Je plussoie, on gagnerait 5 H-Cup d'affilée qu'il nous briseraient encore les noix les journaleux.
C'est vraiment des branques sans imagination a ressasser les vieilles conneries
Posted 13 June 2019 - 21:10 PM
Je plussoie, on gagnerait 5 H-Cup d'affilée qu'il nous briseraient encore les noix les journaleux.
C'est vraiment des branques sans imagination a ressasser les vieilles conneries
Posted 13 June 2019 - 21:11 PM
Une défaite en finale serait difficile à vivre comme toujours mais le pire c'est la Molamania qui pourrait en découler.
L'avantage avec le ST, c'est que l'engouement des medias sera pas bien pire apres une victoire que maintenant... difficile de faire plus que "TOULOUSE MEILLEUR CLUB DE L'HISTOIRE DE L'UNIVERS"..
Posted 13 June 2019 - 21:19 PM
FAUT LES CREVER!
Gagner le Brennus face au stade,c'est le GRAAL!
le graal c'est comme celui de Kaamelot ? Tu peu donc jamais le trouver !!
Posted 13 June 2019 - 21:22 PM
le graal c'est comme celui de Kaamelot ? Tu peu donc jamais le trouver !!
Il parait que le Graal, c'est des pierres incandescentes...
Posted 13 June 2019 - 21:22 PM
eh, les mecs, ne généralisez pas sur Toulouse, c'est pas parce que 90% des medias se pignolenent dessus qu'on a le boulard.
On vous aime bien l'ASM et si on perd la tristesse ne sera que modérée car ça voudra dire que vous aurez le Brennus et il sera mérité
Posted 13 June 2019 - 21:31 PM
Posted 13 June 2019 - 21:35 PM
Le Roi Arthur va gagner ce match
Bonneval ?
Posted 13 June 2019 - 21:35 PM
eh, les mecs, ne généralisez pas sur Toulouse, c'est pas parce que 90% des medias se pignolenent dessus qu'on a le boulard.
On vous aime bien l'ASM et si on perd la tristesse ne sera que modérée car ça voudra dire que vous aurez le Brennus et il sera mérité
Si on est honnete c'est un peu la meme chose dans l'autre sens: si Toulouse gagne le bouclier, c'est pas qu'on sera content, mais quelque part apres avoir produit du beau jeu et dominer la saison, ca nous laissera pas la meme impression que si c'etait un Racing/Castres 6eme du championnat et au jeu degeulasse...
Posted 13 June 2019 - 21:36 PM
S'il n'y avait que les médias, la quasi totalité des gens autour de moi qui regardent un tant soit peu le rrrrugby supportent le grand stade toulousain au jeu si léché. Putain, ça me fais ch
Posted 13 June 2019 - 21:37 PM
J'aime ST, mais ça brûle...
futurs entraineurs : Labit Goutta ou Gono Gibbes
Posted 13 June 2019 - 21:39 PM
il y aura prolongation et tires aux buts on va souffrir jusqu'au bout mais zirak départagera tout le monde avec une pénalité réussie des cinquante mètres.
Salut à tous - Perso, même après une finale de merde, dans la boue, la neige, le sable et j'en passe....!!!! Lors d'une finale à l'ancienne qui fait gueuler tout le monde pour un non jeu, et bien perso je m'en tape royalement...Une énorme victoire par.................3 à 0 après prolongation suite à un drop de ZIRAK où de VAHA, et bien se signe des deux mains et deux deux pieds..........
Je pense que certains pensent comme moi, une finale gagnée face à ST est unique, et c'est le Top absolu....Le rêve de tous supporters de l'ASM.....
Posted 13 June 2019 - 21:41 PM
c'est long ....
on se fait chier ...
on a tout dit ...
et si on balançait des rumeurs !! ça nous occuperait !
genre je sais de source sûre , un chauffeur polonais qui ne parle pas français , qui le tient direct de sa femme serbo-croate et aussi sourde et muette ...
enfin bref il parait , c'est à peine si j'ose le dire tellement c'est bas , il parait que kolbe fricote avec la fille du lopez du 33 quand il est pas là ...
Posted 13 June 2019 - 21:43 PM
toi tu veux faire taire Urinos!futurs entraineurs : Labit Goutta ou Gono Gibbes
Et la Dame Du Lac, c'est la mère à Jauzion aussi?Bonneval ?
Posted 13 June 2019 - 21:50 PM
Sympa le type. j'espère qu'on pourra lui chanter une petite chanson !
Quelle a été la personne la plus importante dans votre carrière ?
Il y en a deux. D'abord ma mère, qui a toujours été là pour moi. Ensuite, ma formidable épouse (Layla Cupido). Elle m'encourage depuis notre première rencontre. Elle est le socle de notre petite famille. Je suis vraiment très heureux et chanceux de l'avoir dans ma vie.
Quelle est la phrase ou le mot que vous dites le plus souvent à vos partenaires sur le terrain ?
(Il rit.) Je ne suis pas du genre à leur gueuler dessus pour qu'ils me donnent le ballon, si c'est ce que vous voulez savoir ! Bon, j'attends quand même toujours la passe avec beaucoup d'impatience... Vous savez, la meilleure chose qu'on peut faire sur un terrain est de jouer pour le gars qui est à côté de soi. Or, c'est quelque chose qui ne se commande pas par des mots mais qui s'apprend à l'entraînement, chaque semaine.
Quelle est la date qui a le plus compté dans votre carrière ?
Celle d'un tournoi en 2009, avec les moins de 16 ans. Quand j'ai eu pour la première fois l'opportunité de représenter ma région en Afrique du Sud, la Western Province, et de revêtir le maillot que tous les mômes du coin rêvent de porter un jour. C'est à partir de ce moment-là que j'ai commencé à prendre conscience que je pouvais peut-être faire carrière dans le rugby.
« Le premier joueur à qui j'ai voulu ressembler était mon père. Après, il y a eu Gio Aplon et Christian Cullen »
Gardez-vous un souvenir précis de cette épreuve ?
Je me rappelle que j'étais remplaçant lors du premier match face aux Sharks (Durban) mais que j'avais terminé la compétition titulaire. On avait joué la finale contre Free State (Bloemfontein), l'équipe à battre du moment, celle que les gamins de ma génération rêvaient d'affronter parce qu'elle abritait de très bons joueurs comme (Jan)Serfontein qui est aujourd'hui à Montpellier. J'étais tellement anxieux que je n'avais pas fermé l'oeil la nuit précédente. Il faut dire que je n'avais encore jamais joué à ce niveau. Plein de choses se bousculaient dans ma tête. Je me demandais surtout comment j'allais pouvoir exister avec ma petite taille face à tous les costauds d'en face (rires) ! Le capitaine de l'équipe était venu me trouver, vers 2 ou 3 heures du matin, pour me rassurer : "Reste relax, c'est juste un match, tu mérites de jouer cette finale." Je n'ai pas mieux dormi après son intervention, mais il faut croire que ça m'a fait du bien puisque tout s'est bien passé pour moi en finale. C'est peut-être aussi parce que j'avais prié toute la nuit...
Quel est le joueur qui vous impressionne le plus ?
Mon ancien coéquipier aux Stormers, Gio Aplon (ex-arrière ou ailier sud-africain passé par Grenoble), sans hésiter. Sûrement à cause de son petit gabarit (1,75 m ; 78 kg) assez similaire au mien. J'aimais ses attitudes sur le terrain, sa façon d'attaquer, de défendre. Il m'a inspiré tout au long de ma carrière, m'a toujours donné de bons conseils. Encore aujourd'hui, il m'envoie des messages.
Quel est le maillot que vous gardez le plus précieusement ?
Juste un ? C'est dur de choisir... Mais si je devais n'en garder qu'un, ce serait probablement celui de ma première sélection avec l'Afrique du Sud, contre l'Australie, lors du Rugby Championship (ex-Four Nations), en septembre 2018. C'est quelque chose dont je me souviendrai toute ma vie, parce que ça a toujours été mon rêve de porter le maillot vert et or des Springboks, peu importe le numéro inscrit dans le dos. C'est probablement le maillot que je garderai tout le temps chez moi. D'ailleurs, il m'a suivi à Toulouse (sourire).
Quel est le geste que vous travaillez le plus à l'entraînement ?
Probablement ma défense, parce que je ne suis pas un mec très grand et costaud. Alors, j'essaie d'avoir une bonne technique de plaquage, de ne pas fermer trop tôt, de bien anticiper les coups de pied de l'adversaire, de bien communiquer avec mes partenaires.
Quel joueur aimeriez-vous être ?
Quand j'étais môme, le premier joueur à qui j'ai voulu ressembler était mon père. Ensuite, il y a eu Gio Aplon et Christian Cullen (ex-arrière all black), mais je ne pense pas qu'on puisse devenir l'exacte copie de quelqu'un qu'on admire ou qu'on a admiré. Alors, j'essaie juste d'être moi-même.
À qui demandez-vous conseil lorsque vous rencontrez des problèmes sportifs ?
Je parle toujours à ma femme d'abord, parce qu'elle est mon meilleur réconfort. À mon père, aussi, qui est toujours le premier à m'appeler après les matches. À chaque fois, j'ai droit à un débriefing du genre : "Tu devrais travailler ça, ça et ça". Il m'aide beaucoup.
« Courir avec le ballon est la chose la plus excitante »
Quel est votre rêve absolu dans le rugby ?
Le même que n'importe quel autre joueur, j'imagine : gagner la Coupe du monde. Et celui de ne pas souffrir de graves blessures, pour jouer le plus longtemps possible.
Quels mots aimez-vous entendre dans le vestiaire ?
Des choses du genre "Adopte une bonne attitude, entre avec beaucoup d'énergie, joue ton rugby, parce que c'est ce que tu fais toute la semaine à l'entraînement, et surtout prend du plaisir." C'est bon d'entendre des courts messages comme ceux-là avant d'entrer sur le terrain, parce qu'ils peuvent t'aider à chasser quelques doutes.
À quoi pensez-vous durant l'hymne sud-africain ?
Honnêtement ? À rien ! Je me contente de regarder droit devant et de chanter avec le plus de conviction possible.
Quel est le geste effectué sur un terrain dont vous avez le plus honte aujourd'hui ?
Oh ! Celui dont je suis le plus honteux ? Aïe, aïe, aïe... (Il réfléchit longuement). Sûrement un plaquage manqué. Je sais que ça peut arriver dans le rugby, mais c'est toujours très vexant de commettre une erreur de ce type. Sinon, je me souviens aussi d'une action cette saison contre Bath, en Coupe d'Europe. Sur la dernière action de la partie, Antoine (Dupont) me passe un ballon que je n'arrive pas à maîtriser. Je ne savais pas si je devais le ramasser ou taper au pied loin devant. J'ai juste laissé le ballon par terre et espéré que l'arbitre ne donne pas une mêlée pour Bath parce qu'on était dans nos 22 mètres. Heureusement, il a sifflé la fin de la partie.
Et le geste dont vous êtes le plus fier ?
Assurément mon premier essai contre les All Blacks, après une interception et une longue course sur une moitié de terrain, en septembre dernier. Marquer son premier essai face à la Nouvelle-Zélande, dans un match qu'on a fini par remporter (34-36), alors que ça faisait des années qu'on n'avait pas gagné là-bas, c'est quelque chose dont tout le monde rêve et qui, normalement, n'arrive jamais.
Quel souvenir gardez-vous de votre premier entraînement de rugby ?
C'est vraiment quand j'ai commencé à jouer avec les Stormers. J'étais le gamin, j'arrivais dans une équipe de mecs que je regardais avec des yeux plein d'admiration, comme Jean de Villiers, Schalk Burger ou Gio Aplon. Sur un exercice d'attaque-défense à l'entraînement, on m'avait demandé de venir protéger un ballon dans un ruck. Pourquoi moi ? Je n'en sais rien. Toujours est-il que j'y suis allé et c'est là que Tiaan Liebenberg, le talonneur de l'équipe, est arrivé comme un boulet pour m'envoyer valdinguer. Oh merde, c'était quoi ça ? Je me souviens que ma tête avait touché le sol sous la force de l'impact. Je m'étais dit instantanément que si ça se passait comme ça toutes les semaines, je risquais de passer pas mal de temps à l'infirmerie. C'est alors que Liebenberg s'est avancé vers moi avec un sourire : "Hey, petit, bienvenue au club !" J'ai compris que c'était le passage obligé pour être adoubé. J'avais dix-neuf ans, je m'entraînais avec des gars qui avaient plus de 50 sélections... C'était un bon apprentissage (rires) !
Quelle action préférez-vous dans le rugby ?
Courir avec le ballon. C'est la chose la plus excitante. Quand tu es arrière ou ailier, tu n'aspires qu'à ça.
Et l'action que vous aimez le moins ?
La bagarre (rires) ! Je laisse ça aux plus balèzes. Je préfère rester à l'écart et compter les coups...
Avec quel joueur aimeriez-vous échanger votre maillot ?
Si je pouvais, je choisirais Christian Cullen, parce que c'est un joueur que je "badais" réellement lorsque j'étais gosse. En Top 14, il faut que je réfléchisse... Sûrement Teddy Thomas (Racing 92), un grand attaquant. Je me souviens de la première fois où j'ai joué contre lui, en 2013, lors de la Coupe du monde des moins de 20 ans.
« À la fin de ma carrière, j'aimerais qu'on dise de moi que j'étais quelqu'un qui avait toujours le sourire »
Quel est le premier rendez-vous que vous vous fixez lors d'un match ?
Le premier, c'est avec Dieu. Je prie tout le temps avant le coup d'envoi pour le remercier de l'opportunité qu'il m'offre de jouer au rugby et lui demander de veiller à ce que les joueurs ne se blessent pas. Après, une fois le jeu parti, je ne pense qu'à recevoir le ballon et à transpercer la défense. Mais ça peut être aussi mon premier plaquage positif. Souvent, ça me permet de savoir si je suis dans un bon ou un mauvais jour.
De qui écoutez-vous prioritairement le jugement après un match ?
De mes entraîneurs, notamment du coach Ugo (Mola). J'aime sa façon de voir le rugby. Il nous donne beaucoup de liberté. Il considère que plus on sera heureux sur le terrain, plus on prendra du plaisir, meilleur on sera. Je partage cette philosophie à 100 %.
Qu'aimeriez-vous que les gens disent de vous à la fin de votre carrière ?
Que j'étais quelqu'un qui avait toujours le sourire et qui savait communiquer sa joie de vivre et de jouer à ses partenaires.
Quelle est la chanson qui vous réconforte le plus après une défaite ?
Je n'en écoute pas beaucoup. Mais la chanson les Sardines (de Patrick Sébastien) me donne beaucoup d'énergie. Même si je ne saurais pas chanter le refrain en français (rires). »
Posted 13 June 2019 - 21:55 PM
on entend pas julien......................... est ce un signe..........................