Autrefois, on trouvait un taf a mi temps à Mr, un taf aussi pour Mme, un logement et basta.
Autrefois, c'était aussi un boulot à temps plein ; il y en a qui étaient bien placés, tranquillou mais pour d'autres, c'était du vrai boulot...
Posté 11 mai 2023 - 16:02
Autrefois, on trouvait un taf a mi temps à Mr, un taf aussi pour Mme, un logement et basta.
Autrefois, c'était aussi un boulot à temps plein ; il y en a qui étaient bien placés, tranquillou mais pour d'autres, c'était du vrai boulot...
Posté 11 mai 2023 - 16:16
Autrefois, on trouvait un taf a mi temps à Mr, un taf aussi pour Mme, un logement et basta.
Posté 11 mai 2023 - 16:19
Y avait aussi la voiture et les pneus.
A l ASM oui, à Vichy non
Posté 11 mai 2023 - 16:44
A force de à force, y aura un dirigeant de club qui craquera et qui expliquera toutes les exigences les plus farfelues que demandent certains joueurs et tout ce que fait le club (sans y être obligé) pour « éviter » au joueur d’être parasité par les contraintes de la vie courante, comme par exemple : prendre rendez-vous chez le docteur pour les enfants, inscrire ces mêmes enfants à l’école, s’occuper de leur trouver une nounou, chercher (et trouver ) une occupation à madame, régler quelques factures incompréhensibles, faire les déclarations d’impôts, monter les dossiers CPAM, gérer les histoires de mutuelles ou de complémentaires, chercher une maison avec piscine proche du centre d’entrainement mais isolée, et bien d’autres choses que le commun des mortels doit faire, mais que certains refusent sinon ils boudent....
et je ne vous parle que du hors sportif parce qu'en terme de dotation, invitations, là aussi, ça peut dépasser l'entendement. Tout ça pour dire qu'à la fin, le joueur ne se rend même plus compte de rien et qu'à la moindre contrariété ou soucis de santé, il oublie un peu tout ça et estime être dans tous ses pleins droits.
Chazal n'est pas forcément parti en bon terme de sa collaboration avec l'ASM, mais il sait quand même comment ça se passe, d'où le terme "facile à tondre".
Ça fait p'tre parti des lignes à bouger...
A l ASM oui, à Vichy non
Les pastilles
Posté 11 mai 2023 - 19:34
Hier soir c était trop violent.
OK c'est à la limite des règles. Mais justement faut les changer les règles.
Tous les clubs ont un casier de contentieux qui enfle,il va falloir indemniser de tous côtés.
Changer les règles, faire un fonds d indemnisation. Ne pas attendre un mort.
Sexton va sans doute arrêter après la CDM, je suis prêt à parier qu il va balancer dans pas longtemps. Ça fera sans doute accélérer les choses.
D'ici à ce qu'il accuse l'ASM de n'avoir rien fait pour le protéger y'a pas loin.
Bah Sexton est trop *** pour penser à un contrat d'ouvreur à l'ASM qui en recherche un désespérément... Pourtant il se ferait des golden balls (c'est de l'irlandais dans le texte) avec un petit procès contre l'ASM pour sa dernière commotion, la seule qui soit grave.
Posté 11 mai 2023 - 19:54
sexton arrête après la coupe du monde et ce reconvertie dans le monde des affaires.
Posté 12 mai 2023 - 00:20
La santé d'un salarié, joueur de rugby ou non, ne devrait pas avoir de prix. Elle a en revanche un coût, c'est indéniable. Dans les témoignages d'Alexandre Lapandry, en novembre, ou de Sébastien Vahaamahina, samedi dernier, publiés par L'Équipe, d'autres thématiques affleuraient derrière le concentré de souffrance physique ou psychologique exposée, derrière les blessures affectives avouées.
Pourquoi la foudre tombe encore au même endroit (le club de Clermont), déjà mis en cause sur le terrain des commotions cérébrales par un autre de ses grognards, Jamie Cudmore ? Cette question reste à éclaircir. La gestion des inaptitudes professionnelles mène à d'autres questions : le rugby professionnel est-il outillé pour protéger ses grands blessés et faire face au poison lent des commotions qui demande du temps (de repos, d'examens neurologiques...) ?
Cette couverture santé à plusieurs chiffres avant la virgule peut-elle devenir une contrainte trop lourde pour les assureurs et les clubs ? Lapandry et Vahaamahina ont clairement posé le mobile financier au coeur du problème, en laissant entendre que l'employeur, soucieux de son salary-cap, cherchait à les pousser à démissionner.
Quand un joueur est blessé, à partir du 28e jour, il ne coûte plus rien au club, du moins directement, la sécurité sociale et la prévoyance collective prenant le relais. La convention collective du rugby professionnel prévoit que le joueur en arrêt maladie prolongé touche 77,5% de son salaire brut. Cela peut durer jusqu'à trente-six mois. Quand un joueur « perd » sa licence après avoir reçu la fameuse lettre de la commission médicale de la FFR, comme c'est arrivé à Lapandry et Vahaamahina, il n'est pas déclaré inapte. La FFR peut prononcer une contre-indication définitive à la pratique du rugby mais son verdict n'a pas, en droit du travail, la valeur juridique pour casser le CDD d'un sportif pro.
Comme pour n'importe quel salarié, la rupture n'est consommée qu'une fois tombée la sentence de la médecine du travail. Plusieurs interlocuteurs ont d'ailleurs souligné que la différence de compétence entre les médecins du travail et les médecins spécialisés des clubs, de plus en plus savants au sujet des pathologies liées aux commotions, pouvait poser problème.
Quelle qu'en soit l'origine (classification G3 cervicales, raison cardiaque, commotion cérébrale...), la procédure en cas d'inaptitude permet au joueur de rester trente jours dans les effectifs du club, le temps qu'on lui propose des reclassements. Si aucune option n'est immédiatement envisageable, le contrat s'arrête. Les droits au chômage s'ouvrent. Le joueur déclaré inapte perçoit une indemnisation pour inaptitude professionnelle, fixée par les textes de droit commun du travail et correspondant au double de l'indemnité légale de licenciement.
Il perçoit aussi la « garantie perte de licence », via la convention collective. Cette indemnité est payée par l'assureur du club et varie selon l'âge et le niveau de rémunération. Le joueur peut prétendre également, via l'assureur de la Fédération et au prorata de son pourcentage d'invalidité, d'une couverture comprise dans le contrat de licence FFR. Depuis peu, le dispositif s'est enrichi du « pécule de reconversion », sous forme de cotisations prélevées à la source tout au long de la carrière.
En France ou ailleurs, dans le foot ou dans le basket, aucun système de prévoyance n'est équivalent à celui du rugby pro français. Pour répondre à une inaptitude soudaine, la charte professionnelle du football - sport à l'accidentologie bien sûr très différente - prévoit le maintien du salaire pendant trois mois. C'est pourquoi les contrats individuels d'assurance sont la protection quasi exclusive dans le foot, et seulement une pratique d'aide complémentaire qui va crescendo dans le rugby.
Avec les inconvénients inhérents à tout contrat à titre personnel : l'assureur pourra demander l'accès au dossier médical, déceler des fragilités qu'il estimera trop à risques et donc refuser de couvrir le joueur. C'est cette sélection que veut à tout prix éviter le rugby. « On a un très bon outil, convient Mathieu Giudicelli, patron de Provale, le syndicat des joueurs. Je ne me prononcerai pas sur des dossiers particuliers mais il est inconcevable qu'un joueur devienne un mouchoir jetable.»
« C'est un système très protecteur et tant mieux, dit un professionnel des assurances. Mais attention. Il y a des gens qui cherchent à profiter du système et le mettent en péril, conseillés par des cabinets d'avocats qui y voient un filon. En laissant volontairement traîner un arrêt de travail, sachant que cela peut durer trois ans, que cet argent n'est pas assujetti à l'impôt sur le revenu et que ça retarde le chômage. Tôt ou tard, on fera un exemple. Sinon, le rugby risque de devenir inassurable. Avant, des clubs maintenaient intégralement le salaire de leurs joueurs arrêtés. Ils sont tous en train d'y renoncer. Si on a dû baisser, voilà deux-trois ans, l'âge plafond pour toucher la "garantie perte de licence" dans la convention collective, ce n'est pas un hasard.»
De 34 ans, il est descendu à 32 ans et passera à 31 en 2025. Parce que désormais la première raison d'indemnisation pour une perte de licence est liée aux commotions et que personne ne sait comment l'endiguer, sauf à limiter une fois pour toutes le temps de jeu des acteurs. Parce que les assureurs ne voulaient pas endosser des déficits chroniques, qu'ils auraient répercutés sur les clubs en rehaussant les cotisations. « On a fait le choix d'accepter de baisser l'âge limite, explique Giudicelli, et qu'aucune pathologie ne soit exclue de la prévoyance collective. Pour que tout le monde reste couvert pour tout. »
Posté 12 mai 2023 - 00:50
[...]
Avec les inconvénients inhérents à tout contrat à titre personnel : l'assureur pourra demander l'accès au dossier médical, déceler des fragilités qu'il estimera trop à risques et donc refuser de couvrir le joueur. C'est cette sélection que veut à tout prix éviter le rugby. « On a un très bon outil, convient Mathieu Giudicelli, patron de Provale, le syndicat des joueurs. Je ne me prononcerai pas sur des dossiers particuliers mais il est inconcevable qu'un joueur devienne un mouchoir jetable.»
La zone grise« C'est un système très protecteur et tant mieux, dit un professionnel des assurances. Mais attention. Il y a des gens qui cherchent à profiter du système et le mettent en péril, conseillés par des cabinets d'avocats qui y voient un filon. En laissant volontairement traîner un arrêt de travail, sachant que cela peut durer trois ans, que cet argent n'est pas assujetti à l'impôt sur le revenu et que ça retarde le chômage. Tôt ou tard, on fera un exemple. Sinon, le rugby risque de devenir inassurable. Avant, des clubs maintenaient intégralement le salaire de leurs joueurs arrêtés. Ils sont tous en train d'y renoncer. Si on a dû baisser, voilà deux-trois ans, l'âge plafond pour toucher la "garantie perte de licence" dans la convention collective, ce n'est pas un hasard.»
De 34 ans, il est descendu à 32 ans et passera à 31 en 2025. Parce que désormais la première raison d'indemnisation pour une perte de licence est liée aux commotions et que personne ne sait comment l'endiguer, sauf à limiter une fois pour toutes le temps de jeu des acteurs. Parce que les assureurs ne voulaient pas endosser des déficits chroniques, qu'ils auraient répercutés sur les clubs en rehaussant les cotisations. « On a fait le choix d'accepter de baisser l'âge limite, explique Giudicelli, et qu'aucune pathologie ne soit exclue de la prévoyance collective. Pour que tout le monde reste couvert pour tout. »
Merci pour le partage, il y a des passages assez edifiants je trouve...
Bon deja: « On a un très bon outil, convient Mathieu Giudicelli, patron de Provale, le syndicat des joueurs. [...] il est inconcevable qu'un joueur devienne un mouchoir jetable.», avec un syndicat comme ca, t'as plus besoin d'ennemi comme dirait l'autre..
Ensuite les deux derniers paragraphes ne vont pas me reconcilier avec les assureurs... On a quand meme "Tôt ou tard, on fera un exemple. Sinon, le rugby risque de devenir inassurable", autrement dit "Tant qu'on peut recuperer des sous de notre cote pour faire tourner notre business ca nous va, mais on fera tout pour surtout en redonner le moins possible"...
Posté 12 mai 2023 - 06:53
Merci pour le partage, il y a des passages assez edifiants je trouve...
Bon deja: « On a un très bon outil, convient Mathieu Giudicelli, patron de Provale, le syndicat des joueurs. [...] il est inconcevable qu'un joueur devienne un mouchoir jetable.», avec un syndicat comme ca, t'as plus besoin d'ennemi comme dirait l'autre..
Ensuite les deux derniers paragraphes ne vont pas me reconcilier avec les assureurs... On a quand meme "Tôt ou tard, on fera un exemple. Sinon, le rugby risque de devenir inassurable", autrement dit "Tant qu'on peut recuperer des sous de notre cote pour faire tourner notre business ca nous va, mais on fera tout pour surtout en redonner le moins possible"...
Pas fan des assureurs non plus, mais : n'oublions pas que leur modèle économique repose sur la prise de risque. Et que cette prise de risque est évaluée et calculée finement par des mecs du métier et des mathématiciens (cf. reportage passionnant de la semaine dernière sur Arte, sur les assureurs des risques naturels).
Ce qui veut dire qu'à un moment, le risque étant trop grand (répétition des commotions, séquelles, effet médiatique, etc.) ils pourraient se retirer. On peut pleurnicher que ce sont des grands méchants, mais aussi avoir une vraie réflexion sur comment limiter ce risque.
La LNR s'en fout, elle n'est qu'une société qui gère un spectacle. la FFR n'a jamais été un grand précurseur sur la question de la santé ou du dopage. Voilà voilà, continuons la tête dans le sable, on verra bien ce qui se passe.
Posté 12 mai 2023 - 07:20
Posté 12 mai 2023 - 07:53
On va quand même dans le mur si rien n'est fait. L'article le dit, réduire le temps de jeu edt une.piste. on pourrait déjà.cimmencer par appliquer les règles.
Des pistes, il y en plein, qui ne dénaturent pas forcément le jeu. car malheureusement, les tenants de l'immobilisme sont ceux qui sortent, comme argument, que si ça saigne pas où que tu sors pas KO c'est pas du "vrai" rugby...
Posté 12 mai 2023 - 08:35
Au delà du p'ti vomi jetable de Gudutruc on découvre aussi ceci :
« C'est un système très protecteur et tant mieux, dit un professionnel des assurances. Mais attention. Il y a des gens qui cherchent à profiter du système et le mettent en péril, conseillés par des cabinets d'avocats qui y voient un filon. En laissant volontairement traîner un arrêt de travail, sachant que cela peut durer trois ans, que cet argent n'est pas assujetti à l'impôt sur le revenu et que ça retarde le chômage.
Un vrai régime de députés et ou sénateurs...
On comprend bien et mieux que certains aient été abonné à l'infirmerie et aient laissé traîner.
J'ai moi aussi peu d’empathie pour les assureurs, mais, j'en ai encore moins pour ceux qui abusent d'un système et à terme le condamnent pour tous les autres !
Et plutôt que la hausse effrénée de cotisation, je serais favorables à ce que les assureurs en question aient subrogation pour venir récupérer auprès de "bénéficaires" des sommes indûment perçues, plutôt qu'un "exemple".
Les mecs cotisent dans la limite du plafond sécu (3666€ mensuel, 43992 annuel) et finissent avec des revenus non imposables, c'est crème.
En fait ça chouine dès que les caillasses ne tombent plus, snif, snif.
Posté 12 mai 2023 - 09:40
Au delà du p'ti vomi jetable de Gudutruc on découvre aussi ceci :
« C'est un système très protecteur et tant mieux, dit un professionnel des assurances. Mais attention. Il y a des gens qui cherchent à profiter du système et le mettent en péril, conseillés par des cabinets d'avocats qui y voient un filon. En laissant volontairement traîner un arrêt de travail, sachant que cela peut durer trois ans, que cet argent n'est pas assujetti à l'impôt sur le revenu et que ça retarde le chômage.
Un vrai régime de députés et ou sénateurs...
On comprend bien et mieux que certains aient été abonné à l'infirmerie et aient laissé traîner.
J'ai moi aussi peu d’empathie pour les assureurs, mais, j'en ai encore moins pour ceux qui abusent d'un système et à terme le condamnent pour tous les autres !
Et plutôt que la hausse effrénée de cotisation, je serais favorables à ce que les assureurs en question aient subrogation pour venir récupérer auprès de "bénéficaires" des sommes indûment perçues, plutôt qu'un "exemple".
Les mecs cotisent dans la limite du plafond sécu (3666€ mensuel, 43992 annuel) et finissent avec des revenus non imposables, c'est crème.
En fait ça chouine dès que les caillasses ne tombent plus, snif, snif.
Et oui , c’est bien tout le problème sous jacent aux pertes de licences.
Les assureurs , que l’on peut ne pas aimer, font des provisions mathématiques pour couvrir leurs risques potentiels ( coût moyen du sinistre * fréquence + marge ).
Des lors que les assurés commencent à s’engouffrer dans les failles de la garantie, c’est le modèle qui devient non provisionné.
On voit bien que les joueurs de l’asm concernés par ces sujets sont justes dans une recherche optimale financières et fiscales.
C’est le business et cela n’a rien à voir avec l’amour du maillot bla-bla-bla ….et l’abandon des vieux soldats.
A la place du joueur, je ne sais pas ce que je ferais, mais en revanche on ne peut pas jeter le discrédit systématique sur l’ASM, car c’est un club qui fait partie des plus protecteurs pour ses joueurs.
De mon point de vue , il est temps que ce club adopte une direction de la communication afin d’éviter d’être jeté en pâture systématiquement.
Quand aux instances nationales……pfeu
Posté 12 mai 2023 - 10:32
Des pistes, il y en plein, qui ne dénaturent pas forcément le jeu. car malheureusement, les tenants de l'immobilisme sont ceux qui sortent, comme argument, que si ça saigne pas où que tu sors pas KO c'est pas du "vrai" rugby...
- arbitrer réellement les rucks et les déblayages lancés
- limiter le temps de jeu global par saison
- laisser des plages de repos obligatoires
- limiter le poids global d'une équipe sur le terrain
- encourager le jeu d'évitement (ce qui est fait dans les écoles de rugby) - sanctionner les passages en force coude en avant ou épaule dans la gueule
déjà 3 de tes arguments difficilement applicables
Posté 12 mai 2023 - 10:47
Des pistes, il y en plein, qui ne dénaturent pas forcément le jeu. car malheureusement, les tenants de l'immobilisme sont ceux qui sortent, comme argument, que si ça saigne pas où que tu sors pas KO c'est pas du "vrai" rugby...
- arbitrer réellement les rucks et les déblayages lancés
- limiter le temps de jeu global par saison
- laisser des plages de repos obligatoires
- limiter le poids global d'une équipe sur le terrain
- encourager le jeu d'évitement (ce qui est fait dans les écoles de rugby) - sanctionner les passages en force coude en avant ou épaule dans la gueule
ça j'aime, une moyenne de 95 kg sur les 23, je pense que la course à la gonflette en prendrait un coup. Pour mémoire, le poids de l'équipe face au SF c'est 1 544 kg pour le XV soit une moyenne de 102,92 kg (109,75 pour les gros, 95,14 pour les 3/4) et sur les 23 on passe à 2 230 kg soit une moyenne de 96,95 kg. Après, c'est la vitesse qui est le principal facteur aggravant. Les entrées comme des avions dans les rucks ou les mauls doivent être éradiquées de même que les percussions coude et épaule en avant. Le seul moyen de repousser un adversaire doit être le bras. L'application strictes des règles comme cela a été fait sur les ballons hauts doit permettre cela.
0 members, 2 guests, 0 anonymous users