114 réponses à ce sujet

[Alex chocolatines]

Je pense que la question est pourquoi il y a des sports où c'est plus dur de vivre normalement et assumer son homosexualité que d'autre.

Je pense vraiment que le rugby est un sport où ce n'est pas facile.
Car c'est un sport de contact physique, du coup on pourra soupçonner le "gay" d'avoir des idées sexuels sur un plaquage/dans une mélée etc...
Dans le foot, c'est car c'est souvent des milieux défavorisés ou populaire que viennent les stars qui sont aussi moins ouverts à ces questions.

Y'a aussi dans ces 2 sports les "douches communes" qui sont une sorte de rituels obligatoires.

 

Combien de rugbyman ont caché leur homosexualité pendant toute leurs carrières et continuent de le faire aujourd'hui ? Enormément je pense et c'est pour ça que les coming out publique de ce type sont utiles. Le but est juste qu'un jeune homosexuel ne se ferme pas des portes à cause de ça et ose vivre normalement sans rien cacher aux autres.
Et je pense vraiment qu'on en est extrêmement loin dans le rugby actuellement.

Et donc si un médecin ou un chirurgien, un ostéo était gay, tu aurais peur qu'il te soigne ? 

[Milian]

Et donc si un médecin ou un chirurgien, un ostéo était gay, tu aurais peur qu'il te soigne ? 

Je parle pas de moi, je parle de la façon dont ça peut etre perçu dans un sport "virile" de "contact".

Meme si pour un medecin/chiurgien/ostéo. Je crois que les patients se sentent de façon générale mieux avec une personne du même sexe justement pour ces raisons là. Les femmes choisissent généralement des medecins femmes par exemple si elles ont le choix.

[l'ours des tavernes]

Et donc si un médecin ou un chirurgien, un ostéo était gay, tu aurais peur qu'il te soigne ? 

j'ai jamais compris ce besoin de mélangé vie professionnel/vie privé.

 

un médecin il te soigne, ce qu'il fait en dehors de sont travaille dans le cadre de ça vie personnel et privé ne regarde que lui.

 

en quoi sont orientation sexuel peut avoir un impact sur ces compétence professionnel ?

[Good Shvili]

Bref ici on est souvent surpris, jamais déçu

[Le Marseillais]

Ouais, impressionnant !

[Milian]

j'ai jamais compris ce besoin de mélangé vie professionnel/vie privé.

 

un médecin il te soigne, ce qu'il fait en dehors de sont travaille dans le cadre de ça vie personnel et privé ne regarde que lui.

 

en quoi sont orientation sexuel peut avoir un impact sur ces compétence professionnel ?

J'ai l'impression vous faites semblant de pas comprendre ce que je veux dire...

Apres, mon postula de départ est qu'il est plus dur d'etre homosexuel dans le rugby que dans d'autres sports. J'ai l'impression que certains veulent pas le voir.

Et je trouve certaines postures un peu hypocrite "moi j'ai pas de problemes avec ça donc je veux pas voir les problemes". C'est pas ça la réalité, il faut dézoomer un peu pour voir au dela de son cas personnel.

Je pense qu'on est dans un sport où il y a une certaine omerta sur le sujet et c'est pour ça que je trouve ce genre de coming out bienvenu et son témoignage très interessant.

[zeguest]

Je pense que la question est pourquoi il y a des sports où c'est plus dur de vivre normalement et assumer son homosexualité que d'autre.
Je pense vraiment que le rugby est un sport où ce n'est pas facile.
Car c'est un sport de contact physique, du coup on pourra soupçonner le "gay" d'avoir des idées sexuels sur un plaquage/dans une mélée etc...
Dans le foot, c'est car c'est souvent des milieux défavorisés ou populaire que viennent les stars qui sont aussi moins ouverts à ces questions.
Y'a aussi dans ces 2 sports les "douches communes" qui sont une sorte de rituels obligatoires.
 
Combien de rugbyman ont caché leur homosexualité pendant toute leurs carrières et continuent de le faire aujourd'hui ? Enormément je pense et c'est pour ça que les coming out publique de ce type sont utiles. Le but est juste qu'un jeune homosexuel ne se ferme pas des portes à cause de ça et ose vivre normalement sans rien cacher aux autres.
Et je pense vraiment qu'on en est extrêmement loin dans le rugby actuellement.

Si c est un club avec des abrutis c est compliqué. Sinon aucun problème.,
Comme dans la vie mais pas plus compliqué dans le rugby.

[Alex chocolatines]

j'ai jamais compris ce besoin de mélangé vie professionnel/vie privé.

 

un médecin il te soigne, ce qu'il fait en dehors de sont travaille dans le cadre de ça vie personnel et privé ne regarde que lui.

 

en quoi sont orientation sexuel peut avoir un impact sur ces compétence professionnel ?

L'orientation sexuelle je m'en fous mais si le mec ou la nana dit 'pain au chocolat" il me touche pas 

[zeguest]

Un des potes dont je parle mettait la tête où d autres ne mettaient pas les pieds. Chacun son avis, mais une tape sur le cul dans un match d un hetero ou d un homo c est pareil. Bref, un vrai sujet de société mais un non sujet pour ce qui me concerne.

[Good Shvili]

Un des potes dont je parle mettait la tête où d autres ne mettaient pas les pieds. Chacun son avis, mais une tape sur le cul dans un match d un hetero ou d un homo c est pareil. Bref, un vrai sujet de société mais un non sujet pour ce qui me concerne.

 

tu cherches

[Silhouette]

Je pense que la question est pourquoi il y a des sports où c'est plus dur de vivre normalement et assumer son homosexualité que d'autre.

Je pense vraiment que le rugby est un sport où ce n'est pas facile.
Car c'est un sport de contact physique, du coup on pourra soupçonner le "gay" d'avoir des idées sexuels sur un plaquage/dans une mélée etc...
Dans le foot, c'est car c'est souvent des milieux défavorisés ou populaire que viennent les stars qui sont aussi moins ouverts à ces questions.

Y'a aussi dans ces 2 sports les "douches communes" qui sont une sorte de rituels obligatoires.

 

Combien de rugbyman ont caché leur homosexualité pendant toute leurs carrières et continuent de le faire aujourd'hui ? Enormément je pense et c'est pour ça que les coming out publique de ce type sont utiles. Le but est juste qu'un jeune homosexuel ne se ferme pas des portes à cause de ça et ose vivre normalement sans rien cacher aux autres.
Et je pense vraiment qu'on en est extrêmement loin dans le rugby actuellement.

 

Je suis pas completement persuade de ca, mais pour le reste assez d'accord. Pour la raison principale, je penche plutot pour une vision des "gays" comme pas assez virils, forts, et "violents". En attestent le florilege de "on est pas des pds", "on est pas des tafioles", etc etc qu'on a tous entendu dans le clubs de rugby, pour montrer que nous on est "des hommes des vrais". 

[Parigot_Paris]

Je... je fais mon coming out... je mange le camembert avec du BEURRE ! Des amis Normands m'ont promis de me clouer sur une porte de grange la tête en bas pour ça... et ce n'est pas tout ! (là ça dépasse tout) Je n'ai jamais joué au rugby ! Oooooooh  

 

 

Bon sérieux car le sujet est grave, pour en avoir parlé avec de nombreux copains pédés, l'acceptation par la famille est un moment extrêmement délicat. Un tel à qui je demande d'où est originaire son nom il me répond "je sais pas, j'en ai rien à foutre, je méprise ces gens". Ils l'avaient foutu dehors à ses 18 ans. D'autres ça s'est très bien passé. Mais bon, quand nous les garçons "normaux" nous nous racontons nos plans culs (imaginaires) à l'âge de 14/15 ans, les pédés se sentent marginalisés, il faut comprendre qu'ils ne peuvent rien à leur sexualité. Dès qu'on a compris ça c'est OK.

 

J'habitais le Marais à Paname pendant les années où le sida s'est déchaîné, je garde des souvenirs assez vifs de garçons dont le carnet d'adresses s'est transformé en cimetière et qui culpabilisaient à mort de leur sexualité. L'idée qu'on leur foute la paix me plaît assez.

 

Alors le coming out j'ai des sentiments partagés. Je suis assez d'accord avec Delanoë, l'ancien maire de Paris qui réclamait "le droit à l'indifférence". Voilà. C'est tout. Bon, ça casse pas trois pattes à un canard, mais c'est pas non plus le bac de français, éh oh. 

[Rugby ?]

Je... je fais mon coming out... je mange le camembert avec du BEURRE ! Des amis Normands m'ont promis de me clouer sur une porte de grange la tête en bas pour ça... et ce n'est pas tout ! (là ça dépasse tout) Je n'ai jamais joué au rugby ! Oooooooh

 

 

Bon sérieux car le sujet est grave, pour en avoir parlé avec de nombreux copains pédés, l'acceptation par la famille est un moment extrêmement délicat. Un tel à qui je demande d'où est originaire son nom il me répond "je sais pas, j'en ai rien à foutre, je méprise ces gens". Ils l'avaient foutu dehors à ses 18 ans. D'autres ça s'est très bien passé. Mais bon, quand nous les garçons "normaux" nous nous racontons nos plans culs (imaginaires) à l'âge de 14/15 ans, les pédés se sentent marginalisés, il faut comprendre qu'ils ne peuvent rien à leur sexualité. Dès qu'on a compris ça c'est OK.

 

J'habitais le Marais à Paname pendant les années où le sida s'est déchaîné, je garde des souvenirs assez vifs de garçons dont le carnet d'adresses s'est transformé en cimetière et qui culpabilisaient à mort de leur sexualité. L'idée qu'on leur foute la paix me plaît assez.

 

Alors le coming out j'ai des sentiments partagés. Je suis assez d'accord avec Delanoë, l'ancien maire de Paris qui réclamait "le droit à l'indifférence". Voilà. C'est tout. Bon, ça casse pas trois pattes à un canard, mais c'est pas non plus le bac de français, éh oh. 

Heureusement pour toi ................ c'était le 15/06.

Tu retardes ........ c'est stupéfiant !
 

[Parigot_Paris]

Heureusement pour toi ................ c'était le 15/06.

Tu retardes ........ c'est stupéfiant !
 

[RCV06]

Je pense que la question est pourquoi il y a des sports où c'est plus dur de vivre normalement et assumer son homosexualité que d'autre.

Je pense vraiment que le rugby est un sport où ce n'est pas facile.
Car c'est un sport de contact physique, du coup on pourra soupçonner le "gay" d'avoir des idées sexuels sur un plaquage/dans une mélée etc...
Dans le foot, c'est car c'est souvent des milieux défavorisés ou populaire que viennent les stars qui sont aussi moins ouverts à ces questions.

Y'a aussi dans ces 2 sports les "douches communes" qui sont une sorte de rituels obligatoires.

 

Combien de rugbyman ont caché leur homosexualité pendant toute leurs carrières et continuent de le faire aujourd'hui ? Enormément je pense et c'est pour ça que les coming out publique de ce type sont utiles. Le but est juste qu'un jeune homosexuel ne se ferme pas des portes à cause de ça et ose vivre normalement sans rien cacher aux autres.
Et je pense vraiment qu'on en est extrêmement loin dans le rugby actuellement.

Du coup ne serait ce pas la même chose pour le judo, la lutte et tous les sports de combat 

Je... je fais mon coming out... je mange le camembert avec du BEURRE ! Des amis Normands m'ont promis de me clouer sur une porte de grange la tête en bas pour ça... et ce n'est pas tout ! (là ça dépasse tout) Je n'ai jamais joué au rugby ! Oooooooh

 

 

Bon sérieux car le sujet est grave, pour en avoir parlé avec de nombreux copains pédés, l'acceptation par la famille est un moment extrêmement délicat. Un tel à qui je demande d'où est originaire son nom il me répond "je sais pas, j'en ai rien à foutre, je méprise ces gens". Ils l'avaient foutu dehors à ses 18 ans. D'autres ça s'est très bien passé. Mais bon, quand nous les garçons "normaux" nous nous racontons nos plans culs (imaginaires) à l'âge de 14/15 ans, les pédés se sentent marginalisés, il faut comprendre qu'ils ne peuvent rien à leur sexualité. Dès qu'on a compris ça c'est OK.

 

J'habitais le Marais à Paname pendant les années où le sida s'est déchaîné, je garde des souvenirs assez vifs de garçons dont le carnet d'adresses s'est transformé en cimetière et qui culpabilisaient à mort de leur sexualité. L'idée qu'on leur foute la paix me plaît assez.

 

Alors le coming out j'ai des sentiments partagés. Je suis assez d'accord avec Delanoë, l'ancien maire de Paris qui réclamait "le droit à l'indifférence". Voilà. C'est tout. Bon, ça casse pas trois pattes à un canard, mais c'est pas non plus le bac de français, éh oh. 

Voila, il me semble que le plus dur sera fait quand la sexualité des gens ne sera plus un sujet et qu on en parlera plus ni les uns ni les autres.