Hier dans la bagnole, je me suis projeté.
Pas d'accident, je vais bien, merci.
J'ai imaginé comment allé se passer l'après finale en cas de victoire.
Grande fierté, pas d'arrogance et la vie reprend son cour.
En cas de défaite, un peu de honte mais surtout beaucoup d'aigreur à l'encontre de tous ces méconnaisseurs rugbystiques toulousains qui viendront, pour la plupart me siffler aux oreilles pour un match qu'ils n'auront même pas vu en me rappellant que l'ASM en finale... patati patata.
J'ai donc plus peur de perdre que l'envie de gagner. Et cela à cause des chambrages non classieux d'après match.
Et vous?
Un peu de ça (en gras) aussi pour moi !
En cas de défaite, je n'en ferai pas une maladie et je pense qu'on aura perdu contre plus fort que nous.
Les débats devraient quand même être équilibrés et le meilleur gagnera, à moins qu'on passe à côté de notre match !
Avec une victoire, je serai heureux que l'ASM batte enfin Toulouse en finale.
J'ai envie de gagner, mais je n'ai pas peur de perdre.
Mais je suis déjà très satisfait de la saison du club ; une victoire en Challenge européen et une finale de Top 14 après la saison 2017-2018 qu'on a vécue, c'était quasi ment inespéré !
Ce qui m'agacera aussi en cas de victoire de Toulouse, ce sont les journalistes sportifs et tous les médias qui vont rabâcher tout l'été (et même au-delà) que le grand Stade Toulousain est de retour...