Le problème d'Urios c'est qu'il préfère les travailleurs qui s'investissent aux vrais talents peut-être un peu trop flemmards. Ce qui peut s'entendre, sauf qu'un joueur peut être courageux et vaillant, s'il est limité, ça va être dur de le faire progresser passé un certain âge. En revanche, les talents désinvoltes, si on s'y prend bien, on peut les faire travailler et leur donner la niaque. La différence de niveau entre nos lignes arrières et celles des autres est gênante...
Ça rentre dans ses principales prérogatives : premièrement redonner au club la culture travail, l'esprit d'équipe et une identité de besogneux. C'est en soit plutôt positif quand on connait les largesses passées et ce aussi pourquoi on se casse encore pas mal la gueule.
Le truc étant qu'on a un déficit physique flagrant. Est-ce que les mecs sont à bouts ? Est-ce que le mental est dans les chaussettes ?
Et ça peut se comprendre, un match comme Bordeaux, qui se passe relativement bien sur 20/30 minutes (en tous cas pas largués) mais qui ne donne rien offensivement, les mecs ont l'air d'avoir abandonné face à leur propre impuissance avant de craquer complet ... On pratique un jeu de costauds mais sans les muscles et sans l'effectif en nombre et le bon roulement de JIFFS ...