu’en cas de certificat médical de non-contre-indication, NDLR). Depuis le début de la saison, Raphaël assure n’avoir vu qu’un seul carton bleu de sorti. Et pourtant, il a assisté à quelques KO... Lui-même en ayant déjà subi deux.
À deux millimètres de la trépanationCette mesure a été créée pour éviter un deuxième choc pouvant s’avérer dramatique. Fort heureusement pour le coéquipier de Raphaël, il n’y a pas eu de réplique. Les examens passés le soir même n’ont rien révélé de grave. Le trois-quarts centre ne se rappelait simplement pas que nous étions en 2022...
Des cas comme cela, il en existe des dizaines chaque week-end sur tous les terrains de France. Avec quelques fois, des situations bien plus gravissimes...
Guillaume, âgé de 30 ans aujourd’hui, pratique le rugby depuis plus de 15 ans. Une passion qui a failli lui être fatale. De ce dimanche de septembre 2019, il ne se souvient d’absolument rien. Juste du contexte. Son équipe du Stade Clermontois affrontant ses anciens partenaires de Saint-Genès-Champanelle. Au cours de cette rencontre, l’ailier plaque son vis-à-vis à la ceinture. La hanche de l’adversaire lui assène un premier choc qui le sonne. Guillaume tombe à la renverse et sa tête heurte le sol sans aucune retenue. Il perd connaissance pendant 20 secondes.
Dans les premiers temps, je ne parvenais pas à faire des choses simples comme conduire. Impossible de me rappeler comment passer les vitesses.
Après le match, le joueur est transporté au CHU de Clermont-Ferrand pour passer des examens. Le scanner révèle un traumatisme intracrânien sous-dural. Il restera trois jours au service de neuro-chirurgie. La suite du récit fait froid dans le dos. « Le traumatisme a déclenché un saignement entre les deux hémisphères. Il ne fallait pas que cela atteigne une certaine taille. Tout ce que je sais, c’est que je suis passé à deux millimètres de la trépanation (opération chirurgicale qui consiste à pratiquer un trou dans la boîte crânienne afin d’accéder au cerveau). J’ai été suivi régulièrement pendant deux mois car je perdais la mémoire. De ce que j’ai pu faire cette journée-là ne m’est jamais revenue. Dans les premiers temps, je ne parvenais pas à faire des choses simples comme conduire. Impossible de me rappeler comment passer les vitesses. »
Sans vouloir incriminer les dirigeants du club, le père de Guillaume s’est aperçu que personne ne savait réellement comment prendre en charge les choses. Et c’est une triste réalité dans le rugby amateur. Chez les pros, les protocoles demeurent très stricts. Mais pas à la base où, faute de réelles compétences, on a souvent tendance à écouter les sensations des joueurs qui, eux, veulent revenir sur le terrain coûte que coûte.
La question des techniques de plaquageIl en est de même pour les techniques de plaquage. Les gestes ne sont pas fondamentalement travaillés et deviennent donc dangereux. La tête étant souvent mal positionnée dans l’exécution. Certains essaient tout de même de faire de la prévention.
Romain, entraîneur à Chamalières, jure insister sur le sujet auprès des plus jeunes montant chez les séniors. Ayant été contraint d’arrêter le rugby après deux commotions résultant de plaquages mal effectués, il sait mieux que quiconque l’importance de la chose. « Autant les préparer tôt qu’ils puissent jouer le plus longtemps possible. »
Il ne s’agit plus d’une simple question de performance sportive, il s’agit avant tout de santé publique.
Arnaud Clergue (La Montagne - 22/02/2022)
Posté 22 février 2022 - 10:53
Je trouve très risqué, de résumer le problème des commotions, à la technique de plaquage.
C'est ce qui est fait dans cet article. C'est ce qui est dit plus largement dans le milieu du rugby.
Alors, oui, la technique de placage est un point important et même essentiel. Mais c'est loin d'être le seul danger de commotions.
Il faudrait travailler sur tous les risques de contact. Il faudrait travailler sur le respect des règles (arbitrage). Il faudrait travailler, (c'est dit dans l'article) sur la prise en charge des joueurs commotionnés.
Mais on ne résoudra jamais les problèmes de commotion. Il y aura toujours un choc imprévisible.
Et aussi, ne pas oublier que ce n'est pas seulement la violence du choc, mais sa répétition qui est dangereuse. A l'exemple du foot, où la répétition des têtes, entraine chez des joueurs les mêmes conséquences.
Alors, oui à la prévention, mais qu'on oublie pas le terrain, ce qu'il s'y passe, et ne s'y passe pas. A tous les niveaux.
Et que le risque 0 n'existe pas. Ça les parents doivent aussi en être informé.
Posté 22 février 2022 - 12:38
Je n'ai pas de souvenir de cas de traumatismes durables dans le temps ou tout le monde dit aujourd'hui que le rugby était plus violent.
Je me souviens certes de KO mais je n'ai jamais connu personne qui devait traîner des problèmes neurologiques toute sa vie.suite à une commotion sur un terrain de rugby.
Et si le problème venait avant tout du fait que les joueurs sont passés du statut de simple humain à celui de surhumain grave à l'aide malfaisante de tous les produits qui fleurissent dans la moindre salle de muscu ?
Je reste convaincu qu'une lutte sérieuse contre l'utilisation de tous ces produits voire une interdiction pure et simple résoudrait le problème sans se faire des noeuds au cerveau.
Posté 22 février 2022 - 12:45
Je reste convaincu qu'une lutte sérieuse contre l'utilisation de tous ces produits voire une interdiction pure et simple résoudrait le problème sans se faire des noeuds au cerveau.
Je ne suis pas persuadé qu'on puisse écarter la fréquence et la violence des chocs.
Le rugby « violent » d'avant l'était surtout par la manière dont était appliquée l'équilibre des pouvoirs sur le terrain, pas vraiment par la violence des impacts (hors générale).
Posté 22 février 2022 - 12:54
Je ne suis pas persuadé qu'on puisse écarter la fréquence et la violence des chocs.
Le rugby « violent » d'avant l'était surtout par la manière dont était appliquée l'équilibre des pouvoirs sur le terrain, pas vraiment par la violence des impacts (hors générale).
évidemment , auquel cas faut arrêter le rugby
Posté 22 février 2022 - 13:16
Je ne suis pas persuadé qu'on puisse écarter la fréquence et la violence des chocs.
Le rugby « violent » d'avant l'était surtout par la manière dont était appliquée l'équilibre des pouvoirs sur le terrain, pas vraiment par la violence des impacts (hors générale).
La fréquence et la violence des chocs elle a toujours été une composante du rugby qui a ma connaissance est le seul sport de combat qui s'exerce de manière collective.
La seule différence est que les joueurs étaient humains et pas gavés d'hormones comme du bétail, et ça change tout dans la violence des chocs et donc des commotions qui s'ensuivent.
Posté 23 février 2022 - 12:52
quelqu'un est t'il abonné a la version numérique de la montagne ?
il y a un article sur la "reeducation" du cerveau suite a des commotion, sur la photo d'illustration on voie victor kolei face a un écran numérique.
le titre de l'article en question :
Rugby
Commotions : à Lyon, découverte d'une méthode de rééducation du cerveau par stimulation visuelle0 members, 1 guests, 0 anonymous users