Oui, Moala comme Naqa qui rentrent dans le mur sont les symptômes du mal, pas le mal lui-même !
si si c'est arrivé, mais en fait il a un rythme de jambe tel que c'est très difficile. Il a (je l'ai déjà dit) aussi cette faculté rare (et qui se travaille) à séparer activité du haut et du bas du corps : quand on l'attrape en haut, les jambes continuent à mouliner, quand on l'attrape aux jambes, son buste et ses bras continuent avancer de façon "séparée"
Je ne sais pas si c'est aussi net. Moala comme Naqua ont quand même une vraie appétance à aller taper dans le mur parce qu'ils sont confiants dans leur capacité à casser ce premier placage. Donc, je pense sincèrement que c'est un peu du 50/50 entre un système qui n'est pas assez riche en animation chez nos 3/4 et une propension chez le joueur à chercher l'affrontement direct. J'en veux pour preuve, ou commencement de preuve, la première mi-temps face à Toulouse où l'on a vu le centre de notre attaque très créatif, beaucoup plus qu'il y a bien longtemps. Qu'aurait produit Moala ou Naqua dans les conditions qu'ont connues Vili et Penaud sur cette première mi-temps ? Pas certain qu'il y ait eu autant de variété dans l'animation mais pas certain non plus qu'ils aient continué à rentre dans le tas. Maintenant, je pense quand même qu'un joueur a une zone de confort et celle de Moala et Naqua, c'est le destronchage en règle (même s'ils sont capables de faire autre chose, je ne dis pas le contraire).
La vache, on a docteur Gadget dans l'équipe !