En résumé, on aura le droit d'aller chez Leclerc mais pas d'aller randonner dans les Puys...
La logique m'échappe !
Et bien essaye de te nourrir de glands et de luzerne et ferme Leclerc.
Posté 29 octobre 2020 - 06:11
En résumé, on aura le droit d'aller chez Leclerc mais pas d'aller randonner dans les Puys...
La logique m'échappe !
Et bien essaye de te nourrir de glands et de luzerne et ferme Leclerc.
Posté 29 octobre 2020 - 06:45
Je me mets a leur place aux mecs, quand tu as une affaire a faire tourner, des crédits sur le dos et que tu as une année pourrie sur le dos y a pas de quoi rire.
On est peut etre pas en dictature mais ça fait quand même quelques mois qu'ils décident a deux ou trois et que les institutions passent gentiment a la trappe, et tout ça pour faire de la merde.
Après sans défendre qui que ce soit, je n’entends que des médecins qui alertent et se plaignent à longueur d ´émissions et de JT.Difficile de ne pas suivre l’avis des personnes les mieux placés dans le système de santé
soit on fait rien, les hôpitaux disjonctent, le gouvernement est responsable de cette merde, soit on confine, les commerces disjonctent le gouvernement est responsable de cette merde.
Équation impossible à résoudre.
je vous invite à aller lire l’article de libération de ce jour sur le fait que beaucoup de scientifiques expliquent que le virus a déjoué toutes leurs dernières projections.
Maintenant c’est plus facile à avaler pour moi qui garde (pour l’instant) mon job et en plus je télétravail depuis 10 ans en grande partie de mon taf...
Posté 29 octobre 2020 - 06:51
Bon les gars je ne vous comprends pas trop, éclairez moi svp;
Qu'est ce qu'il faut faire? Qu'est ce qu'il aurait fallut faire ? Fermer; pas fermer, se déplacer pas se déplacer, vacances, restau, camping , fiesta le soir, bisou a mamie, le masque atteinte à la liberté, arrêt du travail mais paye mensuelle quand même révolution dans les rues pour mettre en place un sorcier qui va régler le problème, prendre la nationalité Allemande, footing obligatoire, investir chez Borniol et dans les stock de sapins en planche, mettre en place un âge limite au delà duquel on laisse "tomber" tripler le nombre de notaires pour régler le surcroit de successions, se raconter la légende de Sissa, liste non exhaustive....
PS: Rendre les gens moins cons étant une fiction et non une option.
Posté 29 octobre 2020 - 07:13
Bon et ce soir 4 semaines de confinement ?
On pourra fêter Noël en famille avec nos "vieux"...
Et on aura une troisème vague en Mars...
on va revoir les mêmes scènes que pour la fête de la musique, allez hop !
Posté 29 octobre 2020 - 07:21
Le problème c'est qu'il y a toujours pleins de champignons.Et bien essaye de te nourrir de glands et de luzerne et ferme Leclerc.
Posté 29 octobre 2020 - 07:24
Je suis quand même surpris du début de l'intervention de Macron hier. En gros, cette vague nous tombe dessus, et on ne peut rien faire d'autre que de reconfiner.
Depuis la fin août, plusieurs médecins clermontois (dont ma généraliste lors d'un renouvellement de certificat pour la pratique sportive début septembre) m'ont expliqué qu'on allait dans le mur et que la situation serait catastrophique à la Toussaint. Je précise qu'ils n'étaient pas dans le secret des dieux, mais qu'ils s'appuyaient uniquement sur les données publiques de GEODES-Santé Publique France.
On peut ne pas apprécier Delfraissy, mais son Conseil scientifique était clair depuis le déconfinement. Dans le Monde ce matin :
« Nous avons tous été surpris par l’accélération de l’épidémie, tous ! », a assuré Emmanuel Macron, mercredi 28 octobre, lors de sa présentation télévisée aux Français des nouvelles mesures de confinement. Si les épidémiologistes reconnaissent que les derniers jours ont marqué une inflexion particulièrement brutale en termes de mortalité, la montée inexorable de la deuxième vague pandémique avait pourtant été signalée de longue date à l’exécutif.
Lire aussi Confinement national, écoles ouvertes, attestations obligatoires : après les annonces d’Emmanuel Macron, suivez les réactions et posez vos questionsDébut septembre, Jean-François Delfraissy, qui préside le conseil scientifique Covid-19, estimait ainsi que le gouvernement allait être « obligé de prendre un certain nombre de décisions difficiles », « dans les huit à dix jours maximum » pour conjurer une évolution potentiellement exponentielle de la pandémie. Il notait qu’on risquait d’être « faussement rassuré » par la circulation du SARS-CoV-2 et suggérait de créer « une sorte de bulle » autour des personnes les plus fragiles – âgées ou en raison de comorbidités.
Interrogé sur ces déclarations, Emmanuel Macron avait estimé que « le conseil scientifique est dans son rôle, qui est technique », mais qu’il revenait aux dirigeants politiques de « prendre des décisions ». Un recadrage en règle : prévoir n’est pas gouverner.
Lire aussi Reconfinement « à partir de vendredi », écoles, déplacements : les principales annonces d’Emmanuel MacronCe partage des rôles ne fait pas débat au sein du conseil scientifique, dont le président se refusait mercredi 28 octobre à commenter les décisions politiques annoncées par Emmanuel Macron – lequel a rebondi sur sa « bulle » en estimant que sa constitution autour d’une génération n’était pas « réaliste ».
« Anticiper pour mieux protéger »Mais à l’heure où l’exécutif se voit contraint de prendre des mesures de reconfinement, il n’en est pas moins instructif de se pencher sur quelques-uns des avis égrenés ces derniers mois par cette instance. Créée ex nihilo par le politique pour l’éclairer, elle a vocation à poursuivre sa mission au-delà de son terme prévu fin octobre, sans doute renforcée de nouveaux membres venus d’horizons plus divers.
Prenons l’avis du 2 juin. Intitulé « Anticiper pour mieux protéger », il décrivait quatre scénarios de gravité croissante pour la période post-confinement, ainsi que des mesures destinées à éviter un reconfinement généralisé.
Les scénarios 3 et le 4 sont ceux qui se sont finalement réalisés : « une reprise à bas bruit de l’épidémie », suivie d’une montée en puissance jusqu’à un « stade critique ». Ils nécessitaient l’activation d’un plan de protection et de prévention renforcé (P2R-Covid) : renforcement de la stratégie tester-tracer-isoler ; confinement et protection renforcés des personnes à risque ou précaires, des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) ; préparation de l’hôpital à une reprise de l’épidémie… Le conseil jugeait « essentiel » de dire que « la survenue du scénario 4, c’est-à-dire celui conduisant à un confinement, correspondrait à un échec de la lutte contre l’épidémie ».
Lire aussi Le reconfinement était-il inévitable ?Publié au cœur de l’été, alors que la France a la tête ailleurs, le 27 juillet, l’avis numéro huit du conseil appelait à « se préparer maintenant pour anticiper un retour du virus à l’automne ». Constatant que la circulation du virus se poursuit, le conseil décrit alors la situation comme « contrôlée mais fragile ».
L’un des « points d’alerte » de ce document résume la situation : « Il est hautement probable qu’une seconde vague épidémique apparaisse à l’automne/hiver prochain. L’anticipation des autorités sanitaires à mettre en place dès maintenant les plans spécifiques de prévention et de précaution (…) et à les rendre rapidement opérationnels est un élément capital. Un dialogue avec la société civile et une nouvelle stratégie de communication sont également des points clés. » D’autres mises en garde concernent la disponibilité des tests et leur doctrine d’emploi et les lenteurs à corriger dans le traçage et l’isolement des cas.
Alerte sur la saturation hospitalièreLe 22 septembre, après l’escarmouche Delfraissy-Macron des jours précédents et alors que le débat fait rage entre les « rassuristes » et les « alarmistes » sur les plateaux télévisés et les réseaux sociaux, le conseil émet une « note d’alerte ». Il y appelle à un « contrôle renforcé de l’épidémie pour mieux vivre avec le virus ».
A nouveau, plusieurs options sont présentées. Le conseil plaide pour l’option 3, « reposant sur une addition de mesures “modérées”, faisant appel à l’adhésion volontaire et, en cas de besoin, à des mesures contraignantes » : protection renforcée des personnes à risque par un isolement « rigoureux », plan de protection des Ehpad ; télétravail ; rassemblements réduits ; limitation volontaire des contacts sociaux familiaux et amicaux.
Article réservé à nos abonnésLire aussi Covid-19 : « Aucune leçon n’a été tirée de la gestion de la crise entre mars et mai »
L’option 4, prévoyant de mesures fortes contraignantes « de type couvre-feu », n’avait pas la faveur du conseil au plan national, mais était cependant envisagée pour certaines métropoles et en cas de « dégradation ultérieure ».
Le conseil scientifique décrit aussi un basculement possible vers la « saturation » hospitalière et ses conséquences, « d’ici à quelques semaines, un ou deux mois selon les régions si rien ne change : alors que la mortalité liée au Covid s’accroît et que les hôpitaux sont débordés, la situation de crise apparaît peu ou mal anticipée par les autorités sanitaires. A ce stade de l’épidémie, et dans un contexte de crise, les autorités politiques auront à faire face à une forte demande pour une option de type 4 (mesures fortes) ».
Urgence à agirLes prochains jours et la hausse inexorable de la mortalité par Covid-19 diront si cette prophétie des experts se vérifie, et si les mesures de reconfinement emporteront finalement l’adhésion.
Le conseil scientifique mettait en tout cas en garde sur l’urgence à agir, car « tout retard se traduirait par la nécessité, pour produire les mêmes effets, de mesures ultérieures plus fortes et de plus longue durée que celles qui auraient été prises plus tôt » – sachant que l’impact des mesures stratégiques prises ne serait visible qu’au moins quinze jours après leur mise en œuvre. Prévoir et gouverner…
Posté 29 octobre 2020 - 07:42
oui çà peut gaver à la longue ..
et le 1km autour de chez soi c'est horrible mais nécessaire
C'est ce qui me fait le plus chier et ça n'aura aucun impact avec ces modalités de confinement
Posté 29 octobre 2020 - 07:45
Le virus est là, implacable et qui prend de l'ampleur, faisant réellement des morts. S'il faut se confiner, pour éviter une hécatombe, confinons. Mais il faudra bien un jour ou l'autre que tous les "Mr deconfinement", et autres éminents spécialistes, nous expliquent comment un pays comme la France est incapable de donner des résultats de tests en moins de 10 jours, incapable d'aller verbaliser ceux qui ne portent ostensiblement pas le masque là où c'est obligatoire, depuis des mois !
Des nids à Covid, j'en ai vu partout depuis des semaines, avec jamais l'ombre d'un uniforme à l'horizon. Les couilles, fallait les poser sur la table il y a un moment, mais on appelle ça le courage politique. Ce soir, c'est presque trop facile tellement on s'y attendait...
D'accord, à ceci près que les fautifs, ce sont d'abord ceux qui ostensiblement s'en foutent, abreuvés sans doute par les discours "rassuristes" qui ont tourné en boucle sur les chaines d'info. C'est quand même désespérant de se dire que seule une amende (ou une attestation) peut faire changer un comportement
Posté 29 octobre 2020 - 07:48
Tiens, si on regardait ce que font les allemands...
Posté 29 octobre 2020 - 07:54
Posté 29 octobre 2020 - 07:54
Le problème c'est qu'il y a toujours pleins de champignons.
Du coup, tenue commando pour moi...
Envoyé de mon SM-G361F en utilisant Tapatalk
Souvent les ramasseurs de champignons s'encombrent dans les russules...
Posté 29 octobre 2020 - 07:58
Dans le Puy de Dôme, le nombre simultané de personnes en réa n'est pas supérieur à 8 personnes depuis le 8 Mai 2020.
Donc depuis 5 mois, on n'attend la chute...
Merci d'être factuel !
Quant au taux, si ce sont les jeunes qui l'attrapent, c'est plutôt bon pour la fameuse immunité collective qu'on a tant vanté chez les spécialistes de la spécialité !
Comment en est on arrivé là...
10 octobre...
Mais comment ?
16 octobre...
Je n'ai aucune idée de "comment je l'ai chopé".
Je suspecte un resto place des Carmes où j'ai déjeuné avec des collègues à j-7 des premiers signes.
On était entassé et le resto avait même rajouté des tables et tabourets pour des convives de dernière minute.
18 octobre
Et toujours beaucoup de certitudes de certains face à cette incertitude...
20 octobre
Et oui, il y a ceux qui ont des certitudes, et ceux qui observent et savent qu'on ne sait pas grand chose...
C'est à la fin du bal qu'on paye les musiciens !
Posté 29 octobre 2020 - 08:09
Personnellement je refuse le télé-travail. Le travail c'est sur le lieu pas chez soi pour moi. A moins qu'on ne me l'impose sous peine de sanction, je ne peux m'imaginer le travail autrement.
Quel talent !
20 octobre
Des patients de la Loire ont été transférés dans le PDD d'où l'augmentation importante des hospitalisations...
21 octobre
Faut arrêter de changer les règles chaque semaine... ça devient inaudible. On dit qu'il faut 2 à 3 semaines pour voir les effets et bien on fait un point à ce moment là mais on arrête ces conférences de presse hebdomadaire.
21 octobre bis
16 lits occupés (hier soir) sur 83 avec possibilité de monter à 100.
Des patients de la Loire ont été transférés dans le PDD, c'est qu'on peut les accueillir.
22 octobre
5 des 19 personnes en réanimation ça fait quand même 25%
23 octobre
il faut 2 semaines pour voir un effet et on change toutes les semaines, c'est grotesque.
Article antinomique : 15 à 18 jours... semaine prochaine...
23 octobre bis
"On va évaluer chaque semaine l'efficacité des mesures prises"
25 octobre
"des mesures supplémentaires plus restrictives si pas d'inflexion d'ici milieu de semaine..."
le couvre-feu a débuté hier soir... bande d'abrutis.
Posté 29 octobre 2020 - 08:11
D'accord, à ceci près que les fautifs, ce sont d'abord ceux qui ostensiblement s'en foutent, abreuvés sans doute par les discours "rassuristes" qui ont tourné en boucle sur les chaines d'info. C'est quand même désespérant de se dire que seule une amende (ou une attestation) peut faire changer un comportement
Posté 29 octobre 2020 - 08:17
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