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Coronavirus . fin du championnat 2019 - 2020 ? ?


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5430 réponses à ce sujet

#2596 Rugby ?

Rugby ?

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Posté 27 avril 2020 - 11:28

 

de là à se dépouiller du poste et faire du bricolage pdt des saisons...

on pouvait lui donner un role de papa au coté de lopez  qui aurait bcp appris et il aurait joué... apres peut que james ne voulait pas de ca on saura pas

Ce serait vrai et souhaitable dans l'idéal.

Mais Lopez avait besoin de devenir papa.....................et Brock ne pouvait pas devenir grand-père.



#2597 InASMWeTrust

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    Raoul Bitenbois III

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Posté 27 avril 2020 - 12:18

Ce serait vrai et souhaitable dans l'idéal.

Mais Lopez avait besoin de devenir papa.....................et Brock ne pouvait pas devenir grand-père.

.. et rien ne dit que brock voulait ce rôle de papa qui s'efface devant le fiston ! 


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#2598 JB 03

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Posté 27 avril 2020 - 12:47

Article du Midi Olympique sur la prise en main du Ministère sur la reprise des sports post-confinement :

 

Si les prises de décisions se ralentissent, c'est que tous les acteurs du rugby sont désormais tournés vers le ministère. En attendant, ils ne peuvent qu'émettre des préconisations, au mieux, des souhaits. Au pire, le rugby n'a plus la main sur ses destinées.

 

LE MINISTERE A LA BARRE.

 

Par Léo FAURE leofaure@midi-olympique.fr

 

 

Au fil des semaines, la fièvre des réunions s'estompe en même temps que les destinées du rugby français semblent échapper à ses présidents. S'il y a moins de coups de gueule ou de passes d'arme, c'est aussi qu'il y a moins de réunions. Tout simplement. « Et celles qui restent, c'est de la réunionite aiguë », raconte un de ses acteurs. « Chacun s'affaire aux urgences internes à son club, sur lesquelles il doit décider au plus vite mais dans l'inconnue des chiffres. En revanche, d'un point de vue collégial, plus ça va et moins il y a de choses à décider. » Les présidents du Top 14 et Pro D2, donc, ne s'écharpent plus sur le scénario d'une reprise. Tout simplement parce qu'ils ont partiellement perdu la main sur ce sujet. Il y a dix jours, ils s'étaient pourtant accordés sur un scénario de phases finales à plusieurs sorties. À quatre ou à huit clubs concernés, en juillet ou en août. L'option de juillet, très tôt jugée utopique vu le contexte sanitaire, a sans surprise été écartée la semaine dernière par la LNR, via un communiqué : « après avoir fait le point sur la situation, notamment sur les travaux en cours de la commission médicale sur le protocole de reprise et de la commission sportive sur les délais de réathlétisation et de préparation, le comité directeur de la LNR a décidé l'abandon du scénario 1 d'organisation des phases finales du Top 14 à compter de fin juin jusqu'à mi-juillet. »

 

RÉUNION SUR LES HUIS CLOS, FFR ET LNR NE SONT PAS CONVIÉES

Pour ce qui est du mois d'août, l'option reste théoriquement en vie. Et si elle ne fait plus grand débat en interne, c'est surtout que les présidents s'en désintéressent globalement. Certains la jugent désormais tout aussi intenable, au regard des éléments médicaux présentés par les « dots » des clubs en début de semaine et des étapes, longues, qu'imposera le protocole de reprise. D'autres, les premiers intéressés par la tenue de phases finales, continuent de s'y raccrocher. Mais un message, transmis il y a deux semaines par le ministère des Sports, se fait doucement accepter : in fine, les clubs ne décideront pas de grand-chose. Pas plus que la Ligue.

C'est au ministère des Sports que reviendra le dernier mot sur les reprises. Le seul qui compte, en fait. Les scénarios de phases finales n'étaient que des propositions que la LNR transmettait, comme tous les sports, à son organe de tutelle. Des souhaits, en quelque sorte, mais qui n'engageaient en rien leur réalisation. Le ministère écoute mais travaille aussi, de son côté, avec une cellule d'experts médicaux pour imposer un cadre médical à la reprise. Des conditions strictes qui supplanteraient toutes les problématiques individuelles. Pour les clubs et leur Ligue, il faudra faire avec, ou plutôt à l'intérieur de ce cadre. Un exemple de cette remise en place hiérarchique des dirigeants du rugby ? Ce vendredi se tenait, à l'échelon gouvernemental, une réunion regroupant des représentants des ministères de l'Economie, de la Santé et des Sports, justement pour traiter du cas du sport. Et plus précisément des modalités des reprises, ses délais et ses possibles huis clos. « Une reprise à la mi-juin est le scénario optimum mais il y en a d'autres, promettait la ministre des Sports, Roxana Maracineanu, la semaine dernière sur les antennes d'Eurosport. Celui d'une reprise peut-être en septembre des championnats, voire d'une saison blanche cette année pour pouvoir reprendre au mieux la saison prochaine. » Pour en discuter et, bientôt, en décider, ni la FFR ni la LNR n'étaient conviées autour de la table. Pas plus que les autres sports. Un message clair : les mesures prises à l'étage national s'affranchiront sans mal des envies de titres de tel club, des besoins de qualification européenne d'un autre et qui pourraient orienter la réflexion. Ces doléances ne seront même pas prises en compte au regard du contexte économique qui se profile. Pas seulement pour le sport.

 

LA PROBLÉMATIQUE DES TESTS SÉROLOGIQUES

C'est d'ailleurs par le prisme de cette reprise en mains par le politico-médical et de l'ordre des priorités qui en découle qu'il fallait bien lire la sortie médiatique de la ministre Roxana Maracineanu, la semaine dernière toujours sur les antennes d'Eurosport. De son interview on a d'abord retenu cette phrase choc, de nature à interpeller quand venant de quelqu'un qui se doit de défendre le sport : « Ce qui est certain, c'est que le sport ne sera pas prioritaire dans notre société. II n'est pas prioritaire aujourd'hui dans les décisions qui sont prises par le gouvernement » C'est pourtant sur la suite qu'il fallait s'attarder. « Si, en sortie (de confinement), il n'y a pas assez de masques, si comme aujourd'hui les tests restent réservés aux personnes qui présentent des symptômes et que c'est la condition édictée par les sportifs, ça ne se fera pas. » Le puzzle se construit alors et le message de la ministre prend sens. Pour une reprise des compétitions, les médecins du rugby préconisent de commencer par tester tous les joueurs, pour ensuite adapter les programmes de reprise en fonction des profils (infectés, ou non). Ces tests sérologiques sont même la phase 1 du protocole envisagé, celle qui conditionne tout le reste. Or, au déconfinement il n'y aura pas de tests disponibles pour l'ensemble de la population. Et c'est désormais clair : « le sport ne sera pas prioritaire. » Voilà qui en dit plus sur les espoirs de reprise du rugby. Bien avant de savoir si elle se fera en août, en septembre ou plus tard, si ce sera à huis dos ou en public, il convient d'en connaître le cadre médical. La clé de tout. « C'est même la clé de toutes nos discussions et négociations », admet un président. « Un exemple : en ce moment le comité directeur de la LNR entérine des décisions prises par les groupes de travail. Mais, à chaque fois, il faut ajouter la mention «sous réserve que... ». En clair, on ne décide vraiment de rien. On ne fait que des préconisations. Parce qu'on ne sait pas, tout simplement » Parce que le rugby ne sait pas le contexte qui sera exactement le sien, demain. Ni le cadre médical qui sera imposé par le ministère, ni les mesures économiques qui seront nécessaires. « Pour l'instant, nous mettons surtout le nez dans les chiffres de nos clubs. Et on prend peur ! Cela alors que de nombreuses variables n'ont pas encore livré leur verdict et que nombre d'entre elles pourraient encore aggraver la situation. » Prenez les abonnés, par exemple, qui pourraient demain se retourner contre leur club en demandant le remboursement des matchs annulés. Idem pour les partenaires. « On ne sait rien et tant que le ministère n'imposera pas la ligne à suivre, on restera dans le brouillard. » Voilà pourquoi les médecins, au front de leur présentation, réclament une prise de position forte de l'état. Voilà aussi pourquoi Paul Goze ripostait, quand ses présidents lui demandaient de trancher enfin une issue à la situation : « Est-ce sérieusement à la Ligue de prendre une décision de cette ampleur et qui nous dépasse ? » Tous en appellent désormais aux voix ministérielles. Une manière, aussi, de ne pas avoir à supporter la responsabilité de catastrophes éventuelles, demain.



#2599 Rugby ?

Rugby ?

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Posté 27 avril 2020 - 12:49

Merci JB.


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#2600 Ptolémée

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Posté 27 avril 2020 - 12:55

Article du Midi Olympique sur la prise en main du Ministère sur la reprise des sports post-confinement :

 

Si les prises de décisions se ralentissent, c'est que tous les acteurs du rugby sont désormais tournés vers le ministère. En attendant, ils ne peuvent qu'émettre des préconisations, au mieux, des souhaits. Au pire, le rugby n'a plus la main sur ses destinées.

 

LE MINISTERE A LA BARRE.

 

Par Léo FAURE leofaure@midi-olympique.fr

 

 

Au fil des semaines, la fièvre des réunions s'estompe en même temps que les destinées du rugby français semblent échapper à ses présidents. S'il y a moins de coups de gueule ou de passes d'arme, c'est aussi qu'il y a moins de réunions. Tout simplement. « Et celles qui restent, c'est de la réunionite aiguë », raconte un de ses acteurs. « Chacun s'affaire aux urgences internes à son club, sur lesquelles il doit décider au plus vite mais dans l'inconnue des chiffres. En revanche, d'un point de vue collégial, plus ça va et moins il y a de choses à décider. » Les présidents du Top 14 et Pro D2, donc, ne s'écharpent plus sur le scénario d'une reprise. Tout simplement parce qu'ils ont partiellement perdu la main sur ce sujet. Il y a dix jours, ils s'étaient pourtant accordés sur un scénario de phases finales à plusieurs sorties. À quatre ou à huit clubs concernés, en juillet ou en août. L'option de juillet, très tôt jugée utopique vu le contexte sanitaire, a sans surprise été écartée la semaine dernière par la LNR, via un communiqué : « après avoir fait le point sur la situation, notamment sur les travaux en cours de la commission médicale sur le protocole de reprise et de la commission sportive sur les délais de réathlétisation et de préparation, le comité directeur de la LNR a décidé l'abandon du scénario 1 d'organisation des phases finales du Top 14 à compter de fin juin jusqu'à mi-juillet. »

 

RÉUNION SUR LES HUIS CLOS, FFR ET LNR NE SONT PAS CONVIÉES

Pour ce qui est du mois d'août, l'option reste théoriquement en vie. Et si elle ne fait plus grand débat en interne, c'est surtout que les présidents s'en désintéressent globalement. Certains la jugent désormais tout aussi intenable, au regard des éléments médicaux présentés par les « dots » des clubs en début de semaine et des étapes, longues, qu'imposera le protocole de reprise. D'autres, les premiers intéressés par la tenue de phases finales, continuent de s'y raccrocher. Mais un message, transmis il y a deux semaines par le ministère des Sports, se fait doucement accepter : in fine, les clubs ne décideront pas de grand-chose. Pas plus que la Ligue.

C'est au ministère des Sports que reviendra le dernier mot sur les reprises. Le seul qui compte, en fait. Les scénarios de phases finales n'étaient que des propositions que la LNR transmettait, comme tous les sports, à son organe de tutelle. Des souhaits, en quelque sorte, mais qui n'engageaient en rien leur réalisation. Le ministère écoute mais travaille aussi, de son côté, avec une cellule d'experts médicaux pour imposer un cadre médical à la reprise. Des conditions strictes qui supplanteraient toutes les problématiques individuelles. Pour les clubs et leur Ligue, il faudra faire avec, ou plutôt à l'intérieur de ce cadre. Un exemple de cette remise en place hiérarchique des dirigeants du rugby ? Ce vendredi se tenait, à l'échelon gouvernemental, une réunion regroupant des représentants des ministères de l'Economie, de la Santé et des Sports, justement pour traiter du cas du sport. Et plus précisément des modalités des reprises, ses délais et ses possibles huis clos. « Une reprise à la mi-juin est le scénario optimum mais il y en a d'autres, promettait la ministre des Sports, Roxana Maracineanu, la semaine dernière sur les antennes d'Eurosport. Celui d'une reprise peut-être en septembre des championnats, voire d'une saison blanche cette année pour pouvoir reprendre au mieux la saison prochaine. » Pour en discuter et, bientôt, en décider, ni la FFR ni la LNR n'étaient conviées autour de la table. Pas plus que les autres sports. Un message clair : les mesures prises à l'étage national s'affranchiront sans mal des envies de titres de tel club, des besoins de qualification européenne d'un autre et qui pourraient orienter la réflexion. Ces doléances ne seront même pas prises en compte au regard du contexte économique qui se profile. Pas seulement pour le sport.

 

LA PROBLÉMATIQUE DES TESTS SÉROLOGIQUES

C'est d'ailleurs par le prisme de cette reprise en mains par le politico-médical et de l'ordre des priorités qui en découle qu'il fallait bien lire la sortie médiatique de la ministre Roxana Maracineanu, la semaine dernière toujours sur les antennes d'Eurosport. De son interview on a d'abord retenu cette phrase choc, de nature à interpeller quand venant de quelqu'un qui se doit de défendre le sport : « Ce qui est certain, c'est que le sport ne sera pas prioritaire dans notre société. II n'est pas prioritaire aujourd'hui dans les décisions qui sont prises par le gouvernement » C'est pourtant sur la suite qu'il fallait s'attarder. « Si, en sortie (de confinement), il n'y a pas assez de masques, si comme aujourd'hui les tests restent réservés aux personnes qui présentent des symptômes et que c'est la condition édictée par les sportifs, ça ne se fera pas. » Le puzzle se construit alors et le message de la ministre prend sens. Pour une reprise des compétitions, les médecins du rugby préconisent de commencer par tester tous les joueurs, pour ensuite adapter les programmes de reprise en fonction des profils (infectés, ou non). Ces tests sérologiques sont même la phase 1 du protocole envisagé, celle qui conditionne tout le reste. Or, au déconfinement il n'y aura pas de tests disponibles pour l'ensemble de la population. Et c'est désormais clair : « le sport ne sera pas prioritaire. » Voilà qui en dit plus sur les espoirs de reprise du rugby. Bien avant de savoir si elle se fera en août, en septembre ou plus tard, si ce sera à huis dos ou en public, il convient d'en connaître le cadre médical. La clé de tout. « C'est même la clé de toutes nos discussions et négociations », admet un président. « Un exemple : en ce moment le comité directeur de la LNR entérine des décisions prises par les groupes de travail. Mais, à chaque fois, il faut ajouter la mention «sous réserve que... ». En clair, on ne décide vraiment de rien. On ne fait que des préconisations. Parce qu'on ne sait pas, tout simplement » Parce que le rugby ne sait pas le contexte qui sera exactement le sien, demain. Ni le cadre médical qui sera imposé par le ministère, ni les mesures économiques qui seront nécessaires. « Pour l'instant, nous mettons surtout le nez dans les chiffres de nos clubs. Et on prend peur ! Cela alors que de nombreuses variables n'ont pas encore livré leur verdict et que nombre d'entre elles pourraient encore aggraver la situation. » Prenez les abonnés, par exemple, qui pourraient demain se retourner contre leur club en demandant le remboursement des matchs annulés. Idem pour les partenaires. « On ne sait rien et tant que le ministère n'imposera pas la ligne à suivre, on restera dans le brouillard. » Voilà pourquoi les médecins, au front de leur présentation, réclament une prise de position forte de l'état. Voilà aussi pourquoi Paul Goze ripostait, quand ses présidents lui demandaient de trancher enfin une issue à la situation : « Est-ce sérieusement à la Ligue de prendre une décision de cette ampleur et qui nous dépasse ? » Tous en appellent désormais aux voix ministérielles. Une manière, aussi, de ne pas avoir à supporter la responsabilité de catastrophes éventuelles, demain.

 

comme toujours ,

tous les intervenants ouvrent le parapluie

au cas ou ...


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#2601 Rugby ?

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Posté 27 avril 2020 - 12:55

Au moins c'est clair !

Wait and see.


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#2602 obewan

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Posté 27 avril 2020 - 14:14

en résumé... tout ce que l'on sait... c'est qu'on ne sait rien... comme dab................................


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#2603 cocotte 63

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Posté 27 avril 2020 - 14:21

quand tu lis tout ça, tu comprends aussi bien le sens de l'intervention du président De Cromières la semaine dernière, sur les partenaires majeurs et basiques, les abonnés etc... et de faire passer un message comme quoi, le peuple Jaune et Bleu fait bloc derrière son club.

 

Je ne présage de rien, mais vu comment chaque (presque toute) entreprise (petite et grande) va être (très lourdement) impactée... j'ai bien peur que ce ne soit  qu'un vœux pieu de notre Président car je ne vois pas comment cela sera possible très sincèrement pour les partenaires et les abonnés de faire comme si de rien n'était... et de ne pas demander compensation ou remboursement.

 

Bref, ce ne sera peut être pas pour la saison 2019-2020, et ça sauvera les apparences... mais sûr que 2020-2021 ça va faire mal ! les joueurs qui ont résignés ces derniers mois peuvent s'estimer très chanceux... sauf si les clubs plongent les uns après les autres... pour les autres, ça va leur faire bizarre dans les prochains mois. 


  • cetotomatos et jm12 aiment ceci

#2604 Guest_Laduree_*

Guest_Laduree_*
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Posté 27 avril 2020 - 14:33

quand tu lis tout ça, tu comprends aussi bien le sens de l'intervention du président De Cromières la semaine dernière, sur les partenaires majeurs et basiques, les abonnés etc... et de faire passer un message comme quoi, le peuple Jaune et Bleu fait bloc derrière son club.

 

Je ne présage de rien, mais vu comment chaque (presque toute) entreprise (petite et grande) va être (très lourdement) impactée... j'ai bien peur que ce ne soit  qu'un vœux pieu de notre Président car je ne vois pas comment cela sera possible très sincèrement pour les partenaires et les abonnés de faire comme si de rien n'était... et de ne pas demander compensation ou remboursement.

 

Bref, ce ne sera peut être pas pour la saison 2019-2020, et ça sauvera les apparences... mais sûr que 2020-2021 ça va faire mal ! les joueurs qui ont résignés ces derniers mois peuvent s'estimer très chanceux... sauf si les clubs plongent les uns après les autres... pour les autres, ça va leur faire bizarre dans les prochains mois. 

Ils me semblent inconcevables que les joueurs ne fassent pas un effort très conséquent... Leurs salaires sont très importants pour nombre d'entre eux et il va falloir qu'ils se plient à la réalité du marché...

 

Personnellement, abonné non impacté financièrement par le confinement, je ne vais pas demander de compensation au club (pas plus qu'à mon proprio, edf et orange bien que je ne sois pas confiné chez moi...)



#2605 ELSAZOAM

ELSAZOAM

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Posté 27 avril 2020 - 14:55

Ils me semblent inconcevables que les joueurs ne fassent pas un effort très conséquent... Leurs salaires sont très importants pour nombre d'entre eux et il va falloir qu'ils se plient à la réalité du marché...
 
Personnellement, abonné non impacté financièrement par le confinement, je ne vais pas demander de compensation au club (pas plus qu'à mon proprio, edf et orange bien que je ne sois pas confiné chez moi...)

De mon côté, je ferai comme le club décidera ; s'il rembourse mon abonnement sur les matchs non joués, je prendrai, sinon je n'irai pas faire le pataquès pour être remboursé !
De toute façon, la dépense pour l'abo était prévue depuis longtemps dans mon budget, donc le fait de ne pas être remboursé ne changera rien à ma vie, sauf qu'il y a des matchs que je ne verrai pas et pour cause...
Si le club le demande, je suis prêt à faire un effort pour participer à sa sauvegarde.
Si le club doit rembourser 5 matchs a tous les abonnés, ça va faire un bon sac de blé et il n'y aura pas que ça dans la balance !

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#2606 el landeno

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Posté 27 avril 2020 - 15:27

Au moins c'est clair !

Wait and see.

Même Canal + !

Wait and see...le replay :P



#2607 djodjodu63

djodjodu63

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Posté 27 avril 2020 - 15:32

https://www.rugbyram...853/story.shtml

 

entièrement d'accord avec lui, j'en avais déjà parlé.... quel est l'interet franchement ?!...


  • julien aime ceci

#2608 ELSAZOAM

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Posté 27 avril 2020 - 15:34

https://www.rugbyram...853/story.shtml

 

entièrement d'accord avec lui, j'en avais déjà parlé.... quel est l'interet franchement ?!...

D'accord avec lui moi aussi ! 


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#2609 Tchou

Tchou

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Posté 27 avril 2020 - 16:29

https://www.rugbyram...853/story.shtml

 

entièrement d'accord avec lui, j'en avais déjà parlé.... quel est l'interet franchement ?!...

 

 

 

Hormis le fait de faire rentrer un peu d'argent dans les caisses de la ligue, il n'y a aucun intérêt.


Sur le plan humain, la sécurité des joueurs n'est pas assurée et sur le plan sportif, je chercher encore..... 


  • djodjodu63 aime ceci

#2610 Rugby ?

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Posté 27 avril 2020 - 17:29

quand tu lis tout ça, tu comprends aussi bien le sens de l'intervention du président De Cromières la semaine dernière, sur les partenaires majeurs et basiques, les abonnés etc... et de faire passer un message comme quoi, le peuple Jaune et Bleu fait bloc derrière son club.

 

Je ne présage de rien, mais vu comment chaque (presque toute) entreprise (petite et grande) va être (très lourdement) impactée... j'ai bien peur que ce ne soit  qu'un vœux pieu de notre Président car je ne vois pas comment cela sera possible très sincèrement pour les partenaires et les abonnés de faire comme si de rien n'était... et de ne pas demander compensation ou remboursement.

 

Bref, ce ne sera peut être pas pour la saison 2019-2020, et ça sauvera les apparences... mais sûr que 2020-2021 ça va faire mal ! les joueurs qui ont résignés ces derniers mois peuvent s'estimer très chanceux... sauf si les clubs plongent les uns après les autres... pour les autres, ça va leur faire bizarre dans les prochains mois. 

Oui, le grand risque pour le rugby, viendra des partenaires.

Seront ils aussi nombreux ? Seront ils prêts à donner autant.

Peut-être que les "Gros", ne changeront rien, mais je crains que tous les petits, réduisent la voilure. Quel est leur poids dans le budget d'un club ? Je ne sais pas s'ils comptent beaucoup pour un club pro, mais dans le rugby amateur, une baisse ce serait une cata.

 

Une grande lessive serait peut-être l'occasion de réorganiser le rugby pro. Je pense à un Top12, bien sûr. A valoriser peut-être davantage la proD2.

Et je ne comprends pas du tout l'idée de 2Kro d'élargir le rugby pro, à la Fed 1






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