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[GUY03]

Sur un porté, il a cassé les deux bras de sa partenaire  

Il avait juste oublié qu'il dansait avec sa soeur.

[Codorplusàvie]

Sur un porté, il a cassé les deux bras de sa partenaire  

Logique.
C'est pas un petit mec non plus.

[Lima]

Ben non. Faudrait trouver un post élogieux sur Urios...

C'est pas la majorité, mais il y en a. Et il y a aussi tous ceux qui s'insurgent dès qu'on émet la moindre critique ou le moindre avis, même constructif, sur le club, un joueur etc.

 

Enfin c'est pas très grave mais la situation du club depuis quelques mois (années) ne rend pas le forum très agréable !

[Alex chocolatines]

Ben non. Faudrait trouver un post élogieux sur Urios...

T'en veux des éloges ?

 

J'adore ses expressions au père Urios ; le "slow avec ta soeur" est rentré directement dans mon top 10 

[Buckaroo]

Je viens de découvrir qu'il y a un article consacré à Urios dans le Monde (ou du moins sur le site Internet du Monde). Un abonné aurait-il la gentillesse de le partager ?

 

En échange, si d'aventure Minute publie un jour un article consacré au club, je serai heureux de renvoyer l’ascenseur en le partageant.

 

T'en veux des éloges ?

 

J'adore ses expressions au père Urios ; le "slow avec ta soeur" est rentré directement dans mon top 10 

Ce n'est pas de lui, mais de Maradona.

[Alex chocolatines]

Je viens de découvrir qu'il y a un article consacré à Urios dans le Monde (ou du moins sur le site Internet du Monde). Un abonné aurait-il la gentillesse de le partager ?

 

En échange, si d'aventure Minute publie un jour un article consacré au club, je serai heureux de renvoyer l’ascenseur en le partageant.

 

Ce n'est pas de lui, mais de Maradona.

Eh ben je trouve que Urios raconte mieux 

[Lima]

Je viens de découvrir qu'il y a un article consacré à Urios dans le Monde (ou du moins sur le site Internet du Monde). Un abonné aurait-il la gentillesse de le partager ?

 

En échange, si d'aventure Minute publie un jour un article consacré au club, je serai heureux de renvoyer l’ascenseur en le partageant.

 

Ce n'est pas de lui, mais de Maradona.

Rugby : Christophe Urios, un « mec simple » qui a remis Clermont sur les rails

 

Arrivé en Auvergne en 2023, l’ex-coach de Castres et de Bordeaux-Bègles a ramené l’ASM en haut du classement du Top 14 avant son déplacement sur la pelouse du Leinster, samedi, en Champions Cup, la coupe d’Europe.

 

Quand il est à proximité d’un ballon de rugby, Christophe Urios est toujours en short. Le coach clermontois ne déroge jamais à sa règle vestimentaire, que ce soit pour diriger une séance collective en fin de matinée, pour animer un échange avec les supporteurs à la nuit tombée ou pour retracer le fil de sa carrière durant une quarantaine de minutes entre les deux, au dernier étage du stade Marcel-Michelin, antre de l’ASM Clermont Auvergne.

 

C’est aussi en short qu’il a assisté au succès de ses troupes face aux Italiens de Trévise, samedi 7 décembre, pour leur premier match de Champions Cup (28-0), la coupe d’Europe. Malgré la victoire, l’ex-talonneur « s’est emmerdé », agacé par le manque d’engagement de son équipe. Et en plus, il a « eu froid ».

 

 

Il ne devrait pas avoir beaucoup plus chaud quand il prendra place au bord de la pelouse de l’Aviva Stadium de Dublin, samedi 14 décembre à 18 h 30, pour la rencontre face au Leinster, finaliste de la dernière édition de la compétition. Le Leinster, presque une équipe d’Irlande bis, qui inspire « excitation » et « trouille » à l’entraîneur de 58 ans. Mais même une correction ne viendrait pas ternir la bonne dynamique sur laquelle surfe son club.

 

Clermont est en effet sur une série de quatre victoires consécutives et se retrouve à la troisième place du championnat de France après onze journées. La routine ou presque pour l’ASM du début du siècle, qui a toujours terminé dans les quatre premiers entre 2007 et 2017. Beaucoup moins pour le club de ces dernières années, plus habitué aux déceptions qu’aux phases finales. Le club auvergnat en viendrait presque à regretter de ne plus être comparé inlassablement à Raymond Poulidor pour sa tendance à perdre les finales du Top 14 (12 sur 14).

 

Christophe Urios, lui, sait gagner. A Oyonnax (Ain), il a remporté le titre de deuxième division en 2013 avant d’emmener les Aindinois à des improbables phases finales du Top 14. La « plus belle expérience » du natif de Montpellier, plus encore que le bouclier de Brennus remporté avec le Castres Olympique au terme de la finale 2018, ou le début de saison en fanfare de l’Union Bordeaux-Bègles lors de la saison 2019-2020, fauché dans son élan par l’épidémie de Covid-19 alors qu’il caracolait en tête du Top 14.

 

« Rien de plus important que le collectif »

 

Christophe Urios est un entraîneur aux méthodes intangibles. « Il dit toujours la vérité en face, et pour lui il n’y a rien de plus important que le collectif. Même quand il y a des stars dans l’effectif », explique Benjamin Urdapilleta, fidèle parmi les fidèles, qui l’a suivi à Oyonnax, à Castres (Tarn) et à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme). En neuf saisons passées sous ses ordres, l’ouvreur argentin s’est fait une bonne idée de ce qu’il faut faire, et surtout ne pas faire avec son coach. « Si tu rigoles les jours de match, il ne va pas du tout apprécier, et penser que tu n’es pas concentré, s’amuse-t-il. Mais quand tu apprends à le connaître, tu comprends qu’il cherche juste à être exigeant tout le temps pour les bonnes raisons. »

 

Parmi les points non négociables : le travail. « Je peux avoir de la sympathie pour des gens qui donnent tout sans y arriver. Mais un mec qui a un énorme potentiel et qui triche dans l’engagement, ça me rend dingue », affirme l’entraîneur. Ecarté de son poste à Bordeaux en novembre 2022 après une série de mauvais résultats, il pensait trouver un club en accord avec sa vision en posant ses valises en Auvergne deux mois plus tard. « A chaque fois que je venais jouer à Clermont, je me disais que c’était la classe. J’étais impressionné », se souvient Christophe Urios. Et aujourd’hui ? « Beaucoup moins ! »

 

L’entraîneur a vite déchanté en arrivant : « Je trouvais que ça ne travaillait pas si dur que ça au club. Cela a été un choc. On bossait deux fois plus aux endroits d’où je venais. Il manquait de la stabilité, du sens dans un projet. C’était casse-gueule, et je venais déjà de me casser la gueule, donc je n’avais pas envie de recommencer. Si j’avais su la vraie situation du club, je me serais posé des questions avant de signer. »

 

Il a fallu « faire le ménage ». Reconstruire un vestiaire en y incorporant de nouveaux cadres tout en en écartant d’autres. Ça tombe bien, c’est le point fort de Christophe Urios. « C’est un bâtisseur, un vrai, confirme Thierry Emin, vice-président de l’Oyonnax Rugby. Il parvient rapidement à s’approprier la culture et l’environnement d’un club et associe tout le monde à la réussite. » Même tonalité du côté de Pierre-Yves Revol, président du Castres olympique : « Il a le souci permanent d’optimiser la performance collective de son groupe. C’est devenu un chef de meute qui aime rassembler. 

 

Un fin communicant, mordu de management

 

Lui se qualifie de « mec simple » qui « ne cherche pas la lumière ». Mais difficile de s’en tenir éloigné quand on multiplie les saillies face aux médias. La dernière date de début décembre, après une victoire contre Castres. « Quand tu gagnes à l’extérieur et que tu n’arrives pas à gagner chez toi, c’est comme danser un slow avec ta sœur, ça ne sert à rien en fait », assurait Christophe Urios, reprenant à sa façon une déclaration du footballeur argentin Diego Maradona.

 

Derrière ses airs rugueux, se cache un fin communicant et un mordu de management, qui a écrit deux livres sur ce sujet. Le reste de son temps libre est consacré au vin, Christophe Urios étant propriétaire d’un domaine viticole à Pépieux (Aude).

 

Christophe Urios peut aussi te targuer d’être celui qui a lancé Antoine Dupont dans le monde professionnel, en 2014 à Castres. Ses fins de contrat ont été moins mémorables. Avant d’être évincé de Bordeaux, il avait claqué la porte à Castres, sans passer par la traditionnelle case du barbecue de fin de saison, vexé que son équipe ait manqué la qualification pour les phases finales lors de la dernière journée. « Il a tellement horreur de l’échec qu’il peut le vivre comme une trahison de ses joueurs plutôt que le résultat d’une aventure conjointe dont il est partie prenante », explique Pierre-Yves Revol, qui assure néanmoins être « en admiration devant son parcours ».

 

Du côté d’Oyonnax, on a longtemps regretté son départ, d’autant qu’il a embarqué avec lui plusieurs membres du staff et des joueurs. « Il ne se retourne pas quand il part », résume Thierry Emin. L’ex-talonneur regarde devant, et a un seul objectif : « faire en sorte que l’ASM remarche sur la Lune. » Une fois la mission terminée et le short d’entraîneur remisé au vestiaire à la fin de sa carrière, il se verrait bien poursuivre dans le monde des médias.

[Buckaroo]

Merci beaucoup Lima !

[Bad Zé]

C'est pas la majorité, mais il y en a. Et il y a aussi tous ceux qui s'insurgent dès qu'on émet la moindre critique ou le moindre avis, même constructif, sur le club, un joueur etc.
 
Enfin c'est pas très grave mais la situation du club depuis quelques mois (années) ne rend pas le forum très agréable !

Oui c'est pas très grave. Mais faut pas non plus inverser la tendance. Car des messages pro Urios il y en a pas ou très peu. Le défendre un peu dans un post ne constitue un message pro Urios, mais visent plutôt à relativiser et à recontextualiser son action la plupart du temps.
Et entre s'insurger à la moindre critique et le déluge anti Urios du forum, qu'il soit au 1er ou 2eme degré, avec un humour bien senti ou pas... il y a des bornes.

[Murena]

Oui c'est pas très grave. Mais faut pas non plus inverser la tendance. Car des messages pro Urios il y en a pas ou très peu. Le défendre un peu dans un post ne constitue un message pro Urios, mais visent plutôt à relativiser et à recontextualiser son action la plupart du temps.
Et entre s'insurger à la moindre critique et le déluge anti Urios du forum, qu'il soit au 1er ou 2eme degré, avec un humour bien senti ou pas... il y a des bornes.

Je rajouterai que réduire le forum au pro ou anti Urios, c'est un peu manichéen. Il y a de tout. Des avis tranches d'autre modérés. Il y a des critiques constructives, qui s'entendent et inversement, certains pointent aussi ses réussites et ses qualités, sans pour autant être fermé à des points de vue qui remettent en question certaines méthodes.

C'est justement la pluralité des points de vue qui donne sans doute l'image la plus juste...

Oui Urios peut être clivant, mais on peut aussi constater qu'il est extrêmement fédérateur aussi. Il est particulièrement exigeant au point d'user certains et à la fois, il va tirer le meilleur des autres. C'est un habile communiquant mais qui peut aussi se montrer sincère et sans filtre. Nous avons tous nos paradoxes, c'est ainsi...

Bref, il n'est pas tout blanc ou tout noir, et ça vaut aussi sur le forum. Ce n'est pas parce que certains critiques qu'ils ne voient pas les qualités d'Urios et inversement.

Par contre, le débat doit rester le plus respectueux des avis de chacun et si nous avons tous notre part de véracité, elle n'est jamais absolue, c'est une nuance importante...

[nelsTDM63]

Ce n'est pas une critique bête et méchante envers ce staff car chacun a son avis et sa façon de faire mais personnellement je pense qu'ils pourraient mettre de l'eau dans leur vin. Urios l'a dit lui même en parlant notamment de Aucagne, il veut des mecs déjà prêts, pas des mecs qu'il faut encore accompagner (je n'ai plus le terme exact utilisé en tête mais je suis sûr que l'un d'entre vous l'aura). 

Et ca se défend comme point de vue bien sûr ! Mais quand on est engagés sur un projet à long terme et qu'on a la chance, comme ce staff, d'avoir quasi carte blanche sur 3 ans sans nécessité de résultats probants à court terme, je trouve ça dommage de ne pas en faire plus. Bien sûr que 99% des jeunes chez nous ne sont pas des cracks, mais quand on arrête pas de dire (Pats) que le club est au taquet du Salary Cap et doit trouver des solutions, avoir un groupe un peu plus restreint et faire monter ne serait-ce que 4-5 jeunes en plus pour jouer les deuxièmes ou troisièmes choix, je pense que ca serait plus valorisant pour tout le monde. 

 

Je pense qu'on est tous d'accord pour dire que Giral n'est pas un crack. Mais s'il est arrivé jusque là, ca ne peut pas être une tanche non plus. Ou alors comme ça a été dit dans certains messages précédents, il y a une vrai faute de management de le garder depuis 3 ans dans le groupe pro. 

 

C'est un débat qui a animé ce topic cette semaine et je vais remettre une pièce dans le jukebox.

Mais sur ses 70min aujourd'hui, je n'ai pas eu la sensation que Giral était en dessous du niveau moyen de l'équipe. Et pourtant il rentre dans des conditions qui en sont pas simple et à un poste qui n'est pas le sien.

 

Alors attention, ca n'en fait pas une vérité générale, il n'a pas non plus été étincelant au point de bousculer la hiérarchie et ca ne prouve rien car ce ne sont que 70mins, mais ca reste 70mins de facture très correctes pour un troisième choix tricard sans rythme, sans confiance et quasi sans expérience. 

 

Les deux blessures de Moala et Fouyssac ne laissent présager rien de bon à en croire La Montagne. J'espère qu'elles bénéficieront à nos jeunes : Belaubre et donc peut-être Giral plutôt au centre qu'en 10, ou Fall à l'aile avec un replacement de Tauzin au centre. 

 

 

Et enfin, pour revenir sur un autre débat qui a fait rage toute la saison dernière, en ce début de saison et même ce weekend entre ceux qui trouvaient que Urios et son staff faisaient au mieux avec ce qu'ils avaient et ceux qui étaient sceptiques (voire anti) sur la méthode Urios et qui trouvaient qu'un autre staff pouvait mieux exploiter ce groupe (dont je fais/faisais partie)... bah je dirais qu'on avait tous en partie raison et en partie tord. 

 

Depuis qu'il a changé ses habitudes (ce n'est pas une rumeur, un on-dit ou un ressenti puisqu'il l'a lui-même dit) avant Bordeaux avec cette mise au vert et cette approche tactique différente, on a lancé une vraie bonne dynamique, un groupe semble être né et beaucoup plus de monde semble être embarqué. Alors oui Urios peut finalement peut-être bien être l'homme de la situation (même s'il me semble raisonnable vu son passé de garder quelques réserves sur le long terme) et là-dessus vous aviez raison. Mais s'il n'avait pas mis de l'eau dans son vin, je pense que tout ça ne se serait pas passé, ou à minima que ça a été l'élément déclencheur de ce dernier vrai bon mois. 

 

Quoiqu'il en soit, on semble enfin un peu avancer. C'est tout ce qui compte. 

[Arverne03]

 

C'est un débat qui a animé ce topic cette semaine et je vais remettre une pièce dans le jukebox.

Mais sur ses 70min aujourd'hui, je n'ai pas eu la sensation que Giral était en dessous du niveau moyen de l'équipe. Et pourtant il rentre dans des conditions qui en sont pas simple et à un poste qui n'est pas le sien.

 

Alors attention, ca n'en fait pas une vérité générale, il n'a pas non plus été étincelant au point de bousculer la hiérarchie et ca ne prouve rien car ce ne sont que 70mins, mais ca reste 70mins de facture très correctes pour un troisième choix tricard sans rythme, sans confiance et quasi sans expérience. 

 

Les deux blessures de Moala et Fouyssac ne laissent présager rien de bon à en croire La Montagne. J'espère qu'elles bénéficieront à nos jeunes : Belaubre et donc peut-être Giral plutôt au centre qu'en 10, ou Fall à l'aile avec un replacement de Tauzin au centre. 

 

 

Et enfin, pour revenir sur un autre débat qui a fait rage toute la saison dernière, en ce début de saison et même ce weekend entre ceux qui trouvaient que Urios et son staff faisaient au mieux avec ce qu'ils avaient et ceux qui étaient sceptiques (voire anti) sur la méthode Urios et qui trouvaient qu'un autre staff pouvait mieux exploiter ce groupe (dont je fais/faisais partie)... bah je dirais qu'on avait tous en partie raison et en partie tord. 

 

Depuis qu'il a changé ses habitudes (ce n'est pas une rumeur, un on-dit ou un ressenti puisqu'il l'a lui-même dit) avant Bordeaux avec cette mise au vert et cette approche tactique différente, on a lancé une vraie bonne dynamique, un groupe semble être né et beaucoup plus de monde semble être embarqué. Alors oui Urios peut finalement peut-être bien être l'homme de la situation (même s'il me semble raisonnable vu son passé de garder quelques réserves sur le long terme) et là-dessus vous aviez raison. Mais s'il n'avait pas mis de l'eau dans son vin, je pense que tout ça ne se serait pas passé, ou à minima que ça a été l'élément déclencheur de ce dernier vrai bon mois. 

 

Quoiqu'il en soit, on semble enfin un peu avancer. C'est tout ce qui compte. 

 

Oui, de l'extérieur c'est le "ressenti" comme ils disent à la météo ! 

[Alex chocolatines]

 

Oui, de l'extérieur c'est le "ressenti" comme ils disent à la météo ! 

Voui et puis c'est à la fin du marché qu'on compte les bouses non ? 

[Borromyr]

Sur un porté, il a cassé les deux bras de sa partenaire

Ils ont du oublier qui devait porter l'autre ...

[Tibaldo]

https://www.rugbyram...le-12392799.php

 

Enfin un travail journalistique pertinent?

 

J'ai envie de dire, errare humanum est perseverare diabolicum...

 

Non pas que tester Simone au poste de 10 actuellement soit totalement incongru...Mais s'entêter avec Urda et ne pas donner sa chance à Giral voilà le problème..

 

Simon en remplaçant polyvalent pourquoi mais Giral devrait être privilégié, d'ailleurs on pourrait les associer 10/13

 

Si quelqu'un a l'article ça m'intéresse!

 

Je pense que Simone peut dépanner, il a une présence physique et peut faire le passe plat, mais l'enjeu c'est de voir Giral à ce poste

 

J'aimerais bien connaître par quelles circonvolutions Urios va nous expliquer la situation plus que foireuse à ce poste