L'Uruguay y a qui de connu ?
Capo Ortega
Posted 11 September 2023 - 20:21 PM
L'Uruguay y a qui de connu ?
Capo Ortega
Posted 11 September 2023 - 20:24 PM
Capo Ortega
Posted 11 September 2023 - 21:26 PM
Oh put... Tu vas nous attirer CAT...
Faut de la pratique pour attraper un CAT, tout est dans la technique d'amorçage et le choix de l'appât
Posted 11 September 2023 - 21:34 PM
Posted 11 September 2023 - 22:00 PM
Capo Oterga n a jamais rien gagné. Bon mec, bon entraîneur il na pas eu la chance de jouer à l ASM en remplaçant de luxe ou à Brive dans un club de terroir dans lequel il aurait eu de l influence.
Les Brennus 2013 et 2018 ont été volés également ?
à lui seul, il a le même que l'ASM depuis sa création quand même
Posted 11 September 2023 - 23:40 PM
Champion de France avec le CO en 2013 et 2018!Capo Ortega
Si. Pour développer le rugby, sa visibilité.
Et puis c'est la réalité de ce sport. On ne va pas faire une cdm avec 8 équipes.
Posted 12 September 2023 - 04:38 AM
Faut pas trop secouer le Capo, dans son cas...Champion de France avec le CO en 2013 et 2018!
Une coupe de monde à 12 équipes éviterait les matchs aux résultats connus d'avance et avec 2 poules de 6 et les 2 premiers de chaque groupe en demi-finale on aurait autant de matchs qu'avec la formule actuelle et de vrais maths à enjeu des la phase de poules.
On pourrait aussi imaginer une coupe du monde de deuxième division avec la même formule dont le premier remplacerait le dernier du Top 12.
Poule 1 :
* Irlande
* Nouvelle-Zélande
* Angleterre
* Pays de Galles
* Fidji
* Géorgie
Poule 2 :
* Afrique du Sud
* France
* Ecosse
* Australie
* Argentine
* Samoa
Posted 12 September 2023 - 06:06 AM
« Il n'a pas été bon parce que Kolisi a déjà joué deux matches », se marrait son colocataire de Coupe du monde Grégory Alldritt la semaine dernière, à propos du capitaine des Springboks Siya Kolisi, opéré d'un genou le 22 avril et déjà de retour à la compétition le... 19 août. Un large sourire s'étale désormais sur les visages des Bleus quand on évoque celui d'Anthony Jelonch. Sur le spectre de l'humeur, on est à l'extrême opposé de cette sale soirée du 26 février, où personne n'avait envie de fêter la victoire contre l'Écosse au Stade de France (32-21).
Sorti (en trottinant !) à la 25e minute, Jelonch (27 ans, 25 sélections) passe rapidement des examens. Verdict : rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche. Pas besoin de tourner très loin les pages du calendrier. À un peu plus de six mois du match d'ouverture de la Coupe du monde, c'est foutu. En 2019, le talonneur Julien Marchand avait subi la même blessure un 1er février pour un retour à la compétition le 12 octobre.
Pourtant, dès le lendemain, le mode combatif est activé. Dans son entourage, on rappelle notamment le cas du demi de mêlée castrais Jérémy Fernandez, gravement blessé le 24 septembre 2022 et sur le point de reprendre (ce qu'il fera le 25 mars).
Opéré le 6 mars à Toulouse par le Dr Vincent Pineau, Jelonch nous accueille 15 jours plus tard à Ernest-Wallon, sans attelle, avec une assurance parfois désarmante : « Je serai prêt le 15 août. L'opération s'est bien passée, la cicatrisation est bonne, l'extension et la flexion de mon genou sont normales. »
Devant lui, plusieurs étapes à valider, des « points de rencontre » comme l'imageait hier le responsable santé de l'équipe de France, Bruno Boussagol : sept semaines post-opératoire à Toulouse, dont trois en béquilles, cinq à Montpellier avec ce dernier, quatre dans les installations du Stade en juin et quatre au CERS de Capbreton (Landes) en juillet.
Un déroulé sans bémol ou presque. Une seule alerte, à son retour de Montpellier début juin : son genou a gonflé pour la première fois. « J'ai peut-être un peu trop forcé sur la dernière semaine là-bas, confesse-t-il. J'ai revu le chirurgien qui m'a demandé de me calmer un peu. Je n'avais plus du tout d'énergie et j'étais cuit. J'ai pu bosser autre chose. »
Quand on le retrouve le 27 juin dans les installations désertes du Stade Toulousain, Jelonch est régénéré. Il s'est épaissi du haut du corps et a repris sa rééducation sans arrière-pensée. On le suit dans l'après-midi pour des tests de force. Sur le dernier, il doit aller le plus loin possible à cloche-pied sur trois sauts et sans perdre l'équilibre à l'arrivée. Il valide 6,72 m sur la jambe droite. Sur la gauche, sans aucune retenue, il s'escampe à quasiment 6 m. La symétrie de forces entre les deux jambes est quasiment atteinte.
En juillet, au CERS, il est en demi-pension, dort chez un proche le soir pour mieux s'aérer le cerveau. « Ça m'avait déjà fait du bien de partir à Montpellier, se rappelle Jelonch. Les beaux jours revenaient, on bossait beaucoup en extérieur, en mer, en montagne, à pied, à vélo, je me suis régalé. » La réathlétisation est une réussite. « Attention, il y a une grosse différence entre réathlétisation et retour à la performance, tempère début juin Thibault Giroud, directeur de la performance des Bleus. La réathlétisation est un processus qui va l'amener à redevenir un joueur de rugby. Mais il va falloir qu'il retrouve toutes les qualités de haut niveau qu'il avait avant de se blesser. »
« Le rugby, ça ne s'oublie pas, répond Jelonch avec un sourire. On a vu Antoine (Dupont) quand il est revenu des croisés (en octobre 2018), il a mis un triplé à Perpignan ! » Les semaines de travail en juillet à Capbreton alors que les Bleus suent à Monaco et à Marcoussis (Essonne) forgent sa caisse physique, il travaille son explosivité et commence à s'envoyer sur les séances de contact. « Il y a un ancien première ligne qui tient le bouclier et apparemment, il souffre un peu », en rigole le co-entraîneur de la conquête des Bleus, William Servat, qui l'aide ce jour de fin juillet. Le 31, il reprend des séances collectives à Toulouse, sans contact.
« On avait fixé la date du 15 août car c'était une date critique, à une semaine de l'annonce des 33 (le 21) », explique Boussagol. Le 13, la première partie du pari est gagné, Jelonch est de retour dans le groupe France à Capbreton. Mais son cas est encore confus. Le joueur est en arrêt de travail jusqu'au 27 août. Revenu de vacances le 16, le chirurgien a donné son feu vert mais pour une reprise aménagée. « Il pouvait rester avec nous et basculer sur un travail plus spécifique qui était orienté rugby mais qui n'était pas à haute intensité, détaille Boussagol. On a profité de cette période pour le monter sur la performance tout en poursuivant ses soins. »
« Ce qu'on a validé, ce sont ses performances physiologiques, son état mental. Tous les feux sont au vert
Bruno Boussagnol, responsable santé de l'équipe de France
Convaincant et soutenu sans relâche dans les discussions dans le staff par Servat, Jelonch est bien dans les 33. « Antho fait plus que compter, nous confiait l'entraîneur des avants tricolores dans l'entretien qu'il nous a accordé avant la Coupe du monde. Je savais que je voulais tout tenter pour l'amener. L'objectif était de lui donner la chance de le faire, mais qu'il soit capable de le faire. Sinon je n'aurais jamais tenté quoi que ce soit... »
Dans la semaine du 28 août, quand les Bleus sont libérés cinq jours, il s'entraîne avec le Stade Toulousain. Genou gauche strappé de noir, Jelonch a repris l'entraînement normalement avec les Bleus la semaine dernière. À Toulouse et à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), Servat, encore lui, remet le protège-dents et donne de sa personne pour des séances individuelles de contact. Pas question, en interne, de le relancer sur un match face aux All Blacks le 8 septembre. Ce sera donc ce jeudi à Villeneuve-d'Ascq face à l'Uruguay.
Le pari n'est-il pas trop périlleux ? « Le risque zéro n'existe pas, reconnaît Boussagol. Mais ce qu'on a validé, ce sont ses performances physiologiques, son état mental - il s'est dit prêt à reprendre la compétition - et le chirurgien a évalué la qualité de son transplant (ligamentaire). Tous les feux sont au vert. »
Posted 12 September 2023 - 07:04 AM
Champion de France avec le CO en 2013 et 2018!
Une coupe de monde à 12 équipes éviterait les matchs aux résultats connus d'avance et avec 2 poules de 6 et les 2 premiers de chaque groupe en demi-finale on aurait autant de matchs qu'avec la formule actuelle et de vrais maths à enjeu des la phase de poules.
On pourrait aussi imaginer une coupe du monde de deuxième division avec la même formule dont le premier remplacerait le dernier du Top 12.
Poule 1 :
* Irlande
* Nouvelle-Zélande
* Angleterre
* Pays de Galles
* Fidji
* Géorgie
Poule 2 :
* Afrique du Sud
* France
* Ecosse
* Australie
* Argentine
* Samoa
Au contraire je mettrai une coupe du monde avec 32 equipes pour une meilleure visibilité en espérant générer plus d’engouement pour notre sport dans chacun des pays.
dommage par exemple de ne pas avoir les etats unis, canada, russie, espagne…
Posted 12 September 2023 - 07:28 AM
Le problème, c'est qu'on a jamais de surprise comme au football et hormis le Canada, les trois autres pays n'ont jamais atteint les quarts de finale.Au contraire je mettrai une coupe du monde avec 32 equipes pour une meilleure visibilité en espérant générer plus dengouement pour notre sport dans chacun des pays.
dommage par exemple de ne pas avoir les etats unis, canada, russie, espagne
Posted 12 September 2023 - 10:10 AM
Pour éviter des résultats connus à l'avance, et des équipes de fond de classement mondial qui viennent en simples victimes expiatoires, faudrait peut être commencer par les aider à se développer (moyens techniques, transmission de savoir faire, aides économiques, publicité pour le rugby dans ces pays, nomination pour l'organisation de compétition...), et pas seulement trouver des faire valoir pour quelques audiences télé en plus, et créer un quasi-simulacre de compétition mondiale.
Un petit vent de fraicheur sur le vieux rugby mondial, qui se conforte dans son entre-soi, ça ferait pas de mal. Qui ne s'est pas régalé devant la sélection japonaise, son jeu tout en vitesse, technique et mouvement ? L'émergence de nouvelles nations dans le rugby, c'est la découverte de nouvelles cultures, de nouvelles façons de pratiquer ce sport, et la possibilité de dépoussiérer un peu les nations historiques.
Posted 12 September 2023 - 11:16 AM
On pourrait déjà commencer par les arbitrer équitablement.Pour éviter des résultats connus à l'avance, et des équipes de fond de classement mondial qui viennent en simples victimes expiatoires, faudrait peut être commencer par les aider à se développer (moyens techniques, transmission de savoir faire, aides économiques, publicité pour le rugby dans ces pays, nomination pour l'organisation de compétition...), et pas seulement trouver des faire valoir pour quelques audiences télé en plus, et créer un quasi-simulacre de compétition mondiale.
Un petit vent de fraicheur sur le vieux rugby mondial, qui se conforte dans son entre-soi, ça ferait pas de mal. Qui ne s'est pas régalé devant la sélection japonaise, son jeu tout en vitesse, technique et mouvement ? L'émergence de nouvelles nations dans le rugby, c'est la découverte de nouvelles cultures, de nouvelles façons de pratiquer ce sport, et la possibilité de dépoussiérer un peu les nations historiques.
Posted 12 September 2023 - 11:49 AM
déjà 6 pages.
Posted 12 September 2023 - 12:46 PM
C'est marrant de voir un Castrais souhaiter limiter l'accès d'une compète à certaines équipes dites plus faibles sous prétexte qu'on sait qu'elles ne se qualifieront pas.
Et pourquoi que c'est marrant ?
Bin le CO ne sort jamais des poules en CC et pourtant on ne parle pas de les virer
Posted 12 September 2023 - 12:56 PM
J'aime bien également la formule de la coupe du monde des moins de vingt ans avec différentes phases finales dans une optique de classement.
Je pense que cela peut effectivement être une source de progression et de visibilité importante pour les "petites" écuries. Elles auraient notamment l'opportunité de jouer un certain nombre de rencontres face à différents types d'adversaire, ce qui est toujours stimulant. En outre, cela créé un vrai enjeu et évite de simplement prendre quelques raclées en phase de poules pour une simple place non qualificative. L'aventure humaine et sportive n'en seraient que plus belle.
0 members, 1 guests, 0 anonymous users