Aller au contenu


Photo
* * * * - 4 note(s)

Commotion cérébrale


  • Veuillez vous connecter pour répondre
3522 réponses à ce sujet

#946 cocotte 63

cocotte 63

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 19 499 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Puy de Dôme
  • Mon club:

Posté 21 juin 2018 - 07:43

On se croirait en politique, un constat du constat du constat du constat et puis ?

 

e malheureusement, on sait tous ce qu'il arrive et va arriver... juste qu'il faut attendre que ça se passe en direct... :crying: (c'est déjà pas passé loin un bon nombre de fois...)



#947 zone et beu

zone et beu

    Joueur de Pro D2

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 2 620 messages
  • Genre:Homme
  • Mon club:

Posté 21 juin 2018 - 10:15

 

e malheureusement, on sait tous ce qu'il arrive et va arriver... juste qu'il faut attendre que ça se passe en direct... :crying: (c'est déjà pas passé loin un bon nombre de fois...)

Je ferais juste remarquer, que ce n'est pas malheureusement réservé aux pro body buildés. (Billom). A mon sens, les pro doivent se faire entendre et pas subir les décisions des costard cravates. Ils en ont les moyens et si pas de réaction de leur part on pourra penser à une acceptation tacite de la situation actuelle.

 Par contre que les instances se penchent sur les séries des jeunes c'est leur devoir premier me semble t il


  • bazooka aime ceci

#948 RCV06

RCV06

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 54 260 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Mandelieu la Napoule
  • Mon club:

Posté 21 juin 2018 - 22:00


"Le casque augmente les risques de commotions cérébrales"
4 340 vues | 00:52
Poulain Raffûte

Il y a 6 heures

  •  
  • 17
Pour le neurologue Jean-François Chermann, invité jeudi de "Poulain raffûte", le casque aumgente les comportements à risques et ne protège donc pas l'intégrité physique des rugbymen qui font le choix de le porter. (Réalisation : Pierrick de Morel)
Eurosport uniquement avec CANAL*
Contenus sponsorisés

  • Loulou aime ceci

#949 Ptolémée

Ptolémée

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 33 033 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Paris 8 - rue la Boétie
  • Mon club:

Posté 24 juin 2018 - 11:08

Commotions cérébrales : lorsque le rugby devient mortel



#950 bazooka

bazooka

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 13 289 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Cournon
  • Mon club:

Posté 26 juin 2018 - 14:11

Ca fait flipper quand même.  :bush:



#951 el landeno

el landeno

    Champion d'Europe

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 6 597 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:dax
  • Mon club:

Posté 28 juin 2018 - 06:29

Un spécialiste des sports de combat prétend pouvoir rendre les rugbymen implacables

biarritz - Sur l'une des vidéos qu'il a apportées, on le voit, ballon sous le bras gauche, se faire saisir aux cuisses par Nicolas Laffite, ancien deuxième-ligne de Bayonne (1,95 m, 120 kg), avant de se défaire de celui-ci sans effort sur un sumi-gaeshi (une technique de judo qu'on pourrait assimiler à une planchette japonaise). On poursuit le visionnage avec le gaillard d'1,87 m et 86 kg, cette fois lors d'une intervention à Marcoussis. On le regarde alors venir au contact de l'ancien deuxième-ligne international géorgien Victor Didebulidze (45 sélections), désigné pour le stopper, mais incapable de mener à bien sa mission en raison d'une esquive digne d'un toréador : intrépide au point de faire face au taureau sans trembler et de lui tapoter le museau avant de s'effacer sur le côté.

« Une révolution copernicienne »

Assis face à la grande plage de Biarritz, Lilian Almèras (42 ans) explique, dissèque les documents contenus dans son ordinateur portable et débite ses phrases comme s'il était guetté par un mutisme aussi soudain que définitif. Un robinet à gros débit que cet ex-militaire parachutiste de 1993 à 2012, ancien formateur en sports de combat pour des instructeurs d'unités spéciales telles que le GIGN. Une pointure en arts martiaux et autres disciplines pieds-poings qui, au fil du temps, a « développé des capacités motrices particulières » ainsi qu'une propension à analyser le danger ou la simple menace de manière fulgurante. Un peu comme un kendoka très averti « sait, avec la position du corps de son adversaire, où va atterrir le sabre de celui-ci avant même qu'il ne porte son attaque ».

2bc5d.jpg

Retraité de l'armée en 2012, il frappe régulièrement à la porte de la FFR (dont l'assemblée générale annuelle démarre aujourd'hui à Perpignan) depuis près de neuf saisons pour qu'elle se penche très sérieusement sur la méthode dont il a accouché et qui commence à lui valoir les yeux doux de cadors de l'étranger. « Une révolution copernicienne » davantage qu'une méthode, propose Lucien Majeau, en charge de la préparation physique des jeunes Perpignanais après avoir longtemps travaillé chez les professionnels de Montpellier. Et qui applaudit à ce « guide » destiné notamment à se jouer des plaqueurs et à se prémunir au mieux des blessures. Majeau reprend : « Un peu comme Maître Kawaishi (le Japonais qui, dans les années 1930, a véritablement popularisé le judo en France en le codifiant à l'occidentale), Lilian a classifié des solutions pour répondre à des situations d'opposition. Ce qu'il a mis en place fonctionne, change de la motricité usuelle historique et est facile à enseigner. »

Très innovant, voire bluffant, ce qu'a concocté Almèras (qui n'a jamais pratiqué le rugby et dont le livre Rugby combat system : devenez inarrêtable sortira en novembre chez Amphora). Il demande juste que sa méthode soit testée sur du moyen terme dans un pôle Espoirs et propose de former des spécialistes en combat pour relayer son savoir dans la vingtaine d'académies (des structures pour lycéens) que la Fédération envisage d'ouvrir prochainement.

«Les gars s'entraînent avec des boucliers, des protections et sont donc perturbés, en match, lorsqu'il leur faut gérer des agressions»

Venu au rugby en 2009, à la suite d'une journée découverte pour les moins de 19 ans de Marcoussis à l'École interarmées des sports, l'ex-para déplore qu'« on ne considère pas le rugby en France comme un sport de combat, où le danger s'avère pourtant plus présent qu'en judo ou en MMA ». Il note également qu'« il n'existe aucune notice technique fédérale liée à l'affrontement » et ajoute qu'« il ne faut donc pas s'étonner qu'il y ait des accidents ». Il souligne encore : « Les gars ne sont pas vraiment préparés à aller au combat sur le terrain. Ils s'entraînent avec des boucliers, des protections et sont donc perturbés, en match, lorsqu'il leur faut gérer des agressions. Ils perdent en lucidité, commettent des fautes et balancent des saucisses. Imaginez ce que donnerait sur le ring un boxeur qui se préparerait comme eux. On ne peut pas bosser dans la retenue. Ça ne veut pas dire pour autant qu'il faut faire prendre des risques inconsidérés aux joueurs. »

a90d4.jpg Première technique d'évitement fd7bc.jpg Deuxième technique d'évitement a9d35.jpg Troisième technique d'évitement

Un bref silence, une gorgée de jus d'orange et Lilian Almèras reprend : « Dans l'armée, on fait en sorte de prévoir le maximum de situations possible pour éviter la surprise, qui est souvent synonyme de mise en échec.Aux rugbymen, on leur demande de partir en mission, d'aplatir, sans leur donner toutes les armes nécessaires. Je connais aujourd'hui toutes les techniques que peuvent tenter des joueurs. Je fais une analyse de la menace et je catégorise ce qui est très dangereux ou moins dangereux. À partir de là, j'adopte une tactique. En clair, j'ai des réponses et je les mets au service du rugby français. Sans compter que ce que je prône pourrait favoriser un jeu plus spectaculaire, car on aurait plus de facilité à contourner un mur défensif... »

«Il travaille sur l'homme, et ça, c'est la base. Lilian, c'est de la nouveauté et de l'efficacité»

Ils sont nombreux, dans le milieu, à saluer la méthode Almèras. Nicolas Laffite, par exemple, parle « d'un truc de fou qui remet en question pas mal de choses dans notre discipline ». Ou encore Oleg Ichtchenko, pilier d'Aix-en-Provence et figurant sur la liste développement de la Fédération : « Lors des exercices qu'on a faits avec lui, on s'est rendu compte qu'il était très, très compliqué de l'arrêter. Il travaille sur l'homme, et ça, c'est la base. Lilian, c'est de la nouveauté et de l'efficacité. » Même Gérald Bastide, adjoint de Guy Novès chez les Bleus il y a encore peu de temps, y va de ses applaudissements : « Lilian pousse au maximum les techniques d'évitement et nous ouvre des perspectives que nous n'avions pas avant lui. Il est très surprenant. » Au point de déranger, de troubler un milieu un brin réactionnaire, recroquevillé sur des certitudes ? « Je ne sais pas, sourit Vincent Manta, responsable du pôle Espoirs de Talence et particulièrement intéressé par les travaux de Lilian Almèras. Mais ce qui est sûr, c'est que, d'une part, la connaissance est un pouvoir et que, d'autre part, dans notre secteur, on a parfois du mal avec la curiosité. »

«On veut bien le croire sur parole, mais il nous faut des faits. Il est brillant, mais ce n'est pas un homme providentiel. Et je ne pense pas que le rugby ait besoin de méthode»

Du côté de la FFR, on affirme vouloir se faire un allié de Lilian Almèras. « Un intervenant, précise le DTN, Didier Rétière, tout en considérant que tout ce qu'il défend n'est pas adaptable au rugby. » « C'est un expert sur lequel on compte, enchaîne Julien Piscione, responsable de l'accompagnement de la performance à la Fédération. Après, outre le problème qu'on a en ce moment, à savoir tout un tas de réformes qui nous mobilisent beaucoup, on veut bien le croire sur parole, mais il nous faut des faits. Lilian est brillant, mais ce n'est pas un homme providentiel. Et je ne pense pas que le rugby ait besoin de méthode. »

Un point de débat sur lequel devraient rebondir les avocats de ceux qui, gravement touchés dans leur chair, s'apprêteraient à attaquer la Fédération en justice, selon une source bien informée. Ils prétendent que cette dernière disposait depuis longtemps de moyens censés rendre le rugby moins traumatisant et qu'elle les a étudiés ou accueillis avec des pincettes.

« Vraiment scotchant »

Ancien adjoint de l'Anglais Eddie Jones, quand celui-ci dirigeait l'équipe japonaise lors de la dernière Coupe du monde, puis en charge des avants de Toulon, Marc Dal Maso a croisé Lilian Almèras dans les Landes au mois de mai grâce à un ami commun. Les deux hommes ont longuement échangé et Dal Maso s'est montré extrêmement intéressé par ce qu'il découvrait. Au point, pour mieux sentir les choses, de tenter lui-même de plaquer son interlocuteur. En vain. Il en est resté interdit.

cd8cf.jpg

« Que penser de la méthode que propose Lilian Almèras ?C'est vraiment scotchant, surprenant, incroyable. Je ne sais pas s'il arrivera à retransmettre toutes ses techniques sur le terrain, mais ce qu'il propose est hallucinant. S'il y parvient, ça donnera encore une dimension supérieure à notre sport. C'est très moderne. Moi, en tant qu'entraîneur, je ne maîtrise pas les sports de combat. Ni le corps-à-corps, qui est très présent dans les matches à l'heure actuelle. Globalement, mes confrères et moi ne sommes pas compétents dans ce secteur. A fortiori lorsqu'il s'agit de combat en mouvement.
On est là dans un ensemble de techniques compliquées à acquérir.
Ce qu'il prône, c'est tout neuf pour vous ?J'avais déjà assisté à des séances d'entraînement avec des jeux de combat auxquels les rugbymen devaient s'adapter, mais jamais avec un gars qui adaptait au rugby son savoir en lutte, en judo ou autres arts martiaux. C'est la grande différence entre Lilian et les autres. Avec lui, on peut imaginer que le jeu devienne moins dangereux, plus consistant, plus rapide, car les gars seraient moins stoppés, moins bloqués. Plus on est fort au contact, dans les zones de combat, plus le ballon sort rapidement.La méthode Almèras ne semble pas enthousiasmer la Fédération française. Cela vous étonne-t-il ?C'est délicat de s'exprimer à ce propos... Ce n'est pas parce que c'est difficile que l'on n'ose pas, c'est parce que l'on n'ose pas que ça devient difficile. Le problème du rugby français, c'est qu'il appartient à une société. Ce n'est plus un sport, mais une société de trois présidents et de quelques joueurs.Lilian Almèras pourrait, selon vous, intéresser une nation comme l'Angleterre ?On verra... J'ai envoyé une vidéo de son travail à Eddie Jones (le sélectionneur). J'attends de ses nouvelles. »


  • sgestion et OliveR aiment ceci

#952 Jesus Hans Hubert Vorme

Jesus Hans Hubert Vorme

    Salut Fred

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 16 527 messages
  • Genre:Homme
  • Mon club:

Posté 28 juin 2018 - 15:42

On se croirait en politique, un constat du constat du constat du constat et puis ?

Et puis dans ton cul, mais le spectacle continue.

#953 JB 03

JB 03

  • Modérateurs
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 33 759 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Lalizolle ou Gannat
  • Mon club:

Posté 28 juin 2018 - 16:43

 

Merci pour le partage de cet article très intéressant. Je suis pour le moins surpris, pour ne pas dire choqué que la FFR et la LNR n'aient pas au plus vite contacté ce monsieur pour au moins évaluer ce qu'il proposait. Avec la réactivité et l'ouverture de nos responsables, je vois bien l'Angleterre profiter de ses pistes avant nous. 



#954 totoche

totoche

    Joueur de Fédérale 1

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 2 363 messages
  • Genre:Homme
  • Mon club:

Posté 28 juin 2018 - 18:31

Enfin JB, étant donné que ce n'est pas quelque chose qu'on peut copier sur les NZ, les Walabies ou les Bocks, c'est que c'est nul et vaut pas le coup.


  • JB 03 aime ceci

#955 reo63

reo63

    Joueur de Pro D2

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 2 740 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:saint sandoux
  • Mon club:

Posté 28 juin 2018 - 20:08

C'est un match de rugby comptant pour la Coupe d'Afrique. Un essai marqué à la demi-heure de jeu, comme souvent Soheyl Jaoudat s'est illustré avant un choc en début de seconde période. "Le pilier perce, je suis le premier au déblayage, et un autre arrive et me prend au niveau du visage". Le choc est même très violent. Pourtant le protocole commotion est passé avec succès, mais l'arrière marocain doit quitter le terrain. La suite est rocambolesque.

La même blessure que Rémy Grosso - Aucun(e)
La même blessure que Rémy Grosso
"A la mi-temps, on est dans le match, on mène au score, et c'est très important pour nous" explique le jeune espoir de l'ASM, "ce qui est fou, c'est que les médecins de World Rugby me permettent de revenir sur le terrain mais un des mes partenaires me dit de sortir car j'ai le crâne enfoncé".

Je me suis dis, où tu es là... Soheyl Jaoudat, arrière du Maroc et des espoirs de l'ASM

La suite va être rocambolesque, "j'arrive aux urgences, au Zimbabwe, et là, je me dis que ça va être la galère, 500 dollars pour voir un médecin, 1000 pour le scanner, une perfusion sans aucune précaution d'hygiène", et finalement un retour en avion avec la sélection marocaine. "J'ai reçu un coup de fil du médecin sur place me disant qu'il n'était pas certain d'autoriser le rapatriement" s'insurge le papa, "j'ai passé le pire week-end de ma vie, le rugby est devenu un sport violent, c'est une banalité ce que je dis, tout le monde le sait, mais quand même...".

Le match à Harare avant le choc - Aucun(e)
Le match à Harare avant le choc
L'avis du Professeur Jean Chazal, référence neurologique nationale, avec le concours de Jean-Marc Lhermet et de l'ASM, le retour en France a été possible avec la sélection marocaine. "Deux heures et demi de retard au départ, une escale en Zambie qui n'était pas prévue, l'intervention dans l'avion des agents de ménages, c'était la totale" s'en amuse presque Soheyl Jaoudat.

Pose d'une plaque ce mercredi, et avenir incertain
Ce mercredi, Soheyl a été opéré, comme Rémy Grosso, à Clermont, une intervention pour poser une plaque en métal et réduire la fracture du crâne. Mais son avenir sur le terrains reste doublement incertain. Car auparavant, l'ASM lui avait signifié qu'il ne sera pas conservé dans l'effectif espoir la saison prochaine. "Le rugby reste ma vie, j'ai des contacts avec le club de Rodez en Fédérale 1"....

Un jour ça finira mal, je serai content de savoir quelle sanction à eu le gars qui lui a fait ça! En tout cas plein de courage à ce jeune arrière .

#956 Arverne03

Arverne03

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 38 095 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:HURIEL (03380)
  • Mon club:

Posté 29 juin 2018 - 05:40

Merci pour le partage de cet article très intéressant. Je suis pour le moins surpris, pour ne pas dire choqué que la FFR et la LNR n'aient pas au plus vite contacté ce monsieur pour au moins évaluer ce qu'il proposait. Avec la réactivité et l'ouverture de nos responsables, je vois bien l'Angleterre profiter de ses pistes avant nous. 

 

Bref, comme d'habitude, on prend toujours le train en route !  B)



#957 el landeno

el landeno

    Champion d'Europe

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 6 597 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:dax
  • Mon club:

Posté 29 juin 2018 - 06:13

 

Bref, comme d'habitude, on prend toujours le train en route !  B)

pour le moment, on prend surtout le train en pleine gueule B)



#958 gigi

gigi

    Champion d'Europe

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 5 936 messages
  • Genre:Homme
  • Mon club:

Posté 29 juin 2018 - 07:59

Merci pour le partage de cet article très intéressant. Je suis pour le moins surpris, pour ne pas dire choqué que la FFR et la LNR n'aient pas au plus vite contacté ce monsieur pour au moins évaluer ce qu'il proposait. Avec la réactivité et l'ouverture de nos responsables, je vois bien l'Angleterre profiter de ses pistes avant nous. 

 

 

Les cadres techniques de FFR détiennent le savoir

eux seuls savent, comme d'hab.

Et cela ne date pas d'hier (pour éviter le cliché du "c'est la faute a Laporte")

 

mais surpris de voir retiere tenir ses propos, je le pensais plus ouvert que ceux d'avant (sans juger du bien fondé de travailler avec ce mec)


  • Loulou aime ceci

#959 Spadone

Spadone

    Equipe de France

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 8 076 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Clermont-Ferrand
  • Mon club:

Posté 29 juin 2018 - 08:18

Ca fait un moment que les rugbyman font de la lutte en "complément".(c'est aussi pour cela que Bourdin à prit autant de place à l'asm, et c'est mérité) Ces techniques sont uniquement de la maitrise des masses en mouvement; je n'y vois absolument rien de révolutionnaire.

 

La première limite est qu'il s'agit toujours de 1c1, chose qui arrive de plus en plus rarement (1c2); la seconde est qu'il faille d'abord construire le réflexe musculaire pour chaque situation et être capable de la reproduire en situation complexe (choix de la technique, vitesse d'exécution, caractère aléatoire de l'adversaire)

 

 

Attention, je ne dis pas que c'est à jeter car il suffit d'une fois ou ca fait marquer un essai pour prouver que c'est utile; c'est une des composantes de l'outillage du rugbyman mais cela n'a rien de révolutionnaire

 

 

 

1: Soucis au niveau du blocage de l'épaule (timming ultra resserré pour lancer au bon moment); problème de la préhension possible qui ne laisserait pas filer l'attaquant, problème des joueurs qui ont des épaules tellement solides que l'on ne peut pas leur bloquer l'épaule.  Le tour sur soi même (la toupie) sans blocage de l'épaule semble plus adapter à la vitesse du jeu (et ainsi éviter le retour d'un second défenseur); pour les avants sur des phases arrétés, ca peut aider à sortir le premier défenseur, mais le second sera la et le premier toujours au contact.

 

2: Pour le rugby à 7 ; ca peut vraiment être une aide de maitriser ces répères là. La technique est très très simple, efficace. A 15, on a toujours le soucis temporel du soutien qui arrive si vite que le temps de faire ça, on a déjà deux joueurs au dessus. Ces situations se retrouvent d'ailleurs parfois en match avec des ailiers qui font des rouler bouler (grosso sait le faire) pour poser le ballon au sol et repartir.   C'est utile dans les répères spatiaux; mais cela est déjà opéré naturellement par les rugbymans.

 

3: je ne comprend pas trop le passage du dessin 1 à 2(ballon dans quel bras); et du 3 à 4 (placement du bras dans le dos ou devant); mais s'il s'agit uniquement d'une évacuation vers l'extérieur; c'est déjà coutumier et on en voit plusieurs par match (les piliers à bas appuis sont souvent très bon la dessus)

 

 

 

Ca a le mérite d'essayer; de faire avancer les skills et ca peut toujours servir. Mais croire que personne ne s'est déjà penser la dessus est d'une naiveté sans nom. Rien d'inventer la dessus, seulement une transposition hasardeuse (dans le sens du "à l'armée, on détient la vérité") qui part d'un très bon postulat, le rugby est un sport de combat.



#960 OliveR

OliveR

    Joueur de Fédérale 1

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 2 415 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:St-Éloy-les-Mimines
  • Mon club:

Posté 29 juin 2018 - 09:06

Bon, ben, voilà, c'est fini... https://www.sports-a...h_12859559.html
  • ELSAZOAM aime ceci




3 utilisateur(s) li(sen)t ce sujet

0 members, 3 guests, 0 anonymous users