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[Polochon]

l'EDF de Galthié a beau avoir un super méga record du nombre de matchs consécutifs sans défaite, elle a gagné 1 titre sur les 5 compétitions qu'elle a jouées.

[Bougnat et Breton]

Si les deux derniers cités sont jiff-Urios compatibles ça ira sinon ça va encore partir en vrille cette histoire.

Pour ce qui est de la gestion post titres, ce doit être un peu plus simple puisque t'es récompensé du travail fourni.
C'est juste de la gestion de boulard.
Et pour ça, faut demander aux spécialistes qui ont les plus grands poteaux de rugby du moooonde.

Nous on ne sait pas, on manque d'expérience

[Bon Chasseur]

l'EDF de Galthié a beau avoir un super méga record du nombre de matchs consécutifs sans défaite, elle a gagné 1 titre sur les 5 compétitions qu'elle a jouées.

mis comme ça c'est sûr ça fait pas terrible, mais je trouve ça à peu près justifié. Des erreurs nécessaires à la croissance de l'équipe les deux premiers tournois: Dupont contre les Anglais en 2020, Haouas à Murrayfield, Dulin contre l'Ecosse...et puis enfin le Grand Chelem, inespéré qd on voit l'état des Bleus 3-4 ans plus tôt (!), et enfin une 2è place face à des Irlandais historiquement dominants à Dublin. Bon. La CDM maison est sans aucun doute ratée. Mais dans le contenu et au niveau des résultats, ce premier mandat Galthié est globalement quand même très satisfaisant. Attention: ne pas oublier d'où il est parti.

[Polochon]

J'avoue je suis pas un grand fan de Galthié.
J'ai l'impression que son plus grand mérite c'est juste d'avoir récupéré l'EDF au meilleur moment avec des supers conditions.

Période faste des clubs (3 dernières champions Cup), des joueurs parmi les meilleurs mondiaux, politique JIFF qui commence à donner des résultats etc.

[Bon Chasseur]

J'avoue je suis pas un grand fan de Galthié.
J'ai l'impression que son plus grand mérite c'est juste d'avoir récupéré l'EDF au meilleur moment avec des supers conditions.

tu penses que Brunel (et staff) aurait fait à peu près pareil. Ouais ?

[Maury]

N'importe quel ancien aurait fait aussi bien avec Dupont Aldritt Penaud et autres

[steph]

Je mets ça ici :

https://www.lequipe....a-paris/1428974

C'est parti ! Un nouveau titre, il n'y a qu'à se baisser pour le ramasser, comme la coupe du monde tiens...
Normal, avec notre meilleur joueur du monde pour l'éternité.

[Bon Chasseur]

N'importe quel ancien aurait fait aussi bien avec Dupont Aldritt Penaud et autres

Clairement.

Donc en fait un staff, ça sert à rien. Un groupe réussit aussi bien avec staff A ou staff B ou staff C ou D, le staff ne sert à rien, vraiment vraiment. N'est ce pas ?

[Polochon]

On a bien été en finale avec (voire sans) Lièvremont 😁

[jiesse]

tu penses que Brunel (et staff) aurait fait à peu près pareil. Ouais ?

 

 

N'importe quel ancien aurait fait aussi bien avec Dupont Aldritt Penaud et autres

 

 

Lol... Je suis sur que vous auriez fait aussi bien... Voir même mieux...

 

 

Désolé Bon Chasseur, c'est la citation du Polochon  que je voulais mettre à la place de la tienne...Et j'arrive pas à rectifier

[Alex chocolatines]

N'importe quel ancien aurait fait aussi bien avec Dupont Aldritt Penaud et autres

Bin tiens, voici l'effectif du 6 nations 2019 on finit ............ quatrièmes 

 

Me semble bien qu'on a pris une belle branlée à Twickenham pourtant il avait les mecs sous la main le moustache.

 

Effectif de l'équipe de France Entraîneur  Jacques Brunel Avants Pilier Dorian Aldegheri, Uini Atonio, Demba Bamba, Étienne Falgoux, Jefferson Poirot , Dany Priso Talonneur Pierre Bourgarit, Camille Chat, Guilhem Guirado , Julien Marchand  Deuxième ligne Félix Lambey, Bernard Le Roux , Sébastien Vahaamahina, Paul Willemse Troisième ligne aile Yacouba Camara, Kélian Galletier, Arthur Iturria, Wenceslas Lauret , Fabien Sanconnie  Troisième ligne centre Grégory Alldritt, Louis Picamoles Arrières Demi de mêlée Antoine Dupont, Morgan Parra, Baptiste Serin Demi d'ouverture Anthony Belleau, Camille Lopez Centre Mathieu Bastareaud, Geoffrey Doumayrou, Gaël Fickou, Wesley Fofana, Romain Ntamack Ailier Yoann Huget, Damian Penaud Arrière Maxime Médard, Thomas Ramos

[Lourugby]

Arlettaz, Jeanjean et Sempéré intègrent le staff des bleus : https://www.rugbyram...us-11553358.php

[cetotomatos]

Je mets ça ici :

https://www.lequipe....a-paris/1428974

C'est parti ! Un nouveau titre, il n'y a qu'à se baisser pour le ramasser, comme la coupe du monde tiens...
Normal, avec notre meilleur joueur du monde pour l'éternité.

Le rugby à 7 à 1 donc.

[Codorplusàvie]

Après 4 doublés en 4 ans Urios succédera à Galtoche.

Vous l'aurez lu ici en premier.

De rien.

[el landeno]

Coupe du monde : les raisons de l'échec des Bleus Plus de deux semaines après la déflagration, le traumatisme de l'échec est toujours là, oppressant. Éliminés en quarts de finale de leur Coupe du monde en France, les Bleus sont inconsolables et cherchent encore les raisons de leur sortie de route.

On se souvient des visages fermés, de ces quelques mots entrecoupés de longs silences, de la détresse qui suintait des pas erratiques des naufragés bleus dans les entrailles du Stade de France, ce maudit 15 octobre dernier. Ils furent rares à être désignés pour se présenter face à la presse, juste après la frustrante défaite face à l'Afrique du Sud (28-29), en quarts de finale de la Coupe du monde, mais la peine de ceux qui étaient là résumait bien le sentiment de dévastation qui émergeait du vestiaire de l'équipe de France.

 

 

« Il nous faudra beaucoup de temps pour digérer tout ça », disaient-ils tous en choeur, entre deux soupirs. Depuis, plus de deux semaines ont passé, mais la déception est toujours prégnante, et même peut-être encore plus depuis que les Bleus ont vu leurs bourreaux springboks soulever la Coupe du monde. Il y a ceux qui ont choisi de partir très loin sur une île pour y noyer leur amertume, ceux qui ont préféré enchaîner tout de suite avec le Top 14 pour éviter de trop ressasser ou « de se pendre (sic) », comme le talonneur toulousain Peato Mauvaka, ou ceux encore qui ont décidé de faire un long break jusqu'en janvier pour se refaire une santé physique et (surtout) morale, à l'instar du n° 8 rochelais Grégory Alldritt.

lire aussiL'étonnant silence de Fabien Galthié, muet depuis l'élimination des Bleus en Coupe du monde

Fabien Galthié, lui, se mure dans le silence. Le sélectionneur, qui avait dégainé il y a quatre ans cette fameuse flèche du temps censé amener le quinze de France sur le toit du monde en 2023, ne pourra pourtant pas se dédouaner d'une explication. Car malgré l'excellent parcours de la sélection depuis sa nomination, ce revers brutal en quarts d'une compétition jouée à la maison, qui plus est avec tous les moyens inédits et colossaux dont il a bénéficié tout au long de son mandat, est un échec. La faute à qui, à quoi ? Le technicien a au moins commencé à débriefer avec certains de ses adjoints. Et les échos ou confidences qui remontent jusqu'à nous aujourd'hui montrent que les raisons sont multiples.

L'arbitrage au coeur du sujet

 

 

 

 

Ben O'Keeffe lors de France-Afrique du Sud. (F. Seguin/L'Équipe)

L'une des premières tentations serait de coller la responsabilité essentielle de ce couac à l'arbitre, le Néo-Zélandais Ben O'Keeffe, et à son assistant vidéo, ce qui serait une excuse trop aisée, quand bien même il demeura toujours étonnant de constater que les recommandations de World Rugby (la fédération internationale) pour un arbitrage favorisant l'attaque se soient transformées sur ce quart en une ode à la défense, avec pourrissement en règle des sorties de balle dans les rucks.

« Tu ne peux pas donner trois essais à zéro passe sur deux ballons hauts et un turnover, ce n'est pas possible. »

Un des entraîneurs de Bleus

 

 

 

Galthié n'a pas cédé à cette facilité. Mais d'autres l'ont fait à sa place, comme le demi de mêlée et capitaine Antoine Dupont, qui a regretté que l'arbitrage n'ait pas été « à la hauteur de l'enjeu », ou comme certains de ses adjoints, plutôt remontés contre O'Keeffe. L'ancien sifflet international Jérôme Garcès, désormais consultant arbitre dans le staff français, a ainsi écrit à World Rugby pour notamment pointer du doigt six actions de ralentissement volontaire du ballon par les Sud-Africains dans des phases de contact, possiblement condamnables, et un déblayage violent de Pieter-Steph Du Toit sur Jonathan Danty non sanctionné en début de match.

voir aussiGabin Villière (Bleus) : « Il faudra sûrement plusieurs mois ou plusieurs années pour digérer »

L'encadrement bleu s'était aussi étonné de constater, après la victoire face à l'Italie, dernier match de la phase de poules (60-7, le 6 octobre), que ses remarques n'aient pas été transmises en amont au corps arbitral qui officiait ce jour-là.

Une nervosité inhabituelle

La vérité, surtout, c'est que les Bleus ont failli dans trop de secteurs pour espérer aller au bout de leurs rêves. Il y a ce qui s'est vu à l'oeil nu, ces erreurs inhabituelles dans le money-time, comme ce coup de pied complètement dévissé de Matthieu Jalibert ou ce renvoi aux 22 directement en touche de Thomas Ramos, à des moments où il devenait urgent de réinvestir le camp adverse pour se mettre en position de marquer. Comme ces ratés sous les chandelles, aussi, qui ont offert trop facilement des points aux Sud-Africains en début de partie. « Ce match, c'est nous qui nous le perdons en première période, confie l'un des entraîneurs. Tu ne peux pas donner trois essais à zéro passe sur deux ballons hauts et un turnover, ce n'est pas possible. »

Et puis, il y a ce qui ne se voit pas, mais se ressent. Cette impression perçue par les joueurs et l'encadrement que leur chef de bande, qui rivalisait de sérénité à l'aube d'affronter les All Blacks en match d'ouverture (27-13, le 8 septembre), était beaucoup plus tendu avant de défier les Boks. « Ce serait mentir que de dire qu'on ne ressent pas de tension avant ce type de match », avait d'ailleurs admis Galthié à deux jours du rendez-vous. Faut-il attribuer cette soudaine crispation à l'état de santé précaire du stratège Antoine Dupont, fragilisé par une fracture maxillo-zygomatique ? Au revirement stratégique des Boks, passant d'un banc à 7-1 (7 avants, 1 trois-quarts) à 5-3 ?

voir aussiLe triomphe du sans-ballon : notre bilan tactique de la Coupe du monde 2023

Difficile aussi de ne pas évoquer cette scène assez surréaliste rapportée par une caméra inside de TF1 où l'on voit Dupont et Jalibert présenter à leurs partenaires leurs vis-à-vis d'en face, en l'occurrence Faf De Klerk et Handré Pollard, alors que ce sont finalement Cobus Reinach et Manie Libbok qui joueront.

Pour une fois, Galthié a semblé déstabilisé sur un plan stratégique. Il a certes donné le change en conférence de presse d'avant-match, accueillant avec le sourire le coup tactique des Boks (« ce n'est pas pour nous déplaire »), mais sous la façade se nichait déjà une vraie anxiété, racontée en interne, qu'il a peut-être transmise à ses joueurs. Cette nervosité deviendra même agacement à la mi-temps du quart, lorsqu'il haussera le ton comme rarement pour reprocher à ses joueurs leur indigence sous les ballons hauts : « S'il vous plaît les mecs, mettez les mains, ils ne peuvent pas nous prendre trois ballons sur la tête comme ça ! »

Un coaching discutable

 

 

Mauvaka a été omniprésent en quarts de finale. (A. Mounic/L'Équipe)

En off, certains membres du staff estiment n'avoir rien à se reprocher dans leur coaching, même si les finisseurs ont été bien en deçà du niveau espéré. Que si les Bleus ont perdu, c'est surtout parce qu'ils ont reproduit les mêmes erreurs qu'en Irlande lors du dernier Six Nations (défaite 19-32, le 11 février), « en voulant surjouer sur des mauvais ballons dans (leur) camp ». D'autres, en revanche, regrettent des mauvais choix. Il y a d'abord cette composition du banc en 6-2 pour laquelle ils n'étaient pas tous d'accord au départ, certains préférant notamment inclure le puissant Paul Boudehent plutôt que l'aérien Sekou Macalou au contingent des avants.

lire aussiAvec (sans doute) Antoine Dupont, l'équipe de France à 7 peut-elle devenir championne olympique à Paris ?

Il y a ensuite toutes ces interrogations autour des remplacements successifs en seconde période, qui ont aussi fait l'objet de nombreuses discussions sur le moment. Pourquoi ne pas avoir solidifié le pack en remplaçant des joueurs plus légers par des plus lourds (Woki plutôt que Flament par Taofifenua, Ollivon plutôt que Jelonch par Cros) ? Pourquoi avoir sorti Peato Mauvaka alors qu'il ne donnait aucun signe de fatigue ? Pourquoi avoir remplacé Uini Atonio juste avant une mêlée, alors qu'il avait parfaitement tenu le choc dans ce secteur ? Pourquoi s'être entêté à garder Dupont jusqu'au bout alors que son rayonnement s'étiolait au fil de la partie ? Autant de questions aujourd'hui sans réponses.

Et maintenant ?

Engagé jusqu'en 2028, Galthié va désormais devoir se réinventer. Lui qui avait basé son premier mandat sur une planification hyper pointue, avec des cases à cocher et des étapes à franchir, devra trouver un nouveau discours et d'autres méthodes pour remobiliser son groupe et l'embarquer vers une nouvelle aventure de quatre ans, jusqu'au Mondial en Australie (2027). Il aura quelques nouveaux adjoints pour l'y aider (Arlettaz, Sempéré), mais rien ne dit, au regard de la trésorerie souffreteuse de la FFR (la fédération française de rugby), qu'il jouira des mêmes moyens qu'avant pour parvenir à ses fins.

Reste aussi à savoir quel sort il réservera à ses trentenaires ou à ceux qui le deviendront d'ici à 2027. Comptera-t-il toujours sur eux ? Sur ça aussi, il devrait s'exprimer très bientôt.

L'étonnant silence de Fabien Galthié, muet depuis l'élimination des Bleus en Coupe du monde On l'a revu sur une plage, mais on n'a toujours pas entendu Fabien Galthié expliquer l'échec de son quinze de France depuis la défaite en quarts de finale contre l'Afrique du Sud (28-29, le 15 octobre). Un silence qui étonne dans tous les cercles qui l'entourent.

Dix-sept jours après l'échec en quarts de finale de la Coupe du monde contre l'Afrique du Sud (28-29, le 15 octobre), nous ne sommes pas sans nouvelle de Fabien Galthié. Il supporterait assez bien l'eau à moins de quinze degrés de la Manche en octobre. Aussi improbable soit-il, cette couverture de Voici (ceux qui ne voient pas de quoi il s'agit peuvent se renseigner au salon de coiffure le plus proche) reste le seul post-scriptum du sélectionneur du pays hôte.

 

 

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Après deux mois de passion collective, après quatre ans de « nous », d'ovnis, de darwinisme ou de dépossession expliquée aux nuls, c'est au minimum étrange. En 2022, il n'avait attendu que quatre jours pour donner une longue interview après le Grand Chelem de son quinze de France dans le Tournoi des Six Nations.

Un silence pas très bien saisi en interne

On se doute que si la morsure est toujours très à vif pour bon nombre de ces Bleus, elle doit l'être pour leur chef de cordée. Mais justement, parce que c'est le chef, ce silence qui s'installe et qui dure n'est pas tout à fait compris en interne. À l'inverse de quasiment tous les autres sélectionneurs qui se sont exprimés après coup sur leur Coupe du monde, et au grand étonnement de certains de ses adjoints, Galthié (54 ans) en est resté à l'exercice imposé et ultra-minuté de la conférence de presse d'après-match.

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Depuis, c'est un mal, pas de mots. « Je ne comprends pas, dit un membre du staff. Ça aurait coupé l'herbe sous le pied à tout un tas d'interprétations qu'on a lues ou entendues depuis quinze jours. Ne serait-ce que sur l'arbitrage. Il faut arrêter : on n'a pas perdu à cause de Ben O'Keeffe (l'arbitre de France-Afrique du Sud) ou du TMO (l'arbitrage vidéo) ou de je ne sais qui. » Juste après le match, il faut reconnaître à Galthié de ne pas avoir jeté d'huile sur un feu naissant.

Galthié devrait probablement s'exprimer mi-novembre

Entre le 15 octobre et aujourd'hui, Galthié a débriefé le quart avec certains adjoints, et pas d'autres, reconnaissant que la défaite venait évidemment plus des trois essais encaissés à zéro passe en première période que d'un crypto-complot ourdi par World Rugby. C'est bien de cela (les ballons hauts, les ballons perdus), et pas d'autre chose, dont il a parlé aux joueurs pendant la mi-temps au Stade de France. C'est du moins ce que montrent les seules images parvenues jusqu'à nous.

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Galthié devrait s'exprimer bientôt, nous dit-on. Probablement mi-novembre. À Montgesty (Lot) comme au premier jour ? On ne sait pas. Son second mandat à la tête des Bleus n'a pas été remis en cause, en tout cas pas par Florian Grill, le président de la Fédération française de rugby (FFR), qui ne pouvait pas plus le (ré) conforter, ni plus vite.

Pour faciliter le tuilage après la Coupe du monde en Australie dans quatre ans, il avait même été décidé que son contrat courrait jusqu'en juin 2028. Mais c'est loin l'Australie et puis c'est long quatre ans. En attendant, au dix-septième jour de silence, Galthié répercute mécaniquement le même message aux journalistes : « Pour l'instant, c'est le temps de l'analyse et du repos. » Un message qui n'est même pas de lui.