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[GUY03]

Selon l'article de la constitution qui stipule qu'on ne peut empêcher la liberté fondamentale de tuer des animaux pour le plaisir ?

Débat passionnant mais irréel sur ce forum ... Lol

Aucune ville en France ne pourrait organiser une corrida , elle est interdite .  Dans certaines villes du Sud et du Sud-Ouest de la France la tauromachie est une pratique ancestrale fondée sur l'existence d'une tradition culturelle locale ininterrompue protégée par la Constitution .

Seuls les maires de ces villes peuvent interrompre cette tradition et la faire ainsi disparaître, comme ça a été le cas à Vichy en 1989 .

Donc ce projet de loi même adopté par les députés serait jugé anticonstitutionnel .

[RCV06]

Selon l'article de la constitution qui stipule qu'on ne peut empêcher la liberté fondamentale de tuer des animaux pour le plaisir ?

Même un moustique ?

[el landeno]

https://www.lequipe....-samedi/1365229

[el landeno]

Scott Robertson et Ronan O'Gara, l'interview croisée : « Tu deviens français, Ronan ! » Le Néo-Zélandais Scott Robertson et l'Irlandais Ronan O'Gara étaient réunis à Londres la semaine dernière pour diriger les Barbarians britanniques. L'occasion d'écouter l'entraîneur des Crusaders et celui du Stade Rochelais, réputés pour leur fort tempérament, sur leur vision du management.

Pressenti pour diriger les All Blacks, Scott Robertson (48 ans) accumule les titres en Super Rugby, compétition phare de l'hémisphère Sud, avec les Crusaders. Surnommé « Razor » (rasoir) depuis qu'il découpait ses adversaires en troisième ligne, il a apporté son enthousiasme et sa créativité à cette franchise mythique, perçue comme la « cathédrale » du rugby néo-zélandais.

 

 

 

Ronan O'Gara (45 ans) a, lui, permis au Stade Rochelais de remporter sa première Coupe d'Europe, compétition la plus relevée de l'hémisphère Nord, le 28 mai face au Leinster (24-21). Dimanche, ils coachaient en duo l'équipe des Barbarians britanniques qui l'a emporté face à l'équipe B des All Blacks (35-31). On a voulu comprendre pourquoi et comment ces deux tempéraments incandescents, si différents, parviennent à se nourrir mutuellement.

« Si pour vous présenter façon boxe, on disait : "À ma gauche, Scott Robertson, plus grand entraîneur de l'hémisphère Sud, et, à ma droite, Ronan O'Gara, le meilleur de l'hémisphère Nord." Cela résumerait qui vous êtes ?
(Robertson se marre. O'Gara, lui, affecte une mine mauvaise et tranche.) Non. Ce serait une injustice immense que de me comparer à Scott. Je ne fais que débuter. Lui, il a remporté le Super Rugby six fois de suite, ça n'a jamais été fait (en 2017, 2018, 2019 et 2022. Robertson comptabilise aussi l'édition 2021, disputée en Nouvelle-Zélande pour cause de pandémie. Celle de 2020 avait été annulée.). Scott, c'est le boss. Il enchaîne. Il confirme.

 

Scott Robertson célèbre le titre des Crusaders avec sa traditionnelle danse, au printemps 2022. (B.Cremel/L'Equipe)

 

 

« Les très grands joueurs sont égoïstes. Et j'aime ça chez eux

Ronan O'gara

 

 

 

Ronan O'Gara a-t-il toujours été aussi humble ?
Scott Robertson (S. R.) : J'apprécie cet hommage. Mais ce palmarès, Ronan y est associé (l'Irlandais a été son adjoint aux Crusaders en 2018 et 2019). Il a vu, ressenti les choses. Gagner, ça prend beaucoup de vous. Et la différence avec une défaite se joue à si peu. Un rien et vous êtes le perdant. Il faut un alignement des planètes.

Ronan O'Gara (R.O.G.) : Entre disputer et remporter une finale, l'écart est abyssal. À La Rochelle, on a perdu deux finales (le Top 14 et la Coupe d'Europe 2021). Il a fallu surmonter ça, se remettre en selle. Pas simple. Il a fallu procéder à une revue de détail, comprendre ce qui n'a pas fonctionné. Garder la conviction que ça finira par gagner. De l'extérieur, les gens te considèrent bizarrement. Parfois avec peur. Coacher, c'est être en alerte permanente. Le train de la victoire ne se présente qu'une fois par an. Parfois jamais pour certains.

Vous dites que « gagner des titres, ça prend beaucoup ». Au point d'amputer vos vies ?
S. R. : Mieux vaut voir le truc d'une manière positive, ce job nous porte, nous insuffle un max d'énergie. C'est génial d'accompagner des espoirs du centre de formation ou d'être au contact de vétérans du calibre de Sam Whitelock (All Black aux 141 sélections). On échange avec un président, un conseil d'administration. Ça réclame une énergie monstre. Le secret c'est d'aimer ça. Et de veiller à prendre du plaisir. Sinon on ne tient pas.

lire aussiSuper Rugby : Scott Robertson, le manager des Crusaders livre sa vision du jeu : « C'est du sport, on doit se marrer »

R.O.G. : J'ai connu le Super Rugby, une compète extraordinaire mais qui ne dure que six mois, ça permet de se régénérer mentalement. Le Top 14, c'est un tout autre animal, une bête sauvage. Après dix matches cette saison, je suis lessivé. On a tellement de choses à gérer. Il faut parvenir à réinsuffler un niveau d'exigence auprès de gars qui viennent de gagner. En sport, soit tu déclines, soit tu t'améliores. On cogite dur. L'équilibre est précaire. Tu dois être omniscient mais veiller à ne pas devenir un dictateur. Déléguer, ça conforte et ça rassure. Un bon coach permet à ses adjoints et aux joueurs de s'épanouir.

 

Ronan O'Gara (à g.) a remporté la Coupe d'Europe au printemps avec La Rochelle. (N.Luttiau/L'Equipe)

Donner une direction mais laisser les autres s'épanouir : où est l'équilibre ?
S.R. : C'est le coeur de la question, ça. Faut responsabiliser les gars, susciter chez eux l'envie de s'approprier le truc. Tout dépend du groupe que tu as en face de toi. Et de ta capacité à le faire évoluer au long de la saison. L'important, c'est de bien se connaître, savoir où sont tes forces et dans quel domaine progresser. Rester à l'écoute du ressenti des gens, aussi, pour s'améliorer. Ne jamais rester figé. Incarner un état d'esprit, le transmettre à tes relais dans le groupe. Attribuer à chacun des rôles de plus en plus importants, valorisants. Qu'ils se sentent grandir.

R.O.G : Impossible de dire "les joueurs". Ils sont tous tellement différents. Il n'y a pas un individu qui puisse être managé de la même manière. Chacun a ses petites manies (Robertson acquiesce), qu'il faut saisir de manière très individuelle. Les très grands joueurs sont égoïstes. Et j'aime ça chez eux : cette volonté permanente d'atteindre la performance optimale. C'est un égoïsme nécessaire. Car chacun de ces "super opérateurs" se voit comme un individu apte à rendre l'équipe meilleure. Un très grand joueur est non seulement capable d'assimiler tes conseils, mais aussi de les diffuser aux autres. Pas un jour, pas une réunion ne se ressemble. Et c'est un beau voyage que d'accompagner les gars dans leurs hauts et leurs bas. En cas de contre-performance, ce n'est pas la faute de l'un, on a tous failli. Sans être sur le terrain, je suis responsable de ce qui s'y passe.

lire aussiRonan O'Gara (manager de La Rochelle) : «Pour être respecté, il faut des titres»

S. R. : Le terrain est le reflet de ce qui se passe en dehors. C'est la pression et l'adversité qui font de toi un vrai leader, elles te révèlent à toi-même et aux autres.

Ronan O'Gara, vous nous disiez en plaisantant avant cet entretien : "Ma femme ne m'aime pas." (Robertson éclate de rire). Parce que vous ne pensez qu'à vos joueurs ?
R.O.G. : Sans l'ombre d'un doute. J'ai la chance d'avoir une épouse formidable et de super enfants. Je les aime. Je n'ai pas dû être de bonne compagnie ces quatre derniers mois. Comme la saison passée, sans doute, mais ces derniers temps c'est... Comment dire... (il cherche ses mots)... Je ne dirais pas colérique mais d'humeur changeante, volatile...

S. R. : Tu deviens français, Ronan ! (Ils se tordent de rire.)

Vous connaissez ça, vous avez joué à Perpignan (2003-2006)...
S. R : Les saisons en Top 14 sont ultra longues, neuf mois pendant lesquels il se passe tellement de trucs... Dans le Super Rugby, on ne vire pas les entraîneurs. Tu peux finir dernier et te dire qu'il te reste deux ans de contrat. En Top 14, tu découvres que tu es viré avant même d'en être informé officiellement. Le Super Rugby a changé depuis l'époque où les franchises sud-africaines y participaient. Mais les derbys néo-zélandais restent ultra durs. Un peu comme Toulouse-La Rochelle chez vous. Quand tu dois jouer les Chiefs, puis les Blues, avec parfois une douzaine de All Blacks qui s'affrontent sur le terrain, ça donne des matches engagés, brutaux. La différence, c'est qu'on ne joue pas neuf mois. Ronan doit gérer les changements météo, les blessures... Un tas d'aléas qui vous consument. Il a permis à La Rochelle de décrocher son premier titre européen cette année. Contre toute attente, en plus. Chapeau ! Nous, aux Crusaders, on porte le statut de favori chaque saison. C'est notre défi personnel.

« Le terrain ne représente qu'une partie de nos existences, l'équilibre de vie reste vital

Scott Robertson

 

 

 

Entraîner en Top 14 ou en Super Rugby ça n'a rien à voir ?
R.O.G. : Déjà par le simple fait de penser en anglais et de s'exprimer en français. Ça crée un delta d'entrée. Au mieux, mon discours ne sera que moyen, en raison de la déperdition de sens. Un mot mal ajusté et je suis mort. Si je dis "on aurait pu gagner (il s'exprime en français), je perds la nuance qu'il y a en anglais entre "we could have" (on aurait pu) et "we should have" (on aurait dû). Vous saisissez le truc ?

 

Scott Robertson et Ronan O'Gara. (B.Cremel/L'Equipe)

On vous sent frustré...
R.O.G. : Naaan, mais nous autres Irlandais, pour impliquer et inspirer les joueurs, on a besoin de leur raconter des histoires. Les Néo-Zélandais sont pareils : aux Crusaders, la pause-café était propice à de grandes conversations, des débats. En anglais je suis à l'aise, le français reste un challenge. Un ancien joueur m'a dit un jour : "Ah, tu ne comprends pas" (il s'exprime en français). "P... Bien sûr que je comprends." La barrière de la langue lui servait de porte de sortie. Elle a surtout révélé un dysfonctionnement de communication préjudiciable. Je n'aime pas qu'on se trouve des excuses, des faux-semblants.

S. R. : Le terrain ne représente qu'une partie de nos existences, l'équilibre de vie reste vital. Ça crée un dilemme intérieur : tu te demandes pourquoi tu dois redire les mêmes choses, repasser par des routes que tu as déjà empruntées. Tu le fais parce que tu aimes ça. Tu te dis que ça peut aboutir à de grandes choses, à un truc bien plus grand que toi.

Tous deux vous avez l'air bien essorés...
R.O.G. : Non, je pense que le public français a pigé ma passion pour le rugby. J'ai un amour inconditionnel pour ce jeu qui m'a offert toutes les émotions possibles. En plus, je suis compétiteur. J'aime trouver le meilleur en moi et chez les autres. À ce titre, mon passage aux Crusaders a été une étape cruciale dans mon évolution.

 

Ronan O'Gara entraîne au sein du Stade Rochelais depuis juin 2019. (R. Perrocheau/L'Équipe)

Quelle était votre quête en allant en Nouvelle-Zélande, qu'avez-vous trouvé aux Crusaders ?
R.O.G. : J'ai quasiment tout appris de moi là-bas. J'ai été challengé dans toutes les dimensions par Angus Gardiner (le manager général), par "Razor" et ses adjoints. J'y ai gagné beaucoup de confiance. Il me fallait me confronter à l'aura rugbystique de ce pays. La démystifier. Pour ça, le travail ne suffit pas, il faut être accepté par les gens, les comprendre. Embarqué dans le staff des Crusaders, j'ai vu les choses comme d'un hélicoptère.

Et vous, Scott, quel a été votre sentiment quand Ronan vous a demandé de venir ?
S. R. : J'aime à intégrer dans mon staff des gens avec une vision différente, ayant vécu d'autres expériences. Je suis un optimiste, j'aime voir le bon côté des choses. Ronan, lui, sait entrevoir ce qui pourrait arriver de pire (il rit). On s'équilibre bien. Il avait beaucoup de "mana" (terme maori qui signifie l'aura) auprès des joueurs. Grâce à son regard, on a fait évoluer notre défense, doublé les entraînements des coups de pied... Sa différence nous a nourris, permis de voir le jeu d'une manière nouvelle. Sa personnalité nous a apporté un grand plus.

lire aussiRonan O'Gara et Scott Robertson à la tête des Barbarians en novembre

R.O.G : J'ai eu le privilège de vivre une expérience magnifique, avec des joueurs tels que Kieran Read, Owen Francks, Matt Todd, Ryan Crotty, Tous d'une grande intelligence et d'une capacité de travail impressionnante. C'est précieux de pouvoir s'appuyer sur de tels leaders.

Comment résumeriez-vous l'autre en trois mots ?
R.O.G : Scott est créatif, loyal et joyeux. Sa vibration positive est contagieuse. Il te refile des endorphines.

S. R. : Ronan est profond dans ses réflexions. Passionné. Et... (comme il hésite, O Gara lui souffle "driven" qu'on pourrait traduire par "habité" en français). Oui, c'est ça exactement.

[Bon Chasseur]

Festival offensif ce weekend contre les Japonais à Toulouse ou non ?

https://www.lerugbyn...-1611221140.php

[Arverne03]

Festival offensif ce weekend contre les Japonais à Toulouse ou non ?

https://www.lerugbyn...-1611221140.php

 

A priori, victoire acquise au regard des dernières performances Japonaises. Il me semble que ces derniers ont jeté toutes leurs forces dans la rencontre contre la Nouvelle-Zélande. 

[julien]

Festival offensif ce weekend contre les Japonais à Toulouse ou non ?

https://www.lerugbyn...-1611221140.php

 

avec la pluie, le peu de turnover, une équipe du Japon accrocheuse, je vois plutôt un match compliqué.

[marco43]

 

avec la pluie, le peu de turnover, une équipe du Japon accrocheuse, je vois plutôt un match compliqué.

un match qui risque d'être quelque peu bridé, espérons quand même que les français auront la niaque

[Bon Chasseur]

 

avec la pluie, le peu de turnover, une équipe du Japon accrocheuse, je vois plutôt un match compliqué.

C'est vrai en plus: y a la pluie. Des Japonais courageux. La fatigue du dernier match de la série. Le turnover des joueurs. Trop d'assurance...

Aller je mise sur 50 pions des Bleus.

A priori, victoire acquise au regard des dernières performances Japonaises. Il me semble que ces derniers ont jeté toutes leurs forces dans la rencontre contre la Nouvelle-Zélande. 

Ces Japonais sont superbes à domicile.

A domicile.

A l'extérieur, ils continuent de se prendre des roustes (enfin sauf si c'est Novès l'entraîneur et que le match se joue à Nanterre.....)

[julien]

Le programme TV :

 

SAMEDI  19 NOVEMBRE 2022

 

14:00     ITALIE                       AFRIQUE DU SUD L'EQUIPE

14:00     PAYS DE GALLES   GEORGIE beIN 2

16:15     ECOSSE                  ARGENTINE L'EQUIPE

18:30     ANGLETERRE         NOUVELLE-ZELANDE L'EQUIPE

21:00     IRLANDE                  AUSTRALIE beIN 3

 

DIMANCHE 20 NOVEMBRE 2022 

            

14:00    FRANCE                   JAPON   FRANCE 2

[Eria]

entre les procureurs, les pros libellules, les anti coco rida ,l'amitié Roberston  ROG, ce topic part en vrille...

 

Julien donne nous la météo STP! qu'on recentre le débat...

[Milian]

"Tournée d'automne", ça a un gout de vacance un peu comme titre de topic, du coup, on peut parler de tout et de rien 

[Jesus Hans Hubert Vorme]

Avant de penser à la CDM, il faudra gagner chez les Anglais pendant le tournoi

Il faut toujours penser à gagner contre les anglais.

[julien]

Lavanini et Delguy titulaires avec l'Argentine.

[exilé-sud-ouest]

 

avec la pluie, le peu de turnover, une équipe du Japon accrocheuse, je vois plutôt un match compliqué.

Angleterre 52 - Japon 13.......