Tu sais, si tu as un oeil un peu averti, il suffisait de voir les éléments de structure des bungalows sur les images pour voir de quoi il s'agissait et même de donner les noms des fabricants (dont plusieurs français d'ailleurs tels qu'ALGECO et GOUGNAUD) sans aucune intention de faire de la pub bien entendu.
Ok, ce n'est probablement un hôpital, comme on le conçoit.
"Sauf pour qualifier d'hôpital un simple lieu qui évite aux gens de mourir dans la rue et qui ne propose qu'un simple accompagnement de fin de vie."
Les Algéco, peuvent probablement être adapté pour fournir un confinement satisfaisant. C'est le besoin de beaucoup de personnes contaminées,
Peut-être est-il même possible d'y installer un lit médicalisé, et même aussi une assistance respiratoire. Si c'est possible sous une tente de l'armée, ce doit être réalisable dans un algéco.
Après le cirque sur les 10 jours, on s'en tape.
Et chez nous, pour éviter aux gens de mourir dans la rue,.
Chez nous, seulement quelques "centres de desserrement". Norme à créer.
Et pour les autres: « Près de 80 % des personnes vivant en bidonville n’ont pas accès à l’eau et c’est impossible pour elles d’appliquer les mesures d’hygiène et de prévention préconisées. Et les groupes de personnes qui y vivent sont nombreux », explique Florent Gueguen.
« Certaines mairies sont en train d’installer des points d’eau », observe Manuel Domergue. Reste que les personnes qui vivent dans les bidonvilles vivent dans une promiscuité dangereuse."