731 replies to this topic

[Ptolémée]

 

Merci de l'info

 

de rien ..

[el landeno]

Ah que nenni !
Mais j'avais en tête les 5 ballons qu'on leur pique.



C' est un pari sur un jeune à potentiel donc il va falloir attendre un peu comme tu dis.
Et je me répète mais Ceyte à son âge, je doute fortement que les recruteurs de l'époque auraient parié un kopec sur lui sur son avenir pro.

était excellent pendant son année passée à Dax

[Codorplusàvie]

était excellent pendant son année passée à Dax

Certes, mais à 22 ans il était encore à Aubenas en fédérale 1.

[ELSAZOAM]

"C'était la deuxième ligne idéale" : avant La Rochelle - ASM, l'histoire de la brève association de rêve Skelton-Simmons avec l'Australie

 

Avant de se retrouver, ce samedi, Rob Simmons et Will Skelton auraient pu composer une deuxième ligne rêvée. Mais des aléas ont empêché l’éclosion de cet attelage sous le maillot australien. Explications.

 

Rob Simmons et Will Skelton figurent parmi les dignes représentants de la riche et glorieuse histoire des deuxièmes lignes australiens. Aux côtés des John Eales, des Matt Cockbain ou des Nathan Sharpe, les deux joueurs ont su perpétuer cette glorieuse tradition au sein des Wallabies. Tous deux issus de la même génération (ils n’ont seulement que trois ans d’écart), le Clermontois Rob Simmons et le Rochelais Will Skelton n’ont pourtant que peu évolué ensemble sous la tunique dorée de l’Australie.

 

La doublette n’a ainsi été titularisée qu’à quatre reprises (Australie - France en juin 2014, Australie - Afrique du Sud et Argentine - Australie en juillet 2015, Australie - Angleterre en juin 2016). Pourtant, leurs profils différents auraient pu former un attelage très complémentaire.

 

Un virage en Angleterre qui a tout changé

Folau Fainga’a, talonneur à l’ASM, a évolué à leurs côtés avec les Wallabies. Il se souvient de ce qu’ils pouvaient apporter l’un et l’autre à la sélection.

 

« Il y en a un qui est une boule de démolition (Will Skelton) et l’autre qui est un véritable maître tacticien (Rob Simmons). Évoluer avec Rob en équipe nationale m’a permis d’avoir confiance en moi. Will est quelqu’un qui dirige par l’exemple. On doit juste se contenter de le suivre quand il avance. Et on le fait avec beaucoup d’envie. »

Mais voilà, une carrière de rugbyman est faite de mouvements. Alors qu’il avait lancé la carrière internationale de Will Skelton à l’été 2014 face à la France, Michael Cheika a été confronté au règlement de la fédération australienne trois ans plus tard. Le solide deuxième ligne a en effet choisi de continuer sa carrière en Angleterre, du côté des Saracens, et n’était donc plus éligible. Le sélectionneur a dû de fait tirer un trait sur une association qu’il pensait déjà idéale.

 

"Très complémentaires"

« L’un de mes plus grands regrets d’entraîneur est de ne pas avoir pu garder Will en équipe nationale, nous explique Michael Cheika. C’est un très bon mec que je connaissais déjà pour l’avoir coaché avec les Waratahs. Rob a lui été très constant pendant sa carrière avec les Wallabies (106 capes de 2010 à 2020). S’ils avaient pu jouer plus souvent ensemble, ils auraient été très complémentaires. Ils auraient eu en tout cas énormément plus de sélections en commun. C’est une certitude. C’était, je pense, la deuxième ligne idéale ». Lors de la Coupe du monde 2015 en Angleterre, Michael Cheika partait en tout cas dans l’idée d’en faire l’attelage titulaire. Mais une blessure de l’actuel Rochelais a contraint le sélectionneur à revoir ses plans en milieu de compétition.

 

 

Plusieurs années plus tard, l’actuel entraîneur de Leicester a cependant pris plaisir à voir évoluer ses deux anciens soldats. Et finalement, leurs deux registres se sont peut-être rapprochés.

 

« Il y aura toujours une différence entre les deux. Mais c’est étrange, ils évoluent maintenant un peu plus dans le même registre. Will Skelton a beaucoup misé sur sa puissance au début de sa carrière. Mais avec la maturité, il est devenu très intelligent. Je trouve qu’il effectue de très bons choix. Avec Rob, c’est plus l’inverse. Il a commencé sa carrière en axant son jeu sur ses gros points forts que sont la touche, le domaine aérien et l’organisation du pack. Il est devenu plus puissant plus tard dans sa carrière. Finalement, ils sont devenus tous les deux plus complets en prenant des voies différentes. »

 

La croisée des chemins sera ce samedi, du côté de La Rochelle.

 

Arnaud Clergue (LM - 20/12/24)

[sly86]

Si j 'osais , je dirais que c 'est une arme de haut vol pour le collectif !

 

Les mecs du Leinster et leur talon en ont perdu le Nord entre lui , Tix , parfois Yato !

 

Très content de sa prolongation....

 

En marge je suivis tout frais moulu et reposé Rixen , et beh mazette  , très déçu , il marche ne sert pas à grand chose , même peut-être en mêlée aussi ..incroyable ce décalage !

 

Je comprends mieux pourquoi, Urios lui préfère Yato , un monde les sépare et ça m 'inquiète à ce point là , pour la suite...il avait là l 'occase unique de se montrer ; aie aie , s'il ne se bouge pas le fion , on est pas prêt de le revoir !

Après re visionnage, je te conseillerai d’en faire autant, ton jugement sur rixen me paraît erroné et même assez injuste…

il ne marche pas et se replace dans le même rythme que les autres, ce qui est un bien car être replacé avant les autres c’est crée des décalage pour l’adversaire, bref, pas comprit tes grief contre lui sur les 20 minutes qu’il a eu à faire…

[exilé-sud-ouest]

"C'était la deuxième ligne idéale" : avant La Rochelle - ASM, l'histoire de la brève association de rêve Skelton-Simmons avec l'Australie

 

Avant de se retrouver, ce samedi, Rob Simmons et Will Skelton auraient pu composer une deuxième ligne rêvée. Mais des aléas ont empêché l’éclosion de cet attelage sous le maillot australien. Explications.

 

Rob Simmons et Will Skelton figurent parmi les dignes représentants de la riche et glorieuse histoire des deuxièmes lignes australiens. Aux côtés des John Eales, des Matt Cockbain ou des Nathan Sharpe, les deux joueurs ont su perpétuer cette glorieuse tradition au sein des Wallabies. Tous deux issus de la même génération (ils n’ont seulement que trois ans d’écart), le Clermontois Rob Simmons et le Rochelais Will Skelton n’ont pourtant que peu évolué ensemble sous la tunique dorée de l’Australie.

 

La doublette n’a ainsi été titularisée qu’à quatre reprises (Australie - France en juin 2014, Australie - Afrique du Sud et Argentine - Australie en juillet 2015, Australie - Angleterre en juin 2016). Pourtant, leurs profils différents auraient pu former un attelage très complémentaire.

 

Un virage en Angleterre qui a tout changé

Folau Fainga’a, talonneur à l’ASM, a évolué à leurs côtés avec les Wallabies. Il se souvient de ce qu’ils pouvaient apporter l’un et l’autre à la sélection.

 

« Il y en a un qui est une boule de démolition (Will Skelton) et l’autre qui est un véritable maître tacticien (Rob Simmons). Évoluer avec Rob en équipe nationale m’a permis d’avoir confiance en moi. Will est quelqu’un qui dirige par l’exemple. On doit juste se contenter de le suivre quand il avance. Et on le fait avec beaucoup d’envie. »

Mais voilà, une carrière de rugbyman est faite de mouvements. Alors qu’il avait lancé la carrière internationale de Will Skelton à l’été 2014 face à la France, Michael Cheika a été confronté au règlement de la fédération australienne trois ans plus tard. Le solide deuxième ligne a en effet choisi de continuer sa carrière en Angleterre, du côté des Saracens, et n’était donc plus éligible. Le sélectionneur a dû de fait tirer un trait sur une association qu’il pensait déjà idéale.

 

"Très complémentaires"

« L’un de mes plus grands regrets d’entraîneur est de ne pas avoir pu garder Will en équipe nationale, nous explique Michael Cheika. C’est un très bon mec que je connaissais déjà pour l’avoir coaché avec les Waratahs. Rob a lui été très constant pendant sa carrière avec les Wallabies (106 capes de 2010 à 2020). S’ils avaient pu jouer plus souvent ensemble, ils auraient été très complémentaires. Ils auraient eu en tout cas énormément plus de sélections en commun. C’est une certitude. C’était, je pense, la deuxième ligne idéale ». Lors de la Coupe du monde 2015 en Angleterre, Michael Cheika partait en tout cas dans l’idée d’en faire l’attelage titulaire. Mais une blessure de l’actuel Rochelais a contraint le sélectionneur à revoir ses plans en milieu de compétition.

 

 

Plusieurs années plus tard, l’actuel entraîneur de Leicester a cependant pris plaisir à voir évoluer ses deux anciens soldats. Et finalement, leurs deux registres se sont peut-être rapprochés.

 

« Il y aura toujours une différence entre les deux. Mais c’est étrange, ils évoluent maintenant un peu plus dans le même registre. Will Skelton a beaucoup misé sur sa puissance au début de sa carrière. Mais avec la maturité, il est devenu très intelligent. Je trouve qu’il effectue de très bons choix. Avec Rob, c’est plus l’inverse. Il a commencé sa carrière en axant son jeu sur ses gros points forts que sont la touche, le domaine aérien et l’organisation du pack. Il est devenu plus puissant plus tard dans sa carrière. Finalement, ils sont devenus tous les deux plus complets en prenant des voies différentes. »

 

La croisée des chemins sera ce samedi, du côté de La Rochelle.

 

Arnaud Clergue (LM - 20/12/24)

Je vais répété mon message envoyé dans le topic du match, Je pense que Rob SImmons pourrait être intégré dans le staff et apporté son expertise sur la touche mais même plus largement sur le jeu d'avants voir l'organisation de la défense etc...

[rugbyasm77]

Je vais répété mon message envoyé dans le topic du match, Je pense que Rob SImmons pourrait être intégré dans le staff et apporté son expertise sur la touche mais même plus largement sur le jeu d'avants voir l'organisation de la défense etc...

Ce serait une très bonne idée .
À mon avis le niveau en touche de tixeront et du pack en général ne vient pas de nul part .

Ce joueur est un exemple dans le travail, l'implication et la technique que doit avoir un avant de haut niveau.

[RCV06]

Je vais répété mon message envoyé dans le topic du match, Je pense que Rob SImmons pourrait être intégré dans le staff et apporté son expertise sur la touche mais même plus largement sur le jeu d'avants voir l'organisation de la défense etc...

 

On avait dit ça pour Bonnaire, puis pour Lapandry .......
 

[cetotomatos]

 
On avait dit ça pour Bonnaire, puis pour Lapandry .......
 

Etc.....

[exilé-sud-ouest]

 
On avait dit ça pour Bonnaire, puis pour Lapandry .......
 

Oui mais Bonnaire n'a jamais souhaité entraîner, Lapandry l'histoire s'est un peu finie en eau de boudin. Simmons on l'a déjà vu avec les autres membres du staff en tribune durant sa période de convalescence. Je ne crois pas que se soit totalement anodin.

[Codorplusàvie]

Oui mais Bonnaire n'a jamais souhaité entraîner, Lapandry l'histoire s'est un peu finie en eau de boudin. Simmons on l'a déjà vu avec les autres membres du staff en tribune durant sa période de convalescence. Je ne crois pas que se soit totalement anodin.

Je crois que le staff le fait de temps en temps avec les leaders blessés.
Ce fut le cas avec Bézy par exemple.
Donc pas sûr que ce soit un signe de reconversion. Surtout si c'est pour rester en France.

[Ptolémée]

Rob tu es le meilleur !

[jm12]

Rob tu es le meilleur !

  allez une petite  honte est vite passée , dis le que ton message  est destiné à Codo/   tu vas arriver à le rallier  , je sens comme un frémissement

[La Berthe]

Comme Simmons à Clermont, les deuxième-ligne australiens font le bonheur de nombreux clubs en top14

Incontournable en sélection pendant dix ans, Rob Simmons amène à Clermont son savoir-faire de deuxième-ligne australien. Il en trouvera un autre en la personne de Will Skelton ce samedi à La Rochelle (14h30).

Dès son arrivée à l'ASM la saison dernière, Rob Simmons s'est fait une place de choix dans le pack des Jaune et Bleu. On a beau débarquer dans le Top 14 sur le tard, à 34 ans, le bagage d'une décennie de rugby international et de 106 sélections avec l'Australie, ça vous donne de l'épaisseur pour vous imposer. Christophe Urios, son entraîneur, loue « son expérience, son professionnalisme, son côté exemplaire pour ce qui est de l'état d'esprit », tout ce que le deuxième-ligne essaie de transmettre à ses coéquipiers. Tout ce dont les Auvergnats auront bien besoin aujourd'hui face à La Rochelle.
Chez les Maritimes, Simmons retrouvera ainsi deux anciens coéquipiers chez les Wallabies, qui ont fait la paire avec lui, dans la cage. Will Skelton, pour une collaboration brève (4 matches en commun). Et Kane Douglas, au côté duquel il était titulaire pour la finale de la Coupe du monde 2015, perdue contre les All Blacks. « Je les connais bien, confirme celui qui est le second Wallaby le plus capé à ce poste, après Nathan Sharpe (116 sél.) Kane a le même âge que moi (35 ans), on a souvent joué ensemble, en club comme en sélection, et même l'un contre l'autre. Kane fait partie de ceux que j'ai appelés pour avoir des renseignements avant de signer à Clermont. On est toujours là, on continue ! »

On lui fait remarquer que ce trio de costauds n'est pas le seul à avoir exporté ses talents en France. Adam Coleman (UBB), Richie Arnold (Toulouse) et Sitaleki Timani (Brive) ont aussi oeuvré à ce poste en sélection. « Et il y a Izack Rodda à Provence ! », ajoute-t-il. Qu'est ce qui fait du deuxième-ligne australien une valeur sûre ? « Si on regarde l'histoire de notre rugby, la plupart de nos deuxième-ligne ont un profil différent de ceux que vous avez en France, réfléchit-il. On doit être très mobiles, mais costauds pour les phases de combat. C'est difficile d'exceller dans ces deux domaines, parce que c'est contradictoire, mais c'est ce qu'on attend de nous. Bien bouger et être physique, ce sont nos standards. »

John Eales, la référence.

Un Simmons « excellent dans la conquête aérienne, bon sur l'organisation du jeu » et un Douglas « combattant robuste qui défend les mauls et tape les rucks », selon les mots d'Urios, qui a entraîné les deux, ont des profils différents. Mais un point commun pour le coach auvergnat : « les deux travaillent beaucoup sur le terrain, ils sont de l'école australienne, celle des systèmes, avec des équipes très organisées. Je ne suis pas étonné qu'ils réussissent en France. »

Tous trentenaires (sauf Rodda, 28 ans), ces deuxième-ligne ont forcément été bercés par la référence John Eales, qu'ils ont vu soulever deux Coupe du monde (1991 et 1999) quand ils étaient gamins. « Il a influencé ma génération, confirme Simmons, et il a fixé la norme à notre poste, celle d'un joueur intelligent, rusé et très fort physiquement. C'est ça, le deuxième-ligne australien ! » Qui fait les beaux jours du rugby français, à La Rochelle comme à Clermont.

[bazooka]

Oui mais Bonnaire n'a jamais souhaité entraîner, Lapandry l'histoire s'est un peu finie en eau de boudin. Simmons on l'a déjà vu avec les autres membres du staff en tribune durant sa période de convalescence. Je ne crois pas que se soit totalement anodin.

 

Merci de l'info, je ne l'avais pas tilté celle là, puisses tu dire vrai, j'entends pour son avenir au club.