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[Y&B]

Dans le cadre d'une nouvelle élection j'ai du mal à voir l'avenir politique d'un Simon par exemple. Tu crois qu'il se représenterait ? Et si oui qu'il serait élu ?

On va lui faire une proposition … qu’il ne pourra pas refuser

[Alex chocolatines]

Dans le cadre d'une nouvelle élection j'ai du mal à voir l'avenir politique d'un Simon par exemple. Tu crois qu'il se représenterait ? Et si oui qu'il serait élu ?

Je crois qu'il faut qu'on arrete de jouer au : " tu crois" . Je croyais vraiment qu'il ne passerait pas une deuxième fois, éh bin j'en ai pas cru le résultat, mes espoirs étaient cuits 

[Bad Zé]

Je crois qu'il faut qu'on arrete de jouer au : " tu crois" . Je croyais vraiment qu'il ne passerait pas une deuxième fois, éh bin j'en ai pas cru le résultat, mes espoirs étaient cuits

Oui t'as raison. On peut résumer en disant qu'ils l'ont dans le cul.

[Alex chocolatines]

Oui t'as raison. On peut résumer en disant qu'ils l'ont dans le cul.

ça rentre pas vite quand même ...  

[Bad Zé]

ça rentre pas vite quand même ...

Doucement mais sûrement.

[InASMWeTrust]

Ya d'autres Pdt de ligue derrière, fidèles à Laporte. Pas de casserole au cul, et vu le 51/49%, Grill peut apparaître pour certains comme l'instigateur de tout. La connerie peut venir de partout, on sait jamais d'où. Ce forum en est un exemple marquant 😄

Doucement mais sûrement.

Paradoxalement quand tu fais de l'huile ça rentre mieux.

[Buckaroo]

La connerie peut venir de partout, on sait jamais d'où. Ce forum en est un exemple marquant

Si le forum m'a appris quelque chose, c'est que la connerie vient quand même souvent de Gourine.

[Paolinito]

Euh ....... Quels médias ? 5secondes dans les 20 h le jour du verdict, 10 seconde à sport 6 ;  5 secondes sur BFM et compagnie, c'est pas ce que j'appelle de la médiatisation. Pour les chaines info, il vaut mieux de la misère ou de la peur, la guerre, les virus, les pénuries de carburant, là c'est vendeur, la fédé et Bernie, ça fait pas plus recette que le championnat des cracheurs de noyaux de prunes à Agen ...

 

Peut-être bien que oui, peut-être bien que non. En attendant l'écho médiatique a été suffisant pour faire pencher de l'autre côté ce à quoi le Bernie ne s'attendait probablement pas.

[el landeno]

Après le « non » au référendum, quelle issue pour la FFR et Bernard Laporte ? Le vote « non » contre Patrick Buisson, candidat proposé par Bernard Laporte au référendum, décrédibilise une nouvelle fois la gouvernance de la FFR et la place face à ses responsabilités. Pour en finir avec ce blocage, il existe plusieurs voies.

Quel que soit le résultat du référendum, la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra aurait assisté au comité directeur de la FFR, prévu vendredi matin autour de 9 heures à Marcoussis. Le vote majoritaire contre Patrick Buisson, candidat choisi par Bernard Laporte pour devenir président-délégué (51,06 % de « non », 90,46 % de participation), délégitime une gouvernance fragilisée à la fois par la quintuple condamnation de son chef pour corruption, trafic d'influence ou prise illégale d'intérêts le 13 décembre et par la complaisance du bureau fédéral face aux graves manquements relevés par le tribunal.

 

 

 

Cherchant à tout prix à garder leurs pouvoirs, ils ont tourné à gauche, à droite, en rond, et les voilà dans un cul-de-sac. Pour en sortir, plusieurs scénarios existent, les deux plus sérieux menant à une élection générale qui semble désormais incontournable.

Un nouveau « Buisson » pour un nouveau référendum ?

C'est une hypothèse qui était déjà farfelue avant. Elle est désormais devenue inconcevable. C'est avant tout Bernard Laporte, dans un communiqué de presse de la FFR daté du 23 décembre, donc avant son débranchement intégral, qui avait émis cette idée : « Au cas où une majorité de "non" se dégagerait d'une première consultation, je soumettrai une nouvelle proposition à une nouvelle consultation, jusqu'au moment où les clubs légitimeront à la majorité ce président-délégué. » Ce processus visant à arracher une légitimité par la lassitude si besoin n'apparaît nullement dans l'article 11-2. Ni nulle part ailleurs.

En partant du principe assez évident que M. Laporte et sa garde rapprochée ont choisi de présenter celui qui leur paraissait être leur meilleur candidat, il serait insultant pour le bon sens et pour les voix qui viennent de s'exprimer de soumettre un candidat n° 2 puis un candidat n° 3 jusqu'à proposer Jean-Mich'de la compta.

 

 

Fin décembre, le trésorier de la FFR Alexandre Martinez avait d'ailleurs rejeté cette éventualité, dans Rugbyrama : « En raisonnant par l'absurde, il n'y a en effet pas de limite à ce que le scénario se reproduise, oui. Mais je crois que depuis que nous sommes aux affaires, nous n'avons pas démontré un comportement absurde. »

Le pouvoir en place a accepté de se conformer à ce « temps démocratique » demandé par le ministère des Sports. Il lui faut désormais en tenir compte pour éviter que le blocage se prolonge indéfiniment et « pour stabiliser rapidement une gouvernance claire et légitime », indiquait jeudi Amélie Oudéa-Castéra.

lire aussiAmélie Oudéa-Castéra réagit aux résultats de la consultation auprès des clubs amateurs

Une démission de Bernard Laporte ?

Pour éviter que la situation ne s'enlise davantage, Bernard Laporte peut démissionner. Depuis le bureau fédéral du 6 janvier, le « retranché de Marcoussis » n'a de président de la FFR que l'emballage. Désactivé à la demande de son ministère de tutelle, il n'a plus le droit d'assister au bureau fédéral ou au comité directeur ni de parler au nom de la FFR, ni de la représenter.

Sa démission enclencherait une vacance et un processus électoral ; avec d'abord la nomination d'un président intérimaire parmi les membres du bureau (via un vote du comité directeur) jusqu'à la prochaine assemblée générale (en juin prochain, à Lille) où les clubs seraient appelés à élire un nouveau président.

Jusqu'ici, même après sa condamnation au pénal pour des faits directement reliés à sa fonction à la FFR, Bernard Laporte a toujours repoussé cette hypothèse. « Je ne démissionnerai jamais car, dans ma tête, je suis innocent, déclarait-il dans un entretien au JDD, juste après le jugement du 13 décembre. Je ne vois pas pourquoi je devrais m'en aller. Je suis légaliste. J'ai refusé cinq ans de contrat à 1,12 million d'euros par an à Montpellier, présidé par Mohed Altrad, pour être président bénévole de la FFR. On vient ensuite m'accuser d'être corrompu, pour avoir touché 150 000 euros (180 000 euros) de la même personne. C'est une incohérence. Ils (le ministère des Sports, la Ligue nationale, World Rugby...) ont le droit de dire ce qu'ils veulent, moi je suis certain d'être innocent. »

Son opinion lui appartient, le jugement du tribunal correctionnel de Paris appartient, lui, à tout le monde. Jamais, en France, un président de fédération n'avait été puni à cette hauteur-là. Autant le légaliste M. Laporte n'hésitait pas à demander à la télé - dans l'émission de Cyril Hanouna il y a trois ans - la démission du président de la Fédération des sports de glace Didier Gailhaguet, lequel n'a jamais été mis en cause par la justice dans l'affaire dont il était question à l'antenne, autant il ne l'envisage pas pour lui, estimant sans doute que cela pourrait lui être préjudiciable quand l'affaire Laporte-Altrad sera jugée par la cour d'appel.

Une démission du comité directeur ?

Le vote de défiance exprimé jeudi dépasse naturellement la simple personne de Patrick Buisson. La raison d'être de ce référendum était de « revalider le comité directeur », pour reprendre l'expression utilisée par le candidat Buisson dans Le Monde, la semaine dernière. De lui-même, avant le vote, ayant intégré les conséquences d'un échec, il disait que si le « non » l'emporte, « on repart dans une campagne électorale » et ajoutait que « les clubs vont s'exprimer et après on assumera leur choix. »

 

Serge Simon, Bernard Laporte et Patrick Buisson (à droite), en 2016. (F. Porcu/L'Equipe)

La responsabilité collective de cette majorité présidentielle était en jeu. Les ficelles de la campagne de M. Buisson étaient bel et bien tirées par les vice-présidents Serge Simon et Henri Mondino. Le Bernard Laporte « mis en retrait » démarchait bel et bien le maximum de présidents possibles pour les rallier à son candidat. Des salariés de premier plan de la FFR ont bel et bien oeuvré pour cette candidature. Le « non » les concerne donc tous. C'est pourquoi le collectif d'opposition Ovale Ensemble en appelle de nouveau à la démission de ce comité directeur, « qui doit entendre la demande des clubs. C'est un vote pour demander une élection générale ».

C'est également l'issue privilégiée par les clubs professionnels. Il suffit qu'une majorité des 38 membres du comité directeur décident de démissionner pour qu'un bureau provisoire soit chargé de gérer les affaires courantes et d'organiser dans un délai de six semaines une assemblée générale devant élire un nouveau comité directeur. Le temps de convoquer cette AG, une élection pourrait intervenir d'ici fin mars-début avril. « Il a la possibilité de le faire, il a même le devoir de le faire », indique le chef de file de l'opposition Florian Grill.

 

 

[RUGBY93]

Je pense que c'est cuit pour le clan Laporte et au cas où ses membres n'auraient toujours pas compris, la Ministre des Sports

va siffler demain la fin de la récré. Elle ne s'invite sûrement pas à Marcoussis pour compter le nombre de canards barbotant dans l'étang du CNR.

 

En plus depuis 15 jours on nous rabattait les oreilles (le Midol compris) que le meilleur candidat du camp Laporte était Buisson, je ne vois pas comment

on pourrait tirer un autre nom du chapeau (Dullin ?) tout en restant crédible.

 

Et la carte du vote falsifié parait aussi être trop grosse pour remettre en cause un résultat certes serré mais comme l'était déjà la réélection de Laporte.

 

La démission de B.Laporte semble même être la seule chance pour son équipe de remporter les prochaines élections car elle permettrait un nouveau vote

seulement en juin prochain (lors de l'AG), de quoi faire d'ici là une campagne pouvant peut-être renverser la vapeur mais avec quel candidat ?

Mais si Bernie ne bouge pas, il va entrainer les siens dans sa chute car une élection tenue prochainement (avec la démission inéluctable du comité directeur)

ferait forcément le jeu de l'opposition.

 

Bref Laporte and co sont acculés sur leur ligne d'en-but et ce n'est pas le rugby de dépossession de leur pote Galthié qui va les relancer ...

[Good Shvili]

Oui. Dans leur camp ils sont acculés.

[Codorplusàvie]

Oui. Dans leur camp ils sont acculés.

Digne d'Elsa celle là.
Belle perf.

[Bad Zé]

Oui. Dans leur camp ils sont acculés.

Laporte jusqu'à la garde.

[Alex chocolatines]

 

Peut-être bien que oui, peut-être bien que non. En attendant l'écho médiatique a été suffisant pour faire pencher de l'autre côté ce à quoi le Bernie ne s'attendait probablement pas.

Tu parle d'un effet médiatique, Bernie élu avec un score de 51 / 49, Bernie désavoué avec un score de 49 / 51 ... ça saute pas aux yeux l'effet média . En tous cas ce score ne me réjouis pas du tout, penser que 49 % des votants acceptaient la tambouille à Bernie, ça me révolte. Alors je sais bien que nous sommes en démocratie, chacun pense ce qu'il veut, les opinions divergent, mais bon là on n'est pas sur un simple malentendu ou une embuscade de l'opposition, il y a eu un procès avec des condamnation sérieuses, on ne peut plus dire qu'on savait pas, à mendonné faut prendre ses responsabilités .

[Jesus Hans Hubert Vorme]

Tu parle d'un effet médiatique, Bernie élu avec un score de 51 / 49, Bernie désavoué avec un score de 49 / 51 ... ça saute pas aux yeux l'effet média . En tous cas ce score ne me réjouis pas du tout, penser que 49 % des votants acceptaient la tambouille à Bernie, ça me révolte. Alors je sais bien que nous sommes en démocratie, chacun pense ce qu'il veut, les opinions divergent, mais bon là on n'est pas sur un simple malentendu ou une embuscade de l'opposition, il y a eu un procès avec des condamnation sérieuses, on ne peut plus dire qu'on savait pas, à mendonné faut prendre ses responsabilités .

c'est le grand stade toulousain qui fera la pluie et le beau temps. A vous Cognack-Jay! Mais quelle époque farfelue! On a trois présidents parmi les plus grandes fédérations sportives qui explosent comme des baudruches merdeuses en même temps!