Si le club a effectivement fait joué un joueur potentiellement malade cardiaque, ca fait aussi parti du problème non ?
encore faut t'il détecter la maladie pour ca.
Posté 16 août 2018 - 15:04
Si le club a effectivement fait joué un joueur potentiellement malade cardiaque, ca fait aussi parti du problème non ?
encore faut t'il détecter la maladie pour ca.
Posté 16 août 2018 - 16:09
J'ai du mal à croire à une révolution de l'arbitrage sur les jeux dangereux.
La charge "coude en avant" de Picamoles, ils ont jamais rien trouvé à redire et ça deviendrait rouge ? J'attends de voir.
Posté 16 août 2018 - 17:00
Hier à 10:55Mis à jour Hier à 14:27
C’est un Adrien Buononato visiblement marqué et ému qui est revenu sur le décès tragique de Louis Fajfrowski, joueur d’Aurillac, futur adversaire d’Oyonnax pour l’ouverture de la Pro D2. Dès le traditionnel briefing du lundi matin, le drame a été évoqué, non sans émotion avec la présence de l’ancien aurillacois Myles Edwards dans les rangs oyonnaxiens. "Ça met un coup. Les mots que l’on emploie dans le langage commun du rugby, quand on parle de violence ou de faire mal, ne résonnent pas bien et deviennent presque obscènes", dit-il avec une certaine gêne. Le directeur sportif se remémore alors la perte tragique et subite d’un jeune, deux jours après le gain d’un titre de Champion de France Crabos, en 2014, date à laquelle il dirigeait le centre de formation du Racing. "C’est dur, ça marque", insiste-t-il.
L’émotion ne doit pas l’emporter sur la raisonMais Adrien Buononato éprouve un autre sentiment en plus de la tristesse. La colère, à double titre. D’abord contre le fait "de devoir chercher un coupable. Quand Marc-Vivien Foé s’est écroulé en plein match, on n’a pas enlevé les gamins du foot pour autant. Je ne cherche pas des causes, des responsables ou les mesures à prendre. Ça ne fait pas avancer !" L’entraineur en veut également aux instances d’avoir déplacé la rencontre du vendredi 20 heures au dimanche à 16h15, et pas à une autre date, "une mesure prise sous le coup de l’émotion. Ce type d’accident est dramatique et nécessite une autre prise en charge", confesse Buononato qui s’interroge. "Il y a des dates de report pour des évènements exceptionnels. Ce ne sont pas deux jours de plus qui permettent de faire le deuil."
Hier à 16:03Mis à jour Hier à 16:04
Rugbyrama : Que vous inspire le drame qui s'est déroulé à Aurillac ?
Patrick Wolff : Je ne veux pas me focaliser sur ce drame en soi, bien sûr. Ce que je vais dire ne concerne ni Louis Fajfrowski ni Aurillac, mais le rugby en général. Mais on sait tous que le danger augmente. On a les statistiques pour ça. Je pense que le rugby n'est pas fait pour devenir un sport spectacle, sûrement pas, pas avec des colosses qui se tamponnent. Pour moi depuis quatre ou cinq ans, nous sommes arrivés aux limites du système. Les bonnes décisions on les connaît, mais on n'arrive pas à les prendre.
Quelles sont elles, ces bonnes décisions ?
P.W. : La première décision passe par l'apprentissage et la formation. Le rugby doit être un sport d'évitement où la puissance physique ne doit pas être recherchée systématique. Comme c'est un sport de combat, il doit se protéger plus que les autres de toutes ces dérives. Il faut revenir à une philosophie de jeu, compatible avec des moyens physiques normaux. Sinon quand Michalak se trouve face à Nadolo, il est en danger.
Faut-il limiter le poids des joueurs ? Ou le poids moyen d'une équipe ?
P.W. : C'est compliqué, même si nous avions tous pensé. Je crois qu'il faut commencer par s'occuper de la préparation du joueur sur le plan médical et sur le galn de la performance. Le rugby se suffit à lui-même. Il faut être intransigeant sur toutes les règles qui concernent l'intégrité physique du joueur. C'est une question de mode de vie et un mode de suivi médical. Il y a aussi une question de règles sportives avec les plaquages à deux par exemple. Il faut prévenir et non pas guérir.
Mais quand vous parlez de préparation t de suivi médical des joueurs, on ne vas pas tourner au tour du pot, vous faites allusion au risque de dopage, non ?
P.W. : Bien sûr, il faut se le dire en face. Il est impensable d'un homme comme le docteur Chazal se fasse virer parce qu'il veut faire évoluer ces choses-là. Compte tenu de la nature de notre sport, il faut être encore plus intransigeant dans la lutte anti-dopage. On doit se définir des règles beaucoup plus strictes en la matière car nos joueurs sont en danger.
Peut-on donc faire mieux que ce qui se passe actuellement en matière de lutte anti-dopage ?
P.W. : Evidemment, il faut regarder ce qu' a fait le football américain qui était arrivé à des situations extrêmes et nous, on y est, actuellement. Il faut voir ce qu'ils ont fait depuis une dizaine d'années . Et le professeur Chazal a dit une chose fondamentale : la formule 1 a réussi à faire baisser très largement le nombre de ses morts en course.
Qu'est ce qui manque donc au rugby ?
P.W. : Le problème, c'est que les gens du rugby ne se parlent pas. Les joueurs doivent pouvoir exprimer leur ressenti sans que ce soit vu comme une remise en cause du système. Pour les entraîneurs, c'est pareil. A partir de leurs réflexions, il faut redéfinir les priorités et intervenir sur les règles, la préparation physique, la lutte anti-dopage. Lorsque la LNR a été créée, nous avons eu des statistiques. Puis à la fin du mandat de Pierre-Yves Revol,nous nous étions rendus compte que le temps de jeu a été multiplié par deux, les plaquages par trois et la vitesse a augmenté de 25 pour cent. Mais qu'est ce qu'on a fait par rapport à ça ?
Avez-vous une ou deux mesures concrètes à proposer ?
P.W. : Je pense que les saisons sont fondamentalement trop longues. Du coup les temps de préparation physique sont trop longs. Il faut aussi changer l'organisation même des compétitions. Il faut réfléchir sur l'augmentation des temps de jeu effectif. En fait nos instances doivent être focalisées sur les acteurs du jeu et non pas sur les questions financières. La partie médicale doit être davantage prise en compte. La saison dernière à Clermont il y a eu l'affaire Ezeala et qu'est ce que j'ai entendu ? Les médias nous emm...., ils insistent sur cet incident. Malheureusement, il s'est bien passé quelque-chose et nous étions prévenus. On ne peut pas se conter de demi-mesures.
On sent que vous êtes focalisés sur la préparation médicale des joueurs. Vous ne voulez tolérer aucun laxisme, aucune pratique à la limite...
P.W. : Des choses doivent être interdites. Il y a une chose que j'ai toujours voulu mettre en place, mais malheureusement sans succès, puisque je suis plus à la LNR. Je voulais qu'il y ait des critères d'admission et pas uniquement financiers. Si la LNR dispose d'élements objectifs qui montrent qu'une équipe ne respecte pas une certaine éthique médicale et sportive, elle peut être refusée. Je ne vois pas pourquoi on n'accepterait les équipes que sur des critères financiers.
Posté 16 août 2018 - 18:26
;
Si le club a effectivement fait joué un joueur potentiellement malade cardiaque, ca fait aussi parti du problème non ?
il y a des pathologies indétectables.
Exemple, mon père est décédé d'une rupture d'anévrisme à l'aorte, et c'est indétectable, c'est que nous avait dit le cardiologue quand il parlait d'un problème congénital et que ce n'était pas la peine de rechercher chez ses descendants puisque si nous étions atteints de la même merde elle pouvait se trouver n'importe où...
Posté 16 août 2018 - 21:34
;
il y a des pathologies indétectables.
Exemple, mon père est décédé d'une rupture d'anévrisme à l'aorte, et c'est indétectable, c'est que nous avait dit le cardiologue quand il parlait d'un problème congénital et que ce n'était pas la peine de rechercher chez ses descendants puisque si nous étions atteints de la même merde elle pouvait se trouver n'importe où...
Posté 16 août 2018 - 23:32
Bon bon bon... Je voulais faire un post construit avec multi citation sur mon ordi mais pas le temps c'est pas grave...et puis mes petits camarades ont déjà bien répondu, sûrement mieux que moi et de façon détaillée...voir même en te montrant tes condradictions 😉Je vois que certains ont compris lutilité d'un forum permettant léchange d'idées...
tu as beau t'énerver tu ne seras pas plus persuasif pour autant ...
Enfin bref, il ne me semble pas avoir dit que vakatawa était innocent sur ce coup là ... seulement mettre l'accent que sur sa charge est une bêtise . Re regarde la vidéo ( après avoir vomi bien sûr) et tu verras le placement de la tête dezeala et revient me dire que sa technique etait bonne ... je joue avec et face à des internationaux ( Du 6 nations b je te l'accorde) et on travaille pas mal la technique de placage . Bizarrement le seul ko que j'ai eu vient d'un simple fait de jeu ( le mec tombe sur moi dans un Ruck ça arrive ) . 90 % des ko que j'ai vu la saison dernière viennent de mecs qui plaquent la tête la première ( du coup 100 kilos dans la tronche = ko ) .
Il te vient à l'esprit quezeala aurait aussi pu le plaquer « sur le côté »? Il s'est fait avoir sur la vitesse . Vakatawa aurait pu le crocheter comme je le disais dans mon commentaire ( enfin si tu las lu avant de beugler ) . Il y a donc pour moi 3 axes de travail pour Word rugby , la technique de placage, la mentalité made in Laporte , et enfin un meilleur règlement permettant aux arbitres de se positionner plus facilement .
Si cest trop long , voici le résumé qui te plaira : ouai vakatawa cest un enc****
Posté 17 août 2018 - 18:06
On peut avoir une opinion sans pour autant fausser la réalité. Yato a chargé ce we en étant le plus souvent en mouvement et grand sur ces appuis. Cela ne veut pas dire que toutes ses actions étaient à mes yeux licites mais il n'a jamais été dans l'attitude de Vakatawa qui était quasiment arrêté les genoux pliés et les bras en berceau. Celui qui a eu une fois une attitude similaire à celle de Vakatawa est Raka si je ne trompe pas.Ce week-end Yato a chargé de la même manière que Vakatawa sur ses interventions, alors on le met au frigo et on lui dit que ce n'est pas bien, qu'il ne faut pas faire mal à l'adversaire ?
Posté 17 août 2018 - 18:15
Posté 17 août 2018 - 22:59
Posté 18 août 2018 - 03:56
Quelqu'un a suggéré sur un fil (je ne sais plus ou) de limiter le poids des 3/4, ce n'est peut être pas une mauvaise idée.
En effet, des mecs comme Lagisquet ou Bernat Sale (pour ne citer qu'eux) n'auraient jamais eu l'idée d'aller défoncer plein fer leur vis à vis avec leur gabarit de libellule ....et en plus c'était vachement beau à voir !!!
Posté 18 août 2018 - 07:09
oui, voila, discriminons
Posté 18 août 2018 - 07:14
alors vous voyez bien on est mauvaise langue la fédé travaille sur le sujet et ce, depuis l'début 🤣😂Je vous mets ce liens si ça intéresse quelqu'un : https://rmcsport.bfm...ki-1508105.html
(Interview en video de ce Vendredi de Bernard Laporte sur les Commotions cérébrale )
Envoyé de mon SM-G950F en utilisant Tapatalk
Posté 18 août 2018 - 08:25
oui, voila, discriminons
Posté 18 août 2018 - 08:46
oui, voila, discriminons
Le rugby s'enorgueillissait d'être capable de faire jouer au plus haut niveau n'importe quel gabarit du petit gros en passant par le grand maigre ou le petit, mais alors vraiment petit.
De fait nous avons eu des internationaux au physique aussi différent que Cachassin, Spanghero, Garuet, Astre, Danos, Palmier ......tous des joueurs extraordinaires dans leur registre.
Aujourd'hui, ce n'est plus possible hélas car tous sont des bourrins avec des centres au physique de pilier, des ailiers bâtis comme des troisièmes lignes ....etc, mais plus aucun avec un gabarit normal.
Fofana qui est aujourd'hui considéré plutôt comme un petit gabarit doit peser environ 93/95 kg soit 10kg de plus que jean pierre Rives....A méditer !!
Alors, je pense que la discrimination ,dont tu sembles faire grand cas, est déjà là et que de limiter les gabarits derrière permettrait justement de lutter contre elle.
0 members, 1 guests, 0 anonymous users