685 réponses à ce sujet

[arverne19]

un que je n'ai pas aimé du tout dans l'attitude, c'est Orioli ! 

J'avais un doute sur son intelligence; du coup, je n'en ai plus

[George Abitbol]

les errances de Barnes :

placage haut sur Raka : l'avantage n'est pas maintenu après l'échec de Penaud , mêlée pour LR et pénalité pour eux , pas d'appel à la video

en avant non sifflé sur attaque de LR sauvée par Penaud

Lopez porté en touche puis laché brutalement : pas de sanction , je croyais que ce type d'action était interdit

2 ou 3 mêlées largement dominées par Clermont et non pénalisées

Et le petit coup d'épaule d'Aguillon sur Fofana, juste ce qu'il faut pour déstabiliser sa course



Bon c'est pas énorme, mais à aucun moment le joueur se préoccupe du ballon et change sa course volontairement en direction de Fofana.

[ELSAZOAM]

S'il ne fait pas c'est essai pour LR et là les mouches peuvent changer d'âne. Faute intelligente car loin de la ligne de l'ASM. Plus que cinq minutes à jouer.

A 5 muniutes de la fin quand Raka fait faute, on mène 33 à 16, si LR avait marqué ils seraient revenus à 33 - 23, on aurait eu la pression, mais je ne pense pas qu'ils seraient revenus nous chercher, il aurait fallu qu'on craque complètement pour ça !

[el landeno]

 

Clermont, le Challenge comme ascenseur

Publié le   samedi 11 mai 2019 à 15:45   | Mis à jour le   11/05/2019 à 15:47 

À travers ses titres européens de 1999 et 2007, Clermont avait su grandir sans se faire d'illusions sur son prestige. Preuve que celui décroché vendredi à Newcastle peut aussi servir à l'ASM.

Aurélien Bouisset dans l'Equipe

Qu'est-ce qu'il faisait froid autour du Stade Michelin, en ce samedi du mois de mai ! L'air auvergnat était gris et glacial, mais dans cette école proche de l'enceinte louée par l'Amicale des Ex de l'ASM, l'ambiance s'était vite réchauffée. Des accolades, des embrassades, des tapes dans le dos et des éclats de rire : des anciens joueurs de la saison 1999 se retrouvaient, les tempes un peu blanchies, les panses un peu tendues, les articulations un peu grinçantes. Mais la joie très sincère et spontanée. 

Ils s'étonnent tous de se revoir pour la première depuis 20 ans, pour certains, et de faire revivre une camaraderie grâce à un trophée européen souvent regardé avec un peu de dédain. On croise le massif Olivier Merle, le tonique Jimmy Marlu, le sec Gérald Merceron, son acolyte Stéphane Castaignède ou Jean-Marc Lhermet, le flanker resté fidèle au club depuis. Tous étaient mis à l'honneur, en marge du match Clermont - Perpignan, pour ce Bouclier européen décroché, il y a deux décennies, à Lyon, dans un Gerland bondé et bouillant, contre une équipe de Bourgoin vaillante (35-16), menée par les Jeff Tordo, Lionel Nallet, Marc Cécillon, Olivier Milloud, avec, sur le banc, un certain Sébastien Chabal, 21 ans. 

Le Montferrand de l'époque s'était mobilisé pour cette compétition secondaire sur un credo simple, qui aura continué de rythmer la vie du club ensuite : gagner une finale, pour effacer cette réputation de perdant traînée depuis des décennies. « Oui, parce qu'on avait un groupe en reconstruction et que ces joueurs voulaient marquer leur ère », se souvient Jean-Pierre Laparra, entraîneur avec Victor Boffelli cette année-là. Pour lui, le succès sur le CSBJ avait eu « un effet libérateur. On s'était aperçu que, par le jeu, on pouvait gagner contre une grosse cylindrée ». 

La joie des Auvergnats à Gerland en 1999. () Bardou/ L'Equipe 

C'est ce qui avait marqué Stéphane Castaignède. « On dit, ''une finale, ça ne se joue pas, ça se gagne''... mais ce jour-là, on avait joué et on avait gagné !, s'enthousiasme le demi de mêlée, en état de grâce en 1999. C'était les prémices de ce qui allait arriver après, tout se mettait en place, avec un groupe de joueurs rebelles où tout le monde voulait jouer. » Montferrand s'était révélé à elle-même, pour se hisser en finale du Championnat, perdue contre Toulouse (11-15). 

« C'est un titre, on le savoure là. Mais dès lundi, on bascule ! » S. Vahaamahina 

 

Et l'année 2007 avait eu les mêmes vertus. « C'était la première saison de Vern Cotter, recadre Laparra, revenu alors au club en tant qu'adjoint du Néo-Zélandais. Vern arrivait avec son aura pas possible, avec une rigueur autre qu'il installait dans le club, une façon de s'entraîner différente et sur le terrain, un rugby extrêmement cadré et précis. » Le club sortait d'une période instable et morose. Le Challenge européen, plus relevé qu'en 1999, où les clubs anglais ne participaient pas, n'était pas à galvauder. « Parce que tout ce que Vern entreprenait, rappelle Raphaël Chanal, c'était pour gagner ! Alors ce trophée de 2007, c'était presque logique pour nous de l'emporter, et ce n'était qu'une marche par rapport à ce qu'on voulait. » Ce qu'ils voulaient ? Le Brennus, l'obsession des Jaune et Bleu. Touché de près encore cette année-là, mais abandonné en finale, au Stade Français (18-23). 

Un Clermont, deux patrons

Même si Clermont l'a depuis conquis deux fois (2010, 2017), il semblait toujours obséder les esprits auvergnats, vendredi soir, à Newcastle. « C'est un titre, on le savoure là, et peut-être jusqu'à la fin du week-end, essayait de définir Sébastien Vahaamahina. Mais dès lundi, on bascule ! » 

Comme en 2007, où Chanal se souvient d'une « fête furtive » pour le titre continental. Quand, en 1999, dans un autre rugby, où la prépa physique existait à peine, où les joueurs étaient encore pluriactifs, le trophée avait été le prétexte à une soirée menée « de manière correcte », ose Laparra avec un sourire malicieux. 

Comme un Raphaël Chanal, toujours fier de sa médaille, déposée sur son bureau, l'ancien technicien a fini par apprécier ces deux faits de gloire. «Combien de joueurs et d'entraîneurs ont couru après un titre sans en avoir. Moi aussi, mes médailles, je sais où elles sont », situe-t-il. Avec un pincement au coeur : « Mais j'ai fait trois finales de Championnat, je les ai perdues. J'aurais bien donné ces deux titres européens pour être champion de France... » Un choix cornélien que le Clermont d'aujourd'hui ne veut plus avoir à faire.  

 

[dj0e]

S'il ne fait pas c'est essai pour LR et là les mouches peuvent changer d'âne. Faute intelligente car loin de la ligne de l'ASM. Plus que cinq minutes à jouer.

Sans savoir si les mouches changent d'âne, la faute est clairement volontaire et assumée dans cet esprit. Il reste 5min, ça empêche un essai.
C'est une faute intelligente, preuve des progrès en défense et stratégie de Raka.

[Bart Simpson]

Je crois que j'ai moins aimé la mini comédie de Lopez qui suivait.

 

Complétement d'accord

 

J'ai revu l'action, Orioli vient juste relever Lopez en le tirant en lui disant "arrête ton cinéma on est pas au foot"

 

Relevé par Ibanez d'ailleurs

[arverne19]

 

C'est juste que je préfère un bouclier à un challenge. On l'a gagné, c'est très bien. J'étais stressé devant le match et content et fier qu'on ait gagné….. mais remporter le bouclier………. c'est autre chose pour moi de plus important.

un tiens vaut mieux que deux tu l'auras 

tout ça pour dire qu'on n'est pas bredouille alors que tous les autres le sont pour l'instant 

qui pour aller à Toulon ?

à côté de Castres, c'est ça?? 

[yanoch]

Complétement d'accord
 
J'ai revu l'action, Orioli vient juste relever Lopez en le tirant en lui disant "arrête ton cinéma on est pas au foot"
 
Relevé par Ibanez d'ailleurs

Pour que Slimani s'agace autant, pas sur qu'il avait que l'intention de relever Lopez. Quand à Andreu..

[arverne19]

L'ITW de Kayzer sur Bein énorme

Super état d'esprit   

[George Abitbol]

Oui Barnes n'a pas été mauvais mais si Penaud ne fait pas un sauvetage à 50 cm de la ligne après un en-avant énorme de LR, j'entends de là le raffut sur le forum. Et le juge de touche qui est juste à hauteur et qui ne pipe pas. Un match peut se perdre là-dessus, c'est quand même ahurissant ce trou d'air arbitral.

Oui, mais les mains vont vers l'arrière, c'est l'inertie !


 

Puisqu'on fait un petit laïus sur l'arbitrage, il m'a semblé hier que Fofana échappe le ballon quelques cm avant d'aplatir. Impression identique en revisionnant le match aujourdhui. Tant mieux pour nous, il n'y a pas eu d'arrêt sur image demandé !

J'ai eu un doute aussi en direct. Mais pour moi, après avoir revu les images, pas de soucis.

[arverne19]

 

Complétement d'accord

 

J'ai revu l'action, Orioli vient juste relever Lopez en le tirant en lui disant "arrête ton cinéma on est pas au foot"

 

Relevé par Ibanez d'ailleurs

Orioli c'est un c n ! 

[Bart Simpson]

Pour que Slimani s'agace autant, pas sur qu'il avait que l'intention de relever Lopez. Quand à Andreu..

 

C'est normal que Slimani réagisse ainsi, il défend son coéquipier. C'était le début du match 0/0, fallait se faire respecter et montrer qui est le patron

 

Pour Andreu, tout le monde le connaît mais Lopez a pris des cours a la bonne école

[arverne19]

Oui, mais les mains vont vers l'arrière, c'est l'inertie !


 
J'ai eu un doute aussi en direct. Mais pour moi, après avoir revu les images, pas de soucis.

sur le ralenti, je le vois partir devant Lopez

[Bart Simpson]

sur le ralenti, je le vois partir devant Lopez

Il est bien derrière de 50cm je pense, j'ai revu l'action.

Quand Fr4 fait un arrêt sur image Lopez avait déjà tapé dans le ballon

[arverne19]

 

C'est normal que Slimani réagisse ainsi, il défend son coéquipier. C'était le début du match 0/0, fallait se faire respecter et montrer qui est le patron

 

Pour Andreu, tout le monde le connaît mais Lopez a pris des cours a la bonne école

arrête de pleurer;

tu as perdu, assume !

ou alors ne viens pas sur le forum du vainqueur, tu te fais mal