Champion du Monde
Posted 16 August 2021 - 15:45 PM
J'ai l'impression que votre Guillon raisonne en pur DRH ... Il regarde juste les chiffres, mais parfois, faut pas hésiter à payer convenablement des gens compétents, si on cherche trop des gars au rabais, ou une équipe réduite, pas sur que ça marche à long terme ....
Pas que...
Il regarde aussi Toulouse, ... les yeux dans les yeux...
Champion du Monde
Posted 16 August 2021 - 16:43 PM
Le budget c'est comme dans un ménage, tu rentres 3000 euros / mois et tu en dépenses 3500, au bout d'un moment ça coince...
L'ASM et son président savent ce qu'ils font, je ne m'inquiètes pas là-dessus, pour les autres, ils se débrouillent, c'est leur affaire !
Envoyé de mon SM-A505FN en utilisant Tapatalk
Théoriquement c'est aussi la même chose pour un Etat .... Pourtant je connais un pays où le dernier budget en équilibre date d'un jeune Premier Ministre qui s'appelait J Chirac ........ ça ne fait jamais que 47 ans .... parfois le moment est très très très long .....
Champion du Monde
Posted 17 August 2021 - 09:36 AM
Donc ça fait 47 ans qu'on vit à credit et que ça coince.Théoriquement c'est aussi la même chose pour un Etat .... Pourtant je connais un pays où le dernier budget en équilibre date d'un jeune Premier Ministre qui s'appelait J Chirac ........ ça ne fait jamais que 47 ans .... parfois le moment est très très très long .....
Joueur de Fédérale 3
Posted 17 August 2021 - 10:27 AM
Théoriquement c'est aussi la même chose pour un Etat .... Pourtant je connais un pays où le dernier budget en équilibre date d'un jeune Premier Ministre qui s'appelait J Chirac ........ ça ne fait jamais que 47 ans .... parfois le moment est très très très long .....
Too big to fail ... tandis que le ménage ....
Champion du Monde
Posted 17 August 2021 - 11:29 AM
Too big to fail ... tandis que le ménage ....
Dans le microcosme du rugby français, est-ce un adage qui peut aussi marcher pour le grand Stade Toulousain ? 
Joueur de Fédérale 3
Posted 17 August 2021 - 12:01 PM
Dans le microcosme du rugby français, c'est-ce un adage qui peut aussi marcher pour le grand Stade Toulousain ?
toutafé
Champion du Monde
Champion du Monde
Posted 06 October 2021 - 10:34 AM
D'après ce que j'ai lu, il serait chargé de créer des ponts entre les clubs pro et les athlètes olympiques et paralympiques de manière à ce que ces derniers puissent accéder aux structures et installations de ces clubs pour leur entraînement .... il cite l'exemple de l'ASM qui les ouvre à Romain Bardet et Renaud Lavillenie .... mais il souhaiterait que des athlètes moins connus aient les mêmes possibilités ...
Champion du Monde
Posted 06 October 2021 - 15:05 PM
Un très beau poste, franchement emballant de participer à l'aventure Paris 2024 ! 
le Var est dans le fruit.
Posted 06 October 2021 - 16:11 PM
Champion du Monde
Posted 06 October 2021 - 16:21 PM
non je crois pas, il va devoir faire le lien avec les clubs pros (installations / ressources) pour qu'ils puissent accueillir et aider "gracieusement ou presque "d'après ce que j'ai compris , les filles et les gars des sports "mineurs" pour leur préparation olympique, comme l'ASM a pu le faire avec Lavillenie et Bardet.
Hidalgo trouvera bien d'autres choses à faire que d'aller trainer dans les salles de muscu des clubs pro de France ! 
Joueur de Fédérale 1
Posted 06 October 2021 - 16:27 PM
Hidalgo trouvera bien d'autres choses à faire que d'aller trainer dans les salles de muscu des clubs pro de France !
Champion du Monde
Posted 06 October 2021 - 16:44 PM
Pourtant elle aime les corps huilés, mais pas à l'huile de vidange.
C'est pas Roselyne ca plutot ?
Champion du Monde
Posted 06 October 2021 - 17:41 PM
C'est pas Roselyne ca plutot ?
Roselyne a changé de métier .... elle est passée de la culture physique à la culture tout court .... elle n'a plus accès aux vestiaires du XV de France pour se rincer l'oeil .... mais les spectacles de danse moderne lui ouvrent souvent de belles perspectives ....
Champion du Monde
Posted 26 October 2021 - 07:01 AM
Jean-Marc Lhermet (54 ans) n’a pas complètement tiré un trait sur le ballon ovale. Il reste un élu du comité directeur de la FFR. Mais pour l’heure, ses heures, ses jours et peut-être une partie de ses nuits vont être occupés par une mission particulière. Et ce, jusqu’en septembre 2024.
L’ancien joueur, responsable et dirigeant de l’ASM Clermont a en charge de « créer des passerelles » entre les acteurs du mouvement olympique (athlètes, coachs) et le milieu des clubs professionnels, tous sports confondus.
Comment peut-on tourner le dos à un sport (rugby) qui a été le cadre de votre vie aussi longtemps ?
« Dans ma tête, j’ai un peu basculé quand j’ai compris que ça allait se terminer avec l’ASM en début d’année. L’idée alors était de chercher quelque chose qui m’anime, qui me fasse vibrer. J’aurais pu revenir dans le milieu de l’entreprise, le consulting ou un autre sport. La seule limite que je m’étais fixée était de ne pas avoir un poste dans un autre club de rugby. »
Pour quelles raisons ?
« Déjà parce que j’estime avoir fait le tour du milieu rugbystique ; directeur du centre de formation, relations extérieures, directeur sportif, responsable du développement… Je ne me voyais pas revenir dans cet environnement ailleurs qu’à l’ASM. Et puis, je suis très coloré « jaune et bleu », je suis très lié sentimentalement à ce club. Connaissant en plus l’engagement maximum qu’il faut pour tenir ces postes, ça me semblait compliqué d’aller dans un autre club. »
Comment avez-vous trouvé ce nouveau job à l’Agence nationale du sport ?
« Déjà, de mon côté, à la fin du printemps, j’ai activé plusieurs réseaux dans différents domaines et j’ai toujours été en contact avec le centre du droit et de l’économie du sport à Limoges. Là, j’ai été mis en relation avec Claude Onesta, le manager général de la haute performance à l’ANS. On a pas mal échangé, le courant est bien passé puis cet été il m’a sollicité et j’ai reçu une proposition.»
Qu’est-ce qui a motivé votre engagement dans cette structure nouvelle ?
« L’échéance des JO 2024 est une motivation à elle seule. L’enjeu dépasse largement le cadre du sport, c’est presque une cause nationale. L’objectif est de mettre les athlètes et leurs coachs dans les meilleures dispositions pour Paris 2024.»
Quelle est votre mission ?
« L’idée de départ a été de dire qu’il y a des expertises dans les clubs professionnels mais, à ce jour, il n’y a aucun lien entre cet univers et la préparation olympique. Ma mission est comment créer des passerelles, un écosystème pour mettre en place un maillage le plus fin possible. Et tout cela, en complément des structures qui existent dans la préparation olympique. C’est ajouter la compétence que peuvent apporter les clubs pros. Il y a tout un tas de passerelles à créer, sans bordurer qui que ce soit. »
Quels sports cela concerne-t-il ?
« Je vais consulter l’univers des clubs pros des grands sports collectifs : foot, rugby, basket, hand, volley… Je vais mesurer les intérêts de chacun, définir ce que les uns peuvent apporter aux autres. Identifier les liens possibles à mettre en place.»
Le timing n’est-il pas un peu serré à 3 ans de Paris 2024 ?
« Dans le développement de la haute performance, 3 ans, ce n’est pas grand-chose. Activée en 2019, l’ANS est une structure unique qui rassemble et définit la stratégie de la haute performance du sport français. C’est un élément déterminant de réussite, sous la conduite de Claude Onesta. Mais il faudra aller vite en effet. »
La pression est-elle importante en termes de résultats ?
« Depuis la fin des JO de Tokyo cet été, on sent une grosse exigence de résultats pour Paris 2024. Même au plus haut niveau de l’État, il y a cette pression. Il faut réussir Paris 2024 et faire mieux qu’à Tokyo. Je dirais même qu’il est hors de question de faire moins bien que ce qui a été réalisé jusque-là. Mais il est trop tôt pour parler d’objectif en termes de nombre de médailles.»
Où vous situez-vous dans cette cellule de la haute performance ?
« Il y a déjà beaucoup d’expertises avec des missions un peu différentes, notamment auprès des fédérations. Ma mission est plus concentrée sur les clubs pros et ma réflexion va s’adresser à tous les athlètes. En fait, le but est de travailler en synergie et que les clubs pros viennent accompagner le mouvement. »
Christophe Buron (La Montagne - 26/10/2021)
0 members, 1 guests, 0 anonymous users
