438 réponses à ce sujet

[STANLO]

Normal, un compétiteur se doit de chercher la qualification ds les 6...demain, en ce sens, c est un match couperet, à quitte ou double. Avec en plus de la revanche dans l air.

Même si nous savons que, cette saison,
l essentiel est ailleurs.
Ce match appartient aux joueurs et à eux seuls !

Je ne comprends rien.

Tu écris : Normal, un compétiteur se doit de chercher la qualification ds les 6...demain et plus loin : Même si nous savons que, cette saison,

l essentiel est ailleurs.

Ha oui ! et il est ou est l'essentiel ?

Si ça n'est pas la qualification dans les 6, ça veut dire que nous ne sommes pas compétiteurs ?

Ce match appartient aux joueurs et à eux seuls ! Non, un match n'appartient à personne.

Les joueurs jouent (enfin, les compétiteurs), les arbitres arbitrent, les spectateurs applaudissent, sifflent, boivent des bières, etc . . . 

Bon, je taquine, je taquine ! 

[castrais avant tout]

Au moins à l'époque Castres respectait la coupe d'europe !!

En effet!
https://youtu.be/6EVBKlrJajc

[el landeno]

À Castres, la preuve par trois des numéros 9 Depuis le début de saison, à Castres, les demis de mêlée se partagent de manière équitable le temps de jeu. Une particularité du CO.

 

Samedi, pour défier Clermont-Ferrand, c'est Jérémy Fernandez qui sera titulaire avec Castres au poste de demi de mêlée. Il sera peut-être très bon. Si c'est le cas, il ne sera pourtant pas assuré de jouer la semaine prochaine, à Biarritz. Il se peut même qu'il se retrouve dans la tribune à applaudir Rory Kockott ou Santiago Arata, les deux autres spécialistes du poste de l'effectif castrais.

 

 

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Depuis le début de la saison, le trio se partage le temps de jeu, et la répartition, au regard des statistiques, semble assez équitable. « Et ça se passe bien, assure David Darricarrère, qui s'occupe des arrières de l'équipe. Ils sont en forme, bien dans leur tête, et n'ont aucun problème physique. Mais c'est vrai que le turn-over chez les 9 est quelque chose de plutôt rare dans notre Championnat. À Castres, ça dépend de la forme du moment, des premiers jours d'entraînement, de notre ressenti... »

Et parfois, le choix est acté encore plus tôt. On n'est pas allé fouiller dans les ordinateurs des coaches, mais il se pourrait bien qu'ils sachent déjà qui introduira le ballon lors des prochaines journées. « Nos idées sont figées assez rapidement, reconnaît Darricarrère, et disons que les premières séances permettent de voir si nos choix sont conformes à la fraîcheur du moment. » L'identité de l'élu dépend aussi de l'équipe qui se trouve en face. « Les trois ont des caractéristiques différentes, certaines s'adaptent mieux à des types d'adversaires. »

Santiago Arata, le puncheur

En France depuis deux ans, l'international uruguayen apprend vite, notamment dans la gestion du match et dans son jeu au pied. Darricarrère le présente comme « un puncheur » qui possède une très belle vitesse de course, de déplacement. Il a aussi de grosses qualités défensives. « Il est vraiment bluffant », reconnaît l'entraîneur. Mais durant cette fin de saison régulière, il joue moins : en 2022, par exemple, il n'a commencé que deux rencontres

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Rory Kockott, la légende

Au terme de la saison, Rory Kockott mettra un terme à sa carrière. La fin d'une époque pour le Castres Olympique, qui profite de son Sud-Africain de naissance depuis 2011. « Rory, analyse Darricarrère, c'est l'expérience, un poids énorme dans un match, très important psychologiquement pour nos joueurs, mais aussi une façon de mettre une grosse pression sur l'adversaire... » Et sur l'arbitre ? « Sur ce sujet, poursuit l'entraîneur des arrières, on aimerait qu'il soit moins présent car, parfois, ça nous joue des tours. »

Jérémy Fernandez, le successeur

Le staff a beau assurer qu'il n'y a pas de hiérarchie, Jérémy Fernandez l'a bousculée. Très peu utilisé la saison passée, Fernandez joue autant en 2022 que Rory Kockott, la légende locale. Alors que c'était loin d'être acquis il y a encore quelques mois, Fernandez est aujourd'hui présenté comme son successeur. « Il a énormément progressé techniquement, explique Darricarrère. Il a beaucoup travaillé et progressé dans l'éjection du ballon, le jeu au pied et sa gestion des matches. »

« C'est parfois déroutant et frustrant »

Jérémy Fernandez, une des révélations de la saison castraise, raconte comment il vit au quotidien le turnover instauré par les entraîneurs du CO.
« Vous avez des temps de jeu assez similaires avec Rory Kockott et Santiago Arata : comment se passe cette gestion des demis de mêlée ?
Ça se passe bien, on le vit bien. On sait qu'il y a des rotations tous les week-ends, que ça tourne, que si un jour ça se passe moins bien, une autre chance te sera donnée peu de temps après.
Mais ça ne doit pas être facile à gérer. Un bon match ne vous garantit pas une place de titulaire la semaine suivante.
Oui, c'est vrai, car tu as envie d'enchaîner. C'est parfois déroutant et frustrant. Mais on est trois, on est toujours sous pression. La concurrence est saine. Mentalement et physiquement, on est bien, et l'infirmerie, on ne connaît pas.
Quand apprenez-vous la composition ?
Le jeudi matin, mais dès le début de la semaine, on sait qui jouera. On le voit pendant les séances.
Est-ce que les coaches justifient leur choix ?
Non, pas nécessairement. Après, quand tu fais un match très moyen, tu sais que tes chances de rester titulaire s'amenuisent.
En 2022, vous jouez autant que Kockott avec cinq titularisations chacun.
Je suis content, le travail paie. L'année dernière, je ne jouais pas beaucoup. Je suis allé voir les entraîneurs pour leur demander ce que je devais bosser. Et je suis encore plus gourmand. De me retrouver à jouer autant que Rory que j'admirais, et que je regardais quand j'étais jeune, c'est génial. Génial de dire qu'on rivalise un peu avec lui.
Qu'avez-vous travaillé ?
J'ai bossé l'endurance, l'explosivité, les premiers appuis, car je ne suis pas le plus rapide. Il y a ma passe aussi. Dans la semaine, dans le travail collectif, je dois faire plus de 80 passes, je m'accorde, disons, 10 passes ratées. Une passe ratée pour moi, c'est une passe qui n'atteint pas sa cible, ou qui n'arrive pas entre le bassin et la ligne d'épaule de l'ouvreur. Et puis j'ai évidemment bossé mon jeu au pied avec, comme pour la passe, la volonté d'avoir un minimum de déchet technique. Et franchement, c'est top de se dire que je suis récompensé de tous les efforts fournis. »

[ASM34]

On paie tellement tous les bonus largement à notre portée qu'on a foiré lamentablement...

A commencer par la défaite à Perpignan que nous portons comme un fardeau depuis quelques mois.

[Y&B]

En lisant le post de Pain au Chocolat, je viens de réaliser que l’horaire du match est un vrai scandale !
14h15 …. En pleine sieste …. Barbares va !

[dj0e]

On y va avec la grosse équipe. L'objectif est évidemment de jouer la gagne. Est-ce que ça va payer alors qu'il manque tant de joueurs blessés ?

[zeguest]

J ai cru comprendre que l arbitre auvergnat a pour consigne de mettre un rouge à Urdapelitta des le début du match et un jaune a un pilier. Ou l inverse je ne sais plus.
Fofana /Ezeala au centre c est du solide 😬😁

[Arverne03]

On y va avec la grosse équipe. L'objectif est évidemment de jouer la gagne. Est-ce que ça va payer alors qu'il manque tant de joueurs blessés ?

 

Euh..............

[PPR]

Par contre je viens de voir qu'on se tape un multirugby sur le match de 14h...
Pour voir un alléchant sf pau en plus ...
Franchement il faut vraiment qu'ils arrête les multirugby. J'ai enlevé rugby plus perso car le match en 360p je suis pas hyper fan

[kennaugh]

Et si...

[julien]

On y va avec la grosse équipe. L'objectif est évidemment de jouer la gagne. Est-ce que ça va payer alors qu'il manque tant de joueurs blessés ?

 

On y va avec les valides surtout...

[Ptolémée]

 

On y va avec les valides surtout...

 

valides et survivants , pas grand chose à espérer hormis croiser les doigts pour 

revenir sans d'autres blessés 

[Bad Zé]

valides et survivants , pas grand chose à espérer hormis croiser les doigts pour 
revenir sans d'autres blessés

Oui moi aussi j'espère croiser les doigts.
Si le Père bon dieu veut bien nous laisser le temps de prier.

[zeguest]

On croise les doigts et on ne décroise pas les ligaments

[Ptolémée]

On croise les doigts et on ne décroise pas les ligaments

 

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