9841 replies to this topic

[Y&B]

Puisses tu dire vrai... Punaise que j'attend le moment où ses glandus vont prendre un coup de pied au cul mémorable . Si ça pouvait tomber en grappe meme ...

Moi aussi, … mais j’y crois de moins en moins !
Ces crapules ont de la ressource et surtout un culot fou..

[Alex chocolatines]

Qui se rappelle de "Krapulax" dans Pif gadget ? Y a comme un air de famille avec Bernie 

[Very Good Eshvili]

Qui se rappelle de "Krapulax" dans Pif gadget ? Y a comme un air de famille avec Bernie 

J’aurais plutôt dit avec Moscato

[Alex chocolatines]

J’aurais plutôt dit avec Moscato

Moscato c'est plus une tete façon boulle de fromage Hollandais, Krapulax, c'est bien la tete de fouine à la Bernie. J'ai la flemme de chercher les images, si t'as du courage et un peu de temps, vas y, fais péter la photo.

[Very Good Eshvili]

 

bref il a une bonne tête de con, c’est raccord avec les deux

[gregouarrrr]

lui ?

[Silhouette]

Moscato c'est plus une tete façon boulle de fromage Hollandais, Krapulax, c'est bien la tete de fouine à la Bernie. J'ai la flemme de chercher les images, si t'as du courage et un peu de temps, vas y, fais péter la photo.

Un peu de loin et de dos alors 

 

[Alex chocolatines]

Alors ? plus Bernie ou 

 

Un peu de loin et de dos alors 

 

C'est la psychologie du personnage qui nous interesse pas que la bouillotte 

[totoche]

Le ministère pousse pour le retrait total de Bernard Laporte Suite à l'entretien avec la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra, la FFR est enjointe de destituer de tous ses pouvoirs Bernard Laporte et de désigner par consultation de tous les clubs un président délégué dont le périmètre global pose encore question.

 

Renaud Bourel et Frédéric Bernèsmis à jour le 23 décembre 2022 à 00h00

 

Bernard Laporte rêvait-il d'un destin de plante verte, un ficus par exemple, exposée dans les couloirs de Marcoussis ? Jamais de la vie. Mais si c'est la dernière solution qui lui reste pour donner l'illusion autour de lui qu'il n'a pas tout à fait perdu la face, il veut bien être empoté sur-le-champ. Jeudi après-midi, la réunion entre le président de la FFR, accompagné de son directeur général Laurent Gabbanini, et la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra a duré une heure et demie.

 

 

 

 

« Très constructif », a déclaré M. Laporte à la sortie du ministère, faisant mine de ne pas entendre les questions des journalistes qui lui emboîtaient le pas, comme cela s'était passé au tribunal de Paris le 13 décembre. Ce jour-là, la 32e chambre correctionnelle avait condamné Bernard Laporte à deux ans de prison avec sursis, 75 000 euros d'amende et deux ans d'interdiction d'exercer toute fonction, même bénévole, en lien avec le rugby, pour corruption passive, trafic d'influence, prise illégale d'intérêts, recel d'abus de biens sociaux et abus de biens sociaux. En France, jamais le président d'une fédération n'avait été aussi lourdement puni par des juges.

Une neutralisation plutôt qu'une démission

D'après nos informations, le ton de l'entrevue fut direct et franc, pas spécialement courtois. Comme on devait s'y attendre, un premier constat de blocage n'a pas tardé à émerger. D'un côté, la ministre essayant de faire comprendre à M. Laporte pourquoi une démission de sa part aiderait à restaurer la confiance. De l'autre, Bernard Laporte, qui refuse obstinément de démissionner au prétexte que cela signerait un aveu de culpabilité qui lui serait préjudiciable en vue de son procès en appel. Pour sortir de cette impasse et parce qu'elle sait ne pas disposer de moyens de coercition pour imposer une démission, la ministre a ouvert une autre voie. Se fondant sur le diagnostic sévère du Comité d'éthique de la FFR et sur cette notion floue de « mise en retrait », non répertoriée dans les statuts de l'institution, le ministère a demandé à M. Laporte et son bureau d'apporter un certain nombre d'exigences pour arriver à un résultat : la neutralisation complète du retranché de Marcoussis.

 

 

 

Le premier des impératifs exigés du bureau fédéral, qui doit se réunir ce vendredi matin, sera de notifier noir sur blanc au ministère la liste de tout ce que le sursitaire ne sera plus en droit de faire. Si les exigences attendues ne lui conviennent pas, le ministère court-circuitera le processus. Dans son dernier communiqué de presse, le bureau avait consenti à ce que son chef ne puisse dorénavant plus « participer aux différentes instances décisionnelles (bureau fédéral et comité directeur), ni signer aucun engagement au titre de la FFR », mais précisait que « dans ses effets, Bernard Laporte demeure président de la FFR ». Cette dernière précision, à huit mois du coup d'envoi de la Coupe du monde en France, n'est pas entendable pour le ministère. Qui demande donc que la coquille du président Laporte soit vidée de toute substance. Plus aucune prérogative officielle, ni aucun droit de se prévaloir du titre de président. Entre rien et plus rien, Laporte a choisi le rien, du moment qu'il pourra dire qu'il n'a pas démissionné.

Victoire pour les soutiens de Laporte

Parmi les soutiens du multi-condamné, cette réunion a été vécue comme une victoire à Dublin en février. Tout de suite, par les canaux internes, les mêmes messages étaient diffusés : « Laporte a tordu le bras de la ministre. » « C'est une défaite pour elle, sinon elle aurait imposé des élections. » Beaucoup de bavardages bravaches, des contre-vérités (la ministre n'a pas le pouvoir de provoquer de nouvelles élections, seule la démission du président ou du comité directeur collectivement peut les déclencher) mais pas la moindre inquiétude sur la question de l'éthique et de la probité. « J'y étais tous les jours au procès, moi, disait mercredi soir le vice-président Henri Mondino, pendant son intervention devant le Comité départemental des Bouches-du-Rhône. Les juges ont bien dit que la Fédération n'avait pas été entachée et que Bernard n'avait fait sa connerie qu'à titre privé. »

 

Le mur du son du mensonge venait à nouveau d'être franchi. Bernard Laporte a été condamné en qualité de président de la FFR, chargé d'une mission de service public. Dans ses attendus - qu'il faudrait peut-être transmettre à tous les licenciés en âge de s'y intéresser -, la présidente de la chambre correctionnelle Rose-Marie Hunault écrit entre autres que « les infractions commises par M. Laporte ont, par leur nature et leur ampleur, gravement porté atteinte à l'image de sa fonction, à l'image de la FFR et à l'image du rugby [...], mais aussi à l'indépendance de la commission d'appel de la FFR (à qui Laporte a demandé de réduire les sanctions touchant le club de Montpellier présidé par Mohed Altrad) et à l'équité entre les clubs. »

Outre la liste de tout ce que Bernard Laporte ne pourra plus faire au nom de la FFR, afin que sa neutralisation devienne intégrale, le ministère a doublé sa demande d'une autre condition ferme, concernant la nomination d'un président délégué. Cette notion a par ailleurs fait l'objet, mercredi, d'une saisine du Comité d'éthique de la part de l'opposition, pour notamment clarifier la durée, très ponctuelle ou durable, de ce mandat jamais expérimenté. Le ministère exige une légitimation de ce président délégué putatif par une consultation de tous les clubs, sur le modèle de celle utilisée pour le sujet du sélectionneur étranger en mars 2019. Reste à savoir quel sera le nom soumis au vote par Bernard Laporte : le clivant « docteur » Serge Simon, l'affidé Christian Dullin, le policé Patrick Buisson, quelqu'un d'autre ? « Au vu des garanties qui seront apportées, des engagements qui seront pris et sous réserve des réponses qui seront données par le Comité d'éthique à la saisine dont il a été l'objet, la ministre entérinera ou non la solution proposée au plus tard début janvier et à l'issue d'un échange avec le comité directeur de la Fédération. »

C'est quand même fou la différence de traitement de l'info entre un journal qui lèche les bottes d'un club dont les dirigeants lèchent celles de BL (mais ils se sont trompés d'endroit et ont la langue marron et l'haleine fétide), et un journal de l'autre côté, enemi de BL, qui tire dessus à boulet rouge dès qu'il voit un bout du crâne en peau de fesse de la personne.

[Bad Zé]

Factuellement il ne sera plus rien. Enfin si une plante verte qu'on cachera dans un placard. La défaite est totale.

[Patator]

Vous pensez qu'il restera dans son placard ? Vous rêvez.
Il va continuer à placer ses hommes et a tirer les ficelles en attendant qu'on l'ai oublié.
Et si la France venait a faire un résultat a la coupe du monde alors la c'est le retour en fanfare.

Ce type il faut le dégager sinon...

[Bad Zé]

Vous pensez qu'il restera dans son placard ? Vous rêvez.
Il va continuer à placer ses hommes et a tirer les ficelles en attendant qu'on l'ai oublié.
Et si la France venait a faire un résultat a la coupe du monde alors la c'est le retour en fanfare.
Ce type il faut le dégager sinon...

Je crois que t'as pas bien lu le compte rendu.

[l'exil]

J'ai écouté la ministre sur RTL ce matin.

 

Elle souhaite effectivement s'assurer que la mise en retrait de Laporte signifie la désactivation totale de ses prérogatives, dans toutes les commissions où il siégeait = plus aucun pouvoir de décision.

 

maintenant, sur la mise en place d'un président délégué (par intérim), elle dit souhaiter qu'il soit "adoubé" par la base, les clubs, etc.... Donc d'après ce que je comprends on n'est pas encore à l'abri de voir un pantin de Laporte à ce poste...

[ELSAZOAM]

Florian Gril réagit (XV MONDIAL) :

"Ce n’est pas la solution qu’espéraient les clubs et les bénévoles ; ils auraient voulu avoir le choix. Nous serons attentifs aux cas de garantie que demande la Ministre, qui respecte l’indépendance des fédérations. Pour autant, on va se conformer à son avis parce qu’au-delà de ça, ce qui compte, c’est la Coupe du monde, les Bleus et l’apaisement général. Il n’est pas dans nos intentions de mettre le rugby à feu et à sang, même si nous pensons que la solution la plus digne aurait été que le comité directeur démissionne et laisse la parole aux clubs. Dont acte".

[Jesus Hans Hubert Vorme]

La dignité aurait été que le rugby français s'abstienne d'élire une telle équipe de pieds nickelés. On peut reprocher beaucoup de choses à Laporte, mais pas de se faire passer pour une pucelle. Les responsables de ce bordel sont ceux qui l'ont fait roi.