C'est juste un gros ramassis de sacs à merde... Pour l'ensemble de leurs œuvres perfides et minables et de leur comportements de pourris finis, ces gens là mériteraient la taule pour une bonne période, et sans traitement de faveur...

La FFR et ses magouilles
#9706
Posted 01 December 2024 - 08:39 AM
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#9707
Posted 01 December 2024 - 08:43 AM
C'est juste un gros ramassis de sacs à merde... Pour l'ensemble de leurs œuvres perfides et minables et de leur comportements de pourris finis, ces gens là mériteraient la taule pour une bonne période, et sans traitement de faveur...
Y'a plus de places !
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#9708
Posted 01 December 2024 - 08:54 AM
Je vais leur en trouver si il faut...
#9709
Posted 08 December 2024 - 09:15 AM
Article l'EQ:
Toujours dans le rouge
L’assemblée générale de la Fédération française de rugby a confirmé hier un septième déficit d’exploitation d’affilée, qui se monte à 29,4 M€
pour l’exercice 2023-2024. D’où l’importance cruciale de réussir à renégocier avec le Stade de France et avec le Six Nations.
FRÉDÉRIC BERNÈS
Et de sept. Pour la septième année de suite, les comptes de la FFR présentent un déficit d’exploitation qu’on peut donc qualifier de structurel sans exagération.
L’addition de ces sept déficits cumulés se chiffre à 65,1 M€, celui pour l’exercice 2023-2024 s’élevant à 29,4 M€ avec une provision
pour risque de pertes (16,5 M€) sur le GIE hospitalités de la Coupe du monde 2023.
Le résultat net de l’exercice 2023-2024 affiche une perte de 13,2 M€ malgré le versement cette année d’une échéance de 13 millions par le fonds d’investissement CVC. Les clubs ont voté en faveur de ces rapports financiers avec 95,02 % de votes positifs et 4,98 % de votes négatifs.
Pour la première fois, le vote en distanciel était possible pour l’assemblée financière.
Un héritage qui pèse sur les comptes
« On est toujours dans le dur de chez dur, résume le président de la FFR, Florian Grill. Le gros morceau qui plombe cet exercice
concerne le GIE hospitalités. »
Ce constat n’a rien de surprenant, même si certains ont voulu pendant la campagne présidentielle à la FFR enjoliver de force le tableau.
L’héritage de la Coupe du monde, comme l’héritage d’autres choix plus que discutables
(35 M€ d’investissements dans la construction du complexe immobilier de Pantin, pas d’indemnisations négociées pour le manque
à gagner lié à la mise à disposition du Stade de France pour les JO de Paris…) pèsent sur les comptes.
« Il reste deux versements de CVC, donc vingt mois, indique Grill. On est dans une course contre la montre. On a commencé à
ne pas remplacer tous les départs, à renégocier avec les fournisseurs. On a coupé drastiquement les invitations.
On a signé un partenariat avec Optic 2000 et d’autres devraient suivre sous peu. »
Mais deux renégociations de contrat semblent aujourd’hui cruciales pour la respiration financière de la FFR, celui avec
le Stade de France et celui avec le Six Nations. « On arrive à rassembler 50 000 spectateurs pour France-Japon en novembre mais
on perd de l’argent, explique Grill.
Ça se chiffre en centaines de milliers d’euros. À Lille, Lyon ou Marseille, on aurait gagné de l’argent.
Le prix de location du Stade de France est beaucoup trop haut.
Nous, on voudrait à l’avenir y jouer quatre matches par an, ceux qui rempliraient le stade à plein. Puis aller en province, ce qui collerait
avec notre envie d’ouverture. »
Concernant la prochaine convention avec le Stade de France, l’État doit communiquer sa décision sur l’appel d’offres ces prochains
jours. « Pour le Six Nations, dit Grill, on ne peut pas accepter que la France touche 16 % des recettes commerciales et l’Angleterre
31 %. Notre cible, c’est d’arriver à 21 %, sachant qu’un point gagné équivaut à un million d’euros de plus. » Ce contrat, très défavorable
à la FFR, a été signé à l’époque de la présidence de Bernard Laporte.
#9710
Posted 08 December 2024 - 11:02 AM
Y'a plus de places !
Y a moyen d'en libérer...
#9711
Posted 04 February 2025 - 20:32 PM
Et joyeux Noël à tout le rugby français. La veille du réveillon, un gigantesque cadeau empoisonné a été glissé au pied du sapin de la Fédération française de rugby (FFR). Ce 23 décembre, l'administration fiscale notifie au GIE France 2023 qu'elle le sanctionne d'un redressement de 16,2 M€ pour une application indue du taux de TVA réduit de 5,5 % sur des packages billet + voyage ou billet + hospitalités alors que le taux plein de 20 % aurait dû être conservé.
Dans le viseur du fisc, deux opérations : celle du « voyagiste » Couleur Voyages qui avait obtenu l'exclusivité du marché des packages comprenant un billet pour un match de la Coupe du monde, associé à un voyage et celle du groupe Vinci Stadium qui commercialisait, là encore en exclusivité, des billets de match catégorie Or au Stade de France, couplés à des prestations dites d'hospitalités, par exemple de la restauration haut de gamme.
En décembre 2019, un rescrit très officiel de Bercy avait averti Claude Atcher, ancien patron de la Coupe du monde : pas de taux réduit possible. Ce rescrit n'a jamais été contesté formellement à l'époque. À la place, c'est Jean Castex, pas encore Premier ministre mais délégué interministériel aux grands événements sportifs, qui avait pris la plume pour écrire au ministère des Finances, lui enjoignant de revoir sa position pour France 2023.
Le ministère n'ayant jamais répondu à M. Castex, le rescrit de départ restait donc applicable. Et comme l'administration juge qu'en passant outre de manière intentionnelle, le GIE a fait preuve de mauvaise foi, elle lui ajoute des pénalités de 4,5 millions. Voilà qui porte le redressement global à 20,7 M€.
« Si ce redressement était mis en recouvrement, la FFR se retrouverait en cessation de paiement. »
Claude Hélias, trésorier adjoint de la FFR
Aujourd'hui, le GIE et la FFR, qui détient 55 % du GIE, contestent ce redressement dans son intégralité. Un long débat juridique se dessine, les « redressés » comptant faire valoir que le billet de match - qui bénéficie d'une TVA à 5,5 % - prédomine sur les prestations exclusives qui lui sont jointes et qui ne sont que son accessoire. Bercy, au contraire, ne considère pas que l'achat des billets et l'exclusivité ne sont qu'une seule et même prestation. La FFR et sa « filiale » GIE aimeraient par ailleurs comprendre « pourquoi les clubs de foot pros français bénéficieraient d'un rescrit leur permettant d'appliquer un taux de 5,5 % sur les hospitalités ? »
Arguments, contre-arguments, rescrit, contre-rescrit, tout cela nous fait penser que le dernier contentieux de cet ordre entre le fisc et la FFR dans le cadre d'une Coupe du monde organisée à la maison a duré quatorze ans (2007-2021).
Mais l'urgence existe sous une autre forme puisque la FFR va bien être obligée de provisionner ces potentielles pertes supplémentaires. Ce redressement faisant passer le déficit du GIE 36 à 57 M€ (à ce déficit, s'ajoute celui de Campus 2023, le centre de formation des apprentis voulu par Claude Atcher. Il est évalué à 15,9 M€), il fait mécaniquement passer les pertes de la FFR de 19 à 31 M€, soit douze millions de plus. « Provisionner douze millions, ce serait catastrophique, indique Claude Hélias, trésorier adjoint de l'institution. Si ce redressement était mis en recouvrement, la FFR se retrouverait en cessation de paiements. »
Président de la FFR, Florian Grill abonde : « On va devoir provisionner mais à quelle hauteur ? On devait déjà s'attaquer à un déficit d'exploitation de 18 millions et on a trouvé des sources d'économie. C'est dur, vraiment dur, mais c'est acceptable. On a diminué la subvention de Provale (syndicat des joueurs pros), on ne remplace pas tous les départs de la fédé, on a trouvé des partenaires, les clubs pros sont prêts à participer à cet effort collectif, les joueurs du quinze de France ont accepté une baisse de leurs primes (on parle pour ce dernier point d'une économie de l'ordre de 3 millions). Mais ce redressement, ces 57 M€ de pertes du GIE, ça, on ne peut pas. C'est trop. On a une bombe nucléaire au-dessus de nous. » C'est cet appel à l'aide que la FFR espère faire entendre à l'issue de son rendez-vous à Matignon, ce mercredi.
Dans un rapport provisoire dont L'Équipe avait retranscrit la teneur fin novembre, la Cour des comptes, se demandant comment un événement ayant généré un tel succès populaire avait pu virer au désastre financier, avait dégagé plusieurs niveaux de responsabilité : celle de Claude Atcher, de Bernard Laporte, président de la FFR à l'époque et même président du GIE un temps, d'Alexandre Martinez, ancien trésorier de la FFR mais aussi celle de l'État lui-même qui n'a « ni pu, ni su, ni voulu assurer le contrôle nécessaire ». Or, l'État possède 37 % du GIP (le comité d'organisation de France 2023) qui pèse lui-même 45 % du GIE. Donc, si vous nous suivez malgré tous ces acronymes, en redressant fiscalement le GIE de 20,7 millions, l'État redresse aussi l'État.
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#9712
Posted 04 February 2025 - 20:45 PM
Merci qui ? Merci Bernie et Sergio...
#9713
Posted 04 February 2025 - 21:27 PM
#9714
Posted 04 February 2025 - 22:57 PM
Et tout ça pour perdre en quart de finale …. Pffff ….
#9715
Posted 05 February 2025 - 07:11 AM
Ancien sponsor de l'Olympique lyonnais (2004-2010) et actuel soutien d'un collectif de sept para-athlètes dont le skippeur Damien Seguin, d'Oyonnax Rugby (Pro D2) et de la Fédération française handisport (FFH), le Groupe Apicil est devenu partenaire majeur de la Fédération française de rugby juste avant le début du Tournoi des Six Nations. Un choix « uniquement rationnel » selon Philippe Barret (60 ans), DG du groupe de protection sociale. Engagée auprès des équipes de France masculine et féminine du quinze et du sept pour quatre ans, l'entreprise lyonnaise, pas refroidie par les affaires qui ont entaché l'image des Bleus, espère s'inscrire dans la durée.
« Vous avez décidé d'arrêter votre collaboration avec Damien Seguin après le Vendée Globe...
Nous avons atteint notre principal objectif : démontrer qu'inclusion pouvait rimer avec performance. Il n'y a plus rien à prouver depuis sa septième place en 2021. Et il y a une conjonction puisque Damien se questionne aussi sur la suite de sa carrière. Même si nous basculons sur un autre partenariat, nous allons jusqu'au bout avec lui et serons présents pour l'accueillir (l'entretien a eu lieu avant l'arrivée du skippeur). Pour nos autres objectifs, la notoriété et les relations publiques, on pensait pouvoir faire mieux. La voile est limitée en termes d'exposition.
« Notre sujet n'est pas d'être connu à Lyon »
Vous vouliez rebondir avec un autre partenariat d'envergure nationale ?
Notre sujet n'est pas d'être connu à Lyon. Avant qu'on fasse de la voile, personne ne nous connaissait. Maintenant, les gens savent qu'Apicil est un bateau. C'est un progrès mais nous voulons que la marque soit connue en lien avec ses activités. Notre engagement dans la voile a aussi été très fédérateur en interne. On ne s'y attendait pas et cela incite à rester dans le sport. Nous avons cherché quel autre sport pouvait nous correspondre et répondre à nos objectifs.
Vous optez pour le rugby...
Il nous fallait un sponsoring qui puisse se déployer sur tous les terrains en France. Le rugby est aussi un sport collectif, avec des valeurs proches des nôtres : partage, engagement, excellence. Il y avait une opportunité puisqu'un partenaire a laissé la place (la GMF a été présente auprès de la FFR de 1985 à 2024). Du point de vue business, nos clients sont les entreprises sur tous les métiers santé, couverture prévoyance et épargne collective. Pour les particuliers, c'est une clientèle CSP +. Le rugby est en phase avec ces deux publics.
Comment remplacer une entreprise partenaire historique du rugby français ?
Il faudra probablement faire la même chose, c'est-à-dire rester longtemps. Nous avons signé pour quatre ans. Il faut du temps pour s'imprimer.

Le partenariat privilégie les équipes nationales au sport amateur, pourquoi ?
Nous traitons l'amateurisme par d'autres leviers, notamment via notre partenariat avec la FFH axé complètement sur ce segment. L'objet majeur de ce partenariat avec la FFR, qui ne peut pas être atteint quand on soutient des clubs amateurs, c'est la visibilité et la notoriété pour la marque.
« L'avantage, c'est que le budget est prévisible. On ne nous demandera pas de changer un mât... »
Les équipes de France représentent-elles un engagement financier conséquent ?
C'est juste (il sourit). Pour autant, c'est un peu moins que la voile où les budgets ne font que croître. Et l'avantage, c'est que le budget est prévisible. On ne nous demandera pas de changer un mât...
Comment activez-vous ce partenariat ?
La marque sera visible lors des matches autour et sur le terrain. Il y a un accompagnement publicitaire sur France Télévisions. Nous aurons bien sûr des hospitalités pour faire de la relation publique. Ce n'est pas très difficile de trouver des gens pour voir les matches. Nous amènerons aussi notre vision pour aider la FFR à progresser sur tous les sujets liés à l'inclusion ou à la diversité. Et travailler pour améliorer l'accessibilité des stades aux personnes à mobilité réduite. Nous avons aussi été le premier partenaire de la FFR à demander des primes de match identiques pour les joueuses et les joueurs. Tout n'est pas écrit mais l'objectif est de co-construire ce genre de choses.
L'axe handisport est très présent dans vos engagements...
Il est lié à notre activité de protection santé et à notre vision en tant que groupe avec un taux d'emploi de personnes handicapées autour de 7 %. On soutient des para-athlètes depuis quarante ans, nous avons encore une team de sept personnes dont Damien (Seguin). On doit faire encore plus d'efforts pour tous les mettre en lumière. Parce qu'ils sont moins visibles mais comptent autant et participent à la fierté interne. Avec la FFR, nous avons eu l'impression qu'on leur convenait aussi sur ce point et que le groupe pourrait leur amener des réflexions sur des thématiques qu'ils veulent accentuer.
« Les affaires en Argentine on eut lieu au beau milieu de nos discussions avec la FFR. Sur l'instant, on s'est dit ouh là ! »
Jouerez-vous un rôle de conseil sur la prévention des risques ?
Ce n'est pas dans le dispositif mais cela arrive spontanément dans nos échanges. Les instances s'en préoccupent et nous accompagnerons cette démarche pour faire en sorte que le rugby ne fasse que du bien ou pas trop de mal. Il y a aussi le sujet de la santé mentale, une préoccupation pour tout le monde, notamment les pros soumis à une pression de réussite. Si nous pouvons amener de l'expertise sur ces sujets, nous le ferons.
Le marché de la protection des licenciés pourrait vous intéresser ?
Tous les marchés m'intéressent lorsque les opportunités se présentent. Nous verrons ce qu'il adviendra (la FFR s'est associée avec trois assureurs en mai 2024). Notre principale activité est la couverture collective des salariés mais, évidemment, nous savons assurer des individus.
Comment avez-vous réagi aux affaires qui ternissent l'image du rugby et de l'équipe de France ?
Les affaires en Argentine ont eu lieu au beau milieu de nos discussions avec la FFR. Sur l'instant, on s'est dit ouh là ! Mais la façon dont cela a été géré démontre une vraie préoccupation d'être propre. J'ai été rassuré par la façon dont la Fédération traitait les problèmes et réagissait vis-à-vis de nous, alors que nous n'étions pas encore partenaires. Cela nous a confortés sur notre choix, parce qu'on avait en face de nous une fédération responsable.
La présence d'Oscar Jegou et Hugo Auradou dans le groupe France ne vous pose pas de problème ?
Il n'y a pas de sport sans une quelconque controverse à un moment donné. Dans ce cas précis, la justice a rendu un non-lieu. Bien sûr que cela pose question. Mais au point de ne pas soutenir une fédération qui, je pense, est plus exemplaire que très critiquable sur le traitement de ces sujets ? Non. Le partenariat inclut des clauses de sortie. Je ne sais plus si elles étaient déjà présentes au début de la discussion ou arrivées après ces affaires.
Vous êtes une entreprise lyonnaise, ancien partenaire de l'OL. Quel regard portez-vous sur l'actualité du club ?
Ce qui se dit ici, c'est qu'Apicil a été le sponsor de l'OL quand tout allait bien pour le club. »
#9716
Posted 05 February 2025 - 08:37 AM
Merci qui ? Merci Bernie et Sergio...
Ne pas oublier claudio sans qui rien n'aurait été possible
#9717
Posted 05 February 2025 - 08:41 AM
FFR dans le rouge (ce serait une entreprise, elle serait en liquidation depuis belle lurette), clubs pros en partie dans le rouge ou sous respirateur artificiel.. TVB, TVB.
- steph likes this
#9718
Posted 05 February 2025 - 17:28 PM
Ce qui fait chier, c'est que le Bernie est capable d'allumer Grill pour mauvaise gestion
#9719
Posted 05 February 2025 - 18:47 PM
Ce qui fait chier, c'est que le Bernie est capable d'allumer Grill pour mauvaise gestion
normal, au MHR ce sont les spécialistes des barbecues
- ELSAZOAM likes this
#9720
Posted 05 February 2025 - 18:54 PM
Ce qui fait chier, c'est que le Bernie est capable d'allumer Grill pour mauvaise gestion
"Grill, s'il a un peu de courage, et que sa mère le reconnait, il doit démissionner !"
"Et laisser la place à Guilhem Guirado"
"On voit le résultat quand on laisse la place à des amateurs"
- Bougnat et Breton and Codorplusāvie like this
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